L’abbaye vosgienne classée est toujours occupée par une communauté monastique. L'association Notre-Dame d'Autrey cherche par tous les moyens à entretenir son patrimoine exceptionnel. Des activités culturelles et une souscription pour sa restauration sont lancées.
L’abbaye Notre-Dame d’Autrey fut fondée par l’évêque de Metz, le cardinal Etienne de Bar, sans doute à son retour de la deuxième croisade, à la fin de l’année 1149. Située dans un village du Pays d’Epinal, cœur des Vosges, l’abbaye Notre Dame d’Autrey s’élève majestueusement comme témoin d’un passé riche d’histoire, de foi chrétienne et de culture. Classée Monument Historique pour sa majestueuse abbatiale de grès rose, ses bâtiments conventuels, son pavillon abbatial et son portail, le site est représentatif d’une période allant du 12ème au 21ème siècle.
Ses 4 hectares abritant un jardin arboretum remarquable offrent un décor et une sérénité qui en font un havre de paix et de beauté. Cette abbaye très ancienne témoigne d’une présence religieuse au fil des siècles. L’abbaye est ouverte au public pour la visite des jardins, du bâtiment, et sa programmation culturelle contribue à sa renommée. Ces actions sont soutenues par de nombreux partenaires.
Au-delà de la restauration à proprement parler de l’édifice, c’est tout un dynamisme local que l’association de sauvegarde met en place et ceci à travers l’ouverture au public et l’organisation d’évènements ponctuels rassemblant nombre de participants.
La restauration est entreprise dans l’esprit du respect du patrimoine historique qui demeure. Pour cela l’association s’en tient aux prescriptions de la D.R.A.C de Lorraine qui donne une garantie sur les différentes opérations réalisées ou en cours de réalisation.
Tous les dons faits à la Fondation du Patrimoine pour contribuer à la restauration d’Autrey sont déductibles d’impôt.
Titulaire depuis quelques années du label d’intérêt général et affiliée au Club des Partenaires « Entreprises », l’association Abbaye Notre-Dame d’Autrey offre la possibilité, sous condition d’adhésion, d’un quota de places de spectacle ou bien l’accès aux jardins ou bien encore la mise à disposition d’espaces avec une réduction sur les prix publics de location.
L’association Abbaye Notre-Dame d’Autrey est soutenue par le Conseil général des Vosges, la Région Lorraine, la ville de Rambervillers, le Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Lorraine).
>> Contact pour toute information ou pour faire un don : info@abbayedautrey.com


Certains détails, comme la représentation des « chaussures », caractéristiques de l'époque de François Ier, permettent de penser que ces peintures murales seraient bien du 16ème siècle... Mais c'est la mise au jour des peintures des voûtains, « superbement conservées » qui vont véritablement enthousiasmer la restauratrice. Au centre, un Christ en majesté, « le Christ de l'apocalypse », imposant et impressionnant, montre ses plaies et vous pénètre de son regard...








Mais ce n'est pas parce que les catholiques y sont plus nombreux qu'ils pratiquent plus que la moyenne nationale. A peine 15,5 % de pratiquants de Neufchâteau à Saint-Dié et de Charmes à Remiremont (15,2 % dans l'Hexagone). Pourquoi cette rupture ? Frédéric Dabi, de l'Ifop, y discerne la marque des catholiques sociologiques : "Des personnes nées dans des familles catholiques mais qui sont éloignées de la croyance et de l'institution."
Parmi ces 15,5 % de Vosgiens pratiquants, ils ne sont donc, nous l'avons vu, que 4,5 % (moyenne nationale, pas de chiffres locaux) à fréquenter l'eucharistie tous les dimanches. Réduire la pratique religieuse au seul fait d'assister à la messe est discutable pour l'évêque des Vosges. "Je suis en effet frappé par les personnes rencontrées lors de rassemblements : la proclamation du projet diocésain à Saint-Dié, Festi Jeunes, celui du MRJC hier à Moriville…" Ce serait donc cela aussi, pratiquer. En 1952, 27 % des Français se rendaient à l'église tous les dimanches…


Lundi 14 septembre, le conseil pastoral de la grande paroisse vosgienne Notre-Dame de la Saône (Monthureux-Bleurville) se réunira à la maison paroissiale de Monthureux afin de mettre en place la réorganisation de la paroisse. Celle-ci est rendue nécessaire par la retraite du prêtre desservant, l'abbé Charles Villaume, toujours en résidence à la cure de Bleurville. L'abbé Villlaume, qui fut prêtre fidei donum au Mali durant 30 ans avant d'être nommé à Bleurville en 1994, a connu quelques ennuis de santé au cours de l'année, nécessitant un repos prolongé et... bien mérité.


















Afin de préparer une rétrospective sur la présence postale à Bleurville à l'occasion du Centenaire de l'installation du bureau de poste, les animateurs de l’association des Amis de Saint-Maur recherchent en particulier des photographies des différents receveurs-distributeurs ayant exercé à Bleurville.