Le site de Domrémy-la-Pucelle - Maison natale de Jeanne d'Arc et Centre Visages de Jehanne accueille l'exposition "Histoire de famille. Jean Hordal et Charles du Lys, premiers historiens de Jeanne d'Arc au 17e siècle".
Ce samedi 29 août avait lieu le vernissage de l'exposition johannique en présence de Luc Gerecke, vice-président du Conseil général des Vosges, Isabelle Chave, directrice des Archives départementales des Vosges et Magali Delavenne, conservatrice du site de Domrémy. On notait également la présence de plusieurs maires du canton de Coussey, de M. l'abbé Jean-Pierre Duménil, vicaire général du diocèse de Saint-Dié, de M. l'abbé Jean Mangin, ancien recteur de la basilique du Bois-Chenu, et d'Alain Olivier, président de l'association Notre-Dame de Bermont.
L'exposition met en valeur l'acquisition du fonds Maleissye par les Archives des Vosges et le Conseil général, fonds acquis en 2008 avec l'aide de la Direction des Archives de France. Cet ensemble unique se compose de 18 pièces manuscrites datant pour l'essentiel du premier quart du 17e siècle. Ces documents proviennent du dossier documentaire réuni par le magistrat parisien Charles du Lys et le juriste lorrain Jean Hordal afin de préparer leurs publication consacrées à Jeanne d'Arc.
La collection s'est ensuite transmise dans la descendance de Charles du Lys jusqu'au collectionneur et érudit Conrad de Maleissye, qui l'a partiellement publiée, avant qu'elle ne soit dispersée vers 1970. Ces documents représentent un témoignage exceptionnel des premières années de l'historiographie de Jeanne d'Arc et mettent en valeur un aspect méconnu du culte de l'héroïne nationale et sainte.
Jean Hordal et Charles du Lys, tous deux petits-neveux de Jeanne d'Arc ont mené au début du 17e siècle d'importantes recherches historiques et généalogiques consacrées à leur illustre aïeule.
L'exposition présente une riche iconographie de Jeanne au 17e siècle organisée autour du Portrait des échevins d'Orléans (1581) et la statue de Jeanne en prière du pont des Tournelles (1503), dont la reproduction surmonte la porte piétonne de la maison natale à Domrémy.
Une exposition à découvrir pour appréhender une autre Jeanne, celle d'avant la Jeanne des XIXe-XXe siècles enjeu de batailles entre les clans politiques et l'Eglise.
>> Exposition jusqu'au 31 octobre 2009, site départemental de Domrémy-la-Pucelle, tous les jours, de 10h à 18h.
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Catalogue de l'exposition "Une histoire de famille. Jean Hordal et Charles du Lys, premiers historiens de Jeanne d'Arc au 17e siècle", Isabelle Chave et Magali Delavenne (sous la dir.), éditions du Conseil général des Vosges, 160 p., nombreuses illustrations noir et couleur (18 €).







La légende s’était emparée de cette affaire criminelle au point qu’on avait attribué à François Buzenet une vingtaine de crimes les plus sordides. Grâce à la perspicacité de notre historienne, les bleurvillois n’ont plus rien à craindre du sobriquet de « Buzenet » qui les désignait depuis la fin du XVIIIe siècle. Les minutes des procès de François Buzenet et de François Martin, retrouvés à la Bibliothèque nationale et aux Archives nationales à Paris, ont permis de reconstituer dans le détail tout le déroulement de ces affaires judicaires.


L'ensemble du bataillon, environ 1200 personnels doit s'installer à Bitche d'ici l'été 2010. Les premiers chasseurs se rendent à pied dans leur nouvelle caserne. Ce vendredi 28 août, une prise d'arme doit avoir lieu. En février dernier, le ministre de la Défense, Hervé Morin, avait annoncé l'installation du 16ème bataillon à Bitche, qui doit compenser la disparition du 57ème régiment d'artillerie, dissout en juin dernier à la suite de la réforme de la carte militaire. Une excellente nouvelle pour la Lorraine : la perte de la population engendrée par la disparition du 57ème devrait être compensée par l'installation du 16ème BCP.


Interdit, certes. Mais saupoudré d'une pincée d'adrénaline, le fruit n'en est que plus savoureux... Qui, gamin, n'a jamais croqué le fruit défendu avant de prendre ses jambes à son cou pour échapper au propriétaire ou au garde-champêtre ? Enfant, Daniel Munsch était de ceux-là. Une fois l'école terminée, lui et ses copains usaient leur fond de culottes dans les arbres fruitiers. « 
La cité – devenue haut-marnaise depuis la Révolution - a revécu l’espace d’une journée une animation exceptionnelle. Sous un chaud soleil d’août, la matinée a débuté par une visite historique des ruines de la cité guidée par M. Jean Charles, historien et membre de l’association « Pour La Mothe »
Différents métiers anciens animaient encore l’ancienne cour du château de La Mothe : brodeuses, tisseuses, atelier de bimbeloterie et de cuir, plantes et épices avec utilisation en cuisine médiévale.
Le diocèse de Saint-Dié invite les catholiques vosgiens à se rassembler sur la colline de Sion (entre Mirecourt et Nancy) pour le traditionnel pélerinage des Vosges.











La messe matinale était célébrée en la petite chapelle - qui conserve pieusement le souvenir des visites de notre Jeannette - par les prêtres de la Fraternité Saint-Pierre d'Epinal. Après un sympathique repas pris en commun, la procession du Voeu de Louis XIII rassembla à 15 heures les pèlerins aux pieds d'un autel-reposoir surmonté d'une statue de Notre-Dame de Lourdes : le célébrant renouvella la consécration de la France à Marie selon le Voeu du roi Louis XIII de 1638. Puis la procession se poursuivit jusqu'à la chapelle pour le Salut au Saint-Sacrement.




Mercedès Guingot s'attacha à Darney en venant voir son frère Joannes Stouls installé dans le chef-lieu de la Vôge. Une fois devenue veuve, elle s'installera en Bretagne mais revenait régulièrement à Darney plusieurs fois par an pour y pratiquer son art. Elle aimait installer son chevalet dans les endroits les plus typiques du bourg.








