Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

centenaire

  • Le projet "Poilus de Laneuvelotte" labellisé pour le Centenaire de la Première Guerre mondiale

    poilu-du-grand-couronne.jpg

    Le Poilu du Grand Couronné.


    Le directeur général de la mission Centenaire de la Grande Guerre a informé les responsables du Cercle d'histoire de Laneuvelotte que leur projet Poilus à Laneuvelotte, déjà retenu par le Comité départemental du Centenaire en préfecture de Meurthe-et-Moselle, a été accepté pour la labellisation nationale par le comité de la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale, après avis de son conseil scientifique.

    Le projet porté par le Cercle d'histoire de Laneuvelotte fait désormais partie du programme officiel du Centenaire qui sera officiellement dévoilé par le Président de la République, lors d’une conférence de lancement du cycle du Centenaire de la Grande Guerre, quelques jours avant le 11 novembre 2013.

    Félicitations aux chercheurs, historiens, érudits et amoureux de l'histoire de la Lorraine du Cercle d'histoire de Laneuvelotte !
  • Nancy se prépare à commémorer le centenaire de la Grande Guerre

    guerre 14_0002.jpg

  • Centenaire de la Grande Guerre : la Meurthe-et-Moselle dévoile ses projets

    guerre 14.jpg

    [ER]

  • Centenaire de la Grande Guerre : la Meuse s'y prépare

    14-18.jpg

    [L'Est Républicain]

  • 6ème Centenaire de la naissance de Jehanne d'Arc : message de Mgr Mathieu

    Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié, a publié un message à l’occasion du 6ème Centenaire de la naissance de Sainte Jeanne d’Arc.

    Mgr_Mathieu.jpg« Bon Anniversaire, Jehanne : tu es née à Domremy il y a 600 ans, le 6 janvier, dit-on. Jehanne, brûlée vive à 19 ans après un procès cruel et injuste, tu es toujours vivante aux yeux de beaucoup. Tu as beaucoup de choses à nous dire ! Tu es des nôtres, de ce village au bord de la Meuse, dans ce qui est aujourd’hui le département des Vosges et le diocèse de Saint-Dié. Nous te connaissons bien, parce qu’au terme de l’aventure que tu as vécue, il y eut un fameux procès à Rouen dont on a gardé toutes les paroles échangées, les nombreuses réponses que tu fis à tes juges. Réponses pleines de bon sens, d’audace et de foi, réponses qui pouvaient même étonner les savants théologiens qui voulaient à tout prix te condamner. Nous savons ainsi que tu étais une fille ordinaire, née dans une famille simple, chrétienne. Tu connaissais l’essentiel de la foi, ce que ta mère t’avait appris : le Symbole des Apôtres, le Notre-Père et le Je-vous-salue-Marie. Tu étais vraiment une jeune de ton temps, comme beaucoup d’autres jeunes. Pas de SMS ou de réseaux sociaux. Tu aimais aller aux champs, mais aussi rencontrer les jeunes du village pour jouer avec eux.

    De l’écoute à l’engagement total

    Jeanne d'Arc Châtillon sur saône.jpgTa vie est étonnante pour nous, voire déstabilisante pour certains. Tu aimais prier à l’église ou dans une chapelle voisine, à Bermont. Car tu avais appris à prier, simplement. Et tu savais écouter. Aujourd’hui, il y a presque toujours du bruit autour de nous : ce n’est pas facile de se mettre à l’écoute pour prier. Quand on essaie, c’est « comme si on se vidait », dirait-on parfois. Et c’est étonnant ce qu’on découvre alors !  Un jour, tu as compris que tu aurais une mission particulière à accomplir. À travers la « voix » de l’archange St Michel, tu t’es sentie appelée à intensifier ta vie chrétienne et à t’engager pour la libération de ton peuple. Au début, cette parole du Seigneur t’a plutôt fait peur. Mais peu à peu, tu avais appris à écouter Dieu et ainsi cela te mettait dans la paix, et tu voyais mieux ce que tu avais à faire. Tu écoutais une « voix » de Dieu qui t’aidait à te gouverner, comme tu le disais.  Appelée par Dieu dès l’âge de 13 ans, tu as donc mûri ta vocation pendant 4 ans, secrètement, sans pouvoir en parler à tes parents ou à tes amis : tu menais donc la vie de tout le monde. Et puis un beau jour, le moment est venu de partir. Tu t’es décidée à vivre l’engagement qui t’était demandé : partir pour redonner courage au Dauphin appelé à devenir roi de France. Car ce dernier avait peur des Anglais qui occupaient la France et tenaient sous leur influence nombre de princes et de gens d’Église. Toi qui ne connaissais pas grand chose à la politique, tu avais compris l’injustice de cette occupation étrangère dont les pauvres gens étaient les premières victimes, dans l’insécurité d’un conflit qui n’en finissait pas. Tu exprimais une liberté étonnante, y compris envers tes parents : tu aurais voulu leur éviter la peine de te voir partir, mais tu devais suivre ta voie « même si tu avais eu 100 pères et 100 mères ». Tu devais redonner fierté à des gens battus d’avance, soumis, et qui ne croyaient plus à leur dignité.

    L’amour, envers et contre tout

    Domremy_pélé ND Bermont_25.09.11 001.jpgTu manifestais une autorité vraiment étonnante aux yeux de tous. Il est vrai que tu étais prête à tout donner s’il le fallait. Bien sûr : tout cela a beaucoup étonné : tu as été exposée aux rumeurs, aux calomnies, aux moqueries. On cherchait déjà à te récupérer ou à te discréditer. À 17 ans, tu te lançais sur des chemins improbables, et tu donnais de quoi espérer à des gens qui n’y croyaient plus. Tu te montrais forte, à 17 ans, capable de convaincre des hommes incertains et découragés. À 17 ans, tu prenais le commandement parmi les militaires chevronnés, et tu vivais ton engagement dans la droiture parmi des soldats qui ne respectaient pas toujours les jeunes filles ! Tu les évangélisais par ta bonté, ton courage et ton extraordinaire pureté. À vrai dire, tu continuais d’écouter ce que Dieu pouvait de dire. Car tu continuais de prier régulièrement, de communier et de te confesser aussi : et tout cela t’apportait une force étonnante même au milieu des doutes et des difficultés, quand tu auras été prise par tes ennemis. Ainsi tu conduisis les troupes jusqu’à délivrer Orléans assiégée (8 mai 1429) et au sacre du Dauphin à Reims (17 juillet 1429). Puis les choses ont plutôt mal tourné, même le nouveau roi semblait avoir autre chose à faire et voulait encore transiger avec l’ennemi : tu as été un peu une monnaie d’échange ! Capturée (23 mai 1430), tu es emmenée de ville en ville, emprisonnée, « jugée » si l’on peut dire par des gens qui cherchaient des prétextes pour te faire mourir. Mais tu savais aussi que quoi qu’il advienne, Dieu ne t’oublierait pas. Tu t’en remettais à Lui, car « tu L’aimais de tout ton cœur », disais-tu. Tu continuais de lui faire confiance. Malgré l’acharnement de ceux qui voulaient ta condamnation, tu as pu communier avant le sacrifice et, sur le bûcher, tenir entre tes mains la croix du Christ Jésus, dont le nom fut ton dernier cri (30 mai 1431). Jésus allait t’accueillir en sa paix. Tu nous laisses ainsi le témoignage d’un amour total pour Jésus et pour ton prochain en Jésus. Tu contribuais à une œuvre de justice humaine en libérant ton peuple et tu accomplissais cette œuvre dans la charité, par amour de Jésus.

    Et maintenant ?

    vosges,domremy,jeanne d'arc,centenaire,jean paul mathieu,évêque,saint dié,église catholiqueEnsuite, tu as eu une longue histoire posthume. Le roi voulut se racheter et te faire réhabiliter… Ce fut le second procès d’Église, où le 7 juillet 1456, plus de 120 témoins ont permis que soit déclarée nulle ta condamnation de 1431. Les gens d’Orléans te sont restés fidèles et tous les ans célèbrent l’anniversaire de leur délivrance. À travers l’histoire, certains ont répandu l’idée que tu n’aurais pas été brûlée sur le bûcher de Rouen et ont raconté et publié maintes fables. Des historiens athées ont aidé à te redécouvrir. Tu es devenue l’héroïne d’un nouveau patriotisme. Enfin, l’Église a souhaité faire de toi une « sainte », non pas d’abord en vertu de ton attitude héroïque, mais à cause de ta fidélité au Christ et même à l’Église, cette Église dont quelques prélats allaient te condamner : on imagine ton déchirement quand tu disais aux hommes d’Église qui te jugeaient : « Le Christ et l’Église, c’est tout un » ! Merci, Jehanne, pour ton témoignage. Jehanne, tu es toujours vivante pour nous. Inspire aux jeunes d’aujourd’hui la foi en eux-mêmes, la conscience qu’ils vivent sous le regard de Dieu. Aide-les à prêter l’oreille à ce que Dieu peut leur dire, qu’ils sont uniques à ses yeux. Aide chacun d’eux à percevoir la mission qui est la sienne, l’engagement qu’il est appelé à entreprendre, avec la certitude qu’ils ne seront pas seuls pour l’accomplir. Fais-leur comprendre que l’Église elle-même, si elle a ses faiblesses, ses infidélités, est finalement à leurs côtés, et qu’ils peuvent et doivent y faire entendre leur voix, avec l’assurance que l’Esprit est présent auprès de chacun de ses fidèles. »

     

    + Jean-Paul Mathieu,

    Evêque de Saint-Dié

     

     

    ‡ Plus d’infos sur les manifestations organisées par le diocèse de Saint-Dié autour du 6ème Centenaire de la naissance de Jehanne d'Arc sur www.catholique-vosges.fr/-jeanne-d-arc-2012

  • 100ème anniversaire du mariage de Zita et Charles Ier de Habsbourg-Lorraine

    charles Ier et Zita de habsbourg lorraine.jpgEn 2011, nous fêtons le centième anniversaire du mariage de l’Impératrice Zita avec le Bienheureux Empereur Charles d’Autriche (21 octobre 1911 – 21 octobre 2011), l’Association pour la Béatification de l’Impératrice Zita, présidée par Jean Sévilliaconvie les personnes intéressées à une rencontre afin de mieux connaître la vie de Zita, dont le procès de béatification s’est ouvert en 2009 dans le diocèse du Mans. Le témoignage de l’Impératrice Zita possède une signification pour nos jours : c’est ce que l'association souhaite faire ressortir lors de cette journée rencontre du 5 mars 2011.

    Cette rencontre aura lieu en l'église Sainte-Elisabeth de Hongrie, à Paris. La sainte patronne de cette paroisse, Sainte Elisabeth de Hongrie (1207-1231), était une ancêtre de l’Impératrice Zita. Un temps sera consacré à une réflexion sur la famille d’aujourd’hui, au regard de la vie de l’Impératrice Zita et de son exemple.

    Le programme de cette journée 'RENCONTRE à SAINTE-ELISABETH DE HONGRIE' 195 rue du Temple 75003 PARIS

     Samedi 5 mars 2011

     16 h 00   Accueil à la Paroisse Sainte-Elisabeth de Hongrie

     16 h 15   Monsieur Jean Sévillia : L'Impératrice Zita, un destin chrétien

     16 h 45   Madame Elizabeth Montfort, Secrétaire générale de l’Association pour la Béatification de l’Impératrice Zita : L'Impératrice Zita et son attachement à la famille : quel témoignage pour la société du XXIe siècle ?

    17 h 15   Monsieur l'abbé Cyrille Debris, Postulateur de la cause de béatification de l’Impératrice Zita : L'exercice de la charité dans la vie de l'Impératrice Zita

    17 h 45   Dédicace de livres sur l’Impératrice Zita et l’Empereur Charles d’Autriche

    18 h 30   Sainte Messe                

    19 h 45   Collation amicale

    20 h 30   Concert de chants sacrés au profit des œuvres de l'Ordre de Malte par le Duo Canticel, Catherine Dagois et Edgar Teufel (orgue et contralto)

     

    >> Renseignements et contract : www.beatification-imperatrice-zita.org 

  • Pour le centenaire de l'Hôtel des Postes de Metz

    En mai prochain, l'Hôtel des Postes de Metz fêtera ses 100 ans.

    hotel postes metz.jpgA cette occasion, un livre, retraçant le siècle de ce formidable ouvrage du patrimoine messin, sera édité.

    Un appel est aujourd'hui lancé à toute personne susceptible d'apporter un témoignage ou de posséder photographies, cartes postales, vidéos ou tout document d'archives permettant de valoriser ce bâtiment historique  bâti à l'époque de l'annexion.

     

    >> Ces informations et documents peuvent être envoyés à : LA POSTE - ANCI LORRAINE, Amandine Brion, 1 place Général de Gaulle, BP 69020, 57037 METZ CEDEX ou contact au 03.87.56.72.29.

  • Bleurville : le bureau de poste célébre son centenaire

    La toute jeune agence postale communale accueille jusque fin janvier 2010 une rétrospective sur l’histoire du bureau de poste qui a été officiellement ouvert le 9 décembre 1909.

     

    agence postale bleurville janv. 09 001.jpgPréparée depuis plusieurs mois par des amateurs d’histoire locale, l’exposition sur le centenaire de La Poste de Bleurville a été inaugurée en présence du maire André Granget et de la gérante de l’APC, Caroline Simon.

     

    Installé dans la salle du public, un panneau explicatif rappelle les grandes dates de l’histoire du bureau de poste : 1909 avec le premier bureau installé rue des Ecoles à proximité de l’ancienne église Saint-Maur, 1942 avec le déménagement des locaux dans la rue du Moulin et, enfin, 1948 avec l’installation dans l’immeuble rue de Monthureux (anciennement rue du Bon-Vin !), toujours affecté au service postal.

     

    Comme l’a rappelé Alain Beaugrand, l'initiateur de cette rétrospective, « Ce centenaire est l’occasion de rappeler le passage des différents receveurs des PTT, dont plusieurs ont marqué la vie du village : Jean Joliot, à la fin des années 30, qui est décédé lors des combats de 1940 et dont le nom est gravé sur le monument aux morts du village, Pierre Ruer pendant les années d’occupation, Albert Poirot dans les années 50, Michel Girot, René Rouchès, Jean-Pierre Rajkovick, Marcel Marin et Gérard Laheurte qui fut le dernier chef d’établissement en titre ».

     

    Facteur départ tournée Bleurville 1996.jpg« Le bureau de poste est intimement lié à la vie quotidienne des habitants » comme l’a souligné André Granget. Et de noter aussi la nécessaire adaptation de ce service public le plus aimé des Français. L’histoire de notre bureau de poste est un exemple encore bien vivant de cette adaptation aux évolutions des besoins des particuliers et des entreprises. Si en 1909, le maire de l’époque, Donat Desboeuf, demandait la création d’un bureau de poste à Bleurville, c’était en raison du nombre d’habitants – près de 600 – à desservir postalement, parce qu’à l’époque la lettre était reine !. « En 2009, la présence de l’agence postale, souligne encore le maire André Granget, est rendue indispensable par le lien social qu’elle assure et les services de proximité quelle rend aux particuliers comme aux entreprises locales ».

     

    Inauguration 100 ans la Poste Bleurville1 05.12.09.jpgLes clients de l’agence postale pourront constater, en parcourant le panneau explicatif, qu’à toutes les époques les différentes municipalités ont multiplié les efforts afin d’améliorer le service postal local. Et comme l’a rappelé le maire en guise de conclusion à cette sympathique inauguration, « si l’on veut que la présence postale se pérennise au village, il faut user sans réserve des services proposés par notre agence postale communale ! ».

     

    Enfin, Alain Beaugrand tient à remercier les personnes sans qui cette rétrospective n’aurait pu voir le jour : Solange Richard, Michèle Bisval et Roger Persin. Les renseignements et des documents fournis ont été particulièrement précieux pour reconstituer les évolutions de La Poste locale. Et il reste encore beaucoup à découvrir aux archives départementales sur la vie du bureau. Cela fera peut-être l’objet d’une future exposition…

     

     

    >> L’exposition « La Poste de Bleurville a 100 ans » est visible aux heures d’ouverture de l’APC jusqu’au 31 janvier 2010.

  • Autour du Centenaire de Gaston Litaize, organiste aux doigts de lumière

    gaston litaize.jpg
    bio litaize.jpg
    programme litaize.jpg

  • Le Théâtre de la Passion de Nancy

    Sorti au début de l'été 2008 au moment du spectacle du Théâtre de la Passion donné au Parc des Expositions de Nancy, l'ouvrage retrace l'histoire d'un alerte centenaire. L'aventure du Théâtre de la Passion nancéien a débuté en 1904 grâce à l'action de l'abbé Petit, curé de la paroisse Saint-Joseph, à Nancy.

     

    théâtre de la passion.jpg

     

    L'histoire de la Passion n'est pas liée au temps. Elle a traversé les siècles transmettant le message chrétien à tous les hommes de bonne volonté. Elle fait partie du patrimoine religieux de l'humanité, connu et respecté même par ceux qui n'adhèrent pas à la foi qu'elle engendre.

     

    Cette aventure étonnante et qui dure jusqu'à nos jours, Marguerite et Roland Erbstein, en journalistes, et Hélène Sicard-Lenattier, en historienne, ont voulu la vivre de l'intérieur. Ils rendent hommage à l'abbé Petit, créateur du Théâtre de la Passion de Nancy et à tous les bénévoles venant d'horizons divers qui, depuis plus de cent ans, réussissent l'impossible. Ce livre raconte leur histoire.

     

    >> Théâtre de la Passion de Nancy. 100 ans d'enthousiasme et de foi, Marguerite et Roland Erbstein et Hélène Sicard-Lenattier, éditions du Théâtre de la Passion, 2008, 147 p., ill. (23,50 €).