-
-
Toul (54) : une statue pour le général Bigeard en 2019
Le conseil municipal de Toul a autorisé l'érection d'une statue en hommage au général Marcel Bigeard.
Celle-ci sera réalisée à l'initiative de la Fondation Général Bigeard avec l'accord de la fille unique du célèbre général lorrain. Cette statue devra représenter le militaire en tenue de para, marchant droit et d'un pas décidé, fidèle aux valeurs qu'il défendait d'honneur et d'amour pour la patrie.
La statue en bronze mesurera 2,50 m de haut et sera réalisé par un sculpteur qui sera prochainement désigné par la Fondation Bigeard. Elle sera installée et inaugurée courant 2019 pour le 9ème anniversaire de la disparition du militaire le plus décoré de France.
-
Bleurville (88) : le préfet à la ferme du Bignovre
-
Bulgnéville (88) : les vestiges de la villa gallo-romaine protégés
-
Bleurville (88) : Joëlle Pulcini, "Ma peinture est le reflet de mes émotions"
-
Châtillon-sur-Saône (88) : les gravures de Chantal Roumy au Grenier à sel
Lors du vernissage de l'exposition des gravures de Chantal Roumy [cl. ©H&PB]
Le Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône accueille jusqu'au 5 août les gravures de Chantal Roumy, une passionnée qui a mis ses talents au service d'un art particulièrement difficile : la gravure. Nous l'avons rencontré lors du vernissage de son exposition « Sortie d'atelier », en présence de Jean-François Michel, président de Saône lorraine, et de quelques amis et membres de l'association.
Pourquoi la technique de la gravure ?
Ma profession d'enseignante d'arts plastiques m'a …conduit à m'intéresser tout particulièrement à la gravure que je pratique depuis 15 ans au sein de l’atelier « Art Gravure » d’Elancourt, dans les Yvelines. J’ai participé à des expositions collectives de façon régulière en région parisienne et à Paris même, mais aussi dans la Drôme, et cet été à Châtillon où j'apprécie grandement le Grenier à sel dans lequel je me sens comme chez moi !La gravure, un art difficile ?
La gravure est un champ expérimental d’une richesse inépuisable, je suis loin d’en avoir exploré toutes les techniques. Je suis un peu « touche-à-tout », allant du support cuivre au plexi, de la pointe sèche au burin, de l’eau forte à l’aquatinte… sans oublier la collagraphie que j’affectionne. Cette technique de gravure contemporaine utilise des matériaux récupérés et offre une grande liberté d’exécution. Elle permet d’obtenir, à l’impression sur le papier, des transparences, des effets de texture, de lumière surprenants et permet une grande expressivité. J’apprécie la part de jeu, de mystère que m’offre cette technique. Écrire une gravure demande beaucoup de temps : il faut un à deux mois pour achever une gravure et obtenir le « bon à tirer » ! C'est beaucoup de temps, des déceptions parfois mais aussi de grandes satisfactions face au résultat obtenu.La gravure, un moyen d'expression ?
J’aime exprimer surtout le mouvement et les matières. Je trouve mes sources d’inspiration dans le quotidien, le hasard, les lieux, les rencontres, la nature… C’est à dire tout ce qui m’entoure ou croise mon chemin. Je suis aussi une amoureuse de la ligne et de la matière qui viennent nourrir mes travaux de gravure. Je suis en recherche permanente de nouveaux thèmes.‡ Les gravures de Chantal Roumy accueillent le visiteur au Grenier à sel jusqu'au 5 août tous les après-midi. Jean-Luc Volatier prendra le relais avec une rétrospective sur les maisons à tourelles du XVe au XVIIe siècle à Châtillon et dans les villages des environs, de Jussey à Bleurville en passant par Saint-Julien.
-
Mattaincourt (88) : 165e anniversaire de la consécration de la basilique Saint-Pierre Fourier
-
La forêt des Vosges : construction d'une filière industrielle au XIXe siècle
A partir des années 1850-1860, le département des Vosges, l’un des plus boisés de France, connaît d’importantes mutations pour ses activités de transformation du bois. Progressivement, un réseau dense d’entreprises se constitue pour former une véritable filière industrielle : scieries, menuiseries, charpentiers, luthiers et papeteries. En tout, 800 entreprises mettent en valeur les ressources en sapin, épicéa de la montagne, hêtre ou encore chêne dans la plaine vosgienne.
Dans quel contexte la filière bois s’est-elle développée ? Quels entraves, quelles mutations a-t-elle connu ?
Mobilisant 10 000 Vosgiens, cette filière marque de son empreinte le département, et constitue un bel exemple du rôle moteur de la petite industrie dans l’essor économique de certains territoires. A la veille de la Grande Guerre, les forêts vosgiennes sont entrées dans l'ère industrielle.
‡ La forêt des Vosges. Construction d'une filière industrielle XIXe siècle, Eric Tisserand, PUFR-PUR, 2018, 486 p., ill., cartes, 24 €.
-
Autigny-la-Tour (88) : lorsque le futur roi George VI d'Angleterre fréquentait le château en 1918
-
Eglise des Cordeliers de Nancy : "Nancy, capitale des ducs de Lorraine"
-
Vosges 1918 : la fin d'une guerre
-
Intinéraires de Chrétienté avec Jean Madiran
Jean Madiran (1920-2013) fut, au cours de la deuxième moitié du XXe siècle, l’une des plus importantes figures de la résistance française et catholique à la subversion et à l’apostasie générale.
Fondateur de la revue "Itinéraires", puis animateur du quotidien "Présent", sa plume acérée défendit inlassablement la France et la Chrétienté, abandonnées par la plupart des élites, tant laïques qu’ecclésiastiques, pourfendant l’impiété moderne.
L’ouvrage de Rémi Fontaine, qui travailla longtemps avec Jean Madiran, permet de découvrir la cohérence et la logique de la pensée du grand auteur contre-révolutionnaire – tout en offrant des pistes d’interprétation originales et encore méconnues, notamment sur l’influence du scoutisme ou de la vie bénédictine sur la pensée de Madiran.
‡ Itinéraires de Chrétienté avec Jean Madiran, Rémi Fontaine, Presses de la Délivrance, 2018, 154 p., 18 €.
-
Bleurville (88) : expo' de Joëlle Pulcini à l'abbaye Saint-Maur, "ma peinture traduit mes émotions"
Joëlle Pulcini expose ses œuvres picturales tout cet été à l'abbatiale bénédictine de Bleurville. Entretien avec cette Bourguignonne passionnée et aux talents reconnus.
> Pourquoi la peinture ?
Mes parents, tout simplement. Une mère ancienne élève des Beaux-Arts, au chevalet comme d’autres sont aux fourneaux, un père italien qui chantait « Bambino » en s’accompagnant à la guitare ; voilà la genèse de ma passion ! Et puis est venu le temps des apprentissages puis de l'enseignement durant ma vie professionnelle et, désormais, la retraite s'écoule au service du dessin et de la peinture dans un cadre associatif à Selongey. Et un intérêt tout particulier pour la peinture au couteau qui donne du relief au sujet, et l'aquarelle pour son côté tendre et vaporeux. Contradictoire me direz-vous ? Tout dépend du thème traité...
> Une peinture inspirée ?
Tous mes tableaux traduisent en effet ou des souvenirs – c'est le cas pour ceux de Venise – ou des sensations ou des émotions : la peinture est le vecteur de mes sentiments. Toutes mes peintures restituent une histoire : un jardin, un lieu, mes enfants, mes chats. J'aime aussi reproduire des tableaux anciens, comme ceux du musée de Langres notamment. Cela me vaut de participer à de nombreuses expositions en France et à l’étranger – au Québec, en Allemagne, au Japon – et aussi de recevoir des prix ! Mais ce n'est pas cela le plus important : ce qui compte c'est que le visiteur ou l'amateur ressente les émotions qui passent dans chaque toile.
> Pourquoi exposer à Saint-Maur de Bleurville ?
Ce lieu est riche d'une histoire millénaire et il m'a tout de suite inspiré lors de ma première visite ce printemps. Ce fut un véritable coup de coeur et j'aimerais pouvoir y peindre : l'édifice, niché au cœur du village, offre maintes situations qui pourraient être reproduites sur la toile. Cette ancienne église romane avec sa merveilleuse crypte mérite sûrement d'être mieux connue. C'est aussi pour cela que j'ai répondu favorablement à l'invitation des animateurs qui se démènent pour faire vivre ce sanctuaire médiéval !
● Exposition de Joëlle Pulcini jusqu'au 26 août à l'abbaye Saint-Maur de Bleurville (Vosges, entre Darney et Monthureux-sur-Saône). Ouverte du jeudi au dimanche, de 14h à 18h.
-
Mattaincourt (88) : fête des prêtres jubilaires du diocèse de Saint-Dié
-
Quelques idées de lectures pour cet été avec un auteur vosgien...
Commande et règlement à envoyer à :
M. ROGER POINSOT
14 RUE DE LA JOIE
88320 MAREY
-
Nancy : un taureau dans la ville
Un taureau géant de 3 m de long pesant près de 900 kg et aux lignes épurées a pris place sur le parvis du Centre des Congrès Jean-Prouvé à Nancy, à deux pas de la gare.
En écho aux armoiries de Stanislas Leszczynski (qui portaient une tête de buffle), cet animal cornu rayonne fièrement sur la ville.
Cette sculpture en bronze, due au nancéien Gé Pellini, a été fondue par la fonderie vosgienne de Rambervillers.
-
Inventaire des oeuvres du peintre Alfred Renaudin : vers un catalogue raisonné
-
La forêt des Vosges : construction d'une filière industrielle au XIXe siècle
A partir des années 1850-1860, le département des Vosges, l’un des plus boisés de France, connaît d’importantes mutations pour ses activités de transformation du bois. Progressivement, un réseau dense d’entreprises se constitue pour former une véritable filière industrielle : scieries, menuiseries, charpentiers, luthiers et papeteries. En tout, 800 entreprises mettent en valeur les ressources en sapin, épicéa de la montagne, hêtre ou encore chêne dans la plaine vosgienne.
Dans quel contexte la filière bois s’est-elle développée ? Quels entraves, quelles mutations a-t-elle connu ? Mobilisant 10 000 Vosgiens, cette filière marque de son empreinte le département, et constitue un bel exemple du rôle moteur de la petite industrie dans l’essor économique de certains territoires.
Une étude qui couvre tout le grand XIXe siècle, de la Révolution à 1914.
‡ La forêt des Vosges. Construction d'une filière industrielle - XIXe siècle, Eric Tisserand, Presses universitaires François Rabelais - Presses universitaires de Rennes, 2018, 489 p., ill., cartes, 24 €.
-
Le Pays lorrain, juin 2018 : Les forges d'Abainville sous le pinceau de François Bonhommé (1839)
Le Pays lorrain, numéro de juin 2018, est paru.
Au sommaire :
- Les Gaulois sacrifiés de Marsal (Moselle) : nouveaux regards sur l'esclavage dans la société celtique
- L'hôtel de Gellenoncourt à Nancy : quand les archives notariales racontent une autre histoire
- Une représentation théâtrale à Rosières-aux-Salines en 1599
- Les forges d'Abainville (Meuse) sous le pinceau de François Bonhommé (1839) : redécouverte d'un chef-d'oeuvre disparu
- La construction de la politique de conservation des Monuments historiques en Lorraine
- Jean Lanher : à l'écoute du message d'une vie consacrée à la Lorraine
- Journée doctorale de la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain : plusieurs communications autour de la justice à Nancy sous les ducs, les corporations de métiers à Mirecourt, la Grande Guerre en Meuse, la Lorraine gaumaise et l'urbanisme du Grand Nancy‡ Le Pays lorrain est disponible à l'accueil du Musée lorrain ou sur abonnement (43 €, 4 numéros). Règlement par chèque à adresser à : Le Pays lorrain, Palais des ducs de Lorraine - Musée lorrain, 64 Grande-Rue, 54000 Nancy.
-
Les véhicules militaires du Débarquement de juin 1944 au défilé du 14-Juillet à Nancy
Les collectionneurs de véhicules militaires anciens étaient également du défilé militaire qui s'est déroulé le 14 juillet sur la place de la Carrière à Nancy.
Les Lorrains ont pu revoir avec nostalgie les magnifiques véhicules - essentiellement américains - qui ont contribué à la libération de la France.
-
Bleurville (88) : Joëlle Pulcini à l'abbaye Saint-Maur
-
14-Juillet avec les militaires lorrains à Nancy
Fête nationale sous le soleil sur la place Carrière à Nancy avec de nombreux Lorrains qui soutiennent leurs militaires.
-
Bleurville (88) : "le préfet aux champs" pour présenter l'opération interministérielle Vacances à la ferme du Bignovre
Jeudi 12 juillet, le Préfet des Vosges Pierre Ory s’est rendu à la ferme du Bignovre à Bleurville afin de présenter l’Opération Interministérielle Vacances en présence des élus, de la gérante du centre équestre du Bignovre et des différents services de l’État concernés.
L’Opération Interministérielle Vacances est mise en œuvre du 1er juin au 15 septembre 2018 partout en France et sur le réseau autoroutier où se développe une activité touristique. Elle concourt à prévenir les pratiques déloyales, abus et infractions à l’égard des estivants.
Il est primordial de permettre au consommateur de faire jouer pleinement la concurrence fondée sur une information transparente et loyale et de bénéficier d’une offre présentant toutes les garanties de qualité et de conformité.
Renforcer la confiance dans la consommation durant les vacances à travers notamment l’Opération Interministérielle Vacances contribue à valoriser cette ressource économique que constitue le tourisme en France.
L’Opération Interministérielle Vacances a pour vocation de répondre à ces enjeux par un dispositif coordonné par les préfets de département et mobilisant les compétences de chaque administration :
- Gendarmerie et police nationales.
- Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations.
- Délégation départementale de l’agence Régionale de Santé (ARS).
- Direction Régionale des Douanes et Droits Indirects ; afin d’assurer la bonne information du consommateur, la loyauté des transactions ainsi que la sécurité la plus rigoureuse des produits alimentaires ou non alimentaires et celle des prestations de services.
Les 3 thématiques prioritaires de prévention et de contrôles privilégiées en 2017 sont reconduites en 2018 :
- l’hébergement de plein air
- les activités et produits liés au bien-être, à la détente et aux loisirs
- les services de restauration dans les zones à forte densité touristiques
-
14-Juillet : vive le Roi quand même !
-
Les Hautes-Mynes du Thillot (88) : contes et légendes de la mine nuitantré...
-
Bleurville (88) : c'était la fête patronale de Saint Pierre-aux-Liens
C'était la fête patronale de Saint Pierre-aux-Liens à Bleurville dimanche 8 juillet : messe suivie du verre de l'amitié offert par le maire de la commune, mais aussi grande brocante et animations foraines...
-
Médonville (88) : la croix du pont restaurée et bénie
-
Châtillon-sur-Saône (88) : "Les Beaux villages lorrains" en visite au village
-
Fontenoy-le-Château (88) : les travaux de restauration du donjon médiéval se poursuivent
-
Bleurville (88) : l'huilerie s'est dévoilée aux visiteurs