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  • Fête de l'Assomption de la Très Sainte Vierge Marie

    Signum magnum appáruit in cælo : múlier amicta sole, et luna sub pédibus eius, et in cápite eius coróna stellárum duódecim.

    [introït de la messe de l'Assomption]

    Il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête.

  • Les visages des sculpteurs Charles et Martin Pierson

  • Bruyères (88) : une Vierge installée dans l’oratoire restauré

    L'oratoire de la Ferme des Anges restauré [cl. Ass. nationale des oratoires de France et d'Europe].

     

    Grâce à la persévérance de bénévoles et d’adhérents de l’association nationale pour la sauvegarde des oratoires de France et d’Europe, les travaux de restauration de l’oratoire de bord de route dit de « la Ferme des Anges », à proximité de Bruyères, sont achevés ; la niche en grès rose des Vosges a été peinte en bleu et une très belle grille en fer forgé ouvragé a été posée.

    L’association nationale a offert la statue de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse, qui donne sens à ce bel édifice et qui occupe la niche laissée vide depuis la dégradation de la précédente statue.

    Statue et oratoire rénové seront prochainement solennellement bénis.

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  • Vol de statues dans le cimetière de Louvemont (52)

    On nous signale un vol commis dans le cimetière de Louvemont (Haute-Marne, canton de Saint-Dizier).

    Deux statues en fonte qui ornaient une tombe ont été dérobées. Il s’agit d’une Vierge et de saint Nicolas (en fait un saint évêque auquel ont été ajoutés les enfants dans le saloir à ses pieds).

    Les statues proviennent de la fonderie de l’Union internationale artistique de Vaucouleurs (Meuse). La sculpture de la Vierge Marie présente un cachet certain, saint Nicolas est plus classique.

    Plainte a été déposée à la gendarmerie. Des vols similaires ont eu lieu à plusieurs endroits en Haute-Marne.

    Exercez votre vigilance notamment chez les brocanteurs, sur les vide-greniers ou sur les sites de vente Internet où ces statues peuvent être mises en vente.

    >> Contact : philippe.raulet3@orange.fr

  • Vol de statues dans le cimetière de Louvemont (52)

    On nous signale un vol commis dans le cimetière de Louvemont (Haute-Marne, canton de Saint-Dizier).

    Deux statues en fonte qui ornaient une tombe ont été dérobées. Il s’agit d’une Vierge et de saint Nicolas (en fait un saint évêque auquel ont été ajoutés les enfants dans le saloir à ses pieds).

    Les statues proviennent de la fonderie de l’Union internationale artistique de Vaucouleurs (Meuse). La sculpture de la Vierge Marie présente un cachet certain, saint Nicolas est plus classique.

    Plainte a été déposée à la gendarmerie. Des vols similaires ont eu lieu à plusieurs endroits en Haute-Marne.

    Exercez votre vigilance notamment chez les brocanteurs, sur les vide-greniers ou sur les sites de vente Internet où ces statues peuvent être mises en vente.

    >> Contact : philippe.raulet3@orange.fr

  • Les Thons (88) : bénédiction de l'oratoire du Chêne de la Vierge

    Lors d'une récente messe célébrée en l’église Saint-Pierre-aux-Liens du Grand Thon, l’abbé Clément Ayéméné a béni deux vitraux fabriqués par un artiste hollandais qui réside au village. Le maire Robert Mougin a remercié l'artiste pour cette initiative. Ensuite, le premier magistrat a invité les fidèles à se rendre au Chêne de la Vierge à l’entrée de la forêt communale.

    En bordure du chemin, ce chêne vieux de cinq siècles résiste aux aléas du temps ; il a certes perdu son feuillage depuis plusieurs décennies, mais il dresse encore son tronc enlacé par des lierres qui lui donne un peu de verdure. Encore majestueux et impressionnant, il semble protéger une statuette de la Vierge, posée dans une niche accrochée sur son tronc. Aujourd’hui, l’endroit est toujours un lieu de halte et de méditation. Comme le site est dédié à la Vierge, l’idée est venue à quelques amis d’y construire un petit oratoire. Mart, le sculpteur néerlandais, s’est mis au travail et a réalisé une Vierge à l’Enfant insérée dans un petit oratoire réalisé par des bénévoles et le chantier Acti’Sov.

    L’abbé Ayéméné a béni l’oratoire puis le verre de l’amitié offert par la municipalité a clôturé la manifestation.

    [texte et cliché Patrick Hannelle]

     

  • 2 février : fête de la Purification de la Vierge ou présentation de Jésus au Temple

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    Panneau de bois polychrome (2 m de haut) représentant la Présentation de Jésus au Temple.

    Datant du XVIIIe siècle, il provient de l'ancien hôpital Saint-Maurice d'Epinal. Il est visible au Musée départemental d'art ancien et contemporain d'Epinal [cl. MDACC].

     

    Suscépimus, Deus, misericórdiam tuam in médio templi tui : secúndum nomen tuum, Deus, ita et laus tua in fines terræ : iustítia plena est déxtera tua.

    Magnus Dóminus, et laudábilis nimis : in civitáte Dei nostri, in monte sancto eius.

    [introït de la messe de la Purification de la Vierge]

    Nous avons reçu, ô Dieu, votre miséricorde au milieu de votre temple : comme votre nom, ô Dieu, ainsi votre louange s’étend jusqu’aux extrémités de la terre : votre droite est pleine de justice.

    Le Seigneur est grand et digne de toute louange, dans la cité de notre Dieu, sur sa sainte montagne.

  • Epinal (88) : souscription pour la Vierge du passage des Morts

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    [Vosges Matin]

  • Belgique : la statue lumineuse installée dans l'église de Sart

    vierge.jpg17 septembre 2014. C'est  en présence des bourgmestre et  échevins, du curé de la paroisse et de nombreux journalistes, tels ceux de RTL, de la RTBF, de Télé-Vesdre, de L'Avenir, de La Meuse ou encore du Républicain Lorrain qu'ont eu lieu l'inauguration de la restauration de la tour de l'église du XIIe siècle et surtout l'installation de la statue lumineuse de la Vierge de Banneux qui a tant défrayé la chronique ces derniers temps.

    Rappel

    Qui ne se souvient d'avoir vu à la télévision et dans les journaux les foules considérables qui se rendaient dans le petit hameau de Sart-Station, pour contempler dans le garage de Nadia et Daniel Lefloch (propriétaires de la statue) l'illumination dès na nuit tombée de cette Vierge en plâtre qui n'a cessé d'interpeller les pèlerins ou les simples curieux ? On le sait, par la suite, une expertise a été faite à l'université de Liège. Conclusion des experts : la statue, comme la peinture qui la recouvre date de plus de 50 ans. Pourquoi s'illumine t-elle ? Selon eux, parce que cette peinture contient des particules composées de sulfure de zinc. Telle est leur explication. Pour eux donc, rien de surnaturel, juste un simple phénomène chimique.

    Questions

    Je dois vous avouer que je reste sur ma faim. Pourquoi ce mystérieux produit n'a t-il commencé à fonctionner qu'après plus de 50 ans, le 17 janvier 2014 ; jour anniversaire de l'apparition de la Vierge à Pontmain ? Toute expérience scientifique devant être reproductible pour être valable, pourrait-on aujourd'hui enduire une statue de cette même peinture en faisant en sorte que celle-ci ne commence à s'illuminer qu'après l'an 2064 ? Permettez-moi d'en douter. De plus, par quel prodige cette Vierge en plâtre ne s'éclaire-t-elle que lorsqu'il y a une présence humaine et pourquoi faut-il parfois attendre dix longues minutes avant qu'elle ne s'éclaire ? De tels éléments ne correspondent pas du tout avec la manière dont se comportent les statues phosphorescentes que l'on peut acheter dans les magasins d'articles religieux. Puis-je également ajouter que des guérisons spectaculaires (notamment de cancers) se sont produites parmi les pèlerins ?...

    L'avenir

    Depuis qu'elle se trouve dans la tour de l'église, de très nombreux pèlerins viennent se recueillir. Même des cars sont déjà venus et d'autres sont programmés. Quant à la timide protection en verre qui existe pour l'instant, elle sera dans les tout prochains jours remplacée par une autre fabriquée au Val Saint Lambert qui sécurisera comme il se doit cette statue qui, je le crois, n'a pas fini de faire couler de l'encre. Ajoutons que l'installation de cette statue dans la tour de l'église ne s'est pas faite sans l'accord de l'évêché, des autorités communales et du conseil de fabrique et que, s'il s'était agi d'une supercherie, jamais celle-ci n'aurait trouvé place dans un lieu de culte.

    Libre à chacun bien sûr de croire qu'il s'agit d'un miracle ou d'un phénomène naturel. Reste que beaucoup trouve en ce lieu, auprès de la Vierge Marie, un réconfort qu'ils attendaient.

    Jean-Pierre Snyers

  • Don d'une tête de Vierge couronnée au musée de Remiremont

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    [Vosges Matin]

  • Patrimoine religieux vosgien

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    [Vosges Matin]

  • A propos de la statue "miraculeuse" de Jalhay

    belgique,vierge,jalhay,jean pierre snyersOn le sait, l'Université de Liège a déterminé que l'illumination de la statue de la Vierge de Jalhay (Belgique) est le résultat d'une peinture composée de sulfure de zinc. Cela dit, des questions demeurent. En voici quelques unes :

     

    1. La statue et la peinture qui la recouvre date d'il y a plus de 50 ans. Pourquoi cette mystérieuse peinture n'a-t-elle commencé à fonctionner que le 17 janvier 2014 ? Toute expérience scientifique devant être reproductible, pourrait-on enduire une statue en faisant en sorte que celle-ci ne s'éclaire qu'en 2064 ?

    2. Pourquoi les statues réalisées à la même époque composées de cette même peinture ne s'illuminent-elles pas  et pourquoi de multiples objets (nains de jardin, vases, assiettes...) qui sont recouverts de ce même produit ne s'illuminent-ils pas non plus ?

    3. Par quel prodige ne s'éclaire-t-elle que lorsqu'il y a une présence humaine (l'expérience a été faite à de nombreuses reprises) ?

    4. Comment expliquer que cette statue ne commence parfois à s'éclairer qu'après 10 longues minutes (j 'en ai moi-même été témoin à plusieurs reprises et un journaliste du quotidien « Het Laaste Nieuws » aussi) et que l'illumination de celle-ci est en même temps visible par certains et pas par d'autres ? J'en ai également été témoin. Comme chacun le sait, dans le cas d'une statue phosphorescente, dès l'obscurité, le phénomène lumineux est immédiat et visible par tout le monde.

    5. Pourquoi les endroits abîmés (c'est à dire ceux où il n'y a plus de peinture) s'éclairent-ils aussi ? Ayant une statue phosphorescente, j'ai fait l'expérience. Contrairement à la statue de Jalhay, les quelques endroits où j'ai enlevé de la peinture ne s'illuminent pas.

    6. Comment expliquer les multiples guérisons (parfois spectaculaires) produites par les prières adressées auprès de cette statue ?

    En conclusion : je ne comprends toujours pas en quoi l'explication de l'ULG peut être considérée comme étant rationnellement satisfaisante et demeure très sceptique quant à la capacité des experts de nous fournir des réponses convaincantes aux six questions posées. A mon sens, il serait judicieux que l'évêché de Liège fasse sa propre enquête, notamment en interrogeant de multiples témoins de ce phénomène pour le moins très mystérieux.

    Jean-Pierre Snyers

    blog : jpsnyers.blogspot.com

    [cliché : J.-P. Snyers et la statuette de la Vierge de Jalhay]

  • Lettre ouverte à ceux qui ne croient pas au miracle de la statue de Jalhay

    A propos de la statue de la Vierge qui s'illumine à Jalhay, en Belgique, notre aimable correspondant Jean-Pierre Snyers, nous communique le texte ci-dessous :

    vierge.png"Excusez-moi de me présenter brièvement. J'ai 57 ans, marié et père de 5 enfants. J'ai étudié les sciences religieuses protestantes, puis suis devenu catholique.

    J'écris depuis 32 ans (en tout 22 ouvrages, un millier d'articles  et j'ai collaboré à deux dictionnaires publiés chez Fayard). Je n'ai jamais eu le moindre signe de l'Au-delà. Ma foi est avant tout rationnelle. Mais comme vous le savez sans doutes, j'ai eu, pour la première fois de ma vie l'occasion d'assister à un phénomène que je ne suis pas près d'oublier : celui de l'illumination d'une statue de la Vierge, toute remplie de manière uniforme d'une lumière blanche. Non, je ne suis le seul « fou » à parler ainsi. 5000 personnes (dont un groupe de jeunes délinquants (littéralement transformé après avoir vu le phénomène) peuvent en témoigner aussi. Je dois vous avouer que j'ai été peiné de lire les mensonges qui ont été répandus dans la presse belge. Leurs explications ? Panneaux photovoltaïques (alors que la maison en est dépourvue), ligne à haute tension,  sans compter l'exhibition de statues phosphorescentes  (comme on peut en acheter des tas à Banneux) dont la lumière verte n'a pas la moindre chose à voir avec ce que nous avons pu contempler à Jahay. Inutile de vous dire que ces « courageux témoins » parlaient à visage couvert et que personne ne sait ni leur nom ni leur adresse. Quant au journal « La Meuse », avant même l'expertise, on n'a pas hésité à titrer qu'il s'agit d'une supercherie. Maintenant que l'expertise est faite et que l'Université de Liège a déterminé que la statue est depuis 40 ans recouverte d'une peinture composée de  sulfure de zinc, ces journalistes vont-ils s'excuser d'avoir traité les propriétaires d'escrocs ? Non, n'est-ce pas ! En attendant, le mal est fait et, sans chercher plus loin,  tout ce que les gens auront retenu c'est qu'il ne s'agit pas d'un miracle. « L'infaillible » RTBF en tête en a décidé ainsi.

    Peinture composée de sulfure de zinc ? Et alors ? Des tas d'objets (et pas seulement des statues de la Vierge) le sont aussi. S'éclairent-ils également ? Quand on pose aux professeurs de l'Université de Liège (pour la plupart francs-maçons) la question de savoir pourquoi la statue ne s'est éclairée qu'après 40 ans, pas de réponse. Quand on leur demande pourquoi celle-ci ne devient lumineuse que lorsqu'il y a des gens présents dans la pièce (le test a été effectué à plusieurs reprises, notamment par le curé de Jalhay, qui, sorti de la maison, a vu de l'extérieur que celle-ci n'était plus éclairée), pas de réponse. Quand on leur demande pourquoi les endroits où il n'y a pas de peinture (car la statue est abîmée) sont illuminés aussi, pas de réponse non plus. De qui se moque-ton ? Tant qu'on y est, disons que le phénomène est dû au passage des oiseaux migrateurs ou au sifflement du TGV !  Quant aux nombreuses guérisons et à la transformation de milliers de gens qui, comme moi, l'ont vue, c'est encore de la fumisterie ? Qui a déjà été guéri en regardant un vase ou un nain de jardin ? Que ceux qui partent du postulat que le surnaturel n'existe pas, nous prouvent rationnellement qu'il n'existe pas. Quand à moi, il me faudrait beaucoup plus de foi pour accepter les « explications » de l'ULG que pour croire qu'à travers d'humbles signes, le Ciel peut nous rejoindre et nous réconforter."

    Jean-Pierre Snyers, Blindef 2, 4141 Louveigné

    adresse blog : jpsnyers.blogspot.com

  • Belgique : une statue de la Vierge miraculeuse ?

    vierge lumière.jpg"A quoi attribuer l'illumination, le soir venu, de la désormais célèbre statue de la Vierge à Sart-Jalhay, en Belgique ?

    Pour expliquer rationnellement ce mystère, on aura tout entendu : radioactivité, ondes, panneaux photovoltaïques... Bref, il ne manque plus que l'influence de la lune, le passage des grues et le sifflement du TGV pour satisfaire les esprits les plus opposés au surnaturel.

    Figurez-vous que je suis allé deux fois « voir sur place ». La première : en pleine journée.  J'ai pu regarder tant et plus  et prendre en mains cette statue de plâtre qui fait couler tellement d'encre. Une trentaine de centimètre, brunâtre, un peu abîmée par le temps. Rien de très spécial. La deuxième : le 16 mars, le soir.  Environ 1500 personnes. Deux heures de file d'attente. Avec une trentaine d'autres visiteurs, me voici  enfin à nouveau face à cette représentation de la Vierge (telle que je l'avais vue). Puis voici que quelqu'un éteint. Tout est plongé dans l'obscurité totale... sauf que deux secondes plus tard, la statue est, de la tête aux pieds, remplie d'une lumière blanche, extraordinaire.

    Comme tant d'autres, je vous avoue que je suis bouleversé. Une personne la retourne pour nous faire constater que le dos n'est pas éclairé, et la remet ensuite face à nous, toute illuminée. Quelqu'un rallume. Tout redevient normal. A deux reprises, nous avons assisté à ce test. Qu'en conclure ? Une chose est sûre :  à voir nos visages et nos gestes de piété après avoir vu, une telle expérience n'est pas prête d'être oubliée.

    Alors quoi ? Surnaturel ? L'avenir nous  dira peut-être  si ce phénomène qui a débuté le 17 janvier (date anniversaire de l'apparition de la Vierge à Pontmain), est d'ordre divin ou non.  Autre question : pourquoi les caméras et les appareils photos ne parviennent-ils pas à capter l'image de cette statue lorsqu'elle est illuminée ? Serait-ce parce que cette lumière n'est pas de ce monde ? En attendant, souvenons-nous de ces mots du philosophe Jean Guitton : « Le surprenant, c'est la négation préalable des esprits qui se disent scientifiques . »  

    Jean-Pierre Snyers  

  • Des apparitions mariales en Lorraine

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  • Les couronnes de Notre-Dame de Sion

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    [ER]

  • Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie

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    L'Assomption de la Vierge Marie, enluminure, manuscrit XVIe s.

     

    Omnípotens sempitérne Deus, qui Immaculátam Vírginem Maríam, Fílii tui genitrícem, córpore et ánima ad cæléstem glóriam assumpsísti : concéde, quǽsumus ; ut, ad superna semper inténti, ipsíus glóriæ mereámur esse consórtes.

    [Collecte de la messe de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie]

     

    Dieu éternel et tout-puissant, vous avez élevé, en son corps et en son âme, à la gloire du ciel, Marie, la Vierge immaculée, mère de votre Fils : faites, nous vous en prions, que, sans cesse tendus vers les choses d’en-haut, nous méritions d’avoir part à sa gloire.

     

  • Souscription pour la statue de Saint-Anne à Charmes-la-Côte (Meurthe-et-Moselle)

    Le groupe sculpté représente L'Éducation de la Vierge Marie par sainte Anne, une image de piété chrétienne qui puise son inspiration dans le Protévangile de Jacques (IIe siècle) et dont la popularité s'est étendue en Occident à l’époque gothique (XIIIe-XVe siècles).

     

    lorraine,charmes la cote,statue,sainte anne,vierge,éducation de la vierge,fondation de la patrimoineSculpté vraisemblablement dans un bloc calcaire local et aux dimensions honorables (haut de 90 centimètres), il présente encore des traces de polychromie, sur les carnations et dans les plis des habits. Anne porte un voile et une guimpe, éléments vestimentaires des moniales. De sa stature se dégage une grande majesté qui exprime à la fois distance et mansuétude. Dans une attitude protectrice, la sainte tend un livre ouvert à Marie, l'invitant à le prendre et à en apprendre l'enseignement qu'il renferme. L'enfant nous donne la sensation d'une élève sage et appliquée.

     

    En considérant le faible état de nos connaissances sur la sculpture qui agrémente encore les maisons paysannes à Charmes-la-Côte, et dans le Toulois de manière plus générale, il n'est pas simple de situer dans l'espace et le temps la genèse de cette statue. Néanmoins, sa facture par « l'imagier » manifeste clairement certaines caractéristiques de l'art statuaire et populaire en Lorraine à l'époque moderne (XVIe-XVIIIe siècles). Observons premièrement le traitement des visages, de forme ronde, les fronts amples, les yeux en amande, les longs cheveux ondulés et blonds de Marie, et, pour terminer, le déhanchement des deux personnages, une jambe en tension et l'autre en détente au contraire, qui provoque l'obliquité dans les plis des tuniques. Ces particularités iconographiques sont à rapprocher aux superbes Vierges en pierre et en verre dans les églises, ou enluminées dans les livres de piété, dont notre région a été témoin de l'éclosion à la fin de l'époque médiévale (XVe siècle).

     

    Il est probable que la statue était à l'origine placée dans l'église du village, placée sous le patronage de la Nativité-de-la-Vierge-Marie, exposée à la dévotion de tous les paroissiens, avant de devenir à la Révolution la propriété d'un particulier qui l'installa alors dans une niche inappropriée de son habitation.

     

    Il y a quelques années, le propriétaire de la maison a vendu la statue. Celle-ci a été retrouvée récemment chez un brocanteur ; des habitants de Charmes-la-Côte décident alors de racheter la statue, de la faire restaurer et de lui redonner sa place à l'église du village. Ce projet est soutenu par le Conseil Général de Meurthe-et-Moselle, l'Etat et la Fondation du Patrimoine. Les particuliers peuvent soutenir ce projet en effectuant un don auprès de la Fondation du Patrimoine – Lorraine, 62 rue de Metz, 54000 Nancy.

     

    [cliché : http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com]

     

     

    ‡ Bon de souscription : bon de souscription charmes la Côte.pdf

     

     

    ‡ Plus d’infos sur www.fondation-patrimoine.org

  • Bourbonne-les-Bains : témoignages sur les apparitions de la Vierge à Medugorje

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  • 15 Août : solennité de l'Assomption de la Très Sainte Vierge Marie

    Assomption crévéchamps.jpg
    Marie en son Assomption,
    église de Crévéchamps (Meurthe-et-Moselle)
     
    Signum magnum apparuit in caélo : mulier amicta sole, et luna sub pédibus éjus, et in capite éjus corona stellarum duodecim. Cantate Domino canticum novum : qui a mirabilia fécit.
     
    [Un signe grandiose apparut dans le ciel : une femme revêtue du soleil, et la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles. Chantez au Seigneur un chant nouveau, car il a fait des prodiges.]
     
    (Introït de la messe de l'Assomption)

  • Béthelainville (Meuse) : la Vierge du chêne volée

    La statue qui veillait depuis 62 ans à Béthelainville (Meuse), dans une niche au creux d'un chêne bicentenaire déformé par la foudre, a été volée. Cette Vierge à l'Enfant en fonte est étroitement liée à la foi des habitants.

     

    vierge bethelainville.jpgElle a une valeur davantage sentimentale et religieuse que financière. Cette Vierge à l'Enfant avait été installée dans une niche au creux d'un chêne bicentenaire il y a plus de soixante ans. Ce sont des habitants du village qui ont découvert le vol, certainement perpétré dans la nuit du 24 au 25 mars.

     

    La Vierge était installée dans les bois sur les hauteurs de la commune. Son histoire remonte à la fin du XIXe siècle. L’histoire raconte qu'un jour d'orage, une famille de bûcherons réfugiée sous le chêne, a été sauvée de la foudre par l’intercession de la Vierge Marie. Cette famille, pour lui montrer sa reconnaissance a inséré au creux du chêne qui les avait protégés et déformé par la foudre, une statuette de la Vierge. Cette première représentation de Marie a elle-même disparu des années plus tard.

     

    Le 15 août 1947, une procession est organisée par les paroissiens de Béthelainville depuis le village jusqu'au bois, pour installer une nouvelle statue, plus grande et mieux protégée, dans cet arbre haut de 18 mètres. Depuis une vingtaine d'années, tous les 15 août, une messe est dite au pied du chêne en l'honneur de la Sainte Vierge. L'endroit est devenu aujourd'hui un lieu de pèlerinage.

     

    Haute d'une cinquantaine de centimètres, la statue dérobée était protégée par une vitre.

     

    La commune a déposé plainte pour vol. Ces faits rappellent ceux qui se sont passés au début du mois de mars près de Verdun. La Vierge qui était installée depuis des siècles entre Belleray et Dugny avait en effet elle aussi disparu.

     

    Simple vol ou volonté de nuire à la religion chrétienne en brisant ses symboles ? Ces actes de christianophobie se multiplient actuellement en France. Les autorités doivent prendre conscience de ce phénomène qui touche bien souvent des jeunes ; ces jeunes qui n’ont reçu aucune formation morale et religieuse, sont en perte totale de repères et sont dépourvus de tout sentiment de respect.

  • Les fêtes de la Vierge en septembre en Lorraine

    benoîte vaux.jpgDans l’Église catholique, septembre est marqué par deux fêtes mariales : la Nativité de Marie, le 8 septembre, à l’origine l’une des quatre plus grandes fêtes de la Vierge dans l’Église (avec la Purification le 2 février, l’Annonciation le 25 mars, et l’Assomption le 15 août ; la Nativité est plutôt oubliée aujourd’hui, effacée par l’Assomption et l’Immaculée Conception) et son jour "octave", la fête de Notre-Dame des Douleurs, le 15. On peut rajouter à ces deux fêtes, celle du Saint Nom de Marie le 12 septembre. Cette fête commémore la victoire de la coalition chrétienne contre les Turcs à Vienne en 1683, coalition de 70.000 soldats polonais et impériaux menés par Charles V duc de Lorraine et le roi de Pologne Jean Sobieski.

     

    En Lorraine, septembre est un mois particulièrement marial, avec les deux grandes neuvaines des deux célèbres sanctuaires de Sion dans le diocèse de Nancy & Toul, et Benoîte-Vaux, dans l’actuel diocèse de Verdun, à la frontière de l’ancien diocèse de Toul.

     

    Le 9 septembre, on prie par l’intercession de la Reine des Cieux à Benoîte-Vaux pour tous les Lorrains.

     

    ND Sion.jpgLe 10 septembre, à Sion, sur la « colline inspirée » chère à Maurice Barrès, les Lorrains prient par l’intercession de notre « bonne Duchesse » :

     

    « Dieu Tout-puissant,

    qui, par l’intercession

    de la Vierge Marie,

    avez préservé admirablement

    nos ancêtres de bien des désastres,

    accordez-nous d’être protégés par elle

    des maux qui nous menacent,

    et de parvenir à la patrie du Ciel. »

     

    Enfin, le 20 septembre, le diocèse de Nancy & Toul commémore l’antique statue de Notre-Dame au Pied d’Argent de la cathédrale de Toul, détruite pendant la Révolution.

  • 15 août : fête de l'Assomption de la Très Sainte Vierge Marie

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    Assomption (XVIIIe siècle), église lorraine.

  • Dégradations à la cathédrale de Verdun

    Jeudi 28 mai, la statue de Notre-Dame et une croix de procession ont été brisées dans la crypte de la cathédrale de Verdun. Un acte offensant pour l’Eglise catholique.

     

    ND verdun.jpg« Cela me fait mal de voir ça », commentait une paroissienne en découvrant le saccage. Depuis deux jours, les paroissiens de la cité de la Paix oscillent entre des sentiments d'incompréhension et de tristesse. Pour la première fois de son histoire, des dégradations ont été commises au sein de la cathédrale Notre-Dame de Verdun. Au cœur même de la crypte, partie la plus intime du lieu de culte catholique.

     

    L'alerte a été donnée en tout début d'après-midi jeudi par un Verdunois venu prier à la crypte. « Marie est cassée », a-t-il dit au père Michel Willemart, qui a de suite prévenu l’abbé Jean-Marcel Lair. La statue en pierre de Lavaux de Notre-Dame a été basculée en arrière de son socle. La Vierge à l'Enfant, sculptée par Henri Bouchard en 1932, s'est brisée. La croix de procession en métal qui était fixée sur une colonne à sa gauche est à terre en plusieurs morceaux.

     

    saccage cathédrale verdun.jpg« Cet acte est blessant », déclarait hier matin le père Guy Lescanne, recteur de la cathédrale. D'autant qu'il s'attaque au symbole même de l'édifice, Notre-Dame. « Cela fait 1.600 ans que l'on prie Marie ici et rien de tel ne s'était jamais produit », commente le prêtre. « Avec ses 80.000 visiteurs par an, la cathédrale est un lieu sûr ».

     

    Le préjudice est cultuel mais également culturel. En effet, depuis 1996, la statue de Notre-Dame, couronnée en 1946 par le cardinal Roncalli, nonce apostolique en France et futur pape Jean XXIII, est classée Monument Historique. Un expert des Bâtiments de France est donc venu constater l'ampleur des dégâts hier matin. La statue est la propriété de l'association diocésaine de Verdun.

     

    Après s'être rendus sur les lieux, Michel Collet, responsable des travaux, et le père Guy Lescanne ont déposé plainte. Les policiers ont ouvert une enquête et effectué un relevé d'empreintes. Leurs investigations ont permis d'interpeller un Verdunois de 56 ans, dès jeudi soir à Verdun. Durant son audition, les policiers ont découvert qu'il ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales. Il a été placé à l'hôpital psychiatrique de Verdun pour y recevoir des soins.

     

    Que faire face à cet état de fait symptomatique d'une société qui a perdu ses repères et ses valeurs ? Nos édifices religieux sont de plus en plus souvent victimes de la folie de nos contemporains qui agissent soit par haine du christianisme, soit par pur acte gratuit, donc imbécile. Qu’attendent le ministère de l’Intérieur, en charge des cultes, et le ministère de la Culture pour mettre en place un véritable plan de protection des lieux de culte ? Le vrai problème n'est-il pas celui de l'éducation au respect des jeunes générations - mais ne devrait-on pas plutôt parler d'absence d'éducation -. Il y a urgence à agir.

     

     

    [d’après l’Est Républicain | 30.05.09]

     

     

     

     

    >> Pour prendre conscience de l'ampleur du phénomène, visitez le site http://indignations.org/

     

  • Septembre : le temps des pèlerinages sur la colline de Sion

    800 pèlerins à Sion dimanche 31 août. Les zones ouest et est du diocèse de Nancy & de Toul s’y étaient données rendez-vous. Ferveur et piété dans le respect de la tradition.

     

    basilique sion.jpgLe soleil étant bien présent, les pèlerins des zones ouest et est du diocèse de Nancy et de Toul ont grimpé la colline de Sion en nombre. Certes, si la voiture a remplacé les pèlerins pédestres, le pèlerinage s'est déroulé dans le respect de la tradition, même si aujourd'hui, l'accueil est assuré par les bénévoles de l'équipe Notre-Dame reconnaissables à leur veste « bleu-jean ».

     

    Après la célébration pénitentielle, tous se sont rassemblés sur l'esplanade pour la célébration eucharistique présidée par l'abbé Jean Gegoux, curé de la paroisse Notre-Dame-en-Saintois, la prédication étant assurée par l'abbé Joseph de Metz-Noblat. Dans son homélie, le prédicateur faisant référence aux textes du jour, invita les pèlerins à « renouveler leur manière de penser », citant saint Augustin et Antoine de Saint-Exupéry : « On ne voit bien qu'avec le cœur ». Et de suggérer de s'inspirer de la Vierge Marie « en se mettant au service de la vie », le thème de la quinzaine mariale de Sion étant « Servir la vie avec Marie ».

     

    pèlerinage sion sept 2008.jpgAprès le temps de convivialité qu'est toujours le partage du repas de midi, le temps étant propice au pique-nique, chacun était invité à un temps de réflexion, de prière, voire de silence sur les différents sites : couvent du Rameau des Clarisses, basilique Notre-Dame, adoration du Saint-Sacrement, montage vidéo sur les apparitions de sainte Bernadette à Lourdes, rencontre avec le prédicateur.

     

    C'est avec la louange mariale que prenait fin le pèlerinage : procession autour du chemin de ronde, bénédiction du Saint-Sacrement et après l'envoi, le traditionnel chant « Sur ta Lorraine » repris en chœur par les pèlerins.

     

     

    [d’après L'Est Républicain | 05.09.2008]