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  • Nancy dans la Grande Guerre

    A l'occasion du centenaire de l'Armistice 1918, la Ville de Nancy édite un magazine spécial "Nancy dans la Grande Guerre" qui raconte, année après année, le quotidien des Nancéiens lors du premier conflit mondial.

    >> Disponible en format numérique ➡️ bit.ly/2CQ2FHK 

  • Le blanc des fermiers : l'histoire du lait et son impact dans les Vosges

    Il est une gourmandise que l’on ne goûte plus comme autrefois. elle se mangeait en fromage et yaourt, et se buvait crue, au pis de la vache, légèrement tiède. Aujourd’hui, Elle se mange en fromage, en dessert lacté dans lequel on trempe son doigt avec délectation. Elle se boit en boisson lactée, aromatisée. “Elle”, c’est le lait.

    “Trempe ton doigt, dans le lait”, tel aurait pu être le titre de ce livre sur l’histoire du lait, l’histoire de l’élevage et des paysans vosgiens, l'histoire des fruitières de village, l’histoire de son évolution et des technologies qui l’entourent. De fait, l’histoire des hommes qui s’en sont nourris. La société de consommation glorieuse a su jeter aux oubliettes le temps où on allait chercher son lait cru à la ferme. Devenu une industrie, le produit “lait” et ses dérivés déclinés à l’infini et emballé sous plastique font qu’aujourd’hui les jeunes citadins ignorent tout du lait et de ses qualités originelles.

    Les Vosges, terre d’élevages offrent encore des paysages où la vie pastorale semble perdurer. Quatre fromageries et de nombreuses fermes transforment un lait en fromage dont la renommée dépasse largement les limites du département. Le lait fait partie des gènes naturels des Vosges.

     

    ‡ Le blanc des fermiers : l'histoire du lait et son impact dans les Vosges, Dominique Gouyon, éditions Gérard Louis, 2018, 112 p., ill., 22 €.

  • Meurthe & Moselle, d'un pays à l'autre

    Dans l’esprit des précédents livres publiés sur la Lorraine ou sur ses principales villes, "Meurthe & Moselle, d’un pays à l’autre" n’a d’autre but que de valoriser la richesse du patrimoine et des paysages d’un département phare de la région Grand Est, d’en évoquer l’Histoire, le passé industriel et ses particularités.

    Les auteurs n'ont pu, avec regret, présenter l’ensemble de ce qui constitue un département original par sa forme, son passé et les gens qui en ont forgé l’identité. Mais, magnifiquement illustré de près de 200 photographies couleur, l’ouvrage permet une meilleure connaissance des pays qui le composent. Il en deviendra l’ambassadeur idéal. De ses châteaux de Cons-la-Grandville, Fléville-devant-Nancy, Haroué, Jaulny ou Lunéville, de Nancy avec son palais ducal et sa place Stanislas, le département a su valoriser un patrimoine architectural unique malgré les destructions des guerres successives.

    Terre de créativité, c’est ici que l’Art nouveau a pris son essort avec l’École de Nancy ; c’est ici aussi que les arts de la table, par les cristalleries de Baccarat et Daum, les faïenceries de Lunéville et Saint-Clément, sans oublier les émaux de Longwy, ont développé un savoir-faire unique encore en activité.

     

    ‡ Meurthe & Moselle, d'un pays à l'autre, Michel Brunner et Patrice Greff, éditions Gérard Louis, 2018, 160 p., ill., 25 €.

  • Mes guerres en culotte courte place Stanislas

    Né au numéro 1 de la place Stanislas à Nancy, alors que la Deuxième Guerre mondiale en avait fait une place prisée des officiers allemands, il en fit très rapidement son aire de jeu, son terrain de découvertes et son jardin secret. Depuis la fenêtre en demi-lune de sa chambre au-dessus du "Muratti", il passa des heures à regarder les mouvements quotidiens des Nancéiens et à s’étonner des évènements qui ponctuaient les années 50 et 60. Avec ses copains Riri le fils des boulangers de la rue Gambetta et Phiphi, fils d’un inspecteur de police de la rue des Carmes, et quelques autres, l’auteur, alors en culotte courte, n’hésitait pas à défendre manu militari le territoire de la place contre les incursions des gamins des autres quartiers...

    Sans excès de nostalgie et avec l’humour qui le caractérise, Philippe Bruant nous propose un récit teinté d’émotions à la manière des impressionnistes. Pour regarder cette place à la hauteur de nos yeux d’enfant.

    A Nancy, la Place Stanislas est comme un monde à part. Lieu de tous les rassemblements et manifestations jusqu’aux années 1970, elle est devenue le site premier du tourisme nancéien. Quasiment désertée de ses habitants - une seule personne y réside actuellement - elle reste dans le souvenir de Philippe Bruant comme un lieu de tous les possibles et d’un temps décidément révolu.

     

    ‡ Mes guerres en culotte courte place Stanislas, Philippe Bruant, éditions Gérard Louis, 2018, 144 p., ill., 20 €. 

  • Erian ou le chevalier-barde

    Arraché à son foyer avant même d'y avoir grandi, le jeune Erian, élevé par delà les cieux, dans les prairies de printemps éternel et d'été sans fin, n'aura connu qu'un monde idyllique. La faim, la peine et les épreuves ne sont pour lui que des mots.

    Nourri de récits grandioses, de fresques épiques et de principes chevaleresques, il parcourra le monde, sa harpe dans une main, son épée dans l'autre, à la recherche d'exploits dignes de figurer dans les épopées des troubadours.

    Mais la réalité d'un monde fait de sang et de terre va s'imposer à lui. Restera-t-il ensuite une place pour ses rêves et ses nobles idéaux ?

    Cet ouvrage tient à la fois de la chanson de geste et du conte initiatique. Entre Moyen Âge et XXIe siècle, Erian ou le chevalier-barde, du mussipontain Benoît Léoutre, est une fresque épique et chevaleresque écrite sur des principes d'hier pour notre époque contemporaine.

    C'est curieux, inhabituel, avec des sentiments mais aussi de la violence. Bref, c'est étonnement humain.

     

    ‡ Erian ou le chevalier-barde, Benoît Léoutre, édité à compte d'auteur, 281 p., 25 €. A commander chez l'auteur, 160 rue Maurice Barrès, 54700 Pont-à-Mousson (ajouter 5,20 € pour frais de port).

  • Les allées d'arbres : de la guerre à la paix

  • Foch

    Depuis sa mort jusqu’en 1987, date du dernier ouvrage qui lui fut consacré, une vingtaine de biographes se sont succédés pour sculpter le même buste impressionnant d’un général sûr de lui, de ses théories et de son commandement, renversant le cours des batailles auxquelles il prenait part. En trente ans, bien des archives ont été exploitées et des livres écrits.

    Avec son souci habituel de la documentation, l’auteur a entrepris de reprendre l’une après l’autre chacune des étapes de la carrière du maréchal en tentant de démêler le mythe de la réalité. Ce long et passionnant travail de tri lui permet de dégager un portrait beaucoup plus balancé. C’est ainsi que les enseignements de Foch à l’Ecole de Guerre apparaissent avoir programmé la défaite de 1914 plus que prévu la victoire de 1918. Sa conduite de la bataille, particulièrement dans les trois premières années, est émaillée de désobéissances, d’imprudences et d’aveuglements. Le limogeage qui s’ensuivit prend alors une autre résonance, tout comme son retour en grâce et sa nomination au commandement suprême en 1918. Mais isoler ses erreurs permet aussi de remettre exactement en relief sa formidable contribution. Foch pouvait être hautain, borné, confus autant que fédérateur, clairvoyant et inspirant. A lui seul, il a semblé porté quatre ans durant l’espoir inextinguible de la victoire.

    Jean-Christophe Notin analyse également, de manière inédite et approfondie, l’influence exercée par Foch, pendant, mais aussi après la conférence de la paix où son obstination menaça de couper la France du reste de ses alliés.

     

    ‡ Foch, Jean-Christophe Notin, éditions Perrin, 2018, 544 p., 27 €.

  • Bleurville (88) : à la recherche de photos de l'inauguration du monument aux morts

    A l'approche du centenaire de l'aménagement des monuments aux morts dans les villes et villages de France (début des années 1920), nous sommes à la recherche de documents iconographiques (photos, documents écrits...) sur l'inauguration du monument aux morts de la commune de Bleurville (Vosges) qui a eu lieu entre 1920 et 1922.

    Appel est lancé auprès des Bleurvillois du village ou expatriés ou ayant des ancêtres originaires de Bleurville : fouillez activement vos archives photographiques et souvenirs !

    Merci d'avance pour votre collaboration.

    Les documents recueillis seront présentés dans le cadre d'une rétrospective sur la fin de la Première Guerre mondiale en Saône vosgienne.

     

    ‡ Contactez-nous à l'adresse mail : abbayesaintmaur.bleurville@gmail.com

  • Le mystère Clovis

    Dans une évocation gorgée de couleurs fortes et de furieuses sonorités, Philippe de Villiers - le Lorrain de cœur... et aussi par ses racines familiales ! - fait revivre le roi des Francs Clovis et lui donne la parole. Le roi fondateur dévoile les épisodes les plus intimes, les plus secrets, de ses enfances, de ses amours, de ses chevauchées.

    Ce livre éclaire d’un jour nouveau le mystère de sa conversion, rétablit la vérité sur la date de son baptême et renouvelle ainsi la perspective symbolique de tout notre passé, de notre destin. Au fil d’un récit haletant, affleurent parfois des correspondances troublantes entre les tribulations du monde de Clovis et les commotions de notre temps : le va-et-vient des peuples en errance, les barbares, les invasions, les fiertés évanescentes, les civilisations qui s’affaissent…

    Une restitution spectaculaire, passionnante, inattendue, qui nous fait revivre comme jamais les temps mérovingiens et les origines de la France.

     

    ‡ Le mystère Clovis, Philippe de Villiers, éditions Albin Michel, 2018, 432 p., 22 €.

  • N'oubliez pas le Denier de l'Eglise !

  • L'Echo des 3 Provinces octobre-novembre 2018 est paru

    >> Plus d'info et abonnement sur www.adp3p.com

  • Des musées de Metz au musée de la Cour d'Or

    Ce fort volume, doté d'une remarquable iconographie, se propose d'écrire l'histoire des musées messins. C'est seulement en 1839 que Metz se dote d'un musée. Il est alors créé sous l'impulsion des sociétés savantes locales et des artistes de l'Ecole de Metz. Avec l'Annexion et jusqu'en 1918, le musée va connaître de profondes transformations dans un contexte politique inédit. Il profitera des avancées de la science allemande, notamment dans le domaine de l'archéologie. Les musées de Metz entrent alors dans une première période prospère avec la construction de nouveaux bâtiments et un accroissement constant des collections archéologiques. L'établissement n'est plus seulement un musée des Beaux-Arts, mais aussi un important musée archéologique et même un musée de site avec la découverte dans ses sous-sols des anciens thermes gallo-romains.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, il devient un outil de propagande au service de l'occupant et sert de centre de collecte aux objets spoliés par les nazis. Il faut attendre 1957 pour que les musées de Metz connaissent un nouvel âge d'or. De 1964 à 1980, le conservateur intégrera dans les collections de multiples témoignages patrimoniaux : en étendant ces collections , il transforme la présentation des œuvres de la Cour d'Or et crée un des premiers musées d'architecture médiévale en Europe.

    Le lancement du programme de rénovation du musée a encouragé la rédaction de cet ouvrage où la période la plus récente est présente grâce à une série d'entretiens réalisés avec les personnalités liées à l'histoire du lieu.

    Issus d'une fondation classique, les musées de Metz, par leur inscription dans un territoire marquée par l'Histoire et deux guerres mondiales, sont un exemple peu ordinaire dans le paysage muséal français. Véritable institution transnationale où les visions française et allemande cohabitent, confrontée à la création d'une annexe du Centre Pompidou, un ouvrage relatant son histoire, mais également les enjeux politiques, culturels et sociaux à l'œuvre, s'avérait plus que nécessaire.

     

    ‡ Des musées de Metz au musée de la Cour d'Or. Histoire des collections, reflets d'un territoire, Arnaud Bertinet, Jean-Christophe Diedrich et Julien Trapp (dir.), éditions Snoeck - Metz Métropole, 2018, 391 p., ill., 35 €.

  • Femmes de Lorraine dans l'Histoire

    Pendant des siècles, les femmes se sont battues pour obtenir des libertés parfois infimes, ou pour être reconnues en tant qu'écrivains, scientifiques, résistantes, politiciennes, sportives, aventurières... Elles ont marqué l'Histoire ou sont restées peu connues, voire ignorées. Certaines pionnières ont bousculé les préjugés, provoqué les bien-pensants, conquis des domaines réservés aux hommes...

    Évoquer l'histoire des femmes, forcément, c'est faire de belles rencontres. Leur point commun ? L'énergie qu'elles ont dû déployer pour exister dans un monde gouverné par les hommes ! De la reine Brunehaut à Virginie Despentes en passant par Jeanne d'Arc et Marthe Richard, l'auteur nous propose un bout de chemin avec de belles - ou fortes - figures de femmes de Lorraine.

     

    ‡ Femme dans l'Histoire. Lorraine, Jérôme Estrada de Tourniel, éditions Sutton, 2018, 176 p., ill., 20 €.

  • Nos villages lorrains : le numéro d'octobre est paru !

    Nos Villages lorrains d'octobre est paru...

    Au sommaire :
    - à Pagny-sur-Moselle : découverte fortuite, le pont bascule, la classe des garçons 1946/1947, les raids des Barisiens en 1337-1338
    - à Prény : Bernard Tant et la résistance à Prény, le conseil municipal du 23 avril 1960, une statue de la Vierge du XVe siècle, le conseil municipal du 27 mai 1951, les rentes en vin au Moyen Âge
    - Arnaville
    - à Bayonville : le village pris pour cible en 1337, à la mémoire des fusillés du Rupt-de-Mad
    - à Onville : Adrienne Jouclard expose à Paris
    - à Vandelainville : la croix sur le chemin des Plantières
    - à Vandières : les derniers jours de l'abbé Mamias
    - à Villers-sous-Prény : les écarts en 1876
    - à Arry : les haches du Néolithique

     

    Nos villages lorrains est une publication de la Maison pour Tous de Pagny-sur-Moselle. Abonnement annuel (26,80 € par chèque à l'ordre de "Maison pour Tous") à adresser à : MAISON POUR TOUS, 54530 PAGNY-SUR-MOSELLE.

  • Les Thons (88) : les travaux se poursuivent au couvent des Cordeliers

  • La Croisade du duc Antoine de Lorraine contre les paysans révoltés d'Alsace en mai 1525

    Entre l'Alsace et la Lorraine, une rancune pluriséculaire est née des ravages de l'expédition du duc Antoine de Lorraine contre les paysans révoltés d'Alsace en mai 1525. Il y avait de quoi !

    En mai 1525, le duc Antoine apprend que des bandes de paysans alsaciens révoltés s'nfiltrent sur son territoire, tentant de soulever les pays lorrains. Il lance alors une croisade contre eux, qui fait près de 30 000 morts en six jours. Le sang coule littéralement à flots dans les villes de Saverne, Scherwiller et Lupstein. L'expédition du duc de Lorraine a été racontée peu après les faits par son historien officiel, Nicolas Volcyr de Sérouville, qui accompagna l'armée. Tel un reporter de guerre, il décrit avec précision les événements de cette "guerre des paysans" et les horreurs dont il a été témoin. Tel un propagandiste aussi, il maudit copieusement les hérétiques.

    Ce texte, écrit en vieux français teinté de latin, est ici traduit pour la première fois en français moderne devenant ainsi accessible à tous les amateurs d'histoire lorraine et alsacienne. Puisse ce livre, qui rappelle des heures douloureuses de notre histoire, souder la réconciliation entre les Lorrains et les Alsaciens !

     

    ‡ La Croisade du duc Antoine de Lorraine contre les paysans révoltés d'Alsace en mai 1525, Nicolas Volcyr de Sérouville, Alain-Julien Surdel (prés.), La Nuée Bleue éditions, 2018, 256 p., ill., 22 €.

  • L'hôpital Saint-Julien de Nancy, sept siècles d'histoire

    Philippe Wernert, directeur honoraire de l'Hôpital central de Nancy, nous relate dans cette brochure l'histoire mouvementée de l'hôpital Saint-Julien, institution de charité au service des "pauvres malades" de la cité ducale. En fait, on doit parler "des" hôpitaux Saint-Julien car il y en eut trois. Celui de 1336, fondée par le curé Warnier dans l'enceinte de la ville médiévale, en vieille ville, Grande Rue. Puis celui de 1590 qui prendra la suite du précédent, devenu inadapté face à l'augmentation démographique de la cité, et qui prend en charge vieillards, infirmes et orphelins sous la direction des Sœurs de Saint-Charles. Installé en ville neuve, il était situé entre l'actuel hôtel de ville et la cathédrale, ancienne rue de la Congrégation (actuelle rue Maurice Barrès). Enfin, cet établissement, qui connut de nombreux aménagements au cours des siècles, fut transféré en 1900 au faubourg Saint-Nicolas où il est toujours en activité en attendant la restructuration des établissements hospitaliers nancéiens...

    Une riche histoire rigoureusement documentée et illustrée avec une iconographie inédite qui met en exergue le rôle éminent des ducs de Lorraine et de l'Eglise dans le secours porté à l'humanité souffrante. Un pan de l'histoire de Nancy que tout Nancéien et Lorrain se doit de connaître.

     

    ‡ De 1336 à nos jours, l'hôpital Saint-Julien. 7 siècles d'histoire, Philippe Wernert, CHRU Nancy, 2018, 39 p., ill., 5 €.

  • Le miroir sans retour

    Hiver 1832. Le curé d'Orly est brusquement appelé au chevet de l'ancien maire, Valentin Chévetel, agonisant.
     
    S'engage alors entre les deux hommes un invraisemblable et rocambolesque échange durant lequel Chévetel s'accuse des plus sordides trahisons et des plus basses manipulations pour anéantir la contre-révolution en Bretagne, la chouannerie, et assassiner son chef, le marquis de La Rouërie, héros de la guerre d'indépendance américaine et ami de Washington.
     
    Véritable thriller historique, fondé sur des faits authentiques, ce récit, fait de rebondissements stupéfiants, révèle la face obscure de certains révolutionnaires, et non des moindres (Danton, Marat, Robespierre...), animés des plus vils sentiments (jalousie, veulerie, cupidité...), et permet de mieux appréhender cette période clé de l'histoire de France, idéalisée de nos jours par certains et décriée par d'autres.
     
    Reynald Secher, docteur ès lettres, Paris IV-Sorbonne, spécialiste de la résistance face au totalitarisme, est connu du grand public pour ses ouvrages : Le génocide franco-français (Perrin), La Vendée-Vengé (Perrin) et Vendée : du génocide au mémoricide (Le Cerf), ses bandes dessinées et ses films historiques. Il est l'auteur du concept de "mémoricide".
     
     
    ‡ Le miroir sans retour, Raynald Secher, éditions du Rocher, 2018, 328 p., 21,90 €.

  • Le Pays lorrain : Autour de Philippe de Gueldre et de Ligier Richier

    Le Pays lorrain, numéro de septembre 2018, est paru : à la une, un dossier "Autour de Philippe de Gueldre et de Ligier Richier".

    Au sommaire :
    - Philippe de Gueldre (1467-1547), duchesse de Lorraine : les pratiques d'un pouvoir au féminin dans la Lorraine de la Renaissance
    - Ligier Richier à la cour de Lorraine
    - Sœur Philippe de Gueldre, "seconde Mère sainte Colette"
    - Spiritualité, dévotions et pratiques religieuses d'une duchesse de Lorraine devenue clarisse : Philippe de Gueldre
    - Le gisant de Philippe de Gueldre par Ligier Richier : une sculpture pour l'éternité
    - Sainte Elisabeth, de Ligier Richier
    - Chronique du patrimoine en Lorraine : "Le patrimoine rural : une cause perdue ?" :
    - Que faire des maisons rurales lorraines ? Deux exemples à Lemainville
    - La rénovation, un péril pour la maison traditionnelle lorraine ?
    - La ferme de la montagne vosgienne : évolution d'un patrimoine architectural et paysager
    - Faire d'une ferme lorraine une maison de famille
    - L'association Maisons paysannes de France et son action en faveur du patrimoine rural
    - Les fermes de la Seconde Reconstruction, un nouveau patrimoine rural : un exemple à Ménil-Flin
    - Monuments historiques à la campagne
    - La disparition d'un élément structurant des paysages du Pays des étangs (Moselle) : les jardins clos de murets en pierre sèche
    - Fontenoy-le-Château, la question d'une petite ville industrielle devenue village
    ... Et les habituelles chroniques régionales, les livres et les infos de la Société d'histoire de la Lorraine & du Musée lorrain.

    ‡ Le Pays lorrain est disponible sur abonnement (43 €, 4 numéros) : règlement et coordonnées postales à adresser au Pays lorrain, 64 Grande Rue, 54000 Nancy.

  • Nancy : un but de promenade pour les Nancéiens, la Cure d'air Saint-Antoine

    Fondée en 1900 à l'initiative de l'abbé François Sébastien Girard, la Cure d'air est située sur le plateau du Haut-de-Chèvre qui domine la ville, dans le prolongement du cimetière de Préville. Maison de convalescence et de repos, elle dispose d'un vaste parc ouvert au public.

    Ce sera un but de promenade dominicale pour les Nancéiens de la Belle Epoque qui y accède par un funiculaire. Elle est dotée d'une chapelle Art Déco érigée en 1924 et d'une monumentale croix de mission.

    Après la suppression du funiculaire et le départ des religieuses, le site est réouvert au public en 1991 et constitue un remarquable belvédère sur la cité ducale.

  • Nancy : messe à la mémoire des ducs et duchesses de Lorraine et de Bar le 13 octobre 2018

    La messe pour le repos de l'âme des ducs et duchesses de la Maison de Lorraine et de Bar sera dite en la chapelle des Cordeliers à Nancy samedi 13 octobre 2018 à 11h00 par le RP Arnaud Mansuy, de l'Oratoire Saint-Philippe Néri, desservant la basilique Saint-Epvre. La chorale Choralliance assurera la partie chantée de l'office.

  • Saône lorraine en Pologne au printemps 2019 sur les traces des cisterciens et des teutoniques

  • Les 20èmes JEV au Pays des Abbayes vosgiennes

  • Histoire de la Lorraine

    Voici une histoire de la Lorraine à la portée de tous. L'auteur, Daniel Bontemps, côtoie l'his­toire de sa région depuis plus de cinquante ans à travers ses re­cherches et ses nombreuses publications. Il se fait pédagogue afin de faire partager son amour pour la Lorraine aux curieux et amateurs et historiens confir­més. 

    L'ouvrage est largement illustré pour accompagner le texte et rendre l'histoire encore plus vivante. Une histoire qui mènera d'abord le lec­teur bien loin dans le passé, à l'époque où l'homme taille la pierre, puis à celle des Gaulois qui ont la maîtrise du fer. Les deux mille ans qui suivent feront passer l'espace lorrain dans des formats plus vastes, de l'échelle du monde romain à celle de l'empire de Charle­magne. Dans des espaces encore importants comme l'Austrasie et la Lotharingie des Mérovingiens et des Carolingiens. À des espaces complexes au temps du morcellement de l'époque médiévale, avec les luttes internes, les attirances vers le Saint-Empire romain germanique ou le royaume de France, mais aussi un certain sentiment d'appartenance à un espace lorrain, au-delà des souverainetés. Les deux voisins fran­çais et germanique ne cesseront pas jusqu'au XXe siècle de convoiter la région, laissant encore aujourd'hui des cicatrices que le temps a du mal à faire disparaître.

    L'histoire de l'espace lorrain est complexe. Cela la rend d'autant plus riche et le lecteur curieux pourra ici la défricher avec l'auteur. Comprendre notre passé, c'est comprendre notre présent et mieux appréhender notre avenir.

     

    ‡ Histoire de la Lorraine, Daniel Bontemps, La Geste éditions, 2018, 255 p., ill., cartes, 29,90 €.

  • Saint-Nicolas-de-Port (54) : les Nocturnes de René II et "Le Bon Roi René dans tous ses états"

  • Nancy : reconstitution du procès de 1816 du général d'Empire lorrain Antoine Drouot

    Enorme succès pour la remarquable reconstitution du procès de 1816 du général d'Empire Antoine Drouot, réalisée dans le cadre de la salle d'audience de la Cour d'Appel de Nancy...

    A la manoeuvre, les reconstitueurs des associations Les Vosges napoléoniennes et L'Obusier, avec la collaboration de l'Université de Lorraine, de la faculté de droit de Nancy et de son doyen, le professeur Fabrice Gartner.

    Le général Drouot, après la brillante plaidoirie de son avocate et le réquisitoire bienveillant de l'avocat général, a été acquitté par le jury populaire !

    ... Vive l'Empereur... et vive le Roi !

  • Nancy : colloque "Les forces et les cultures politiques dans le Grand Est de la fin du XIXe siècle à nos jours"