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saint epvre

  • Nancy : disparition de Geneviève Tresse, conférencière de la basilique Saint-Epvre et du Musée lorrain

  • Bonvillet (88 ) : l'église rendue aux paroissiens

    Datant de 1764, l’église est dédiée à Saint-Epvre, patron du village. Ce bâtiment sobre construit en grès des carrières de la Vôge présentait quelques signes de faiblesses. Courant 2015, un mètre carré de plafond s’est effondré.

    Il s’est avéré qu’après contrôle, il était urgent de rénover l’ensemble, et d’isoler les plafonds et changer la fenêtre de la sacristie. Des interventions qui ont entraîné la rénovation des peintures.

    Suite à l’obtention d’aides, un déménagement complet de l'édifice cultuel a été effectué par l’équipe paroissiale et les membres du conseil municipal. Deux entreprises spécialisées ont commencé les travaux en novembre et viennent de les terminer.

    Après un gros travail de nettoyage et de réinstallation par les mêmes bénévoles, c’est une église flambant neuve qui a été mise à la disposition des catholiques locaux. L’heure était donc aux remerciements, à l’abbé Jean-Marie Lallemand qui, malgré un emploi du temps très chargé, a célébré la sainte messe accompagnée par la chorale.

    Ce projet a sollicité de nombreux acteurs pour être mené à bien. Un grand merci a été adressé aux élus pour l’obtention des subventions sans lesquelles rien n’aurait pu être possible, pour leur disponibilité et leur grand professionnalisme.

    Il ne fallait pas oublier d’associer Henri Côme, l'accompagnateur laïc de la paroisse Saint-Martin-de-la-Forêt, qui par son travail d’artiste a donné la touche finale à l’autel. Un travail réalisé avec minutie et avec un grand savoir-faire.

    Les paroissiens ont eu un grand plaisir à redécouvrir cet édifice qui fait partie de l'identité patrimoniale du village qui a connu et connaîtra encore bien des joies et des peines.

  • L'odyssée d'un quartier ancien : histoire de la restauration du quartier Saint-Epvre à Nancy

    Christian Viney s'est replongé dans quarante ans d'archives sur le quartier Saint-Epvre, au cœur de la Ville Vieille de Nancy, et les combats menés au sein de l'association de sauvegarde. Histoire d'une lutte d'une poignée d'habitants de ce quartier historique blotti à l'ombre de la basilique Saint-Epvre et du palais ducal contre les projets destructeurs de plusieurs maires de la cité.

    L'ouvrage retrace cette résistance née avec le début des années 1970. Histoire aussi des rues et des demeures historiques de ce quartier qui traînait plutôt une mauvaise réputation, des fêtes également qui ponctuèrent ces moments de combats...

    Le résultat est là. Désormais, le quartier Saint-Epvre a été sauvé de la pioche des destructeurs et contribue à dispenser une belle image de la cité ducale.

     

    ‡ L'odyssée d'un quartier ancien. Histoire d'une restauration, Christian Viney, Association Renaissance de la Ville Vieille de Nancy, 2015, 110 p., ill. (15 €).

  • Basilique Saint-Epvre de Nancy : "Saint Philippe Néri et les oeuvres de miséricorde" le 14 juin

  • L'Odyssée du quartier Saint-Epvre de Nancy

    [ER]

  • Des reliques du Bienheureux Charles Ier de Habsbourg-Lorraine en l’église Notre-Dame du Sablon à Bruxelles

    reliques bhx charles.jpgLe saviez-vous ? En l’église Notre-Dame du Sablon à Bruxelles sont conservées des reliques du Bienheureux Charles Ier d’Autriche – ou de Habsbourg-Lorraine - béatifié en 2004 par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II.

    C’est en cette même église que l’un des petits-fils du dernier empereur d’Autriche et roi de Hongrie, l’archiduc Lorenz d’Autriche-Este épousa en 1984 la princesse Astrid de Belgique.

    La Lorraine conserve également des reliques du Bienheureux Charles en la basilique Saint-Epvre de Nancy et une chapellenie lui est également dédiée dans la cité ducale.

    [info aimablement communiquée par O. Bena]

  • Le roman policier du curé de Saint-Epvre de Nancy

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    [Lorraine Magazine, n° 3]

  • Nancy : au coeur du patrimoine

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    [Est Républicain / La Semaine de Nancy]

  • Balade en Ville-Vieille de Nancy autour de la basilique Saint-Epvre

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    [Est Républicain]

  • La rentrée chez les Pèlerins de Lorraine

     

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    L’association Pèlerins de Lorraine communique ses actualités de rentrée :

     

    -        ce jeudi 1er septembre, chapelet mensuel de l'association à 19h00 à la basilique Saint-Epvre de Nancy. Le chapelet est ouvert à toutes et tous !

     

    -        l'année 2012 sera celle du 600ème anniversaire de la naissance de Jehanne d'Arc et de nombreuses initiatives vous seront proposées. Première de l'année, l'association Notre-Dame de Bermont signale que le dimanche 25 septembre 2011 aura lieu un pèlerinage de rentrée autour de Domremy en présence du RP Argouac'h, de l'Institut Sainte-Croix de Riaumont. Au programme : 9h00 - Eglise Saint-Remi de Domremy / 12h30 - Chapelle Notre-Dame de Bermont / 15h00 - Messe à la basilique Sainte-Jeanne-d'Arc

     

    -        le traditionnel pèlerinage Domremy-Vaucouleurs organisé par Pèlerins de Lorraine, qui a choisi le 13 mai comme date de référence la plus proche du départ de Jehanne de Domremy pour Vaucouleurs, tombe en 2012... le 13 mai ! Annotez d’ores et déjà vos agendas !

  • La sainte Lorraine du mois : sainte Aprône

    Santa-Apronia.jpgUne tradition de l’Église de Toul, apprend que saint Epvre avait une sœur, nommée Aprône, qui demeura pendant quelque temps auprès de lui et fut, pour les habitants de la ville épiscopale, un grand sujet d’édification. Retournée dans sa province natale, elle mourut à Troyes et y reçut la sépulture.

     

    Saint Gérard, soucieux de réunir les reliques des saints du diocèse pour en enrichir son église, obtint des habitants de Troyes le corps d’Aprône, dont il donna une partie à l’abbaye de Saint-Epvre et réserva l’autre pour sa cathédrale. Elle y fut conservée jusqu’à la Révolution, en 1793, dans un buste donné en 1390 par Vaudric de Vaucouleurs, chanoine de Toul. C’est semble-t-il des deux châsses de Toul que sortirent les parcelles d’ossements de sainte Aprône qui se trouvent en diverses églises du diocèse et notamment en celle de Saint-Epvre de Nancy.

     

    Fêtée traditionnellement le 15 juillet, la fête de sainte Aprône fut transférée au 19 décembre lors de l’adoption du Missel Romain dans le diocèse de Nancy en 1860, puis replacée à sa date originelle en 1914 avant d’être supprimée en 1955, lors de la réforme du calendrier diocésain.

     

    [source : www.introibo.fr]

  • Nancy : reprise du chantier de restauration de la basilique Saint-Epvre

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    [source : Nancy Mag, octobre-novembre 2009]

  • Contrexéville : la Fondation du Patrimoine au secours de l'église Saint-Epvre

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    [Vosges Matin | 13.09.09]

  • Contrexéville : au chevet de l'église Saint-Epvre malade de ses multiples transformations

    L'église paroissiale de Contrexéville est malade des multiples remaniements réalisés au cours des siècles. Un nouveau chantier de consolidation s'avère indispensable pour garantir la pérénité de l'édifice cultuel.

     

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    [Vosges Matin | 10.08.09]
  • Nancy : la résurrection du Palais ducal

    Sous un soleil radieux, la Grand-Rue devant le Palais ducal était l'objet, en début de semaine, d'un spectaculaire chantier. D'immenses grues déposaient le « parapluie » d'échafaudages à hauteur de la Porterie du Palais ducal.

     

    palais ducal.jpgLa toiture de cette partie Renaissance est en effet achevée. Il faut donc déposer toute la structure, ne garder que les échafaudages correspondant à la façade, où se trouve la Porterie encore en réfection, la galerie des Cerfs et l'arrière, côté cour. Normalement, à la fin de l'été, la partie la plus ancienne et la plus noble du Palais ducal sera dévoilée.

     

    Entre-temps, la restauration de l'aile Morey aura commencé grâce aux échafaudages en cours de translation. Cette partie, la quatrième tranche de rénovation du Palais ducal commence sur rue à hauteur de la porte d’entrée du Musée lorrain, fait l'angle de la rue Jacquot et donne sur la splendide grille XVIIIe fermant le jardin. Le côté cour sera traité également. Ce bâtiment, côté rue, est le pastiche réussi néo-Renaissance de l'aile XVIe. Prosper Morey n'a pas prolongé son goût pour le néo (il est également l’architecte de la basilique Saint-Epvre voisine), jusqu'à faire de même côté cour : son ordonnancement est XVIIe, avec un petit côté Empire, voire Restauration.

     

    Le Plan de relance gouvernemental permet de lancer dès le mois d'avril cette nouvelle tranche qui n'était prévue qu’en 2010. Il en est de même pour Saint-Epvre : les travaux repartiront début mai pour 18 mois. A noter que l'Etat finance la moitié de cette tranche au lieu de 35 % prévus, ce qui a évidemment incité la Ville à relancer le chantier au plus vite.

     

    [d’après l’Est Républicain | 08.04.09]

  • La façade de la basilique Saint-Epvre de Nancy mise en lumière

    st epvre illuminée.jpgConstruite au XIXe siècle, la basilique Saint-Epvre est la troisième église, dédiée au même saint, bâtie à cet emplacement. L'église primitive fut édifiée à la fin du Xe siècle et reconstruite à partir de 1451 sous le duc de Lorraine René Ier. Jugée trop exiguë et délabrée, cette deuxième église fut abandonnée en 1857. En 1861, à l’initiative de l’abbé Trouillet, le conseil municipal autorisa la construction d'une nouvelle église et retint le projet de l'architecte municipal Prosper Morey (1805-1886), élève d'Achille Leclère et Grand Prix de Rome.

     

    L'actuelle basilique Saint-Epvre, classée Monument historique depuis 1999, fut édifiée de 1864 à 1875, dans un style représentatif du néo-gothique. Le 26 novembre 1874, l'église est élevée au rang de basilique mineure par le pape Pie IX.

     

    Les premières phases de restauration des extérieurs de la basilique (restauration du clocher de 2001 à 2004 et restauration de la façade nord à partir de 2005) ont été motivées par sa dégradation due à son état structurel originel et les conséquences de la tempête du 26 décembre 1999. Ces restaurations visaient autant à rétablir son intégrité architecturale que sa sécurité. Différents corps d'état sont intervenus sur l'ouvrage : la taille de pierre, la sculpture, la couverture, les vitraux, la menuiserie, la peinture et dorure, la métallerie, l'horlogerie, l'électricité.

     

    Profitant de la dépose des installations d'échafaudage en partie centrale, la ville de Nancy a souhaité rendre la basilique aux habitants du quartier avant de poursuivre, à partir de 2011, en vue d'achèvement, la restauration de la façade nord. La mise en lumière de la façade restaurée est intervenue samedi 31 janvier pour la première fois, à la tombée de la nuit, et se poursuivra jusqu'au 3 mai. L'animation, qui dure quelques minutes, se renouvelle tous les quarts d'heure, de 18 h 30 à 23 h 30.

     

     

    [d'après l'Est Républicain | 01.02.09]

  • Patrimoine lorrain : vers la fin de la restauration de la basilique Saint-Epvre à Nancy

    La troisième tranche de restauration de la basilique Saint-Epvre sera achevée fin décembre. Il y aura une pause de deux ans avant la poursuite des travaux.

     

    Ding, dong, fait le bourdon de Saint-Epvre. Les responsables du chantier ainsi que les responsables du patrimoine de la ville se bouchent les oreilles. Normal, ils sont à deux mètres des cloches, cachées juste derrière les abats-sons... Onze heures viennent de sonner, mais ce ne sont assurément pas les artisans de la onzième heure qui sont assemblés en plein ciel nancéien, vingt-neuf mètres au-dessus du parvis pour cette réunion de chantier avec Pierre-Yves Caillault, architecte en chef des Monuments Historiques.

     

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    Il s'agit au contraire de jongler avec ce qu'il reste de travail à faire dans les quatre mois, puisque le porche de la basilique doit être débarrassé de ses échafaudages pendant deux ans. Il ne restera que la base vie, au sol, qui sert aussi pour le chantier du Palais ducal tout proche.

     

    On n'en est pas encore là. L’entreprise Chanzy-et-Pardoux ainsi que les Métalliers lorrains s'activent derrière les échafaudages pour remplacer les pierres en mauvais état, souvent tenues par des pièces métalliques, des goujons aujourd'hui corrodés qui ont fait éclater la pierre. La pierre meusienne oolitihique d'Euville (Meuse) forme le gros des blocs utilisées à Saint-Epvre par Prosper Morey, l'architecte de l'église, qui a démarré la construction à la fin du Second Empire. Mais avec le temps, les veines s'épuisent ou leur qualité évolue. Bref, la structure de pierre la plus proche aujourd'hui sur le marché se trouve en Bourgogne, sur les falaises du Mâconnais. Gargouilles et statues les plus abîmées sont emmenées dans l'atelier colmarien de Jean-Luc Schické pour être restaurées par ce sculpteur et ses compagnons. Parfois, la pièce a disparu. « Mais on dispose du catalogue de ce qui existait au moment de la construction de l'église », explique Pierre-Yves Caillault. L'architecte et le sculpteur ont passé de bons moments à imaginer les figures les plus proches des originaux ; Jean-Luc Schické proposant d'abord des modèles en terre, agréés ou non par l'architecte. « Aucune sculpture ne doit ressembler à une autre, et il faut que la grimace soit particulièrement réussie ! » Certaines d'entre elles sont en outre recouvertes de plomb, pour les protéger de l'érosion hydraulique. Pierre-Yves Caillault supervise également le percement de rigoles au pied de certaines statues pour que l'eau s'évacue mieux. « Saint-Epvre a été construite très rapidement, trop rapidement, car il y avait en œuvre des moyens très importants. On y a utilisé des pierres trop massives et souvent de qualité inadaptée ».

     

    détail basilique st epvre.jpgA trente mètres du sol, l'ouvrage prend forme. Comme au Musée lorrain tout proche, le nettoyage se fait en nébulisation par micro-gommage de calcin sous une très faible pression. Si c'est trop abîmé, on change.

     

    Un chantier est encore à ouvrir, la rosace centrale, que le verrier doit restaurer. Mais la partie qui changera le plus pour les Nancéiens, c'est l'horloge. Elle était tellement encrassée qu'elle ne se voyait plus guère. En réalité, elle est enchâssée dans une rosace gothique sur un fond bleu ciel vif qui sera ravivé. « Les chiffres romains seront dorés à la feuille d'or ». On ne verra qu'elle quand les heures sonneront !