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vosgienne

  • Pour l'amour d'une Vosgienne

    Voici une belle déclaration d'amour pour celle qui symbolise le massif des Vosges : la vache de race Vosgienne.

    Si nos Vosgiennes sont rentrées à l'étable pour l'hiver, vous la reconnaîtrez facilement lorsque le printemps sera de retour : c'est cette vache qui porte une bande blanche sur le dos si caractéristique, cette petite vache intelligente et rustique. Une montagnarde avant tout. Et des plus coquettes !

    Son histoire est étroitement liée à son territoire et aux éleveurs qui s'en occupent. C'est dans cet esprit, et pour l'amour de la Vosgienne que l'auteur - vieux montagnard vosgien - présente ce superbe album qui met en lumière bien sûr cette sympathiques Vosgienne, mais aussi les fermiers et leur massif.

    De vallées en sommets, des Vosges lorraines aux Vosges alsaciennes et comtoises, notre auteur est allé à la rencontre de tous les passionnés qui oeuvrent au quotidien pour développer la race Vosgienne dans son milieu de vie. Sa présence et celle des éleveurs avec leurs troupeaux sur les chaumes permettent de garantir la pérennité de ces espaces naturels et vivants.

    Un bel ouvrage servi par de nombreuses photographies couleurs... et des textes plein d'amour pour notre belle Vosgienne !

     

    ‡ Pour l'amour d'une Vosgienne, Richard Brionne, éditions Olizel, 2017, 217 p., ill. (29 €).

  • La Vosgienne, coeur et fierté du massif

    L'ouvrage est plus qu'une ode à cette belle vache rustique si typique de notre montagne vosgienne. C'est aussi un hommage aux irréductibles paysans vosgiens et alsaciens qui, convaincus par ses qualités, ont multiplié leurs efforts pour relancer l'élevage de cette Vosgienne qui allait disparaître.

    Ce beau livre abondamment illustré, notamment avec les dessins d'Olivier Claudon - le dessinateur "officiel" de la Vosgienne ! -, nous convie à une promenade découverte de l'histoire de cette vache "avec de la neige sur le dos" qui contribue à la beauté du massif.

    La Vosgienne est plus qu'un simple bovin. Elle incarne nos Vosges, elle entretient les pâtures et, surtout, elle nous offre un fromage de fabrication traditionnelle symbole de notre montagne : le munster-géromé !

    Un ouvrage qui vous bercera aussi au son de la jolie mélodie des clarines de nos Vosgiennes... Parce que, désormais, notre vache Vosgienne est bien vivante !

     

    ‡ La Vosgienne, cœur et fierté du massif, Martine Huot-Marchand, éditions Gérard Louis, 2017, 152 p., ill. (25 €).

  • Le fromage de la Vosgienne

    Dans la cave d’affinage de la ferme « Au petit gravier » à Saulxures-sur-Moselotte, il est un fromage que Laura Vaxelaire surveille comme le lait sur le feu. C’est le petit dernier : Cœur de massif.

    Sous une croûte qui s’est bien développée depuis la fin juillet, la pâte a sans doute commencé à révéler ce côté souple et fruité qui est recherché par ses concepteurs : les éleveurs de l’organisme de sélection de la race bovine vosgienne.

    « Cela fait deux ans que l’on travaille sur ce fromage à base de lait de vosgiennes. Au départ, on voulait que cette race ait son munster, explique Lionel Vaxelaire, propriétaire d’un troupeau d’une trentaine de têtes. Mais on s’est rendu compte que l’on ne faisait pas le poids. »

    C’est alors que l’organisme présidé par Florent Campanello, éleveur de vosgiennes en Alsace, a pensé élaborer son propre fromage. « On voulait un fromage de garde, style tomme ou bargkass », précise Lionel Vaxelaire qui, avec ses deux associés Claude et Laura, transforme déjà le lait de ses bêtes pour en faire plusieurs spécialités : petits frais, bargkass, munster, camembert, yaourt… « Là, on voulait quelque chose d’un peu différent de ce qui se fait dans chacune des fermes ; on recherchait une recette unique », résume Laura Vaxelaire qui s’est totalement investie dans le projet.

    Des éleveurs du massif, qu’ils soient en exercice sur le versant alsacien ou vosgien, ont donc apporté leur spécialité maison pour qu’elle soit dégustée. « Puis on a goûté les tommes des autres régions de France et on a défini ce que l’on voulait », raconte Lionel qui fait partie des huit éleveurs qui se sont dévoués à la cause du "Cœur de massif". Une cause qui n’est pas seulement gastronomique ; l’ambition est aussi et surtout de développer la race vosgienne sur une zone allant du nord des Vosges à la limite de la Moselle jusqu’au nord de la Haute-Saône.

    À partir de là, avec l’aide et les conseils d’une technicienne de l’association des producteurs de munsters fermiers, quatre recettes différentes ont été mises au point. Elles ont été départagées après dégustation par le groupe de travail. « Il a ainsi été décidé qu’après deux mois et demi voire trois mois d’affinage, c’était le meilleur moment pour manger ce Cœur de massif », informe Laura qui a la charge de faire « mûrir » les fromages maison à la ferme à Saulxures.

    On ne saura donc pas grand-chose de la recette retenue ; secret de fabrication oblige. Tout ce que l’on sait, c’est que les premiers fromages (dont le nom a été déposé) ont déjà été moulés et mis à l’affinage par les huit éleveurs de vosgiennes formés. De manière à ce que ces spécialités puissent être apportées, découpées, goûtées et appréciées lors des Journées d’octobre de Mulhouse, salon qui draine jusqu’à 140 000 visiteurs. En tout cas, à Mulhouse où il fera sa première sortie officielle comme dans les Vosges, le Cœur de massif fait déjà saliver. Mais attention, il n’y en aura pas pour tout le monde !

    [d'après Vosges Matin]

  • La vache Vosgienne devient une marque

    [VM]

  • La Nouvelle revue lorraine : il faut sauver la basilique de Domrémy

    Le numéro 8 de La Nouvelle revue lorraine est paru. Comme à l'accoutumée, le sommaire est riche de nombreux articles sur l'histoire de la Lorraine et la vie des Lorrains de tous les temps.

    nrl8.jpgDans ce numéro printanier, le lecteur lira un appel pour le sauvetage de la basilique du Bois-Chenu de Domrémy. En effet, l'édifice nécessite des travaux d'urgence : la toiture, en particulier, est en mauvais état et met en péril la structure du bâtiment.

    La visite dans les couloirs de l'histoire de la Lorraine se poursuit notamment avec les histoires méconnues de l'abbaye de Haute-Seille, la pêche au saumon à Metz, un atelier méconnu de menuisiers à Benney, le temps du paternalisme à Thaon-les-Vosges, la Vosgienne une vache qui revient de loin, le portrait d'un curé de paroisse, la tragédie de la vallée de Celles durant la Grande Guerre, des souvenirs de patronage, la découverte d'un artiste talentueux Edmond Kempf, une visite à Mousson haut lieu du duché de Bar... Et de nombreuses anecdotes et les rubriques habituelles (les info's lorraines, les livres).

     

    La Nouvelle revue lorraine est en vente en librairie (6,50 € le numéro) ou par abonnement (36 € pour 6 numéros) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement à : La Nouvelle revue lorraine, Jean-Marie Cuny, le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Salon de l'Agriculture : la Vosgienne à l'honneur

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    [Le Paysan Lorrain | 14.01.2011]

  • Sauvegarder l'habitat traditionnel avec la Communauté de communes de la Saône vosgienne

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    [Vosges Matin | 02.08.09]