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Notre histoire - Page 77

  • Metz : comité d'accueil anti-mariage homo' pour la ministre de la Culture

    La ministre de la Culture, Aurélie Philipetti, était en visite à Metz ce vendredi 12 avril 2013 à l'occasion du salon du livre.

    Elle a été accueillie "chaleureusement" par quelques 200 manifestants anti-mariage homo'...

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    Manif' pour Tous et tous contre le mariage homosexuel à Metz.

     

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  • Heurs et malheurs du patrimoine chrétien vosgien

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    [Vosges Matin]

  • Droiteval (88) : DOP en assemblée générale le 19 avril

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    L'association Droiteval-Ourche-Patrimoine tiendra son assemblée générale annuelle vendredi 19 Avril 2013

    Convocation AG 2013 DOP.pdf

     
    Les participants qui le souhaitent pourront terminer la soirée en toute convivialité par un repas sur le thème de ʺla Vallée de l'Ourcheʺ. Le prix de ce repas est fixé à 15 euros, boisson comprise.
     
    Si vous souhaitez participer à ce repas, n'oubliez pas de vous inscrire, par mail avant le 16 Avril 2013, à l'adresse de l'association : droiteval-ourche-patrimoine@orange.fr
  • Au péril de la vérité

    fischer.JPGAlors qu’elle n’a que dix-huit ans, Anne prend le premier train pour Paris et fuit la Lorraine où elle se jure de ne jamais remettre les pieds. Mais, vingt ans plus tard, sa mère se meurt et, par devoir, elle revient à son chevet, à Nancy. C’est alors que dans les couloirs de l’hôpital, son passé resurgit au détour d’une phrase anodine : « On se retrouvera. »

    Installée provisoirement chez sa mère, elle découvre un dossier fait de lettres et de coupures de journaux. Des affaires laides, sordides. Qui était sa mère ? Que cachait-elle ? Quels liens secrets l’unissaient à son amie d’enfance et au fils de celle-ci, un obsédé, un monstre ? Comment expliquer le silence d’une femme qui n’a pas su, pas pu ou pas voulu protéger sa fille ?

    Journaliste, Elise Fischer a écrit plusieurs romans dont Trois reines pour une couronne, Les Alliances de cristal, Le Rêve de la Grenouille, Les Amours de la Grenouille et Les Larmes et l’Espoir (avec Geneviève Senger). Ses romans ont reçu de nombreux prix : Feuille d’or de Nancy, Prix de l’Association Le Printemps du Livre lorrain, Prix des Conseils généraux de Lorraine.

     

    ‡ Au péril de la vérité, Elise Fischer, éditions Presses de la Cité, coll. Terres de France, 240 p. (21 €).

  • Circourt-sur-Mouzon (88) : église restaurée avec le soutien de la Fondation du Patrimoine

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    [L'Abeille de Neufchâteau]

  • L'Echo des Trois Provinces : autour de l'évènement "Natur'images"

    echo 163.jpgUn numéro annonciateur du printemps. L'Echo des Trois Provinces d'avril-mai 2013 s'ouvre sur une première de couverture très nature ! Les lecteurs y découvriront un sommaire toujours aussi représentatif des activités et de la vie des habitants de ces confins de la Lorraine, de la Franche-Comté et de la Champagne.

    A lire dans ce numéro 163 :

    - la roche basse du Mulot, un site néolithique à Bleurville

    - le travail des femmes en Haute-Saône : la dentelle à Montureux-lès-Baulay

    - les prisonniers de guerres Bretons à Isches

    - poèmes et poésies

    - Natura 2000 : la Vôge s'engage pour la protection des chiroptères

    - Passavant-la-Rochère : l'histoire d'Olivier

    - Les Voivres : la gastronomie jointe au culturel

    - histoire de la cuisine

    - Le chasseur de La Mothe

    - Saint Vincent fêté à Coiffy

    - trois sculpteurs au service des Trois Provinces

    - Natur'images à Tignécourt

    Et la rubrique des associations et des animations programmées au cours d'avril-mai.

     

    ‡ L'Echo des Trois Provinces est disponible sur abonnement (24 €) en adressant vos coordonnées postales et votre règlement à : ADP3P, Luce Mouthon, 3 bis route du Void d'Escles, 88260 ESCLES. 

  • Assemblée générale de Saône Lorraine au château de Lichecourt

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    Château de Lichecourt, Vosges.

     

    L'association Saône Lorraine tiendra son assemblée générale annuelle

    au château de Lichecourt

    (Vosges, à proximité de Darney)

    dimanche 21 avril 2013 à 10h00

    L'AG sera suivie d'un repas servi à la salle polyvalente de Nonville.

  • La Barrette d'avril de Saint-Pierre-des-Latins de Nancy

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    Blason du pape François

     

    Découvrez La Barrette d'avril, bulletin de la Communauté de Saint-Pierre-des-Latins de Nancy :

    Bulletin La Barrette avril 2013.pdf

    Vous pouvez recevoir La Barrette chaque mois chez vous. Il vous suffit de vous y abonner en renvoyant le bulletin ci-joint :

    Abonnement La Barrette de Saint-Pierre-des-Latins.pdf

  • Belrain (55) : adieu à la rue « Maréchal-Pétain »

    Les élus de Belrain, village meusien situé à une quarantaine de kilomètres de Verdun, sont victimes du « politiquement et historiquement correct » qui sévit depuis quelque temps en France… Ils ont lancé une consultation auprès de la population pour trouver un nouveau nom à la rue du Maréchal-Pétain.

    rue-petain-a-belrain.jpgLa rue au nom du maréchal Pétain, la dernière en France, a été débaptisée et sera prochainement renommée après une consultation de la population.

    « La rue Pétain existait depuis les années 1930, en hommage au vainqueur de Verdun, sans que cela ne fasse véritablement de remous », a expliqué Patrick Gondouin, maire de la commune qui compte une quarantaine d’habitants. « Mais lorsque j’ai été élu maire en 2008, ça m’avait titillé: je me doutais qu’un jour ou l’autre, ça allait poser un problème », a-t-il poursuivi.

    petain.jpgLa rue a finalement été débaptisée le 14 mars, à l’issue d’un conseil municipal extraordinaire, par sept voix pour et une contre.

    L’élu a alors lancé une consultation auprès de la population pour trouver un nouveau nom à la rue. Parmi les propositions des administrés, quatre propositions se détachent, dont celle de Dom Grégoire Berthelet, un enfant du pays né en 1680, moine bénédictin spécialiste du droit canon, ou des noms en rapport avec le lieu de la rue », a souligné le maire.

    Le conseil municipal de la commune devra trancher lors d’une prochaine réunion, courant avril, a-t-il encore indiqué.

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    Plaque de rue au nom du "Maréchal Pétain" à Belrain : bientôt un souvenir... [cliché RL]

     

    [d’après AFP]

  • La Meurthe-et-Moselle de nos aïeux

    Meurthe_0020_et_0020_moselle2.jpgCet ouvrage nous entraîne à la découverte d'un monde aujourd'hui révolu et nous invite à retrouver les villes et villages de Meurthe-et-Moselle telles qu'ils étaient jadis, à l'époque de nos grands-parents, voire arrières-grands-parents... Ce n'est pas très loin de nous et pourtant l'environnement de nos cités et la vie de leurs habitants ont radicalement changé.

    En ce temps-là, on n'avait ni télévision, ni téléphone, ni salle d'eau, ni appareils ménagers. On faisait la lessive au lavoir communal ou dans la rivière, devant les fermes s'agglutinaient véhicules, matériels agricoles, tas de bois et tas de fumier !

    D'Allain à Vathiménil en passant par Nancy, Longwy et Toul, à travers plus d'une centaine de cartes postales anciennes d'une sélection de localités meurthe-et-mosellanes, La Meurthe-et-Moselle de nos aïeux nous permet de renouer avec notre passé, avec celui de nos ancêtres - pour la plupart paysans ou modestes ouvriers -, de mesurer l'évolution de la société et de mieux comprendre nos racines.

     

    ‡ La Meurthe-et-Moselle de nos aïeux, Jean-Claude Berrar, éditions Serpenoise, 2013, 135 p., cartes postales anciennes (19 €).

  • Pont-à-Mousson (54) : Journées d'histoire régionale les 13-14 avril

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  • La Nouvelle revue lorraine n° 19 : Patricia Kaas la Lorraine

    NRL19.jpgOn ne pourra plus faire le reproche à La Nouvelle revue lorraine d'être passéïste et de se réfugier dans l'histoire des Lorrains d'hier ! Avec ce numéro, Jean-Marie Cuny est résolument contemporain en donnant la parole à Patricia Kaas, la chanteuse lorraine désormais connu dans le monde entier. Coup de chapeau aussi à des Lorrains, certes moins connus, mais qui oeuvrent cependant depuis 20 ans au sauvetage d'un site johannique : l'ermitage de Bermont, dans les Vosges. Gage d'avenir aussi avec un retour sympathique sur le mariage de SAIR Christoph de Habsbourg-Lorraine et d'Adélaïde célébré à Nancy en décembre dernier.

    A lire aussi dans ce nouveau numéro :

    - Jean-Paul Marchal, maître imagier

    - Gaspard de Pernes, commandeur de Libdeau et de Xugney, et son célèbre baume

    - Le chevalier de Jaulny

    - Guy de Larigaudie, un scout de légende

    - Metz et l'héritage de l'annexion

    - La victoire de Coué

    - François Richard, peintre-décorateur

    Et de nombreuses anecdotes lorraines ainsi que les rubriques habituelles : les info's lorraines, les livres...

     

    ‡ La Nouvelle revue lorraine, n° 19, avril-mai 2013. En librairie ou sur abonnement en adressant ses coordonnées postales et le règlement (38 €, 6 numéros) à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

  • 3 avril 1913 : un Zeppelin allemand se pose à Lunéville

    Il y a cent ans, le 3 avril 1913, un Zeppelin se posait sur le Champ-de-Mars de Lunéville. L’événement eut un retentissement international.

    lunéville1.jpgCe jour-là, un dirigeable allemand contraint à cet atterrissage forcé, en zone sinon ennemie, du moins allant le devenir, par les conditions météorologiques.

    Un siècle plus tard, alors que l’on s’apprête à commémorer le début de la Première Guerre mondiale, l’arrivée inopinée à Lunéville de ce Zeppelin, aux dimensions impressionnantes, fait sourire. Et pourtant, assure Guy Lejaille, auteur d’un livre de référence sur le sujet, on passa fort près d’un incident diplomatique majeur ; l’accusation d’espionnage pleuvant sur l’aéronef, que l’on laissera pourtant s’envoler dès le lendemain, 4 avril.

    « En fait, les officiers prussiens, placés sous les ordres du capitaine Glüntz, étaient en mission pour tester ce Zeppelin IV, qui venait de sortir des usines de Friedrichshafen le 14 mars précédent. C’était le plus gros dirigeable que l’homme ait jamais conçu, le seizième de la couvée des Zeppelin. Ils avaient décollé d’Allemagne aux aurores, mais furent vite confrontés à des conditions météorologiques désastreuses. Du vent, beaucoup de vent, l’ennemi juré des dirigeables. Et le brouillard. Ce jour-là d’ailleurs, aucun avion n’avait pris l’air ! »

    lunéville2.jpgLe Zeppelin survolera la Haute-Saône et les Vosges avant d’atterrir vers une heure et quart à Lunéville dans des conditions difficiles, mais son champ de manœuvres offrait l’espace suffisant aux aérostiers pour poser leur mastodonte. Ils furent aidé par les cavaliers du 17e Chasseurs, qui amarrèrent le dirigeable avant qu’il ne devienne l’attraction du jour. Il le resta jusqu’au lendemain, le Zeppelin IV, pansé et réparé par des équipes de mécaniciens venues d’Allemagne, reprenant la voie des airs le 4 avril, en milieu de journée, pour rejoindre Metz, son port d’attache allemand. Et obtenir ainsi son homologation.

    Ce n’était pas de l’espionnage, mais le dirigeable avait survolé le fort de Manonviller, et la situation géopolitique ne prêtait pas à sourire, moins encore dans notre région soumise à un légitime esprit de revanche et où étaient nombreux les Alsaciens-Lorrains ayant opté pour la France.

    lunéville3.jpgUne médaille de propagande frappée en Allemagne tance d’ailleurs les officiers et ingénieurs français venus visiter et photographier l’intérieur de l’engin responsable du trouble public.

    En France, mais aussi à l’étranger, les cartes postales éditées à Lunéville circulèrent rapidement, tandis que les caricaturistes s’emparaient de l’affaire, qui mobilisa militaires, sous-préfet, notables, journalistes, procureur, douaniers, ambassadeurs…

    [d'après Est Républicain]

  • Bleurville (88) : un don exceptionnel pour restaurer l'abbaye Saint-Maur !

    Eglise St Maur 09.06 (2).jpgVoici quelques jours, le président de l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville, association propriétaire de l'ancienne abbaye bénédictine du village, a reçu un courrier des Etats-Unis. Une extraordinaire bonne nouvelle pour la vénérable abbaye vosgienne !

    En effet, un couple de riches américains souhaitent faire un don de 800 000 $ pour la restauration de l'abbaye et du prieuré adjacent. Ces américains, dont les ancêtres bleurvillois de monsieur sont partis faire fortune en Amérique au XIXe siècle, ont découvert sur Internet l'existence et l'histoire de notre antique abbaye du XIe siècle, et en sont tombés immédiatement amoureux au point de vouloir faire une donation exceptionnelle en faveur de sa restauration. Une véritable bénédiction du ciel pour les membres de l'association qui, depuis près de 40 ans, font preuve de ténacité et de courage pour sauver ce patrimoine du premier âge roman en Lorraine !

    Le printemps devrait accueillir ces providentiels donateurs à Bleurville afin de finaliser l'opération. Nous tiendrons bien entendu informé nos lecteurs de la suite de ce dossier.

    L'avenir est désormais assuré pour l'abbaye Saint-Maur de Bleurville !

     

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    Il s'agissait - malheureusement ! - d'un poisson d'avril...

    Les animateurs de l'abbaye Saint-Maur de Bleurville aimeraient que ce doux espoir devienne une réalité... comme pour tant d'autres sites patrimoniaux lorrains.

    Peut-être, un jour...

     

  • Aulnois (88) : un blason pour la commune

    La municipalité d'Aulnois, dans le canton de Bulgnéville, vient de créer un blason pour la commune.

    blason aulnois.jpgLes armes d'Aulnois intègrent celles de la famille De Vergy, alliée aux Bauffremont, (de gueules à trois quintefeuilles d'or) qui était seigneur en partie d'Aulnois. Les armes des De Vergy se lisent encore dans l'église paroissiale qui fut consacrée en 1526.

    L'épée sur fond d'azur représente l'attribut de saint Paul qui est le patron de l'église d'Aulnois.

    Enfin, une branche d'aulne avec feuilles, fleurs et fructification symbolise cet arbre présent sur le ban communal qui a donné son nom au village : Aulnoy-sous-Beaufremont puis, désormais, Aulnois.

    [remerciements à Monsieur le Maire d'Aulnois pour la communication du blason et les explications héraldiques]

  • Chez les Amis d’Alfred Renaudin

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    Les poules devant le pigeonnier, Alfred Renaudin.

     

     

    Nous vous proposons de consulter le compte-rendu de l'AG des Amis d'Alfred Renaudin qui s'est tenue récemment à Val-et-Châtillon (54).

    PV AG AMIS ALFRED RENAUDIN 2012.pdf


     

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    [ER]


    L’association des Amis du peintre Alfred Renaudin s’est donnée pour objectif d’effectuer des recherches sur sa vie et ses œuvres et, notamment, recenser sa production picturale en vue d’éditer un ouvrage pour le 150e anniversaire de sa naissance qui sera célébré en 2016.


    ‡ Pour adhérer à l’association : cotisation de 10 € (membre simple) ou 100 € (membre bienfaiteur) à envoyer avec vos coordonnées postales à : Olivier BENA, 8 rue Beau-Soleil, 54480 VAL-ET-CHATILLON

  • L'anneau de Curmilla

    curmilla.jpgUne BD gallo-romaine (sans Astérix et Obélix... mais avec des Médiomatriques) ! C'est ce que propose aux lecteurs la communauté d'agglomération Metz Métropole et le Musée de la Cour d'Or de Metz.

    Au IIe siècle de notre ère, l'Empire romain est à son apogée. Une paix durable favorise l'essor de l'urbanisme et les villes sec ouvrent de monuments luxueux.

    A Divodurum - Metz à l'époque romaine -, dans la cité des Médiomatriques, l'aqueduc récemment bâti alimente les salles des thermes pour le bonheur des habitants qui profitent allègrement des bienfaits du cycle des bains. Un jour, Julia et sa fille Curmilla se rendent aux thermes... L'occasion pour l'adolescente gallo-romaine de retrouver un anneau qu'elle croyait disparu et d'en découvrir davantage sur ses ancêtres celtes.

    Voici une BD originale qui s'inspire de faits réels. Kévin Kazek a en effet puisé dans la riche histoire de la cité messine pour écrire le texte de cet ouvrage destiné avant tout aux enfants et adolescents - mais aussi aux parents ! - ; les découvertes archéologiques réalisées à Metz et dans les environs lui servent à bâtir un texte sur d'agréables illustrations dues à Randy Agostini.

    Quelques pages pédagogiques expliquent simplement l'histoire de notre jeune héroïne, les monuments et objets cités. Pour appréhender agréablement une période qui fut à la fois riche et sereine dans ce qui deviendra, quelques siècles plus tard, la Lorraine.

     

    ‡ L'anneau de Curmilla, Kévin Kazek et Randy Agostini, éditions Le Buveur d'encre, 2012, 56 p. (12,90 €).

  • Dimanche de Pâques : résurrection de N.-S. Jésus-Christ

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    La Résurrection, Le Titien.

     

    Resurréxi, et adhuc tecum sum, allelúia : posuísti super me manum tuam, allelúia : mirábilis facta est sciéntia tua, allelúia, allelúia. Dómine, probásti me et cognovísti me : tu cognovísti sessiónem meam et resurrectiónem meam.

    [Introït de la messe de Pâques]

     

     

    Je suis ressuscité, et je suis encore avec Vous, Alléluia ! Vous avez posé votre main sur moi, alléluia ! Votre sagesse a fait des merveilles, alléluia, alléluia !

    Seigneur, Vous m’avez éprouvé et vous me connaissez : vous avez été témoin de ma mort et de ma résurrection.

     

    Images de la veillée pascale célébrée par l'abbé Ayéméné, curé des paroisses Notre-Dame de la Saône et Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel, en l'église Saint-Pierre-aux-Liens de Bleurville...

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    [clichés ©H&PB]


  • Grand-la-Romaine (88) : une maison de maître des Ier-IIIe siècles

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    [source : Rapport d'activité IRAP 2011]

  • La Haute-Saône, pays d'histoire

    vmf70.jpgAllez, petite incursion chez nos voisins francs-comtois avec le dernier numéro de la revue Vieilles Maisons Françaises consacrée au département de la Haute-Saône.

    Des quatre départements composant la Franche-Comté, celui de la Haute-Saône, le plus septentrional confinant à la Lorraine et à la Champagne, est sans doute le moins connu. C'est mal rendre justice à un territoire dont les paysages préservés offrent un écrin de choix à un patrimoine d'une grande diversité : maisons Renaissance des bourgs et des villages, forges et hauts-fourneaux, témoignages d'une tradition métallurgique née au XVe siècle dans la vallée de la Saône, demeures de plaisance de parlementaires bisontins, profusion d'églises à clochers comtois, de lavoirs, de fontaines et d'édifices publics néoclassiques du XVIIIe siècle - un riche bâti destiné à panser les plaies des guerres du XVIIe -, maisons vigneronnes, châteaux de toute époque...

    Chaque siècle a laissé ici sa marque au fil d'une histoire mqui se lit partout et que la prestigieuse revue VMF vous invite à découvrir.

     

    ‡ Revue VMF, La Haute-Saône, pays d'histoire, n° 248, mars 2013 (9,70 €). En vente en librairie ou par abonnement sur www.vmfpatrimoine.org 

  • Les Amis d'Alfred Renaudin en visite au Centre d'interprétation de la Première Guerre mondiale

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    [ER]

  • "Jésus-Christ", par le R.P. Berthe

    jésus christ.jpgDepuis la publication du livre d'Ernest Renan en 1863 sur Jésus, qui a créé un scandale car il remettait en cause la véracité de beaucoup de récits de l'Evangile sans contester son existence, de nombreux auteurs et chercheurs se sont penchés sur ce personnage en soutenant différentes thèses. Dans son récent livre Jésus, l'historien Jean-Christian Petitfils a fait le point sur le Jésus historique en intégrant le dernier état des découvertes, notamment archéologiques.

    Le présent ouvrage a un tout autre but. Il ne fait aucune exégèse de la véracité des Evangiles. Le Révérend Père Berthe expose en revanche, dans une langue vivante et très imagée, les différents épisodes de la vie du Christ, ce qui en fait une biographie fascinante et, bien que publiée en 1922, elle conserve toute sa fraîcheur et son actualité pour notre monde d'aujourd'hui. On découvre ainsi certains détails de la vie de Jésus, même si on en connaît quelques bribes à la lecture des Evangiles.

    Voilà pourquoi ce livre, publié il y a presque un siècle, tiré à près d'un million d'exemplaires et qui a rencontré à l'époque un immense succès, est un complément indispensable pour les croyants - mais également pour les agnostiques ou les hommes en recherche de Dieu - de la connaissance souvent parcellaire qu'ils ont de cette personnalité hors du commun et qui est le fondateur, il y a 2000 ans, de la religion la plus importante de l'histoire de l'humanité.

    Et comme l'a encore écrit récemment Sa Sainteté le pape Benoît XVI : "c'est la vie du Christ qui nous interpelle". Alors, n'hésitons pas à redécouvrir - ou à découvrir ! - cette vie étonnant à plus d'un titre en cette Année de la Foi voulue par notre pape Benoît XVI, désormais émérite.

     

    ‡ Jésus-Christ, R.P. Berthe, éditions France-Empire, 2013, 491 p. (22 €).

  • Vendredi Saint : Passion et mort de N.-S. Jésus-Christ

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    Mise au tombeau (bois, école rhénane, XVe s.), église de Monthureux-sur-Saône (Vosges) [cliché ©H&PB]

     

    Deus, qui peccáti véteris hereditáriam mortem, in qua posteritátis genus omne succésserat, Christi tui, Dómini nostri, passióne solvísti : da, ut, confórmes eídem facti ; sicut imáginem terréni, natúrae necessitáte portávimus, ita imáginem caeléstis, grátiae sanctificatióne portémus. Per eúndem Christum Dóminum nostrum. 

    [prière de l’office du Vendredi Saint] 


    O Dieu, vous avez détruit par la passion de votre Christ, notre Seigneur, la mort que nous valait de père en fils le péché originel, et par où passaient toutes les générations : accordez-nous de nous identifier à votre Fils ; et de même que notre origine terrestre nous avait fatalement marqués de l’empreinte de la terre, de même votre grâce céleste nous marquera de son action sanctifiante.


     

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    Piéta, XVIe s., basilique Saint-Epvre, Nancy [cliché ©H&PB]

     

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    Vendredi Saint : Chemin de Croix, paroisse Saint-Epvre, Nancy

    [clichés ©H&PB]


  • Domremy (88) : le spectacle "Voix et lumière de Jehanne" en préparation

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    [Vosges Matin]

  • Nancy : Renaissance de la porte Saint-Georges

    Les marches sont déglinguées et le béton s’en va par plaques. Arrivés sur la terrasse supérieure, avec vue sur les étages inférieurs qui font un peu décharge, voici la salle de spectacles du Cercle du travail, tout en bois, et pas en très bon état non plus.

    denis-grandjean-adjoint-au-patrimoine-la-porte-sera-renovee-grace-a-un-budget-d-1-3-m-photo-denis-mousty.jpgCe Cercle est un monument historique, créé en 1876 pour venir en aide aux vieux travailleurs démunis, et pour les cultiver et les distraire. Aujourd’hui encore, on y collectionne pour les anciens les cours et les distractions, les animations et les formations, dans une excellente atmosphère. Problème, les habitués du Cercle, qui sont les vrais habitants de la porte Saint-Georges, sont nécessairement âgés et peu ingambes. Les travaux de rénovation en cours, ils en seront les premiers bénéficiaires, puisqu’un ascenseur va pouvoir être installé.

    Les travaux, qui sont devenus prioritaires grâce au mot magique « Nancy Renaissance 2013 » sont en fait commencés depuis février. Il y en a pour treize mois de travaux et Nancy Renaissance sera finie quand la pimpante porte Saint-Georges sera délestée de ses échafaudages, dans un an. Les travaux auront coûté 1,3 M€, l’essentiel payé par la ville, mais 300.000 € à la charge de l’Etat, 126.000 € du département et, enfin, ERDF, 100.000 €. Que vient faire la société publique dans cette galère ? En fait, ERDF est très souvent mécène, mais de surcroît, un de ses transformateurs bouche malencontreusement la vue sur une des deux échauguettes érigées de chaque côté de la porte entre 1606 et 1619. La société va donc la supprimer et la réinstaller de façon invisible un peu plus loin, sans que cela n’entraîne de coupures de courant pour les voisins. Et cet effort méritoire se double du pilotage d’un chantier d’insertion qui permettra à des jeunes en difficulté d’abord de construire des bancs en bois (vérifiés comme toute l’opération par l’architecte en chef de Monuments historiques Pierre-Yves Caillault), puis d’installer le petit théâtre de verdure, aménagement principal, en dehors des habituelles reprises de voûte, consolidation et nettoyage des façades. Ce théâtre a déjà son soubassement, car il y a plusieurs niveaux de sol dans la friche actuelle.

    Et bien sûr, il est prévu de mettre bas le très vilain escalier. A la place ? Rien, car il y a un bel escalier en pierre invisible actuellement qui va être dégagé et réutilisé pour permettre un nouvel accès à pied à la terrasse supérieure.

    Mon tout sera magnifique. Car cette porte, qui remplaça celle des Moulins est du plus pur style Renaissance et on ne pourra qu’admirer mieux encore la statue équestre de saint Georges, la sphinge et ses guerriers casqués monumentaux qui gardent l’est nancéien, chef-d’œuvre du sculpteur Florent Drouin.

    [d’après L’Est Républicain | Guillaume MAZEAUD]

  • Itinéraire de l'abbé Grégoire, évêque révolutionnaire

    abbé gregoire.jpgLes Lorrains savent que Henri Grégoire, né à Vého en 1750, devint curé d'Emberménil en 1782 puis député et évêque de l'Eglise constitutionnelle. Nous souvenons nous aussi qu'il est entré au Panthéon en 1989, lors du bicentenaire de la Révolution française, sans faire l'unanimité notamment d'une partie de l'Eglise catholique mais aussi de nombreux intellectuels pour lesquels le combat de l'abbé Grégoire en faveur de l'émancipation des juifs était entaché des préjugés antisémites propres à son époque.

    Depuis près de deux siècles, en effet, la mémoire de cet évêque qui approuva la Constitution civile du clergé, ne s'opposa pas à la condamnation à mort du roi Louis XVI et poursuivit sous l'Empire une carrière politique, est aussi louée que décriée. Ses thuriféraires mettent en avant son combat pour l'abolition de l'esclavage et ses détracteurs rappellent sa volonté d'éradiquer les langues régionales...

    Alors, Grégoire, apôtre radical de la Révolution ou défenseur des minorités opprimées ?

    C'est le mérite de cet ouvrage que de rappeler, au fil d'un portrait intellectuel nuancé, la complexité d'une pensée qui fut d'abord théologique, et de l'inscrire à la fois dans une généalogie spirituelle et dans les enjeux philosophiques de son temps : l'abbé Grégoire fut d'abord un catholique fervent, dont la vision millénariste a fait de la Révolution l'étape nécessaire au règne de Dieu sur la terre. De quoi expliquer bien des contradictions apparentes, et bien des prises de position qui peuvent apparaître aujourd'hui comme marquées du sceau de l'anachronisme ou des préjugés.

    Caroline Chopelin est professeur agrégée spécialiste de l'histoire religieuse du XVIIIe siècle, et Paul Chopelin est maître de conférences en histoire moderne à l'Université de Lyon-3, spécialiste de l'histoire politique et religieuse des XVIIIe-XIXe siècles.

     

    ‡ L'obscurantisme et les Lumières. Itinéraire de l'abbé Grégoire, évêque révolutionnaire, Caroline et Paul Chopelin, éditions Vendémiaire, 2013, 281 p. (20 €).

  • Visitez "Le Trésor du Saint-Sépulcre" avec les Amis du Musée d'Epinal

    st sepulcre.jpgLe château de Versailles accueille du 16 avril au 14 juillet 2013 l’exposition « Le Trésor du Saint-Sépulcre », dont le commissariat est assuré par Jacques Charles-Gaffiot, historien et amateur d’art bien connu des Lorrains pour son action en faveur de la connaissance de la Maison de Lorraine et du mobilier du château de Lunéville.

    Renfermant des objets aussi symboliques que l’épée et les étriers de Godefroy de Bouillon, le Trésor du Saint-Sépulcre est constitué d’extraordinaires œuvres d’art destinées à rehausser la splendeur de la basilique du Saint-Sépulcre ainsi que de celles de Bethléem puis, plus tard, de Nazareth.

    Adressés tout au long de l’histoire par des fidèles et des pèlerins, ces présents témoignent d’une grande diversité. Les plus insignes d’entre eux furent offerts par les principaux souverains européens. Pour la France, les Bourbons perpétuent cette tradition : ainsi Louis XIV fait-il expédier de somptueuses pièces d’orfèvrerie. En 1686, la Sérénissime République de Gênes offre un des plus extraordinaires ornements jamais réalisés, brodés de fil de soie polychrome. Mais, plus encore que toutes les autres nations, l’Espagne déploie un faste culminant dans une orfèvrerie d’or massif qui peut être jugée sans équivalent dans le monde.

    Les Amis des musées et de la Bibliothèque multimédia intercommunale d’Epinal organisent un voyage à Versailles le 20 avril 2013 avec visite de l’exposition « Le Trésor du Saint-Sépulcre » et du château de Versailles.


    ‡ Pour s’inscrire, imprimer ou recopier le formulaire ci-joint et envoyez-le avant le 6 avril accompagné du règlement à : Dr Pascal SCHMIDT, 20 quai des Bons-Enfants, 88000 EPINAL

    ‡ Bulletin de réservation ici Réservation voyage Versailles_Le Trésor du Saint-Sépulcre.pdf

  • Metz et Guillaume II : l'architecture publique à Metz au temps de l'Empire allemand (1871-1918)

    Metz et guillaume II.jpgA la suite de la guerre franco-prussien de 18701871, la France perd l'Alsace et une grande partie de la Lorraine. Ces territoires sont réunis pour former le district de la Lorraine allemande au sein du Reichsland d'Alsace-Lorraine. Ainsi, jusqu'en 1918, une frontière sépare la Lorraine en deux : d'un côté la Lorraine annexée par le jeune Empire allemand et, de l'autre, la Lorraine française.

    En raison de la position stratégique de la ville, et pour prévenir toute tentative française de reconquête, l'état-major allemand attacha une importance primordiale à l'annexion de Metz, devenue capitale de la Lorraine allemande. La ville de garnison, aux portes de la France, devint ainsi l'une des villes les plus fortifiées du monde. En même temps, les autorités allemandes s'efforcèrent de placer Metz et sa région sous l'influence culturelle de l'Empire.

    Ce contexte tout à fait particulier se reflète naturellement sur l'architecture et soulève plusieurs questions : quels messages politiques peut-on trouver dans l'architecture des bâtiments construits à cette époque ? Existe-t-il un style "allemand prussien" et un style inspiré de la tradition française ? Peut-on globalement y voir une provocation ?

    Dans cet ouvrage sont étudiées les constructions dirigées par des représentants de l'Empire, dont les ministères d'Etat de Berlin et la maison impériale d'une part, et les projets initiés par des institutions régionales ou locales, comme le gouvernement d'Alsace-Lorraine à Strasbourg ou les conseils municipaux, d'autre part.

     

    ‡ Metz et Guillaume II. L'architecture publique à Metz au temps de l'Empire allemand (1871-1918), Niels Wilcken, éditions Serpenoise, 2013, 129 p., ill. (25 €).