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Histoire & Patrimoine Bleurvillois - Page 67

  • La Meuse est envahie : août-décembre 1914

    meuse.jpgLe Conseil général de la Meuse avec les éditions du Qotidien poursuivent la publication du périodique consacré à la Grande Guerre dans le département. Dans ce deuxième opus, les auteurs nous font revivre l'invasion de la Meuse par les troupes allemandes.

    Après avoir reculé sur tout le front lors des batailles des frontières, les Français se reprennent. Après la bataille de Nancy, la bataille de la Marne sauve la France du désastre, brise le plan de guerre de l'Allemagne et détruit le mythe de l'invincibilité de l'état-major de Berlin. Mais si éclatante qu'elle apparaisse alors, la victoire française prolongée au Grand Couronné, est loin d'être décisive. En effet, les armées franco-britanniques n'ont pu ou n'ont su exploiter leur avantage. D'abord parce que trop épuisées et affaiblies, elles ne peuvent se lancer à leur poursuite ; ensuite, parce que les Allemands ont redéployé une partie de leurs forces.

    La guerre est loin d'être finie. La Meuse se retrouve au cœur des combats. L'état-major allemand reprend sa tentative d'encerclement de Verdun. La vieille citadelle ne tombera pas mais Saint-Mihiel est occupé.

    Finalement, le front est consolidé depuis la mer du Nord jusqu'à la frontière suisse. La guerre des tranchées commence ; personne ne songe à la paix. Pour le plus grand malheur des habitants de la Meuse... Car il ne faut pas l'oublier : non seulement l'invasion allemande de 1914 a été marquée par une série d'atrocités (de 5000 à 6000 civils tués en France et en Belgique, de 15 000 à 20 000 bâtiments incendiés et détruits), mais, de plus, elle a été suivie par l'occupation, plus ou moins longue, de dix départements du nord et de l'est et notamment une partie des Vosges, et le nord de la Meurthe-et-Moselle et de la Meuse...

    Ce numéro raconte les débuts de cette guerre en Meuse et ses conséquences sur les populations civiles.

     

    ‡ La Meuse est envahie. Août-décembre 1914, n° 2, Jérôme Estrada de Tourniel, éditions du Quotidien, 2014, 63 p., ill. (10 €).

  • La Nouvelle revue lorraine n° 29 : entre musée et fête de la Saint Martin

    la nouvelle revue lorraine,jean marie cuny,LorraineEt voici déjà le 29ème numéro de La Nouvelle revue lorraine, toujours aussi populaire auprès de ses lecteurs et amoureux de notre Lorraine !

    Si dans son édito' Jean-Marie Cuny revient sur le "hit parade" des célébrités lorraines, dans le sommaire concocté pour ce nouveau numéro, notre fondateur-animateur-rédac' chef nous invite à une large découverte de notre histoire et de nos traditions lorraines, jugez-en :

    - le musée de la guerre de 1870 et de l'Annexion de Gravelotte

    - l'église Saint-Quentin de Scy-Chazelles

    - l'homme qui fit arrêter le roi à Varennes

    - la croix réhabilitée

    - le prieuré de Belval et l'abbaye Saint-Léopold de Nancy

    - Georges Jacquemin et son vin d'orge à Nancy en 1888

    - Allons enfants...

    - Prény, un lieu de légende

    - où est passé la Saint-Martin ?

    - l'oie de la Saint-Martin

    - Aller au pain

    - une fiauve en patois lorrain : les truffiers

    - la confiserie des Hautes-Vosges

    - chansons à boire

     

    La Nouvelle revue lorraine est en vente dans toutes les bonnes librairies et sur abonnement (38 €, 6 numéros) en adressant son règlement à l'ordre de "SEP Helenus" et ses coordonnées postales à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBLOIS, 54280 LANEUVELOTTE.

     

  • L'Echo des Trois Provinces hiver 2014-2015 est paru

    echo173.jpgLe numéro d'hiver de L'Echo des Trois Provinces vous convient à un rendez-vous poétique mais aussi culturel. En parcourant ses pages, vous irez à la rencontre des habitants du Pays aux Trois Provinces, situé aux confins de la Lorraine, de la Champagne et de la Franche-Comté. Même si le législateur tire un trait sur nos régions historiques en les regroupant en des entités administratives sans âme, nos trois provinces demeureront bien des créations de l'Histoire.

    Cependant, même si les relations entre elles furent parfois conflictuelles, désormais des liens d'amitié se sont créés ; en témoigne l'association pour le développement du Pays aux Trois Provinces qui promeut, tous les deux mois, la vie des habitants et leur histoire à travers son magazine.

    A découvrir au sommaire de ce numéro de décembre 2014 - janvier 2015 :

    - Damblain : entre échec économique et découvertes archéologiques

    - les compte-rendu des visites estivales

    - spécial poésie

    - inauguration du sentier de découverte du site du vallon du Préfonrupt à Monthureux-sur-Saône

    - Valentin Jamerey-Duval de passage à Senaide en 1709

    - l'ermitage de Barcan à Belmont-lès-Darney

    - inquiétudes sur l'avenir de la chapelle de l'hôpital de Lamarche

    - histoire de la cuisine : la dariole de la Reine Christine

    - la vie des associations

    - le parc naturel régional : une ambition pour notre région

    - animations au Pays des Trois Provinces

     

    ‡ L'Echo des Trois Provinces est disponible sur abonnement. Contactez evelyne.relion@orange.fr

  • Nos crèches de la Nativité lorraines

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    Crèche lorraine, XVIIe siècle [archives ©H&PB].

     

    Puisque certains "dictateurs de la pensée" et "ayatollah" de la laïcité veulent interdire en France l'exposition de crèches de la Nativité dans les lieux publics, votre blog fait de la résistance en vous présentant une magnifique crèche lorraine du XVIIe siècle, conservée en la basilique Saint-Epvre de Nancy.

    D'autres seront postées d'ici Noël... Et surtout, montrez vos crèches !

    Gloria in excelsis Deo !

  • Souscription pour la restauration du temple protestant de Lunéville

    L'Association cultuelle de l’Eglise protestante unie de Lunéville-Dombasle et environs et la Fondation du Patrimoine de Lorraine ont lancé, en partenariat, une campagne de mécénat populaire pour la restauration du temple protestant de Lunéville.

    temple.jpgL’édification du temple de Lunéville a représenté un moment fort de l’histoire du protestantisme en Lorraine. Ce n'est qu'après le concordat de 1802 que les protestants ont été autorisés à réorganiser leurs églises. En 1835, la communauté de Lunéville demande que la chapelle du château lui soit affectée. En vain. Elle devra attendre 1847 pour qu'une salle communale lui soit donnée. Le nombre de fidèles augmentant, la construction d'un temple est envisagée. Une souscription publique est déjà ouverte à cette époque, à laquelle catholiques et israélites participent à côté des protestants. Le don d'une anglaise complète ce mécénat. Henri Melin, un architecte nancéien, réalise les plans du temple, dont les vitraux actuels (la rosace et les baies) constituent la principale richesse. Ils ont été réalisés entre 1958 et 1970 d'après les cartons d'Henri Macoin, paroissien et professeur à l'école nationale des Beaux Arts à Nancy. Quant à l’harmonium, il s’agit d'un instrument de belle facture sorti de la manufacture Christophe et Etienne.

    Intégré à l’histoire et au patrimoine local, le temple est depuis 2004 volontiers ouvert pour accueillir des manifestations culturelles. Sa sauvegarde est impérative. Un projet englobant la restauration et la protection des vitraux, le changement de la porte d’entrée, la peinture extérieure des huisseries et la révision de l’harmonium, est envisagé. Ce projet complété par l’éclairage nocturne des vitraux réaliserait le souhait d’Henri Macoin de voir l’édifice se transformer en lanternon, sorte de trait d’union entre la ville vieille et la ville neuve. Le montant des travaux retenu dans le cadre de la souscription publique est de 18 848 €.

     

    ‡ Plus d’info sur www.fondation-patrimoine.org

  • Pour sauver la chapelle templière de Libdeau

    libdeau.jpg

    [ER]

  • Messe de l'Immaculée Conception et prière pour la vie

     

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    Messe de l'Immaculée Conception le 8 décembre 2014 en l'église Marie-Immaculée de Nancy [cliché : H&PB].

     

    Prière pour la vie

    du pape Benoît XVI

    Seigneur Jésus,
    qui, fidèlement, visite et comble de ta Présence
    l’Eglise et l’histoire des hommes,
    Toi qui, dans l’admirable Sacrement de ton Corps et de ton Sang
    nous fais participer de la Vie divine
    et nous donnes un avant-goût de la joie de la Vie éternelle,
    nous t’adorons et nous te bénissons.
    Prosternés devant toi, la source de la vie, et qui l’aime,
    réellement présent et vivant au milieu de nous, nous te supplions :
    Réveille en nous le respect pour toute vie humaine naissante,
    rends-nous capables de discerner dans le fruit du sein maternel
    l’œuvre admirable du Créateur,
    dispose nos cœurs à l’accueil généreux de tout enfant
    qui vient à la vie.
    Bénis les familles,
    sanctifie l’union des époux,
    rends fécond leur amour.
    Accompagne de la lumière de ton Esprit
    les choix des assemblées législatives,
    pour que les peuples et les nations reconnaissent et respectent
    le caractère sacré de la vie, de toute vie humaine.
    Guide le travail des scientifiques et des médecins,
    afin que le progrès contribue au bien intégral de la personne
    et qu’aucun être ne soit supprimé ou ne souffre l’injustice.
    Donne une charité créative aux administrateurs et aux financiers,
    pour qu’ils sachent pressentir et promouvoir des moyens suffisants
    afin que les jeunes familles puissent s’ouvrir sereinement
    à la naissance de nouveaux enfants.
    Console les époux qui souffrent
    de l’impossibilité d’avoir des enfants
    et, dans ta bonté, pourvois!
    Eduque-nous tous à prendre soin des enfants orphelins ou abandonnés,
    afin qu’ils puissent faire l’expérience de la chaleur de ta charité,
    de la consolation de ton divin Cœur.
    Avec Marie, ta Mère, la grande croyante,
    dans le sein de laquelle tu as assumé notre nature humaine,
    nous attendons de toi, notre unique et vrai Bien et Sauveur,
    la force d’aimer et de servir la vie,
    dans l’attente de vivre toujours en toi,
    dans la Communion de la Trinité Bienheureuse.

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    [H&PB]

  • Remplissez les églises et les crèches se défendront elles-mêmes !

    "Notre grandeur s’est construite de front avec la construction de nos églises, de nos cathédrales ; notre déchéance se fera avec la construction des mosquées.

    crèche.jpgLe mouvement a rapidement pris de l’ampleur. Pour les plus médiatisées d’entre elles, celle de Béziers, la crèche de la Nativité, dite de Robert Ménard, son maire, puis la crèche du Conseil général de Vendée dont l’installation a été suspendue par ordre du tribunal de Nantes.

    Très vite, la mobilisation générale (sur internet seulement) pour la défense de nos us, de nos coutumes, de nos traditions, de notre culture, de notre histoire, de nos valeurs, etc. Des pétitions ont circulé, rapidement signées ; des groupes Facebook se sont constitués, aussitôt « likés » ; des articles rédigés, vite partagés, commentés à profusion ; des tweets d’orfraie composés, immédiatement retweetés.

    Et pendant ce temps-là, les églises sont restées vides.

    Et pendant que les églises sont restées vides, les mosquées sont restées, comme il se doit, remplies. Pleines. À craquer. Débordantes. Occupant les rues et les ruelles, les boulevards et les places publiques. Crédibles.

    Et alors que les mosquées ne désemplissent pas, les églises restent vides, colonisées de temps en temps par des grévistes de la faim, des réfugiés, des demandeurs d’asile qui iront plus tard grossir les régiments des fidèles dans les mosquées. Puis ces églises redeviendront vides. Froides. Comme un Lazare qui n’arrive plus à ressusciter.

    Et puis les églises vides sont désacralisées, déchristianisées, comme le sol qui s’islamise sous leurs fondations. « Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Église. » L’Église, communauté des chrétiens. La pierre est devenue argile et les églises sont détruites ou transformées en centres culturels, en hôtels. Bon pour l’économie locale. Pour le tourisme aussi.

    Et puis les églises se rempliront à nouveau. Pleines. À craquer. Débordantes. Parce que transformées en mosquées. Fières. Arrogantes.

    « Le christianisme, et le catholicisme plus précisément, n’est pas n’importe quelle religion pour la France, c’est la religion qui a fait la France, depuis 1500 ans, depuis le sacre de Clovis. Ce n’est pas n’importe quelle religion, ce n’est pas le judaïsme, ce n’est pas le protestantisme, ce n’est pas l’islam », disait récemment Éric Zemmour. Le christianisme, c’est aussi la parole du Christ, issue des Évangiles. À redécouvrir. Et Zemmour de conclure par une phrase de Chateaubriand : « Si vous chassez le christianisme, vous aurez l’islam. »

    Notre grandeur s’est construite de front avec la construction de nos églises, de nos cathédrales ; notre déchéance se fera, conquis, avec la construction des mosquées.

    J’oubliais. Remplissez vos églises et vos crèches se défendront d’elles-mêmes."

    [Pierre Mylestin | Boulevard Voltaire]

  • Neufchâteau (88) : l’église Saint-Nicolas profanée et pillée

    L’église Saint-Nicolas de Neufchâteau a été victime d’un pillage en règle dans la nuit du 2 au 3 décembre 2014.

    vosges,neufchâteau,église saint nicolas,cambriolage,profanation,hostie,statuesUn vitrail a été brisé dans la partie basse de l'édifice. C'est par là que le ou les cambrioleurs sont entrés. Neuf des 23 statues présentes dans l'églises ont été dérobées, 8 d'entres elle étaient classées au titre des Monuments historiques ; il s'agit d'œuvres en bois polychrome des XVIe et XVIIIe siècles, des pièces uniques et irremplaçables, véritables trésors de beauté.

    vosges,neufchâteau,église saint nicolas,cambriolage,profanation,hostie,statuesLes malfaiteurs s'en sont également pris aux tabernacles de la partie haute de l'église et celui qui contenait les saintes hosties consacrées a été complètement détruit. Ces actes de profanation inadmissibles, portant atteinte aux convictions religieuses des catholiques, n’ont été condamnés par aucune autorité publique, ni religieuse d’ailleurs… Une messe de réparation n'est semble-t-il même pas prévue.

    La mairie, propriétaire des lieux de culte, a porté plainte et l'enquête a été confiée à la gendarmerie de Neufchâteau.

  • Bruyères (88) : l'oratoire de la ferme des Anges restauré

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    [Vosges Matin]

  • Saint Nicolas et le mauvais goût...

    La Lorraine vient de connaître un week-end consacré à son saint patron, Saint Nicolas.

    saint-nicolas.jpgFête traditionnelle s'il en est, elle devrait être avant tout la fête des enfants, de l'innocence et de la gratuité pure. Or, nous avons, au fil des ans, de plus en plus affaire à des "Saint Nicolas" spectacles et mercantiles où le mauvais goût est trop souvent présent.

    Nancy, en particulier, en donne un triste exemple. Plus de marché de Noël, mais désormais un marché de Saint Nicolas avec son cortège de boutiques attrape-nigauds et autres baraques à frites, son défilé carnavalesque, sa débauche de feux d'artifice et sa cohorte de touristes pressés... Heureusement, la ville de Saint-Nicolas-de-Port sauve la mise en conservant à cette fête traditionnelle son caractère religieux, avec la cérémonie de la grande procession.

    On a même pu lire dans un quotidien régional que les libre-penseurs ne "s'attaqueront" pas à cette fête car ils estiment qu'elle n'a pas de caractère... religieux, et surtout qu'elle n'est plus catholique ! C'est vous dire que, dans l'opinion publique, la "Saint Nicolas" est devenu laïque, commerciale et banale, réduite au rang de la fête de Noël qui ne fait désormais plus les beaux jours que des commerçants !

    A quand le retour d'une fête de Saint Nicolas faite de simplicité et de proximité avec les enfants ? Ce qu'elle n'aurait jamais due cesser d'être...

  • Les vingt ans de sacerdoce de l'abbé Ayéméné, curé de Notre-Dame de la Saône

    vosges,lamarche,monthureux sur saône,bleurville,paroisse,catholique,abbé ayéméné,jubilé,sacerdoceDimanche 30 novembre dernier, les fidèles des paroisses Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel (Lamarche) et Notre-Dame de la Saône (Monthureux-Bleurville) étaient rassemblés en nombre en l'église Notre-Dame de Lamarche pour fêter les vingt ans de sacerdoce de leur curé, l'abbé Clément Ayéméné, en présence de l’abbé Pierre Febvet, prêtre in solidum, et Alain Gérard, diacre.

    L'abbé Ayéméné a été installé en 2008 à la tête de la grande paroisse Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel de Lamarche, puis a pris en charge celle de Notre-Dame de la Saône à la suite de l'abbé Charles Villaume en 2009. Issu d’une grande fratrie de sept enfants dont le père a servi dans l’Armée française, l'abbé Ayéméné a été ordonné prêtre à l’automne 1994 à Gagnoa, en Côte d'Ivoire, d'où il est originaire. Il est arrivé en France le 7 septembre 1999 afin de poursuivre des études de théologie tout en exerçant un ministère pastoral. Avant d'être nommé dans le diocèse de Saint-Dié en octobre 2008,  l’abbé Ayéméné a exercé son ministère à Paris puis dans le Haut-Rhin.

    Rendant les fidèles acteurs de leur paroisse, il a mis deux ans pour s’entourer d’équipes solides pour ses trente églises rurales, et ainsi mettre en place une organisation bien ficelée qui a rapproché dans un même élan les fidèles et les clochers. Pour la plus grande gloire de Dieu !

    Un sympathique verre de l'amitié a été servi à l'issue de la messe où étaient conviés clergé, fidèles et maires des communes des deux grandes paroisses desservies par l'abbé Ayéméné.

    [cliché : courtoisie de M. Bisval]

  • Darney (88) : concert de Noël avec "L'Echo de la Forêt" le 14 décembre 2014

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  • Exposition "Louis Français (1814-2014), empreinte pré-impressionniste"

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  • Nancy : fête de l'Immaculée Conception et prière pour la Vie

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    Eglise Marie-Immaculée de Nancy

    (33 av. Gal Leclerc)

    Lundi 8 décembre 2014

    en la fête de l’Immaculée Conception,

    messe chantée à 18h30

    suivie du salut au Saint-Sacrement

    et d’un temps de prière pour la vie

     

  • Venez fêter Saint Nicolas à Saint-Nicolas-de-Port !

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    Procession de la Saint Nicolas d'hiver en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port [archives H&PB].

     

    La Saint Nicolas approche à grands pas et l’association Connaissance et renaissance de la basilique de Saint-Nicolas-de-Port se met en ordre de marche pour participer à cette grande fête traditionnelle lorraine.

    Sa boutique. La boutique de l’association sera ouverte de 14h à minuit le samedi 6 décembre, jour de la procession ancestrale. N’hésitez pas à venir vous y réchauffer et y trouver un petit cadeau à offrir (la boutique est située à côté de la basilique).

    Son marché de la Saint Nicolas. Rendez-vous sur le marché de 14h à 18h, place des droits de l’homme à Saint-Nicolas-de-Port.

    Sa convivialité. La tradition de l’accueil juste avant la procession est remise à l’honneur : samedi 6 décembre, venez partager un pâté lorrain chaud, quelques amuse-gueule, quelques sucreries et de quoi boire un coup ! Rendez-vous à notre local chauffé situé au-dessus de l’Office de tourisme à partir de 19h15-19h30. Une participation de 3 € par personne sera demandée.

  • Vosges, art de vivre et création

    vosges.jpgQu'ils soient créateurs textiles, designers, papetiers, menuisiers, marbriers, tailleurs de pierre, artistes, tapissiers, architectes, céramistes ou encore chefs de cuisine, ces artistes et artisans participent tous au "savoir-vivre à la française" qui fait la renommée des Vosges dans le monde entier.

    L'auteur nous invite a pousser la porte des ateliers de ces gardiens de savoir-faire ancestraux, rares ou exceptionnels qui lient tradition et modernité, en revisitant les styles.

    A travers de nombreux portraits d'entreprises - dont la société Sebeler de Bleurville spécialisée dans le travail de la pierre - reconnues ou moins connues du grand public, et de personnalités marquantes - chefs cuisiniers notamment - Damien Parmentier nous présente un panorama varié des produits manufacturés très haut de gamme qui font le succès du "made in Vosges".

    Cette présentation est valorisée par de nombreuses photos de grande qualité.

    Un magnifique ouvrage qui nous fait espérer en l'avenir économique du territoire et en l'excellence vosgienne.

     

    ‡ Vosges, art de vivre et création, Damien Parmentier, éditions du Chêne, 2014, 182 p., ill. (25 €).

  • Remiremont (88) : "Le peintre et l'infirmière" au musée Charles de Friry

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  • Marie-Antoinette

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    Les éditions Perrin rééditent le best-seller du grand historien que fut André Castelot (1911-2004) consacré à la biographie de la reine Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine.

    Avec la précision, la clarté, l'érudition et le style très vivant qui ont fait sa renommée, André Castelot entraîne son lecteur à la découverte de l'une des souveraines les plus fascinantes et controversées de l'histoire de France, une reine au destin tragique que seuls la verve et l'art du grand historien pouvaient à ce point magnifier. Et pour les Lorrains, Marie-Antoinette demeure la descendante emblématique de la Maison de Lorraine puisqu'elle fut la quinzième et dernière enfant de François-Etienne de Lorraine, devenu empereur du Saint-Empire, et de son épouse Marie-Thérèse de Habsbourg.

    Cette biographie, qui n'a pas pris une ride depuis 1962 date de sa première édition, est devenue un classique et une référence appuyée sur une immense masse d'archives, de mémoires et de correspondances souvent oubliés. Un ouvrage coloré et passionnant que tout Lorrain se doit de posséder bien en vue dans sa bibliothèque !

     

    ‡ Marie-Antoinette, André Castelot, éditions Perrin, 2014, 572 p., ill. (24,90 €).

     

     

  • La vie encore

    la vie encore.jpgDans le cadre du Centenaire de la Grande Guerre, six musées des Vosges se sont associés en 2014 afin de proposer un cycle d'expositions. Ce sympathique livre en est comme la quintessence.

    Dans chaque musée, un personnage emblématique de cette époque de guerre a été choisi - le musicien, l'enfant, la femme, le peintre et le passant - afin de recréer un parcours où la vie s'exprime par des textes dédiés à la paix et à la fraternité.

    Ce petit ouvrage est agréablement illustré par Zoé Thouron sur des textes plein de poésie de Thomas Scotto. Pour la vie, pour la paix...

     

    ‡ La vie encore, Thomas Scotto et Zoé Thouron, éditions du Pourquoi pas, 2014, 51 p., ill. (9,50 €).

  • Fontenoy-le-Château (88) : devenez mécène du plus vieux donjon lorrain

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    [Vosges Matin]

  • Saint-Nicolas-de-Port (54) : grande procession traditionnelle en l'honneur de Saint Nicolas le 6 décembre

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  • Ordination de deux Vosgiens à l'abbaye Saint-Joseph de Clairval

    clairval.jpgSamedi 22 novembre 2014, Frère Elie Marie a été ordonné prêtre et Frère David, diacre, à l’abbaye Saint-Joseph de Clairval de Flavigny-sur-Ozerain (Côte d'Or), par Mgr Roland Minnerath, archevêque de Dijon.

    Ces deux religieux bénédictins sont des anciens scouts de la troupe 1ère Epinal – Scouts et Guides Notre-Dame.

    Mgr Paul-Marie Guillaume, évêque émérite de Saint-Dié, était présent lors de cette ordination.

  • Robert de Sarrebrück ou l'honneur d'un écorcheur

    robert.jpgLe parcours de Robert de Sarrebruck (1400-1462), seigneur de Commercy, offre à lire des pages méconnues de la guerre de Cent Ans. Au début du XVe siècle, ce grand baron lorrain, longtemps dénoncé comme un vulgaire brigand, anima aux marches du royaume de France, entre Champagne et Lorraine, un mouvement de résistance face aux forces anglo-bourguignonnes. Cette action aux frontières éclaire aussi d'un jour nouveau l'épopée de Jeanne d'Arc.

    Proche de Robert de Baudricourt, le sire de Commercy s'est toujours montré fidèle au parti orléanais, puis armagnac. Compagnon d'armes des grands capitaines français qui ont porté Charles VII jusqu'au trône, il accompagne aussi ceux que l'historiographie a dépeints sous les traits sanglants des Ecorcheurs. Mais le sire de Commercy, dans cette lorraine marquée par de forts particularismes politiques, n'hésitait pas à prendre les armes pour défendre ses intérêts personnels. Au terme de la guerre de Cent Ans et avec la réforme de l'armée royale, il dut, à l'instar d'autres grands féodaux, abdiquer ses prérogatives pour se soumettre à l'autorité du roi.

     

    ‡ Robert de Sarrebruck ou l'honneur d'un écorcheur (1400-1462), Valérie  Toureille, PUR, 2014, 272 p. (21 €).

  • Blaison Barisel, le pire officier du duc de Lorraine

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    Un voyageur arrivant à Plombières au début de l'année 1574 aurait découvert horrifié les débris exposés à la vue de tous d'un homme coupé en quartiers. Les habitants lui auraient raconté comment avait fini un certain Blaison Barisel, gouverneur de la ville et lieutenant du prévôt d'Arches, lequel avait abusé de l'autorité dont il était dépositaire, entraîné plusieurs complices et même "chié sur les ordonnances ducales"... En vérité, il avait mal choisi le lieu et le moment. Le duc de Lorraine Charles III, élevé à la cour de France, en avait ramené l'exemple d'un mode de gouvernement autoritaire, propre à transformer ses terres en un Etat moderne.

    Chargé de mettre fin aux désordres, le procureur général de Vosges Nicolas Remy a construit et enchevêtré plusieurs procès criminels contre celui "qui estoit officier de Monseigneur et qui devoit servir d'exemple aux autres". Alors qu'il était en début de carrière, le futur conseiller du duc et procureur général de Lorraine a réalisé une démonstration judiciaire et fait supporter au petit officier un véritable procès de la fonction publique, parachevé par un peine de mort spécifique de la haute trahison.

    Caché depuis plus de quatre siècles dans des archives où il n'avait pas sa place, le procès fait à Barisel, sa maîtresse et ses complices, a été découvert par le professeur Follain et ses étudiants qui en présente l'étude.

    L'ouvrage comprend une édition intégrale de la source qui livre un foisonnant tableau des mœurs en Lorraine méridionale, à l'arrière-plan du procès fait à ce Blaison Barisel, le pire officier du duc de Lorraine.

     

    ‡ Blaison Barisel, le pire officier du duc de Lorraine, Antoine Follain, édition L'Harmattan, 2014, 280 p. (30 €).

  • Les chemins de l'espérance

    esperance.jpgAdrien, jeune paysan meusien de Longeville-en-Barrois, se retrouve en pleine bataille de la Marne, en septembre 1914. Il est blessé plusieurs fois et fait la connaissance de Jean-Baptiste, un autre paysan, sous le feu de Verdun en 1916. L'état de santé d'Adrien est assez précaire et il demeure pendant de longs mois chez des parents, dans une ferme du Vercors.

    La Grande Guerre enfin fine, Adrien et Jean-Baptiste, devenus de réels amis, retournent à la vie paysanne dans leur village meusien. La vie s'écoule au gré des événements de l'entre-deux-guerres. En juin 1940, les familles connaissent l'exode et les enfants de nos deux amis meusiens vont suivre des parcours bien différents. Sébastien, le fils d'Adrien, qui ne se résout pas à accepter de vivre sous la botte de l'occupant, quitte la ferme familiale pour rejoindre le maquis du Vercors. Quant à Richard, le fils de Jean-Baptiste, il éprouve des sentiments moins hostiles envers l'ennemi...

    L'auteur nous fait partager la vie de ces deux familles lorraines en un roman du terroir ; vies faites de labeur ponctuées de joies mais aussi d'épreuves, à l'image de celles que vécurent nos ancêtres durant cette période marquée par deux conflits mondiaux et bien des drames familiaux. Avec toujours l'espérance chevillée au corps et au cœur.

     

    ‡ Les chemins de l'espérance. Histoire de deux familles de paysans lorrains de 1910 à 1945, Christian Krika, éditions RAPF, 2014, 265 p. (15 €).

  • Opération destockage "Vin de l'abbaye" par les bénédictins du Barroux

    Les bénédictins de l'abbaye Sainte-Madeleine du Barroux (Vaucluse) se proposent d'écouler leur production monastique de vin au profit d'œuvres catholiques dans le besoin.

    Avant de démarcher les professionnels du vin, l'abbaye préfère donner la priorité à des œuvres caritatives et associatives. Il s'agit d'organiser des ventes sur stock avant Noël dans les écoles privées, paroisses, groupes scouts, etc. Le vin est vendu au tarif professionnel et les associations ou écoles pourraient le revendre à notre prix caveau.

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    Ce qui donnerait au niveau tarifaire :

    - Rouge : vendu à l'école ou à la paroisse par l'Abbaye 5,15 € ht (= 6,18 € ttc) revendu par l'école ou la paroisse comme au caveau à 8,00 € ttc
    - Blanc : vendu à l'école ou à la paroisse par l'Abbaye 4,50 € ht (= 5,40 € ttc) revendu  par l'école ou la paroisse comme au caveau à 7,00 € ttc
    - Rosé : vendu à l'école ou à la paroisse par l'Abbaye 3,85 € ht (= 4,62 € ttc) revendu  par l'école ou la paroisse comme au caveau à 6,00 € ttc

    Tarifs franco de port à partir de 144 bouteilles. Livraison à l'adresse de votre choix quelques jours avant la vente. Possibilité de regrouper des envois par département pour de plus petites commandes.

     

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    ‡ Pour cette opération, merci de contacter : pere.odon@barroux.org

    ‡ Cette opération restera valable au cours de l'année 2015 et pour les particuliers qui veulent grouper des commandes à partir de 250 bouteilles.

  • Le 200e numéro du "Messager boîteux" est paru !

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    ... Avec de nombreuses anecdotes sur l'histoire de nos provinces du Grand Est : Alsace, Lorraine et Franche-Comté !

  • Des reliques du Bienheureux Charles Ier de Habsbourg-Lorraine en l’église Notre-Dame du Sablon à Bruxelles

    reliques bhx charles.jpgLe saviez-vous ? En l’église Notre-Dame du Sablon à Bruxelles sont conservées des reliques du Bienheureux Charles Ier d’Autriche – ou de Habsbourg-Lorraine - béatifié en 2004 par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II.

    C’est en cette même église que l’un des petits-fils du dernier empereur d’Autriche et roi de Hongrie, l’archiduc Lorenz d’Autriche-Este épousa en 1984 la princesse Astrid de Belgique.

    La Lorraine conserve également des reliques du Bienheureux Charles en la basilique Saint-Epvre de Nancy et une chapellenie lui est également dédiée dans la cité ducale.

    [info aimablement communiquée par O. Bena]