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laïcisme

  • De l'antichristianisme français : vieux "sport" national

     

    Femen, profanations de cimetières et de lieux de cultes catholiques, massacre des chrétiens d’Orient… Les chrétiens sont-ils méprisés et ignorés en France contrairement aux autres religions ?

    "Les chrétiens sont indéniablement en France les victimes d’une profonde tradition anticléricale qui fait partie de l’ADN de la gauche et a fini par contaminer la droite. Les élites se pressent pour aller inaugurer des mosquées, se targuent de violer la loi de 1905 au nom du droit « de rattrapage » de l’islam, organisent des réceptions pour fêter le ramadan aux frais du contribuable (à la mairie de Paris)… Tout le monde y va de son tweet ou de sa déclaration publique pour souhaiter un bon ramadan aux musulmans quand il n’y a jamais un mot pour Pâques… Ce comportement est typique de l’amour de l’autre et de la haine de soi qui caractérisent aujourd’hui la classe politique française. La lutte contre l’islamophobie (216 actes de toute nature en un an) est sur toutes les lèvres, tandis que la christianophobie est passée sous silence alors même qu’aujourd’hui les chrétiens sont les croyants les plus massacrés dans le monde à cause de leur religion et que les catholiques sont les premières victimes des profanations en France."

    Petite devinette : qui a fait cette déclaration ? Manuel Valls ? Jean-Luc Mélanchon ? Christian Poncelet ? Mgr André Vingt-Trois ? Le grand rabbin de France ? Le président du Conseil français du culte musulman ?...

  • Remplissez les églises et les crèches se défendront elles-mêmes !

    "Notre grandeur s’est construite de front avec la construction de nos églises, de nos cathédrales ; notre déchéance se fera avec la construction des mosquées.

    crèche.jpgLe mouvement a rapidement pris de l’ampleur. Pour les plus médiatisées d’entre elles, celle de Béziers, la crèche de la Nativité, dite de Robert Ménard, son maire, puis la crèche du Conseil général de Vendée dont l’installation a été suspendue par ordre du tribunal de Nantes.

    Très vite, la mobilisation générale (sur internet seulement) pour la défense de nos us, de nos coutumes, de nos traditions, de notre culture, de notre histoire, de nos valeurs, etc. Des pétitions ont circulé, rapidement signées ; des groupes Facebook se sont constitués, aussitôt « likés » ; des articles rédigés, vite partagés, commentés à profusion ; des tweets d’orfraie composés, immédiatement retweetés.

    Et pendant ce temps-là, les églises sont restées vides.

    Et pendant que les églises sont restées vides, les mosquées sont restées, comme il se doit, remplies. Pleines. À craquer. Débordantes. Occupant les rues et les ruelles, les boulevards et les places publiques. Crédibles.

    Et alors que les mosquées ne désemplissent pas, les églises restent vides, colonisées de temps en temps par des grévistes de la faim, des réfugiés, des demandeurs d’asile qui iront plus tard grossir les régiments des fidèles dans les mosquées. Puis ces églises redeviendront vides. Froides. Comme un Lazare qui n’arrive plus à ressusciter.

    Et puis les églises vides sont désacralisées, déchristianisées, comme le sol qui s’islamise sous leurs fondations. « Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Église. » L’Église, communauté des chrétiens. La pierre est devenue argile et les églises sont détruites ou transformées en centres culturels, en hôtels. Bon pour l’économie locale. Pour le tourisme aussi.

    Et puis les églises se rempliront à nouveau. Pleines. À craquer. Débordantes. Parce que transformées en mosquées. Fières. Arrogantes.

    « Le christianisme, et le catholicisme plus précisément, n’est pas n’importe quelle religion pour la France, c’est la religion qui a fait la France, depuis 1500 ans, depuis le sacre de Clovis. Ce n’est pas n’importe quelle religion, ce n’est pas le judaïsme, ce n’est pas le protestantisme, ce n’est pas l’islam », disait récemment Éric Zemmour. Le christianisme, c’est aussi la parole du Christ, issue des Évangiles. À redécouvrir. Et Zemmour de conclure par une phrase de Chateaubriand : « Si vous chassez le christianisme, vous aurez l’islam. »

    Notre grandeur s’est construite de front avec la construction de nos églises, de nos cathédrales ; notre déchéance se fera, conquis, avec la construction des mosquées.

    J’oubliais. Remplissez vos églises et vos crèches se défendront d’elles-mêmes."

    [Pierre Mylestin | Boulevard Voltaire]

  • Lettre à un ami français

    laicisme.jpgD'après Vincent Peillon. « On ne pourra jamais construire un pays de libertés avec la religion catholique... il faut inventer une religion républicaine... », dit-il. Quel homme ! Vraiment, vous avez de la chance d'avoir des gens comme lui, Hollande et toute son équipe ! Depuis que le p'tit Sarko est parti, quel progrès ! Exemple ? Le Mariage. Avant (au temps de la préhistoire), un homme, une femme. Aujourd'hui ? Un homme, un homme. Et demain ? Un homme, une vache ? Une femme, une girafe ?... Tant pis pour le « Petit Larousse » et ses définitions archaïques ! Cela dit, il reste pas mal de boulot. Eh oui, pour en finir complètement avec l'infâme civilisation judéo-chrétienne, il y a encore du pain sur la planche ! Entre nous : trouvez-vous normal de continuer à compter les années après Jésus-Christ ? Quand on a la chance d'avoir Zidane, Hallyday, ou Depardieu, qu'est-ce qu'on attend pour changer ? De même, les noms de lieux. « Saint-Emilion », « Sainte-Maxime », « Saint-Jean-Pied-de-Port ... » Non ! « Emilion », « Maxime », « Jean Pied-de-Port (ou Pied-de-Port) » tout simplement ! Et les croix dans les cimetières ou au bord des chemins ? Combien de temps resteront-elles plantées comme des insultes à la laïcité ? Pire : vous connaissez Peuvillers ? Dans ce petit village meusien ; cimetière Allemand. Là, c'est par centaines qu'il y a des croix à arracher. Et puis surtout, surtout, une énorme statue de sainte Gertrude ! Défi à l'athéisme dans toute sa splendeur. Ne vous en faites pas, je vais contacter la mairie pour qu'on  enlève cette entrave à la liberté, afin de la remplacer par un édifice à la gloire de Vincent Peillon. Financièrement parlant, cadeau. Ne reculant devant aucun sacrifice quand il s'agit d'une bonne action, ma famille s'est cotisée. C'est nous qui « peillon ».

    Bon, il est l'heure que je vous quitte. Prenez bien soin de vos élus, mais gardez-les pour vous. Pas la peine de partager, en Belgique on est déjà copieusement servi.

    Jean-Pierre Snyers

    4141 Louveigné

    (Belgique)

    jpsnyers.blogspot.com 

  • La Légion d’honneur traînée dans la boue

    legion-dhonneur.jpgParmi les 681 personnes « distinguées » cette année par la Légion d’honneur lors de la promotion du 14 juillet, on a pu lire avec surprise dans le Journal officiel le nom de Tareq Oubrou, promu au grade de chevalier, au titre du ministère de l’Intérieur. Pour quel "haut-fait", au fait ? Le JO ne le dit pas...

    Membre d'une des organisations les plus radicales de l'islam en France (UOIF : union des organisations islamiques de France), dont la devise est « Le Coran est notre Constitution », Tareq Oubrou est également l'ancien président de l'association « Imams de France ».

    Né au Maroc, il est un grand admirateur du fondateur des Frères musulmans, Hassan Al Banna. Il y a quelques années, lors d'une conférence publique, Tareq Oubrou déclarait : « L'Islam touche à tous les domaines de la vie. Comme le veut le Coran, C'est un Etat, c'est un pays, dans le sens géographique, c'est à dire qu'il regroupe toute la communauté dans une géographie où il n'y a pas de frontières. La frontière entre deux pays musulmans est une hérésie méprisable par l'Islam… La politique des musulmans ce n'est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge ».

    Le gouvernement français, grand pourfendeur des religions (surtout le catholicisme...) et adepte du laïcisme pur et dur (et imbécile surtout) du temps d’Emile Combes et de Léon Bourgeois, a osé décerner la suprême décoration nationale à un promoteur de l’islam radical, recteur de mosquée, fervent soutien des poseurs de bombes et égorgeurs des coptes chrétiens… Napoléon doit se retourner dans sa tombe ! Et les Légionnaires et descendants de Légionnaires apprécieront.

    La décadence de la France s'accélère à grands pas...

  • Le tableau de la Crucifixion chassé de la salle des assises de la Moselle

    Dix ans après la polémique lancée par des avocats et des journalistes parisiens lors du procès de Francis Heaulme à propos du tableau de La Crucifixion, la salle des assises de la Moselle devrait recevoir une nouvelle œuvre rappelant le siège de Metz.

    le-tableau-de-la-crucifixion-devrait-etre-prochainement-remplace-par-une-oeuvre-du-musee-de-la-cour-d-or-photo-archives-rl.jpgLa polémique avait été tellement gonflée par la dogmatique, anticléricale et christianophobe administration française que le Christ en croix réalisé par Théodore Devilly, peintre majeur de l’Ecole de Metz, qui ornait depuis 1866 la salle des assises de la Moselle, avait fait l’objet d’un référendum au sein du Palais de justice parce qu’il ne concourrait pas au concept de laïcité. Du jamais vu. Soucieux du respect de la tradition, le personnel du tribunal messin, les magistrats et les avocats s’étaient prononcés en faveur du maintien de l’œuvre. Non content de l’issue de cette expression démocratique, Paris et le premier président du tribunal avaient alors décidé de cacher l’œuvre derrière un rideau. Ce diktat des sans-culottes républicains a été maintenu jusqu’en 2007, date à laquelle La Crucifixion a été transférée dans le chœur de l’abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold.

    Afin de combler le vide sur le mur situé derrière le président et ses assesseurs, un tableau de trois mètres sur deux représentant le siège de Metz en 1552 devrait être accroché en mai. Il s’agit d’une reproduction signée du maître Léon-Charles Canniccioni, datant de 1928, qui dormait dans les réserves des Musées de la Cour d’Or. L’œuvre originale est exposée à Dijon. A cette époque, le roi de France, Henri II, avait arraché Metz à l’empereur Charles Quint. Désireux de récupérer la ville, ce dernier rassembla 100 000 hommes pour l’assiéger. Ses troupes furent repoussées par le duc de Guise. Ce fut alors le début de la fin pour Metz qui vit le déclin chasser sa prospérité… Un peu ce qu’on connaît de nos jours en France…

    [source : blog des lorrains engagés | cliché : ©RL]