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vin

  • Histoire(s) de vin(s)

    De ses origines mystérieuses aux fables qui en ont fait son histoire, l'univers envoûtant du vin est une source inépuisable de mythes, contes et légendes.

    Roger maudhuy aime ces histoires véhiculées par la littérature orale, il aime les collecter sur le terrain, puis les raconter avec la rigueur de l'historien et l'inspiration du conteur. Histoires inédites, toujours véridiques, toujours savoureuses, elles nous entraînent dans une folle vendange culturelle et spirituelle autour du vin. C'est une invitation au grand banquet de nos régions. Et la Lorraine n'est pas la dernière pour célébrer le divin nectar !

    Tantôt magiques ou ésotériques, comiques ou tragiques, angéliques ou diaboliques, ce sont avant tout de belles histoires à consommer sans modération.

     

    ‡ Histoire(s) de vin(s), Roger Maudhuy, éditions Bonneton, 2018, 191 p., ill., 12,90 €.

  • Histoire(s) de vin(s)

    Le Vosgien Roger Maudhuy, grand connaisseur des us et coutumes de nos régions, nous propose ici une centaine de contes et légendes autour du vin... et de nombreuses annecdotes tirées de la tradition viticole lorraine !

    De ses origines mystérieuses aux fables qui en ont fait son histoire, l'univers envoûtant du vin est une source inépuisable de mythes, contes et légendes. Roger maudhuy aime ces histoires véhiculées par la littérature orale, il aime les collecter sur le terrain, puis les raconter avec la rigueur de l'historien et l'inspiration du conteur.

    Histoires inédites, toujours véridiques, toujours savoureuses, elles nous entraînent dans une folle vendange culturelle et spirituelle autour du vin. C'est une belle invitation au grand banquet de nos régions !

    Tantôt magiques ou ésotériques, comiques ou tragiques, angéliques ou diaboliques, ce sont avant tout de belles histoires à consommer sans modération.

    Roger Maudhuy est folkloriste et historien. Il est l'auteur d'une cinquantaine de livres et de centaines d'articles. Il a mené plus de 3000 enquêtes de terrain partout en France, ainsi qu'en Wallonie et en Suisse romande.

     

    ‡ Histoire(s) de vin(s), Roger Maudhuy, éditions Bonneton, 2018, 192 p., ill., 12,90 €.

  • Nancy : "Toul'monde à table" pour les 20 ans de l'AOC Côtes de Toul

  • Vins et distillation en Lorraine

    Ce sympathique ouvrage invite le lecteur à un voyage ludique et didactique au cœur du vignoble lorrain, jadis adulé, puis délaissé en raison de la pandémie de phylloxera et des guerres à répétition, avant de retrouver son lustre d'antan, par la volonté d'hommes et de femmes d'exception qui exhalent quotidiennement la quintessence de leur breuvage divin, dans un subtile dosage de tradition et de modernité.

    De nombreux portraits de vignerons des quatre départements, rehaussés de multiples photographies, permettent de découvrir et de comprendre le métier de la vigne et du vin, ainsi que l'évolution du vignoble et des appellations venues couronner les efforts croissants de ces amoureux du vin.

    Ce volume est également une ode au fruit emblématique régional, la mirabelle de Lorraine, et à tous les distillateurs ou bouilleurs de cru qui la subliment en une eau-de-vie aux effluves enivrantes.

    Si ces pages font appel au passé viticole de la région, elles entrevoient parallèlement à une viticulture et à la distillation une nouvelle ère de consommation avec des boissons à base de petits fruits, valorisées par d'audacieux producteurs locaux.

    Un beau livre à consommer sans modération !

     

    ‡ Vins et distillation en Lorraine, Bertrand Munier, éditions du Quotidien, 2015, 203 p., ill. (30 €).

  • Opération destockage "Vin de l'abbaye" par les bénédictins du Barroux

    Les bénédictins de l'abbaye Sainte-Madeleine du Barroux (Vaucluse) se proposent d'écouler leur production monastique de vin au profit d'œuvres catholiques dans le besoin.

    Avant de démarcher les professionnels du vin, l'abbaye préfère donner la priorité à des œuvres caritatives et associatives. Il s'agit d'organiser des ventes sur stock avant Noël dans les écoles privées, paroisses, groupes scouts, etc. Le vin est vendu au tarif professionnel et les associations ou écoles pourraient le revendre à notre prix caveau.

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    Ce qui donnerait au niveau tarifaire :

    - Rouge : vendu à l'école ou à la paroisse par l'Abbaye 5,15 € ht (= 6,18 € ttc) revendu par l'école ou la paroisse comme au caveau à 8,00 € ttc
    - Blanc : vendu à l'école ou à la paroisse par l'Abbaye 4,50 € ht (= 5,40 € ttc) revendu  par l'école ou la paroisse comme au caveau à 7,00 € ttc
    - Rosé : vendu à l'école ou à la paroisse par l'Abbaye 3,85 € ht (= 4,62 € ttc) revendu  par l'école ou la paroisse comme au caveau à 6,00 € ttc

    Tarifs franco de port à partir de 144 bouteilles. Livraison à l'adresse de votre choix quelques jours avant la vente. Possibilité de regrouper des envois par département pour de plus petites commandes.

     

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    ‡ Pour cette opération, merci de contacter : pere.odon@barroux.org

    ‡ Cette opération restera valable au cours de l'année 2015 et pour les particuliers qui veulent grouper des commandes à partir de 250 bouteilles.

  • Saône vosgienne : vers le retour du vignoble ?

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    [Vosges Matin]

  • Lironcourt (88) : la vigne au pays de la Saône vosgienne

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    La Communauté de communes du pays de la Saône vosgienne

    et

    Denis Schneider

     

    présentent une conférence sur le thème

    « Le Charmont, un patrimoine tremplin pour l'avenir »

    ou la viticulture au pays de la Saône vosgienne

     

    Vendredi 19 septembre 2014 à 20h30

    Salle des fêtes de Lironcourt

     

    Entrée gratuite

  • La Saint Vincent à Toul en 1846

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    Les compagnons de la Capucine devant la cathédrale de Toul.

     

    Revivez la fête de Saint Vincent à Toul en 1846, d'après un article paru dans Le Pays Lorrain de 1912 :

    La Saint Vincent de 1846.pdf

  • "Le bon vin réjouit le cœur de l’homme"

    lorraine,vin,christ,église,catholique,jean marie cunyBonum vinum laetificat cor hominis !

    « Le bon vin réjouit le cœur de l’homme », est-il dit dans l’Evangile. Notre religion catholique est, en effet, celle du partage du pain et du vin.

    L’étude des textes nous montre que le vin n’est pas d’un usage courant dans l’Ancien Testament… Bien sûr, on voit qu’après le déluge universel, le brave Noé s’est saoulé d’importance. C’est vrai qu’après avoir eu tant d’eau, il a abusé du vin ! Mais, ce n’est pas forcément un exemple pour la jeunesse.

    A la différence de saint Jean le Baptiste qui ne buvait que de l’eau, Notre Seigneur Jésus ne s’est pas abstenu de vin. Il connaissait l’acidité du vin trop vert et la bonté du vin vieux. Son premier miracle a été de transformer l’eau en vin. Il a fourni aux noces de Cana un vin meilleur en abondance.

    Dans son enseignement, Notre Seigneur se déclare lui-même comme étant la vraie vigne dont les croyants seraient les pampres chargés de donner du fruit. Dans l’Evangile, Jésus compare également Dieu le Père au propriétaire d’un vignoble.

    Enfin, Notre-Seigneur a donné son sang et le vin produit de la vigne et du travail des hommes, est devenue une substance sacramentelle !

    lorraine,vin,christ,église,catholique,jean marie cunyNous avons donc de la chance d’être catholiques, car, par exemple, la religion musulmane interdit le vin ! (et dire qu’il y a des imbéciles qui se convertissent à l’Islam !..).

    Au beau pays de Lorraine, autrefois pays de la Cervoise, on vénère saint Arnould, patron des brasseurs, né à Lay-Saint-Christophe. Mais l’Eglise tout au long des siècles améliora surtout nos vignobles.Toutes les abbayes possédaient de bons cépages sur les coteaux les mieux orientés. Et c’est chez nous, à Verdun précisément que saint Airy au VIe siècle accompli le miracle du tonneau de vin intarissable, renouvelant le prodige du Christ à Cana (c’est également à Verdun, 14 siècles après que les poilus ont chanté le pinard !).

    Donc, pas de réticences, respectons notre sainte religion, restons joyeux et reprenons volontiers le refrain que nous chantons en débouchant nos bouteilles : 

    « Bénissons à jamais le Seigneur dans ses bienfaits ! 

    Fit-il rien de meilleur que ce petit vin clairet ! 

    Amis, à sa louange chantons un Laudate et qu’il nous garde en santé jusqu’après les vendanges ! »

    Chantons la vigne, buvons le vin et restons digne le verre en main !

    Bonum vinum laetificat cor hominis !

    Jean-Marie Cuny

  • Toul : Saint Vincent promeut le Gris de Toul

    Pour célébrer le 50ème anniversaire de la Confrérie de la Capucine, c’est en la cathédrale de Toul que Mgr l’évêque de Nancy & de Toul a célébré la messe devant 44 confréries amies.

     

    capucine.jpgLes Compagnons de la Capucine se reconnaissent à leur longue cape rouge cramoisi bordée d’un galon d’or et à la « capucine », qu’ils portent en sautoir. « La capucine, c’est une sorte de gourde en bois, ancêtre d’une célèbre bouteille isotherme, que le vigneron emportait quand il allait travailler dans les vignes, remplie de Gris de Toul » raconte Marcel Laroppe, grand maître de la confrérie.

     

    lorraine,toul,gris de toul,vin,saint vincent,évêque,jean louis papin,nadine morano,michel dinet,marcel laroppeDimanche était un jour particulier pour la confrérie vineuse du Toulois, qui célébrait en grande pompe ses 50 ans. Point d’orgue des festivités, juste avant les nouvelles intronisations, une messe célébrée en la cathédrale Saint-Etienne. L’ardeur des chorales accompagnant l’office célébré par Mgr Papin ont entretenu la flamme des participants venus invoquer saint Vincent, patron des vignerons, « afin qu’il accorde l’abondance à nos coteaux », selon la formule du cantique final repris avec allégresse par toute l’assistance.

     

    lorraine,toul,gris de toul,vin,saint vincent,évêque,jean louis papin,nadine morano,michel dinet,marcel laroppeUne confrérie aujourd’hui, n’est-ce pas un peu désuet ? L’apparat, les processions, les tenues colorées un peu kitsch, les chapeaux avec ou sans plumes, les attributs qui vont du petit panier de framboise à la mini-capucine en bois, peuvent prêter à sourire. Pour les membres, on est au-delà du folklore. « On ne fait pas de lobbying et on est un groupe de pression sans en être un, explique le grand maître. Une confrérie, c’est une façon de promouvoir nos produits à travers un peu de convivialité, et de faire acte de solidarité entre nous. » L’objectif des confréries, qu’elles soient de la Mirabelle, de la Madeleine de Commercy ou de la Prune et la Quetsche à Faréberviller, ou de Pont-l’Évêque – quarante-quatre étaient présentes à Toul – c’est de recruter des personnes influentes en plus des autres membres, ceux qui, chaque dimanche, iront visiter un autre chapitre et porter la bonne parole. Marcel Laroppe est fier d’avoir intronisé par exemple Bernadette Chirac. « Quinze jours après être venue à Brûley, elle passait commande de vin de Toul pour la garden-party de l’Élysée ». Deux années de suite, le palais présidentiel a servi au 14 juillet des vins de Toul.

     

    Marcel Laroppe regrette que Nicolas Sarkozy ait supprimé la fête, mais se console avec Nadine Morano qui en sert lors des réceptions à son ministère. Le ministre de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle est d’ailleurs membre depuis 2000 de la confrérie. « C’est l’amour du terroir qui nous guide ! », explique-t-elle. A ses côtés ce dimanche, en grande tenue, Michel Dinet, président du Conseil général de Meurthe-et-Moselle, un autre défenseur des Côtes de Toul. « La confrérie, ça va au-delà des clivages politiques. Michel Dinet ne rate jamais une Saint-Vincent ! », souligne Nadine Morano.

     

    Sans doute faut-il voir dans la survivance de ces rituels ou leur renaissance, comme c’est le cas à Thionville avec la confrérie de Saint-Urbain, dissoute à la Révolution, recréée en 2010, un besoin d’identification à son territoire et sans doute aussi à une forme d’amitié chaleureuse.

     

    [d'après Le Républicain Lorrain]

  • Toulois : les 50 ans de la confrérie de la Capucine

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    [Le Paysan Lorrain]

  • Des livres lorrains pour Saint-Nicolas, Noël... et les étrennes du Nouvel An

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  • Tradition : le vin gris du printemps lorrain

    Depuis 2003, la Maison Laroppe, de Bruley, dans le Toulois, produit un « Gris d'Avril » qui s'est imposé au fil des ans. 15.000 bouteilles sont mises sur le marché.

     

    michel laroppe.jpg« Ce n'est pas acceptable. Trop c'est trop ! Tout est fait pour nuire à la profession» ! Michel Laroppe ne décolère pas. Comme tous les viticulteurs et négociants, il ne peut avaler la moindre goutte du projet de loi de Roselyne Bachelot, le ministre de la Santé, visant notamment à supprimer les dégustations publiques.

     

    Outre la remise en cause d'une tradition bien ancrée en France, cela aura pour conséquences, dit-il, de compliquer encore un peu plus la tâche de la filière. Une profession qui souffre depuis plusieurs années et multiplie les initiatives pour cultiver son image et répondre à l'exigence des consommateurs. Avec le « Gris d'Avril », Vincent Laroppe développe et réussit une stratégie commerciale intéressante. « Il s'agit d'un vin jeune, très aromatique, plein de fraîcheur, présenté dans une bouteille originale ». Effectivement, le « ventre »du flacon est décoré par une sérigraphie d'Odile Mélinette, l'aquarelliste du Toulois qui illustra plusieurs numéros de La Revue Lorraine Populaire. « Le dessin change tous les ans », précise le jeune vigneron. Une façon de signifier la singularité et la qualité de chaque cuvée.

     

    bouteille odille melinette.jpgAinsi, plus de 15 000 bouteilles de cet étonnant et gouleyant vin précoce vont partir à la conquête des papilles et palais dans les jours à venir. Marque déposée depuis 2003, le « Gris d'Avril » est un breuvage qui va asseoir sa notoriété jusqu'à l'été. « L'idée est de se positionner sur le marché, avant la venue des rosés, en mai-juin », ajoute Vincent Laroppe. « C'est un produit idéal pour saluer l'arrivée des beaux jours. Il accompagnera dignement les premiers barbecues ». Sur les tables des restaurants également, cette belle bouteille à la robe saumon et légèrement cuivrée, a toute sa place. D'ailleurs, plusieurs restaurateurs lorrains mettent en évidence le « Gris d'Avril » sur leurs cartes des vins. Après les années exceptionnelles que furent 2003, 2005 et 2006, la récolte 2008 affiche de belles ambitions, si l'on en juge par cette cuvée, annonciatrice du retour des beaux jours et d'un soleil qui va bientôt « réveiller » la vigne, l'incitant, une nouvelle fois, à donner le meilleur d'elle-même.

     

    [d’après l’Est Républicain | 04.03.09]

  • Tradition viticole en Lorraine : le Toulois fête Saint Vincent

    confrérie capucine.jpgLe 78ème chapitre de la confrérie de la Capucine s'est tenu récemment à Ecrouves, dans le Toulois, lors de la fête de la Saint-Vincent. Une manifestation populaire et colorée, avec la présence d'une quinzaine de confréries amies. Sans doute le résultat de la récente affiliation de « la Capucine » à la Fédération régionale du Grand Est. Un coup de chapeau aux représentants de la confrérie normande du Pont-l'Evêque, qui n'ont pas hésité à venir du Calvados pour répondre à l'invitation du Grand Maître Marcel Laroppe, intronisé chez eux en octobre dernier.

     

    messe confrérie.jpgAssurément, le cortège avait de l'allure, derrière l’harmonie de la Lyre Touloise, quand il a emprunté les rues Saint-Vincent, des Gamay ou encore des Vignes-l'Evêque, les bien nommées ! La procession s'engouffrait ensuite dans la magnifique église Notre-Dame d’Ecrouves où les abbés Noël et Lereboullet ont célébré la messe en l’honneur du patron des vignerons ; les fidèles étaient accompagnés dans leurs prières par les chants interprétés par la chorale A Cœur Joie et les musiciens de la Lyre Touloise.

     

    procession confrérie.jpgDerrière la statue de Saint Vincent, l'assemblée processionnait jusqu’à la salle des fêtes pour la tenue du chapitre particulièrement fière d'accueillir de nouveaux compagnons en si grand nombre.

     

    Ravi, le maire d’Ecrouves en a profité pour rappeler les grandes heures de cette ancienne commune viticole, avant de rendre hommage au breuvage par un joli clin d'œil :

     

    « Pour égayer ses citoyens, le vin de Toul a toujours coulé.

    Il n'a grisé ni Gouvion, peintre et soldat, ni Louis, diacre et financier. Granville, le Lorrain à la plume facile, dut en boire, tout comme Callot, Gringoire, Majorelle... »

     

    Le premier magistrat ne manqua pas de souligner le rôle joué par René Nouveau, l'instituteur-vigneron, les familles Missenaire, Richardin, François, Demange, et l'abbé Rousselot, convaincu que « dédaigner ce que le Ciel nous dispense à pleines futailles, eut été faire injure à Dieu ».

     

    Voilà une belle tradition « vitico-spirituelle » lorraine qui doit se transmettre sans réserve. Et c'est une belle occasion de déguster un petit vin gris de Toul... sous la protection de saint Vincent, bien sûr !

     

     

    [cliché ©Est Républicain]