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Histoire & Patrimoine Bleurvillois - Page 136

  • Une troupe de choc dans la Grande Guerre

    grande guerre,officier,artillerie,20e corps d'armée,auguste evrardOriginaire de Mirecourt (Vosges) et élève de l'Ecole polytechnique, Auguste Evrard (1873-1932) sert dans l'artillerie. Officier de carrière, il intègre le XXe corps d'armée. Cette unité va s'illustrer au cours du premier conflit mondial sur les principaux théâtres d'opérations : Lorraine (1914), Picardie, Yser, Artois (1915), Champagne, Verdun (1916), Somme, Chemin des Dames (1917), Verdun (1918)...

    Si les mémoires laissées par les Poilus - hommes du rang issus de la conscription - sont innombrables, en revanche elles sont moins nombreuses à être écrites par des officiers supérieurs d'active. Les carnets manuscrits laissés par Auguste Evrard et commentés dans cet ouvrage, mettent en exergue son vécu et ses sentiments d'officier supérieur d'artillerie à l'égard du conflit : pertes humaines, destructions, tactique, stratégies suivies par l'état-major. Ces éléments éclairent d'un regard neuf la Grande Guerre. En outre, l'auteur nous livre un récit instantané des combats acharnés que se livrent Français et Allemands. A l'image de l'offensive Michael menée sur le Chemin des Dames en mai 1918. Chronique exceptionnelle sur cette dernière victoire allemande du conflit.

    Précédés d'un contexte général, accompagnés de cartes et de photos inédites, ces carnets apportent un témoignage poignant et sans concession sur une guerre qui va marquer des générations d'Européens.

     

    ‡ Une troupe de choc dans la Grande Guerre. Le 20e corps d'armée à travers le témoignage d'un officier d'artillerie, Sébastien Evrard, éditions Serpenoise, 2011, 254 p., ill., cartes (20 €).

  • Vous aimez la Lorraine, abonnez-vous à La Nouvelle revue lorraine !

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  • Saône Lorraine : de sympathiques agapes pour clore la saison touristique

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    [Vosges Matin]

  • Nancy : les fouilles du cimetière des Trois-Maisons au rapport

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    [Est Républicain]

  • Jeanne d'Arc, de Domrémy à Orléans

    jeanne d'arc.jpgFoi, bravoure, fidélité à son roi ; ces vertus ont fait de Jeanne d'Arc la plus révérée des héroïnes françaises.

    Cependant, si la figure de Jehanne la bonne Lorraine est entrée dans la légende, son rôle historique a rarement été abordé au regard des seules sources scientifiques fiables, soit, pour l'essentiel, les minutes latines du procès de Condamnation (1431) et les manuscrits du procès en Nullité (1452-1456).

    Roger Caratini fait revivre celle qui fut la victime innocente de l'Université et de la hiérarchie écclésiastique de son temps. L'examen attentif des sources lui permet de retracer la courte aventure politique et guerrière de Jeanne, commencée avec la levée du siège d'Orléans, en mai 1429, pour se terminer avec sa capture devant Compiègne, le 23 mai 1430. Battant en brèche nombre d'idées reçues, il montre que ce ne sont pas les Anglais qui ont voulu brûler Jeanne à Rouen, mais l'Université de Paris et l'Inquisition qui la leur ont réclamée pour lui faire un procès en hérésie. Par ailleurs, La Pucelle a surtout été un instrument de propagande entre les mains des Armagnacs. Enfin, la légende de l'héroïne sainte et patriotique a été "inventée" de toutes pièces sous la Restauration.

    Le « mystère Jeanne d'Arc » est bien davantage celui de sa formidable énergie communicative - et donc de sa foi - que de ses qualités guerrières.

    Une approche originale dans la masse d'ouvrages parus... et à paraître à l'approche du 6ème anniversaire de la naissance de Jehanne.

     

    ‡ Jeanne d'Arc. De Domrémy à Orléans et du bûcher à la légende, Roger Caratini, 462 p. (21 €).

  • Denis Bergerot dédicace "Les Sapeurs-Pompiers de Lorraine"

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    Denis Bergerot dédicace son livre 

    Les Sapeurs-Pompiers de Lorraine 

    > Samedi 26 novembre de 14 h à 18 h

    Hall du Livre à Nancy (54) 

     

    > Samedi 3 décembre 2011 de 14 h à 18 h

    Librairie Papiers Cadeaux - Place Duroc à Pont-à-Mousson (54)

     

    > Samedi 10 décembre 2011 de 14 h à 18 h

    Cultura à Terville (57)

     

    > Samedi 17 décembre 2011 de 9 h à 12 h

    Librairie des lacs à Gérardmer (88)

     

    > Samedi 17 décembre de 14 h à 18 h

    Cultura à Epinal (88)

     

    Plus d'info's sur : www.librairielorraine.com

  • Autour de la réédition de l'ouvrage sur le verrier vosgien Legras

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    [Vosges Matin]

  • Croqueurs de pommes des Trois Provinces : un nouveau président

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    [Vosges Matin]

  • Domremy : la messe télévisée à la basilique du Bois-Chenu le 4 décembre

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    [L'Abeille |18.11.2011]

  • Nancy : autour de l'événement "Renaissance 2012-2013"

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    [Nancy Mag | nov.-déc. 2011]

  • Agglomération nancéienne : une urbanisation aberrante

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  • Châtillon-sur-Saône : le musée au coeur de la Cité Renaissance

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    [Vosges Matin]

  • Les petits pâtés de la Sainte-Cécile

    ste cécile.jpg22 novembre, fête de sainte Cécile, la patronne des musiciens... Pour accompagner un beau morceau de musique, rien de mieux qu'une petite gourmandise lorraine.

    Parmi les traditions culinaires lorraines, Jean-Marie Cuny, spécialiste ès cuisine lorraine, nous propose la recette des petits pâtés de la Sainte-Cécile. Et une bonne histoire en prime !

    Bonne appétit avec sainte Cécile... et bonne fête à tous les musiciens !

     

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    [courtoisie de Ph. M.]

    Cliché : Carlo Saraceni, Le martyre de sainte Cécile.

  • Saint-Nicolas-de-Port le 3 décembre : 766ème procession de la Saint-Nicolas

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    Basilique Saint-Nicolas-de-Port (Meurthe-et-Moselle)

    Samedi 3 décembre 2012

    à 20h30

    766ème procession ancestrale de Saint-Nicolas

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  • Une lettre d’un Poilu envoyée en 1916 à une jeune Vosgienne

    Une famille des Côtes-d’Armor a retrouvé la lettre d’amour d’un Poilu de 14-18 avec une fleur à l’intérieur. Elle envisage de la céder à un musée à Verdun. La lettre était destinée à une jeune Vosgienne.

     

    lorraine,vosges,poilu,lettre,verdun,gironcourt sur vraine« Je vous envoie une petite fleur que j’ai cueillie au bord de la tranchée dans un trou d’obus. » Le soldat Camille Lambert a 20 ans. Il est instituteur et originaire des Sables d’Olonnes (Vendée). Il écrit cette lettre à sa bien aimée, Jeanne-Marie Chaumont, 23 ans. Elle est fille de boulanger et habite Gironcourt-sur-Vraine, dans l’ouest vosgien.

     

    Cette lettre a été écrite le 6 août 1916, il y a 95 ans, en pleine bataille de Verdun. Elle a été retrouvée par Françoise et Daniel Guichard qui habitent à Saint-Jacut-de-la-Mer : « Jeanne-Marie Chaumont était la grand-mère de mon épouse. » précise Daniel. « Et lorsque sa fille (ma belle-mère) est décédée, il y a deux ans, ma femme a hérité des lettres qu’a écrites ce Poilu à sa bien aimée. En les consultant, nous avons découvert cette lettre avec cette fleur trouvée à la côte 304. Elle nous a énormément émus car elle a poussé, sur la même terre où est décédé Camille Lambert, avec le sang des Poilus. »

     

    L’émotion ressentie par Françoise et Daniel Guichard a été tellement vive qu’ils ont décidé de l’offrir à un musée verdunois. D’autant que quatre mois après l’écriture de cette lettre adressée à la boulangerie de Gironcourt, le 6 décembre 1916, Camille Lambert est grièvement blessé à la Côte du Poivre près de Louvemont. D’après les recherches effectuées, le soldat Camille Lambert était un agent de liaison. Sur le terrain, il transmettait les ordres d’un officier à ses subalternes et bougeait beaucoup.

     

     

    [d’après ER]

  • Bleurville : 11-Novembre... et marché de Noël

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    [L'Abeille | 18.11.2011]

  • En souvenir d'Anne-Lorraine Schmitt

    anne lorraine.jpgLa famille d'Anne-Lorraine Schmitt, jeune étudiante sauvagement assassinée le dimanche 27 novembre 2007 dans le RER (nord de Paris) alors qu'elle se rendait à la messe, informe tous ceux qui veulent prier pour le repos de son âme qu'une messe sera célébrée

    dimanche 27 novembre 2011

    à 11h00

    en la cathédrale de Senlis

    Les Lorrains sauront se souvenir d'une jeune fille originaire de Nancy et avoir une pensée pour Anne-Lorraine, pour sa famille et pour toutes les femmes, victimes de la violence des hommes.

  • Appel au don pour la restauration de la chapelle templière de Libdeau

    lorraine,libdeau,chapelle,templière,toulLe 14 novembre dernier, les animateurs de l'association pour la restauration de la chapelle templière de Libdeau ont engager des démarches auprès d'un notaire en vue de l'acquisition de la chapelle.

    Dans leur ensemble, les propriétaires ont d'ores et déjà donner leur accord pour la cession de la chapelle. Cependant, restent à la charge de l'association patrimoniale les frais liés à la régularisation de cette procédure qui s'élèvent à environ 5 000 € sans compter les travaux de sauvegarde estimés à 200 000 €.

    L'association lance donc un appel à la générosité afin d'acquérir la chapelle de Libdeau. A défaut de réunir cette somme, l'association sera dans l'impossibilité de poursuivre l'action de sauvetage et condamnera ce patrimoine lorrain à une ruine irrémédiable et irréparable.


    ‡ Plus d'info sur http://chapellelibdeau.blogspot.com/2011/11/appel-aux-dons-pour-lacquisition.html

  • Sainte-Ruffine (Moselle) : un grincheux veut faire taire les cloches

    sainte-ruffine-son-clocher-et-ses-cloches-photo-er.jpgSaint-Ruffine, coquet village situé sur les hauteurs de Moulins-lès-Metz (Moselle), s’était forgé une réputation envieuse avec ses rues étroites et ses façades de vieilles et grandes maisons aux devantures claires fraîchement retapées.

    La mairie est la cible d’une inhabituelle procédure judiciaire, depuis que les propriétaires de l’ancien presbytère, installé juste à proximité de l’église, réclament que cessent les cloches, qui perturbent leur tranquillité, en particulier nocturne. Ils réclament des tribunaux administratifs qu’ils fassent droit à leur demande. Le TA de Strasbourg a, dans un premier temps, rejeté leur dossier, lequel a rebondi devant la cour administrative d’appel qui a récemment étudié les arguments des uns et des autres. L’avocat du couple plaignant avait à l’audience argué d’une nuisance devenue plus forte ces dernières années, notamment après des travaux de mécanisation.

    Le maire, Jean-Claude Wannenmacher, l’a mauvaise face à pareils arguments. Car si nuisance sonore il y a, elles ne sont jamais ou presque exprimées par la population, sinon par les propriétaires du logement voisin. Lesquels, en achetant le presbytère, ne pouvaient ignorer le bruit des cloches, défend-il en substance.

    « Si on achète près d’une voie ferrée, va-t-on demander aux trains d’arrêter de passer ? » s’emporte une retraitée. Une voisine, située dans la rue de l’église, hausse les épaules : « Les cloches, on ne les entend pas. C’est une question d’habitude ». Une autre, qui avance fièrement sa longue filiation familiale à Sainte-Ruffine : « Pour les personnes âgées, c’est important d’entendre sonner leur clocher. Déjà, il fait partie de leur environnement et des traditions du village. Ensuite, c’est comme une présence pour les personnes seules. C’est rassurant ». Geneviève Ferrero : « Les voitures, pourquoi pas… On peut toujours considérer ça comme une nuisance. Mais un clocher… ». Ici et là, on invite même le maire à « faire un référendum ». D’ici là, la justice aura tranché. Décision début décembre.

    [d'après L'Est Républicain]

  • La question de la mention "Mort pour la France" pour les anciens combattants de la Lorraine annexée

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    Depuis 20 ans, l'Association pour la Conservation de la Mémoire de la Moselle en 1939-1945 a collecté des dizaines de témoignages écrits ou enregistrés sur tous les sujets : l'évacuation de 1939, la "drôle de guerre", les combats de 1940, l'arrivée des Allemands, la germanisation, les expulsions, la nazification, l'incorporation de force, les PRO, la Résistance, la déportation, la Libération...

     

    ASCOMEMO possède un patrimoine homogène et riche qui se complète continuellement et qu'il faut continuer à compléter. Il sert aux expositions, publications et il est mis à la disposition des chercheurs.

     

    Son président vient d'adresser un courrier au Président de la République à propos de la mention "Mort pour la France" et la problématique des combattants Alsaciens-Lorrains incorporés dans l'armée allemande durant la Première Guerre mondiale. Nous le communiquons à nos lecteurs :

     

    "A Monsieur le Président de la République Française

    Nicolas SARKOZY

    Palais de l’Elysée

    75000 PARIS

     

     

    Hagondange, le 11 novembre 2011

     

    Objet : « Morts pour la France ».

     

     

    Monsieur le Président,

     

    Vous avez annoncé dans votre discours du 11 novembre 2011 qu’une loi serait soumise à l’Assemblée Nationale pour que les noms de tous les « Morts pour la France » soient inscrits sur les monuments aux morts.

     

    Cette décision est louable, mais cette loi va immanquablement engendrer une discrimination concernant les combattants alsaciens-mosellans de la Grande-Guerre et relancer les débats de l’entre-deux-guerres à propos de l’inscription ou non des morts sur les monuments  dans ces départements.

     

    La plupart des jeunes alsaciens-mosellans, considérés juridiquement comme citoyens allemands en raison du Traite de Francfort du 10 mai 1871, tombés durant la Grande Guerre dans les rangs de l’armée allemande  n’ont légalement pas droit à la mention « Morts pour la France ».

     

    C’est une différence fondamentale avec leurs enfants enrôlés 20 ans plus part dans la Wehrmacht suite à l’annexion de l’Alsace et de la Moselle, annexion non pas de droit mais de fait, ce qui leur confère le titre de « Morts pour la France ».

     

    Il serait regrettable que cette loi exclut  des anciens combattants d’un territoire désormais français qui a subi l’Histoire. Il serait tout aussi regrettable que dans des communes françaises apparaissent deux catégories de victimes combattantes : ceux  tombés sous l’uniforme allemand et qui par conséquent ne seraient pas inscrits sur les monuments aux morts et ceux qui ont porté l’uniforme français (optants volontaires, évadés, prisonniers de guerre réengagés…), en l’occurrence une minorité, qui eux seraient obligatoirement inscrits.

     

    L’Histoire de France n’est pas une, même si elle est indivisible. Il y a des réalités historiques et humaines que la Mémoire ne doit pas gommer. Les annexions de nos départements de l’Est en sont une. Vous l’aviez d’ailleurs souligné dans votre discours de Colmar du 8 mai 2010.

     

    Espérant que vous intégrerez notre réflexion dans votre proposition de loi,

    Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’assurance de notre parfaite considération.

     

    Philippe WILMOUTH

    Président d’Ascomémo"

     

     

  • Bleurville : marché de Noël et Téléthon le 3 décembre 2011

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    De nombreuses animations... pour petits et grand !

     

    Marché bio

     

    Artisanat d'art, idées de cadeaux

     

    Promenade en calèche avec Saint Nicolas

    Animations avec un groupe de cors des Alpes

    Lâcher de ballons

    Gaufres, crêpes, vin chaud, café, chocolat et marrons chauds...

  • Histoire des conciles

    conciles.jpgA travers l'évocation des vingt-et-un conciles oecuméniques, une histoire vivante et accessible de l'Eglise, s'intéressant autant aux doctrines, aux pratiques sociales qu'aux hommes.

    Il y a cinquante ans, en 1962, s'ouvrait le concile Vatican II qui allait durer quatre ans et marquer durablement l'évolution de l'Eglise catholique. C'était le 21ème de l'histoire. Le premier avait eu lieu en 325, à Nicée, à l'initiative de l'empereur Constantin.

    Un concile oecuménique rassemble les évêques de l'ensemble de la "terre habitée" (oikoumenè). Son caractère universel fait qu'il peut imposer ses décisions à toute l'Eglise sous l'autorité souveraine du pape. Pour chacun d'eux, on trouvera dans cet ouvrage le contexte historique de sa convocation, l'histoire de son déroulement et des décisions disciplinaires qui ont été prises.

    Ces conciles ont constitué, progressivement, le corpus doctrinal du christianisme, qu'il s'agisse de la Trinité, de la nature du Christ, de la doctrine du Salut, de l'infaillibilité du pape ou de la nature et de la mission de l'Eglise. Une question comme celle des minarets en pays chrétiens, qui suscite tant de controverses aujourd'hui en Europe, était déjà traitée en 1312 au concile de Vienne.

    L'histoire des conciles oecuméniques ne concerne donc pas seulement l'histoire de l'Eglise catholique, elle est aussi l'histoire de nos sociétés.

    L'auteur, Yves Chiron, est spécialiste d'histoire religieuse. Il a notamment publié la biographie de plusieurs papes (Pie IX, Pie X, Pie XI, Paul VI).

     

    ‡ Histoire des conciles, Yves Chiron, éditions Perrin, 2011, 287 p. (22 €).

  • Bigeard aux Invalides

    Les cendres du général Bigeard, commandant héroïque de Dien Biên Phù, reposeront aux côtés des grands noms de l'armée française aux Invalides.

    lorraine,marcel bigeard,toul,paris,invalides,généralLe ministère de la Défense a annoncé ce jeudi 17 novembre que les cendres du général Marcel Bigeard seront transférées à l'Hôtel des Invalides, à Paris. Décédé le 18 juin 2010 à l'âge de 94 ans, le toulois Marcel Bigeard souhaitait que celles-ci soient dispersées au-dessus de Dien Biên Phù, au Vietnam, pour « rejoindre ses camarades tombés au combat » en mai 1954.

    Face au refus des autorités vietnamiennes, Gérard Longuet, le ministre de la Défense et élu meusien, avait adressé une lettre à la fille du général, Marie-France, pour lui proposer que les cendres de son père soient transférées aux Invalides, lieu de repos des grands noms de l'armée française. A ce jour, la date de ce transfert n'a pas encore été fixée.

  • Grand (Vosges) : dernières visites archéologiques avant le sommeil hivernal

     

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    [Vosges Matin]

  • Bigeard, l'album souvenir

    bigeard.jpgLa longue vie du général Marcel Bigeard a été ponctuée de luttes sur les divers théâtres d'opérations où il a été engagé. Il en est ainsi de plusieurs continents : Europe, Asie, Afrique dont l'Afrique du Nord. Ses actions militaires et civiles, ses batailles... jusqu'à la dernière - le 18 juin 2010 - ont inspiré de très nombreux clichés pris par des photographes amateurs, professionnels et par les plus grands photoreporters de guerre.

    La vie du dernier héros du XXe siècle est illustrée par des photos légendées et commentées dans l'ordre chronologique, depuis ses années de jeunesse : ses engagements des années 1940, son mariage avec Gaby, ses mutations et déplacements en famille dans l'ouest africain et dans l'Océan indien, les années d'Indochine et d'Algérie, les défilés et autres prises d'armes, ses rencontres glorieuses avec les présidents de la République René Coty, Charles De Gaulle, Valéry Giscard d'Estaing, les années de secrétaire d'Etat et les voyages liés à sa fonction, ses années de député jusqu'au plus récentes, les photos des obsèques en la cathédrale de Toul et l'hommage de la Nation aux Invalides.

    Toutes ces photos constituent un album souvenir unique, retraçant le parcours prodigieux du Lorrain Bigeard, le "saute ruisseau" toulois devenu général de corps d'armée. Elles célèbrent toute la volonté, le devoir, l'intégrité morale et l'honneur. Autant d'images qui composent la mémoire impérissable des vertus supérieures que le général Bigeard avait érigées en unique règle de conduite. Cet album exprime l'exemplarité, une grâce, une voie, un dialogue plus que jamais nécessaire entre souvenir et avenir. Il constitue une pierre supplémentaire à l'édifice d'un homme d'exception, une force d'âme qui avait choisi de bâtir plus qu'une vie, son destin avec et pour la France.

    Un bel hommage avant le prochain transfert des cendres du général Bigeard aux Invalides, panthéon des gloires militaires français.

     

    ‡ Bigeard. L'album souvenir, éditions du Rocher, 2011, 144 p., ill. (29,90 €).

  • A la découverte du musée d'Eloyes (Vosges)

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    [Vosges Matin]

  • "Seigneurs et laboureurs dans le Blâmontois" : une trilogie historique

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    [L'Est Républicain]

  • 11-Novembre à Bleurville : hommage appuyé aux combattants de toutes les guerres

    9h00 au cimetière communal. Au son des cloches lancées à toute volée, rappelant celles qui annoncèrent l’Armistice du 11 novembre 1918, population et municipalité se sont recueillies devant le monument aux morts.

     

    Bleurville_11.11.11 008.jpgAprès la montée des couleurs par Denis Bisval, adjoint au maire, et le dépôt de gerbe par André Granget, maire de Bleurville, l’appel des soldats morts pour la France a retenti dans la quiétude du champ du repos nimbé de brouillard. Le souvenir des déportés du village, Jean Michel, Robert Denizot et Jean Brunet récemment disparu, ainsi que les PG 1939-1945, dont André Bocard décédé cette année, a été évoqué lors de l’appel. La présence des deux porte-drapeaux bleurvillois 14-18 et ACPG 39-45 rappelait le sacrifice de ces hommes durant les deux derniers conflits mondiaux.

     

    A la suite du message du Président de la République, le maire a insisté sur la volonté de la Nation d’associer désormais tous les combattants de toutes les guerres lors de la commémoration du 11-Novembre afin d’honorer ceux qui, en France ou sur les théâtres d’opérations extérieures, ont donné leur vie pour la défense et l’honneur du drapeau tricolore.

     

    Bleurville_11.11.11 006.jpgAprès les sonneries réglementaires interprétées par la fanfare cantonale, les enfants des écoles sous la conduite de leur institutrice, Michèle Schoen, ont chanté a capella la Marseillaise.

     

    On notait parmi l’assistance de nombreux parents ainsi que des militaires d’active en uniforme venus s’associer à cet hommage.

     

    Un vin d’honneur a été servi à la mairie à l’issue de la cérémonie patriotique. L’office religieux à la mémoire des victimes des guerres a été célébré par l’abbé Ayéméné en l’église de Monthureux-sur-Saône.

  • Grand (Vosges) : autour des découvertes archéologiques

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    [L'Abeille | nov. 2011]