Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anne lorraine schmitt

  • Le général Philippe Schmitt révolté par le "mur des cons"

    schmitt ph.jpgLe père d'Anne-Lorraine Schmitt, jeune fille originaire de Nancy assassinée en 2007 dans le RER D, en région parisienne, par un récidiviste remis en liberté, figure parmi les personnes visées sur le « mur des cons » du Syndicat de la Magistrature. Le général Schmitt avait, à l'époque, dénoncé les dysfonctionnements de la justice. Scandalisé, il annonce son intention de porter plainte.

    Quelle a été votre réaction quand vous avez vu votre photo sur ce mur ?

    Je suis passé de l'incrédulité à la stupeur puis l'indignation. Je trouve cela abject compte tenu de notre histoire personnelle. Comment des magistrats, qui rendent la justice au nom du peuple français, peuvent-ils commettre un acte aussi inconvenant et indigne ? Comment peuvent-ils s'amuser d'un drame familial ? Je suis profondément révolté.

    Vous estimez qu'on a sali la mémoire de votre fille…

    Ils l'ont bafouée, tout simplement. Si un juge avait craché sur sa tombe, cela n'aurait pas été différent. Ma famille reste unie mais elle est particulièrement retournée et scandalisée. Mais au-delà des Schmitt, ce sont toutes les familles de France qui ont vécu ce genre de drame qui sont touchées par ce mépris et cette haine.

    Croyez-vous payer vos critiques, au moment du drame, à l'encontre de la justice ?

    Évidemment. En dénonçant la justice parce qu'elle avait remis en liberté un récidiviste, l'assassin de ma fille, j'ai attiré les foudres sur moi. Mais aujourd'hui encore je continuerai à le dire. Rien ne justifie ma présence sur ce mur avec ces qualificatifs.

    Comptez-vous intenter une action en justice ?

    Oui, je vais porter plainte. Mon avocat étudie quelle est la meilleure procédure à lancer. Je veux aussi que des poursuites disciplinaires soient engagées devant le Conseil supérieur de la magistrature et que le syndicat soit conduit à la dissolution. Quand je vois la désinvolture de ses réactions et le garde des Sceaux qui botte en touche, je trouve ça lamentable.

    Vous exigez par ailleurs une perquisition au Syndicat de la Magistrature…

    Oui, car s'agit-il d'un mur ou d'une liste noire ? Qu'y a-t-il derrière ces photos, un fichier sur ces gens qui dérangent les magistrats ?

    [source : Le Figaro]

     

    Notre commentaire :

    En France, à l’heure actuelle, avec une justice de gauche, il vaut mieux être du côté des agresseurs que de celui des victimes. Situation moralement et humainement inadmissible.

  • En souvenir d'Anne-Lorraine Schmitt

    anne lorraine.jpgLa famille d'Anne-Lorraine Schmitt, jeune étudiante sauvagement assassinée le dimanche 27 novembre 2007 dans le RER (nord de Paris) alors qu'elle se rendait à la messe, informe tous ceux qui veulent prier pour le repos de son âme qu'une messe sera célébrée

    dimanche 27 novembre 2011

    à 11h00

    en la cathédrale de Senlis

    Les Lorrains sauront se souvenir d'une jeune fille originaire de Nancy et avoir une pensée pour Anne-Lorraine, pour sa famille et pour toutes les femmes, victimes de la violence des hommes.

  • Trois jours de prières pour la famille d'Anne-Lorraine Schmitt

    anne lorraine.jpgChacun se souvient encore de cette affaire criminelle. C’était fin novembre 2007, Anne-Lorraine Schmitt, jeune fille étudiante en journalisme originaire de Nancy, est sauvagement assassinée de 34 coups de couteaux dans le RER, dans la banlieue nord de Paris.

    Aujourd’hui s’ouvre le procès de son agresseur, multirécidiviste. Le père d’Anne-Lorraine, le général Philippe Schmitt, a demandé aux chrétiens de France trois jours de prières pour la famille de la jeune victime afin de pouvoir supporter cette terrible épreuve de la confrontation avec l’agresseur.

    Le général Schmitt s'explique sur ce qu'il attend de la justice : la justice, c'est tout pour cette famille déjà condamnée, elle, à la peine perpétuelle.

    L’hebdomadaire Valeurs Actuelles accorde cette semaine deux articles à Anne-Lorraine : Frédéric Pons, qui a cosigné un livre sur Anne-Lorraine, a recueilli un entretien avec Philippe Schmitt et procédé à un rappel des faits et à des perspectives. A lire absolument pour comprendre le fonctionnement de la justice en France actuellement qui a adopté un principe "droits de l'hommiste" de défense systématique du délinquant et son corollaire la banalisation de l'infraction. Au mépris des droits les plus élémentaires de respect à l'égard de la victime et de ses proches.

    Plus d’infos sur http://www.lesalonbeige.blogs.com