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Première messe "lorraine" pleine de ferveur pour l'abbé Vincent Marie-Jeanne, de la Société des Missionnaires de la Miséricorde divine (diocèse de Fréjus-Toulon), en l'église Marie-Immaculée de Nancy à l'occasion de la solennité de Saint-Sigisbert, patron de la ville de Nancy.
L'abbé Marie-Jeanne a été ordonné le 15 décembre dernier pour le diocèse de Fréjus-Toulon.
Nef comble pour l'abbé Marie-Jeanne, accompagné de l'abbé Dubrule, SMMD (qui prononça l'homélie), et de l'abbé Husson, chapelain, entouré de sa famille, de ses amis lorrains, des Europa Scouts, et des fidèles de la chapellenie Bienheureux Charles de Lorraine-Habsbourg.
La messe a été suivie d'un apéritif puis d'un repas partagé dans la convivialité avec le jeune prêtre.
A l'occasion de la fête liturgique de saint Nicolas, le 6 décembre, une messe a été célébrée par l'abbé Thomassin à la mémoire de l'abbé Jean-Louis Jacquot, ancien recteur de la basilique portoise. Elle a été suivie du dévoilement d'une plaque apposée en l'honneur de celui qui redonna tout son lustre au culte du saint patron de la Lorraine, en présence de Mgr Papin, évêque de Nancy & de Toul, du maire de Saint-Nicolas-de-Port et de nombreux paroissiens.
La messe pour le repos de l'âme des ducs et duchesses de la Maison de Lorraine et de Bar sera dite en la chapelle des Cordeliers à Nancy samedi 13 octobre 2018 à 11h00 par le RP Arnaud Mansuy, de l'Oratoire Saint-Philippe Néri, desservant la basilique Saint-Epvre. La chorale Choralliance assurera la partie chantée de l'office.
A l'occasion de la fête liturgique de la Purification de la Très Sainte Vierge Marie le 2 février 2018, il y aura bénédiction des cierges et messe en l'église Marie-Immaculée à Nancy (33 avenue Général Leclerc) à 18h30 selon le rite extraordinaire de l'Eglise.
La quatrième fille de Cîteaux fêtait ce week-end le 9ème centenaire de sa fondation.
Située aux confins de la Champagne et de la Lorraine, sur le territoire de la commune de Fresnoy-en-Bassigny, l'ancienne abbaye cistercienne de Morimond fut en effet fondée en 1117 par Étienne Harding, alors abbé de l'abbaye bourguignonne de Cîteaux.
A l'initiative de l'association des Amis de Morimond, une messe a été célébrée en cette fête de saint Bernard - saint éminent de l'ordre cistercien - sur les lieux mêmes de l'ancienne abbatiale de Morimond détruite lors de la funeste Révolution.
La sainte messe était présidée par Mgr Joseph de Metz-Noblat, évêque de Langres, et concélébrée avec Mgr Bernard-Nicolas Aubertin, archevêque de Tours et ancien père abbé de l'abbaye cistercienne de Lérins, deux religieux cisterciens de Cîteaux et plusieurs prêtres du diocèse de Langres, en présence de quelques 400 fidèles.
Cette journée était également l'occasion de découvrir les fouilles archéologiques entreprises sur le site voici quelques années. Le dernier ouvrage, publié par Georges Viard, Hubert Flammarion et Benoît Rouzeau et présenté au public lors de ces journées commémoratives, fait d'ailleurs le point sur les découvertes archéologiques qui renouvellent la connaissance de l'ancienne abbaye.
Ce 9ème centenaire se prolonge du 31 août au 2 septembre 2017, avec un colloque international à Langres, Morimond et Chaumont.
Jour de fête à l'ermitage johannique de Notre-Dame de Bermont le 15 août puisqu'y a été solennellement célébrée la solennité de la fête de l'Assomption de la Vierge Marie.
Niché au milieu des bois, sur le territoire de la commune de Greux et à un tir d'arbalète de Domremy, cet ermitage fondé au XIe siècle fut assiduement fréquenté par Jeanne d'Arc au temps de sa prime jeunesse. Elle y venait en effet presque tous les samedis avec ses amies afin de se recueillir devant la statue de la Vierge de Bermont et y déposer des cierges.
La messe de l'Assomption a été célébrée dans une grande dignité et avec ferveur devant une nef comble, par le chanoine Pierre Dumain, jeune prêtre de l'Institut italien du Christ Roi Souverain Prêtre, avec, comme diacre et sous-diacre, les abbés Alexandre Thomassin et Jacques Olivier, prêtres diocésains.
Après un pique-nique partagé dans une salle de l'ermitage en raison de la météo orageuse, fidèles et clergé sont partis en procession jusqu'au reposoir dressé à l'orée de la forêt où fut lue la déclaration du pape Pie XII rédigée lors de la proclamation du dogme de l'Assomption en 1950, ainsi qu'une prière en faveur de la défense de la vie devant la statue de Jeanne d'Arc.
Cette fête liturgique de l'Assomption s'est clôturée par un Salut du Saint-Sacrement dans la chapelle du XVe siècle.
Deus, qui sollemnitáte pascháli, mundo remédia contulísti : pópulum tuum, quǽsumus, cælésti dono proséquere ; ut et perféctam libertátem cónsequi mereátur, et ad vitam profíciat sempitérnam. Per Dóminum.
[collecte, messe du Lundi de Pâques]
Ô Dieu, qui avez apporté au monde dans la solennité pascale la guérison : nous vous en supplions, continuez de répandre votre don céleste sur votre peuple ; qu’il soit digne de jouir de la liberté parfaite et qu’il s’avance vers la vie éternelle.
Bénédiction des rameaux de buis avant la messe des Rameaux - commémorant l'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem avant sa Passion - célébrée par l'abbé Ayéméné en l'église Saint-Michel de Monthureux-sur-Saône pour la grande paroisse Notre-Dame de la Saône.
Laetare Jérusalem : et conventum facite omnes qui diligitis eam : gaudete cum laetitia, qui intristitia fuistis : ut exsultetis, et satiemini ab uteribus consolationis vestrae.
[introït de la messe du 4ème dimanche de Carême]
Réjouis-toi, Jérusalem, et rassemblez-vous, vous tous qui l'aimez ; tressaillez de joie avec elle, vous qui avez été dans la tristesse afin que vous exultiez et soyez rassasiés à la mamelle de vos consolations !
La procession et la messe de la Présentation de Notre-Seigneur au Temple et de la Purification de la Vierge ont été solennellement célébrées en l'église Marie-Immaculée à Nancy ce 2 février... qui est aussi traditionnellement le jour de la Chandeleur !
Jésus sauveur, lumière des hommes pour tous les temps !
La fête de l'Immaculée Conception sera célébrée à Nancy ce jeudi 8 décembre lors de la messe chantée en l'église Marie-Immaculée, 33 avenue Général Leclerc, à 18h30 (rite extraordinaire de l'Eglise catholique).
La traditionnelle messe à la mémoire des ducs et duchesses de Lorraine et de Bar sera dite samedi 15 octobre 2016 à 11h00 en la chapelle des Cordeliers de Nancy, nécropole nationale des ducs de Lorraine.
L'ermitage Notre-Dame de Bermont à Greux (88) a accueilli de nombreux fidèles pour la fête de l'Assomption de la Vierge Marie.
Depuis la restauration de l'ermitage de Bermont par la famille Olivier, l'Assomption de Marie est solennellement fêtée chaque 15 août. Cette année, la messe dite pour la vocation chrétienne de la France a été chantée par l'abbé Jacques Olivier, prêtre de la Fraternité Saint-Pierre qui assure actuellement son ministère pastoral à Lourdes, dans la chapelle où Jeanne d'Arc venait chaque samedi prier et faire brûler des cierges devant l'image de la Vierge. À la fin de l'office, la cloche de la chapelle a sonné « pour la France » selon la demande expresse de la conférence des évêques.
Après le pique-nique partagé dans une excellente ambiance à l'ombre du frêne multi-centenaire qui orne le parc de l'ermitage, la procession en l'honneur de Notre-Dame a mené les fidèles au reposoir installé à l'orée de la forêt puis devant la statue de Jeanne d'Arc. L'abbé Olivier y a rappelé les propos du pape Pie XI dans sa déclaration officielle de 1922 consacrant la France à la Mère du Sauveur : « Marie, sous le titre de son Assomption dans le Ciel, a été régulièrement choisie comme principale patronne de toute la France. »
Au retour à la chapelle, le salut au Saint-Sacrement présidé par les abbés Olivier et Thomassin, a permis aux fidèles de se recueillir et de prier aux intentions de la France.
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A propos de la fête de l'Assomption... De la part d'un lecteur belge :
"On vient de célébrer l'Assomption. A travers cette fête, les chrétiens peuvent déjà entrevoir leur avenir éternel. Un mot me revient à l'esprit. Albert Voisin, l'un des cinq témoins des apparitions de la Vierge Marie à Beauraing, m'a dit un jour : "Quand on a vu un coin du ciel, il est très difficile de rester dans la brume d'ici-bas". Dans le même sens, sainte Bernadette Soubirous confiait : "Qu'elle était belle ! Si belle que quand on l'a vue, il tarde de mourir pour la revoir". Voilà ce que nous avons besoin d'entendre. Cette vie n'est supportable que s'il en est une autre dans l'Au-delà, écrivait André Frossard. "Car notre véritable patrie est dans les cieux, d'où nous attendons comme sauveur Notre Seigneur Jésus-Christ, qui transformera notre corps humilié pour le rendre semblable à son corps de gloire" (St Paul, épître aux Philippiens). Impossible de taire une telle espérance !"
Bleurville a fêté le saint patron de l'église paroissiale, saint-Pierre-aux-Liens, ce dimanche 10 juillet.
A l'issue de la messe dominicale célébrée pour les défunts de la paroisse par l'abbé Ayéméné, curé de Notre-Dame de la Saône, le pain bénit a été distribué aux fidèles et le conseil paroissial a offert le verre de l'amitié partagé dans une excellente ambiance.
L’abbé Coiffet a été prêtre. Un simple prêtre. Avec ses défauts d’homme. Comme tant d’autres avant lui. Mais il aura marqué probablement plus que beaucoup d’entre eux. Non pas qu’il fût meilleur. Dieu seul jugera. Mais la Providence a voulu qu’il vienne à la vie peu de temps avant une période de grands désordres dans l’Église. Et qu’il ferme à jamais ses yeux à un moment où quelques signes annonçaient des jours meilleurs. Un peu plus de soixante années se sont écoulées. C’est beaucoup pour la vie d’un homme. Mais tellement peu à l’échelle de celle du monde.
Ses trente-huit années de sacerdoce lui ont permis de jouer un rôle important au sein de l’Église. Il aura été l’inlassable défenseur de ce qui est au centre de celle-ci : la messe. Une messe trop souvent bafouée qu’il a su porter à bout de bras pour qu’elle continue à sanctifier les âmes. Un attachement à la messe traditionnelle, « la messe de toujours », qu’il ne pouvait pas concevoir sans une autre fidélité : celle qu’il devait à Rome. Au plus fort de la crise, certains ont cru y voir une contradiction. Lui pas. Sa confiance en l’Église lui a permis d’éviter de se perdre. Au-delà de son amour pour la messe tridentine, il avait sa façon bien à lui d’être prêtre. Ferme sur la morale sans être jamais moralisateur. Dur avec le péché et tendre avec le pécheur. Un sens de la camaraderie et de l’amitié jamais pris en défaut. Un langage fleuri qui pouvait surprendre. Un comportement scout parfois mal compris. Et surtout ce sentiment mystérieux qu’il savait donner à son interlocuteur qu’il était unique à ses yeux.
L’abbé Coiffet avait compris que si le communisme est la vieillesse du monde, le catholicisme est sa jeunesse. Une jeunesse dont il a toujours été proche, conscient que rien ne se construirait de durable sans elle. L’abbé Coiffet n’avait pas d’ambition pour lui-même. Il voulait simplement donner le Bon Dieu au plus grand nombre. Dans la joie et l’espérance. Dans l’amitié et la bonne humeur. Sans fioritures. Sans faux-semblants. Il voulait transmettre ce qu’il avait reçu.
Lorsqu’il est parti, la foule s’est retournée et, d’une seule voix, a crié à ce zélé serviteur de l’Église, en guise de dernier adieu : "Monsieur l’abbé, vous y êtes parvenu !"
‡ L'abbé Denis Coiffet, zélé serviteur de l'Eglise, Thierry Bouclier, éditions TerraMare, 2016, 256 p., ill. (20 €).
Lors du dimanche de la solennité du Sacré-Coeur, la chapellenie Bienheureux Charles de Lorraine-Habsbourg de Nancy fêtait la fin des travaux engagés sur les voûtes de l'église Marie-Immaculée par la congrégation des Soeurs de Saint-Charles, propriétaire des lieux, ainsi que l'installation des bancs provenant de la chapelle de la Doctrine chrétienne, avenue de Strasbourg.
La messe chantée par la chorale grégorienne a été réhaussée par la participation des Sonneurs bisontins (cors de chasse).
L'office dominical a été suivi, dans le jardin du lycée, d'un sympathique apéritif offert par l'association Saint-Brunon et d'une aubade donnée par les sonneurs.