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  • La paille et l'osier

    lorraine,moselle,alsace,annexion,michel caffier,chapelier,vannier,belle époqueAu lendemain de la guerre de 1870, Adrien est l'un de ces jeunes irréductibles lorrains et alsaciens qui ont choisi l'exil pour ne pas devenir allemands. Vignerons, mariniers, brasseurs, artisans, garçons de café, industriels, médecins, ils sont des centaines à arriver chaque semaine à Nancy par le train.

    Devenu serveur au buffet de la gare, Adrien attend la reconquête des territoires perdus pour pouvoir repartir au pays. Mais cet espoir s'éloigne et il doit se résigner à tourner la page de son enfance mosellane.

    Au gré de péripéties qui lui feront embrasser les métiers de chapelier  - donnant à la chapellerie lorraine de cette époque une renommée internationale - puis de vannier, c'est dans le tourbillon d'une ville en pleine expansion qu'il lui faudra trouver l'âme soeur et se forger un destin...

    Autour d'un héros entreprenant, porté en toutes circonstances par le souffle de la liberté, Michel Caffier restitue avec verve l'atmosphère de la Belle Epoque dans un Nancy qui connaît alors un extraordinaire rayonnement.

    L'auteur, Michel Caffier, a été grand reporter, critique littéraire et rédacteur en chef à L'Est Républicain de Nancy.

     

    ‡ La paille et l'osier, Michel Caffier, éditions Calmann-Lévy, 2012, 254 p. (19 €).

  • Quand Metz reçoit la France

    lorraine,moselle,metz,monarchie,empire,républiqueAu cours de sa longue et riche histoire, Metz a reçu un nombre impressionnant de souverains et de chefs d'Etat, et peu de villes peuvent se targuer d'en avoir vu passer ou séjourner autant. Capitale du royaume d'Austrasie chère aux mérovingiens et aux carolingiens qui y fixèrent leur nécropole, ville libre d'Empire, république patricienne fière de ses libertés, puis cité française gardienne de la frontière depuis 1552, deux fois annexée avant de retrouver la France et de s'insérer dans une Europe unie, Metz a reçu dans ses murs rois, empereurs et, depuis 1918, presque tous les présidents de la République jusqu'à nos jours. Un roi - Louis XV - faillit y mourir en 1744, un empereur - Napoléon III - en partit malade et presque déjà vaincu en 1870, un président de la République - Charles de Gaulle - y fut soldat avant d'y revenir à trois reprise comme chef d'Etat.

    Depuis que Metz est française, existe entre elle et la France une relation privilégiée, qui a permis aux Messins d'affirmer constamment leur attachement et leur loyauté envers la monarchie, l'empire et la république, un attachement qui connaît son point d'orgue en 1918. C'est l'histoire de cette relation particulière que relate, à la lumière de nombreuses sources, l'ouvrage de Pierre Brasme. Un livre d'histoire messine qui, au-delà du simple récit des visites officielles, tente de les situer et de les expliquer dans un contexte parfois complexe, mais avec le souci constant d'offrir au lecteur une connaissance renouvelée et originale de l'histoire de Metz.

     

    ‡ Quand Metz reçoit la France. Souverains et chefs d'Etat français dans la cité messine, Pierre Brasme, éditions des Paraiges, 2011, 347 p., ill. (25 €).

  • Scy-Chazelles (57) : un label pour la Maison de Robert Schuman

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    [La Semaine de Nancy]

  • De cloches en cloches, du Pays messin à Thionville et à la Nied

    cloches.jpgDans cet ouvrage abondamment illustré, l'auteur nous invite à la découverte du patrimoine campanaire du Pays messin et du Thionvillois, patrimoine méconnu - sauf de quelques spécialistes -, mais pourtant omniprésent dans notre quotidien.

    L'inventaire dressé couvre plus d'un millier de cloches réparties dans près de 370 édifices cultuels, clochers d'églises et de temples, mais aussi de bâtiments civils, écoles et mairies. Des descriptifs techniques complètes utilement les notices sur chaque cloche, de la plus ancienne, datant de 1398, installée à la cathédrale Saint-Etienne de Metz, à celle de la chapelle de Morlange, coulée en septembre 2009.

    Un ouvrage indispensable pour comprendre les voix mystérieuses des clochers qui rythment la vie des villes et villages en Pays messin. De la naissance à la mort, les voix des cloches accompagnent le croyant en terre chrétienne.

    Des trésors habitent les clochers mosellans : vénérables ancêtres ou jeunes modernes, elles ont traversé le temps, résisté aux révolutions et aux guerres. Hommage enfin aux saintiers et artisans campanaires, hommes de traditions qui ont fait naître ces sympathiques résidentes de nos clochers.

    Enfin, un index recense toutes les cloches des églises visitées avec, pour chacunes d'elles, le nom du fondeur.

     

    ‡ De cloches en cloches. Du Pays messin à Thionville et à la Nied, Jean-Paul Philips, éditions des Paraiges, 2011, 290 p., ill. (42 €).

  • "Il suffit de vouloir". Les Mémoires de Jean-Marie Rausch

    lorraine,moselle,jean marie rausch,mémoire,politique,centrismeIl aura tout raflé, tout conquis, Jean-Marie Rausch... Maire de Metz, sénateur, président du Conseil général de la Moselle puis du Conseil régional de Lorraine, ministre sous divers gouvernements d'ouverture : sa carte de visite donne la mesure du parcours exceptionnel de ce fils de minotier de Frauenberg.

    En 37 ans de vie publique, Jean-Marie Rausch s'est imposé comme un leader longtemps incontesté, et a pesé de tout son poids sur le paysage politique de Lorraine.

    Aujourd'hui, à 82 ans, apaisé, guéri de tout et surtout de ses quelques échecs, Jean-Marie Rausch raconte avec simplicité dans cet ouvrage la passion qui l'a animé tout au long de sa carrière, sa rage d'innover, de surmonter les obstacles, de relever les défis. Parfois envers et contre tous.

    Jean-Marie Rausch invite le lecteur à remonter le temps, il retrace sa vie, ses rencontres, ses décennies de pouvoir, livre des faits, dresse des portraits d'amis ou d'ennemis...

     

    ‡ Il suffit de vouloir. Mémoires, Jean-Marie Rausch, éditions Serpenoise, 2011, 178 p., ill. (20 €).

  • L'Arc Mosellan par monts et merveilles

    arc mosellan.jpgNiché au coeur du département de la Moselle, entre Metz, Thionville et Luxembourg, se situe un havre tout de vert et de bleu. Bleu pour les quatre cours d'eau qui y serpentent, vert pour les nombreuses forêts et les quatre vallées qui le composent. Rajoutons des couleurs de tuiles et de pierres pour ses vingt-six villages, tous authentiques et forts en patrimoine. Tels sont les principaux traits de caractère de la Communauté de communes de l'Arc Mosellan. Mais sa personnalité ne s'arrête pas là.

    Pour les amoureux de la nature, ce territoire est également un formidable lieu de rencontres avec la faune et la flore. Oiseaux à scruter, insectes variés, mammifères diurnes et nocturnes, orchidées remarquables, fleurs en tout genre... Les promenades se font découvertes.

    Découvertes humaines aussi. Civilisations, guerres et industries passées nous ouvrent les sentiers de la mémoire : vestiges comme le rocher des Nonnensfeld, important ouvrage du Hackenberg, fours à chaux... Au plus près des villages, de nombreux bildstocks et autres croix monumentales peuplent les chemins, les décorent d'autant de saints personnages emblématiques.

    Eglises anciennes, fermes, châteaux et moulins viennent à leur tour apporter un cachet d'originalité à une région foisonnante de richesses patrimoniales et environnementales.

    On aimerait que chaque Communauté de communes lorraine vante aussi agréablement ses villages et bourgs.

     

    ‡ L'Arc Mosellan par monts et merveilles, Audrey Krommenacker, éditions Serpenoise, 2011, 135 p., ill. (24 €).

  • En Lorraine, les cloches sont considérées comme des nuisances sonores...

    sainte-ruffine.jpgLa Cour administrative d’appel de Nancy a condamné la commune de Saint-Ruffine (Moselle) pour nuisances sonores, à la suite du recours d’un couple de la commune qui voulait que les cloches de l’église cessent de sonner la nuit.
     
    Le couple, qui habite l'ancien presbytère, à côté de l'église, et se plaignait de nuisances sonores entre 20h00 et 08h00, avait été débouté en première instance par le tribunal administratif de Strasbourg.
     
    Mais, en appel, les magistrats ont reconnu leur préjudice et ont condamné la commune à leur verser 1.500 euros de dommages et intérêts, alors qu’ils réclamaient 70.000 euros.
     
    « Evidemment, c’est la déception, mais c’est une décision de justice et nous la respectons », a indiqué à l’AFP le maire, Jean-Claude Wannenmacher. « Ceci dit, sur les 270 familles qui résident à Sainte-Ruffine, plus de 250 ont signé une pétition pour le maintien des cloches. Seule une famille se plaint du carillon », a-t-il indiqué.
     
    Le maire a par ailleurs indiqué qu’il allait « réfléchir à un pourvoi en cassation » devant le Conseil d’Etat pour contester cette décision.
     
    Ces mêmes personnes ne trouvent sûrement rien à redire contre les automobiles et autres scooters qui circulent de nuit dans les rues du village... Le bruit des moteurs ne les empêche pas de dormir !
     
    [d'après ER]

  • Les sapeurs-pompiers de Lorraine

    pompiers.jpgAlors que Paris célèbre cette année le bicentenaire de la création du bataillon des sapeurs-pompiers, premier corps professionnel de lutte contre l'incendie, Denis Bergerot nous propose une histoire des sapeurs-pompiers de Lorraine.

    Si depuis la nuit des temps, l'homme est fasciné par le feu, il a toujours cherché en s'en protéger, et à toutes les époques des hommes se sont organisés pour lutter contre les incendies. Depuis les jurés du feu, maçons, tonneliers et charpentiers du Moyen Âge jusqu'au sapeurs-pompiers du XXIe siècle, l'ouvrage rend un bel hommage à ces hommes et ces femmes qui ont combattu - et combattent - ce fléau destructeur.

    Au fil des siècles, ils ont su mettre à profit leur expérience acquise au péril de leur vie, pour inventer, développer le matériel et les techniques de lutte contre l'incendie et ainsi devenir ce corps d'élite dont chacun reconnaît l'efficacité et le dévouement.

    Un hommage sympathique et en images à ces soldats du feu lorrains dont la devise "Courage & Dévouement" en fait désormais des "soldats de la vie".

    L'auteur, Denis Bergerot, responsable des éditions Gens de Lorraine, est maire de Millery-aux-Templiers, en Meurthe-et-Moselle.

     

    ‡ Les sapeurs-pompiers de Lorraine, Denis Bergerot, éditions Gens de Lorraine, 2011, 160 p., ill. (32 €).

  • Sainte-Ruffine (Moselle) : un grincheux veut faire taire les cloches

    sainte-ruffine-son-clocher-et-ses-cloches-photo-er.jpgSaint-Ruffine, coquet village situé sur les hauteurs de Moulins-lès-Metz (Moselle), s’était forgé une réputation envieuse avec ses rues étroites et ses façades de vieilles et grandes maisons aux devantures claires fraîchement retapées.

    La mairie est la cible d’une inhabituelle procédure judiciaire, depuis que les propriétaires de l’ancien presbytère, installé juste à proximité de l’église, réclament que cessent les cloches, qui perturbent leur tranquillité, en particulier nocturne. Ils réclament des tribunaux administratifs qu’ils fassent droit à leur demande. Le TA de Strasbourg a, dans un premier temps, rejeté leur dossier, lequel a rebondi devant la cour administrative d’appel qui a récemment étudié les arguments des uns et des autres. L’avocat du couple plaignant avait à l’audience argué d’une nuisance devenue plus forte ces dernières années, notamment après des travaux de mécanisation.

    Le maire, Jean-Claude Wannenmacher, l’a mauvaise face à pareils arguments. Car si nuisance sonore il y a, elles ne sont jamais ou presque exprimées par la population, sinon par les propriétaires du logement voisin. Lesquels, en achetant le presbytère, ne pouvaient ignorer le bruit des cloches, défend-il en substance.

    « Si on achète près d’une voie ferrée, va-t-on demander aux trains d’arrêter de passer ? » s’emporte une retraitée. Une voisine, située dans la rue de l’église, hausse les épaules : « Les cloches, on ne les entend pas. C’est une question d’habitude ». Une autre, qui avance fièrement sa longue filiation familiale à Sainte-Ruffine : « Pour les personnes âgées, c’est important d’entendre sonner leur clocher. Déjà, il fait partie de leur environnement et des traditions du village. Ensuite, c’est comme une présence pour les personnes seules. C’est rassurant ». Geneviève Ferrero : « Les voitures, pourquoi pas… On peut toujours considérer ça comme une nuisance. Mais un clocher… ». Ici et là, on invite même le maire à « faire un référendum ». D’ici là, la justice aura tranché. Décision début décembre.

    [d'après L'Est Républicain]

  • Les Grandes Affaires criminelles de Moselle

    moselle.jpgEmmanuelle de Rosa et Arnaud Vauthier, partageant la même fascination pour l'histoire criminelle et un même attachement pour la Moselle, invitent le lecteur à découvrir, parfois avec effroi, plus d'un demi-siècle de faits divers dans ce département lorrain atypique, puisqu'il eut à connaître une double annexion allemande en 1870 puis en 1940.

    Dans les tribunaux, accusés et magistrats ne parlent pas toujours la même langue. En Lorraine, terre d'immigration, le peuple parle également italien ou polonais. Ainsi l'étonnant assassin de la rue du Rempart Saint-Thiébaut à Metz, était-il transalpin ? C'est d'ailleurs bien la seule certitude que l'on ait à propos de cet homme énigmatique qui changea de noms tant de fois que même après son exécution, son identité demeura incertaine.

    Les protagonistes de cette trentaine de récits passionnants, Etienne Hippert, Jean Berresheim, Roman Daszkowski, ont empoisonné, étranglé, poignardé... par amour, pour de l'argent, ou par déviance. Beaucoup ont fini la tête tranchée, à l'image de Gunther V., le dernier condamné et exécuté à Metz, pour avoir violé puis assassiné Solange, neuf ans, dans la région de Thionville, en 1967...

    Les auteurs : Arnaud Vauthier, avocat au barreau de Metz, est passionné par l'histoire et attaché à la Lorraine, et Emmanuelle de Rosa, journaliste, est Lorraine depuis près de vingt ans. Ils se sont évidemment rencontrés sur les bancs du palais de Justice messin.

     

    ‡ Les Grandes Affaires criminelles de Moselle, Emmanuelle de Rosa et Arnaud Vauthier, éditions De Borée, 2011, 352 p., ill. (26 €).

  • La nécropole médiévale du Mont Saint-Germain (Moselle)

    mont st germain.jpgEtablie sur un promontoire dominant le village de Châtel-Saint-Germain, en Moselle, la nécropole du Mont Saint-Germain occupe l'extrémité d'un site fortifié du type "éperon barré" attribuable au second âge du Fer, puis réoccupé durant l'Antiquité tardive. Du XIe au XIIIe siècle, les autorités religieuses et laïques cohabitent sur le Mont Saint-Germain, qui connaît alors son apogée. Une église, liée à un prieuré placé sous l'autorité de l'abbaye bénédictine Saint-Vincent de Metz, y est citée en 1026. Dédiée à saint Germain d'Auxerre, elle desservira, comme église mère, les paroisses de Châtel-Saint-Germain et d'Amanvillers.

    La nécropole, intimement liée topographiquement aux bâtiments prieuraux, compte près de 400 sépultures et se caractérise par sa longue durée d'occupation, entre le milieu du VIe siècle et la fin du Moyen Âge. Tous les modes d'inhumation y sont représentés mais son originalité tient à un nombre anormalement élevé en milieu rural d'éléments lapidaires du haut Moyen Âge. Leur iconographie chrétienne est sans doute à mettre en relation avec un édifice cultuel qui a précédé l'église actuelle, dont les vestiges sont attribuables au XIIe siècle.

     

    ‡ La nécropole médiévale du Mont Saint-Germain à Châtel-Saint-Germain (Moselle), Jacques Guillaume et Claude Lefebvre, PUN, 2011, 529 p., ill. et cartes (40 €).

  • Porcelette, un village de la Renaissance

    porcelette.jpgLa fondation de Porcelette, en 1611, n'est pas simplement l'acte de Mgr Jean des Porcelets de Maillane, évêque de Toul, et de quelques notables de la région. C'est une parfaite manifestation de l'âge d'or que connaît la Lorraine en ce début du XVIIe siècle.

    Cette création exprime en effet la prospérité d'une région qui connaît ses "Trente Glorieuses" avec des défrichements accrus, l'activité minière et la vitalité des métallurgistes ou des verriers. En laissant défricher 1 600 arpents de forêts pour l'implantation d'un village et de terres de culture, Mgr Porcelets de Maillane participe à l'exploitation du Warndt.

    La nouvelle localité correspond également à une réalité politique. En un temps de frontières floues, Porcelette relève deux défis : affirmer une présence française sur les marges orientales des duchés de Lorraine et de Bar, à proximité de principautés germaniques, et marquer une avancée du catholicisme dans une zone où le protestantisme est bien implanté.

    Le village est donc au coeur de toutes les préoccupations des hommes du début du XVIIe siècle : religieuses, politiques, sociales ou économiques. Son histoire est le reflet des tensions et des espoirs de la Renaissance lorraine.

    L'ouvrage est publié à l'occasion du 400ème anniversaire de la fondation de Porcelette. Les auteurs : Alain Cullière, Pascal Flaus, Laurent Jalabert, Yves Krumenacker, Julien Léonard, Philippe Martin, Thomas Metzinger, Frédéric Meyer, Aurélie Prévost, Stefano Simiz.

     

    ‡ Porcelette, un village de la Renaissance, Philippe Martin (sous la dir.), éditions Gérard Louis, 2011, 197 p., ill. (20 €).

  • Porcelette 400 ans : 1611-2011

    Porcelette.jpgNé il y a quatre siècles dans un milieu plutôt hostile, dans le massif forestier du Warndt, en Moselle, de la volonté d'un évêque de Toul Jean des Porcelets de Maillane qui lui donna son nom, le village de Porcelette ne semblait guère disposer d'atouts pour se développer. Et pourtant...

    Au XIXe siècle, ses habitants vivaient des produits de la terre, puis l'exploitation charbonnière va changer complètement la donne. Comme la fermeture des mines à la fin du XXe siècle qui bousculera toute l'économie et la vie des familles. Porcelette entamera alors une nouvelle reconversion, sans coup férir, pour s'adapter au monde moderne.

    Cet ouvrage richement illustré, retrace cette belle histoire mouvementée et dense à la fois.

    L'auteur, Jean-Marie Pennerath, professeur, fut un élu de Porcelette, son village natal.

     

    ‡ Porcelette 400 ans : 1611-2011, Jean-Marie Pennerath, éditions Serpenoise, 2011, 91 p., ill. (20 €).

  • Le canton de Vic-sur-Seille

    vic sur seille.jpgCe numéro de la collection Images du Patrimoine est le fruit de l'étude d'inventaire général du canton de Vic-sur-Seille (Moselle), menée entre 2000 et 2008. Alliant études de terrain et recherches en archives, l'ouvrage s'attache à la présentation et à la description du patrimoine architectural et du mobilier, de l'Antiquité aux années 1960.

    Ce territoire, d'une grande variété voit se côtoyer des vestiges les plus divers allant de l'exploitation du sel, pratiquée depuis l'âge du Bronze, à l'architecture urbaine en passant par les signes de la puissance temporelle des évêques de Metz (fortifications et édifices religieux majeurs) et maints témoignages plus modestes de l'activité agricole et de son évolution entre le XVIIIe et le XXe siècle.

    C'est donc un visage varié qu'offre ce territoire, dont le caractère doit une part de ses contrastes à son histoire riche en rebonds.

     

    ‡ Le canton de Vic-sur-Seille. Entre Seille et Sânon, collectif, Somogy éditions d'art, 2011, 160 p., ill. (30 €).

  • Robert Doisneau au château de Malbrouck

    Le château de Malbrouck (Moselle) présente une exposition riche de tirages inédits Doisneau dévoilant ainsi l'oeuvre du photographe dans sa complexité.

    lorraine,moselle,château,malbrouck,robert doisneau,conseil général de la moselle, philippe claudelC'est  donc  à une exposition inédite et judicieuse que nous convie le château de  Malbrouck. Riche  de  quelque 300 photos réalisées entre les années 1930 et les années 1990 déroulées dans un ordre chrono-thématique, cette rétrospective donne à voir une facette inédite du travail de Robert Doisneau. Trop longtemps relégué à ses portraits  d'enfants et à ses mises en scène facétieuses devenues anecdotiques au fil des années, l'homme apparaît ici dans toute sa complexité auteur d'une oeuvre beaucoup plus sombre qu'il n'y paraît. Certes,  il  y a là les photos du « Baiser de l'Hôtel de Ville », le portrait de Prévert  et  son  chien, et ce cancre, le regard fixé sur l'horloge de sa classe. Mais  c'est  pour mieux amener le public à découvrir autre chose. Et notamment ces reportages réalisés en Meurthe-et-Moselle  dans les années 1950-1960.

    Mandaté  par un journal syndical, Robert Doisneau était descendu au fond de la mine  avec  les mineurs. Il les avait ensuite suivis chez eux pour témoigner de leur quotidien, de  leurs conditions de vie, de la pénibilité de leur métier. Autant de portraits graves. Les hommes, très dignes, n'y apparaissent pas moins fiers  de  leur  travail,  de leurs familles. Et c'est tout à l'honneur de cette exposition qui, au final, brosse un portrait beaucoup plus juste du photographe.

    Un remarquable catalogue accompagne cette exposition.

     

    ‡ Robert Doisneau, catalogue de l'exposition présentée au château de Malbrouck, 10 avril - 28 août 2011, collectif, Conseil général de la Moselle / Serge Domini éditeur, 2011, 240 p., ill., préface de Philippe Claudel (25 €).

  • Prisonniers de guerre et travailleurs forcés d'Europe de l'Est en Moselle (1941-1945)

    trou de memoire.jpgNous croyons tout savoir sur la Seconde Guerre mondiale en Moselle. Nous connaissons l'Annexion, le sort des Malgré-Nous, nous commémorons le sacrifice des libérateurs américains. Mais, dans l'ombre, en arrière-plan, nous avons oublié des figurants. Ils étaient pourtant bien visibles, ils étaient pourtant partout. Ce sont les Slaves. Les uns sont prisonniers de guerre, capturés sur le front russe. Les autres, travailleurs forcés, ramassés dans les campagnes de Pologne, d'Ukraine et de Russie. Répartis dans toute la Moselle annexée, ils rempliront au moins cent cinquante camps. Ils seront environ 70000, envoyés dans les mines, les usines, les villes et les campagnes...

    Pour la première fois, des historiens nous racontent leur histoire. Ils donnent la parole aux rescapés, rapportent le régime de ségrégation, la répression, les exécutions sommaires. Mais aussi la solidarité des Lorrains, les risques encourus.

    C'est aussi une quête archéologique. Quelles traces ont-ils laissé ? Camps en ruines, lettres perdues, immigration silencieuse, identité niée... jusqu'aux charniers ignorés. Au moins 9200 Soviétiques ont disparu en Moselle annexée. Près de 4000 attendent toujours une sépulture décente. Ce sont nos trous de mémoire.

     

    ‡ Trous de mémoire. Prisonniers de guerre et travailleurs forcés d'Europe de l'Est (1941-1945) en Moselle annexée, Cédric Neveu, Christine Leclercq, Alexandre Méaux, Olivier Jarrige, éditions Serpenoise, 2011, 255 p., ill. (29 €).

  • Fouilles archéologiques à Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle)

    mars la tour.jpg

    [La Semaine de Nancy | 24.02.2011]

  • Tambov, les "Malgré Nous" Lorrains et Alsaciens prisonniers des Russes

    tambov.jpgGrâce à l'ouverture récente des archives russes, de nombreuses informations inédites commencent à éclairer les réalités contrastées de ces quinze mille Malgré Nous mosellans et alsaciens incorporés de force dans l'armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale puis prisonniers des soviétiques.

    Les meilleurs spécialistes et des témoins restituent le camp d'internement de Tambov, la difficile survie au camp, les retours, la recherche des disparus... Ils analysent aussi l'évolution du contexte géopolitique et idéologique, depuis les silences et les ambiguïtés des autorités soviétiques et françaises dans l'après-guerre jusqu'aux récentes initiatives de coopération qui ont conduit à l'ouverture des archives comme à l'organisation de pèlerinages et de commémorations.

    Le temps de la reconnaissance et celui du travail historique sont venus. Cet ouvrage y contribue avec compétence.

    Ce livre accompagne l'exposition "Que s'est-il passé au camp de Tambov ?" présenté au Mémorial de l'Alsace-Moselle à Schirmeck d'octobre 2010 à novembre 2011.

     

    >> Tambov. Les révélations des archives soviétiques, collectif, éditions La Nuée Bleue, 2010, 143 p., ill. (25 €).

  • Pont-à-Mousson, essor et fastes d'une ville

    pont à mousson.jpgAu carrefour de la Lorraine, la ville de Pont-à-Mousson déploie ses rue et ses monuments de part et d'autre de la Moselle. Elle tire son nom et son identité du pont qui lie les quartiers des deux rives et de la butte au pied de laquelle la ville s'est développée.

    Coeur économique, spirituel, scientifique et littéraire de la région pendant plusieurs siècles, Pont-à-Mousson mérite sans aucune doute d'être mieux connue.

    Ce volume, qui reproduit les actes des IVe Journées d'études Meurthe-et-Mosellanes 2009, entend montrer les mille et une facettes de la cité et faire redécouvrir ses vestiges célèbres ou méconnus : les ruines fantastiques de la butte de Mousson, la vie dans la ville au Moyen Âge, la remarquable église Saint-Laurent, ses multiples couvents, l'université jésuite qui fit sa renommée au XVIIe siècle, son jardin botanique qui fut en son temps l'un des plus riches d'Europe, son école militaire qui a formé la dernière génération de jeunes gens avant la Révolution, son imagerie, les fonderies qui ont rendu le nom de Pont-à-Mousson célèbre dans le monde entier, l'enfer du Bois-le-Prêtre en 1915...

    On y croise aussi des personnalités connues ou non, telles Philippe de Gueldre, duchesse venue finir sa vie parmi les clarisses, Jean-Michel Pierson, tisserand et régent d'école, Duroc, confident de Napoléon Ier, Camille Cavallier ou la famille Adt. En somme, une histoire d'hommes autant que d'architecture.

     

    >> Pont-à-Mousson. Essor et fastes d'une ville (XIIe-XXe siècles), Fabienne Henryot, Cédric Andriot, Philippe Masson (sous la dir.), éditions Gérard Louis, 2010, 264 p., ill. (22,80 €).

  • L'expulsion des Mosellans en 1940

    de gré ou de force.jpgL'année 1940, terrible pour la France, fut dramatique pour la Moselle, abandonnée au vainqueur avec les départements alsaciens, au mépris de la convention d'armistice acceptée par le gouvernement du maréchal Pétain.

    Dès les premières semaines de l'été, l'occupant met en oeuvre un programme méthodique d'annexion pure et simple de trois départements français. Conformément aux théories nazies, les gêneurs doivent partir au motif qu'ils sont inassimilables, irrécupérables ou simplement inutiles. La police et l'administration allemandes organisent doc le départ de 80 000 à 100 000 personnes. Ce n'était pas pour toujours, mais ce fut long tout de même, jusqu'à la victoire de 1945.

    Comment part-on de sa maison et comment abandonne-t-on son bien et son cadre de vie ? Comment s'installe-t-on pour vivre et travailler dans les départements du sud de la France, si différents, si lointains ? Comment ces communautés bannies s'organisent-t-elles spécifiquement dans la France des réfugiés, ceux des évacuations, ceux de l'exode, ceux de l'intérieur, ceux de l'extérieur, ceux de 1940 et ceux de 1944 ?

    Les articles réunis dans ce livre accompagnent une exposition présentée jusqu'au printemps 2011 aux Archives départementales de la Moselle. Ils présentent les documents du temps, documents de la Moselle errante et documents des départements de refuge. Ils complètent et éclairent les témoignages recueillis auprès des expulsés dont certains ont été gravés sur CD-Rom inséré dans l'ouvrage.

     

    >> De gré ou de force. L'expulsion des Mosellans, 1940-1945, Benoît Charenton, Jean-Eric Iung et Philippe Wilmouth, Libel éditions, 2010, 127 p., ill., cartes (16 €).

  • Vers la renaissance du château d’Hombourg-Budange (Moselle) ?

    C'est l'un des plus surprenants châteaux de Lorraine, un incontournable dans l'histoire de l'architecture de notre région. Hombourg-Budange agite les esprits depuis plusieurs années mais surtout depuis 2010...

    château hombourg.jpgCe château, laissé à l'abandon depuis des décennies, a atteint un état de dégradation très inquiétant. A la suite d’une campagne médiatique et, surtout, d’une pétition pour sauver le château d'Hombourg-Budange qui a recueilli plus de 800 signatures, il semblerait que ce site sorte enfin de l’oubli dans lequel il était tombé.

    Arthur de Mortemart, de la famille du propriétaire, reprend en main l'intégralité du château avec, à la clé, une restauration totale de l'édifice. Des travaux d'urgence vont démarrer et s'accélérer d'ici le printemps 2011 pour stopper la dégradation de l'édifice. Ensuite, il conviendra de songer à la restauration à proprement parlé. Si le sauvetage immédiat a pu trouver des aides auprès des collectivités locales, nul doute que ce projet d'envergure de restauration totale à long terme devra faire appel au mécénat.

    Rappelons que le château d’Hombourg-Budange est un ancien château-fort du 13ème siècle. Il sera reconstruit à la Renaissance comme en témoignent encore trois de ses quatre ailes ou encore les fenêtres à meneaux présentes sur les parties communes et sur le château. Une magnifique aile classique est venue compléter l'ensemble au 18ème siècle avec un beau fronton qui la surplombe pour en devenir la façade principale. On constate aussi quelques modifications au XIXème siècle. L'édifice est classé Monument Historique en grande partie.

    En espérant que ce site patrimonial compte dans le patrimoine lorrain dans les années à venir.

     

    [source et cliché : http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com]

  • Le musée de Vic-sur-Seille, chronique d'une renaissance

    musée vic sur seille.jpgIl y a un siècle, l'empereur d'Allemagne Guillaume II marquait de sa visite le nouveau musée ouvert dans l'ancien Hôtel de la Monnaie de Vic-sur-Seille - alors en Lorraine annexée -, un bel édifice Renaissance qui témoigne de la qualité de l'architecture civile dans la région mosellane.

    Ce musée, consacré à l'histoire et à la vie traditionnelle en Lorraine, avait été voulu et créé par la Société d'Histoire et d'Archéologie de la Lorraine, propriétaire de l'édifice, dont elle avait aussi assuré la restauration. Aujourd'hui, l'Hôtel de la Monnaie abrite les services de la Conservation du Musée départemental Georges de La Tour construit tout à côté, place Jeanne d'Arc.

    Dans un ouvrage magnifiquement illustré,  Philippe Hoch, retrace l'histoire du musée de Vic-sur-Seille, depuis sa création durant l'annexion de l'Alsace-Lorraine au Reich, jusqu'aux manifestations artistiques les plus récentes présentées dans le bâtiment inauguré en 2003. L'auteur évoque également l'oeuvre de Georges de La Tour, l'enfant du pays, dont deux toiles sont conservées à Vic, ainsi que le milieu intellectuel et culturel bouillonnant dans lequel le peintre de la lumière grandit avant de s'établir à Lunéville.

     

    >> Le musée de Vic-sur-Seille. Chronique d'une renaissance, Philippe Hoch, Serge Domini éditeur, 2010, 112 p., ill.

  • Le Pays Lorrain n° 3 / 2010 est paru

    pays lorrain sept 10.jpgLa revue trimestrielle du Musée Lorrain nous fait voyager dans l'histoire des Lorrains et de leurs patrimoines humain, culturel et architectural. Jugez-en :

    - le patrimoine écrit lorrain face à la numérisation et à internet

    - la statuaire du couvent des Cordeliers des Thons

    - la Société industrielle de l'Est

    - Georges Chepfer, l'homme de théâtre

    - l'Université de Nancy, "mère" de l'Université de Homburg (Sarre)

    - la maison de Robert Schuman, un mémorial pour l'Europe

    - une famille lorraine au service de la Lorraine et de la France : les d'Haussonville

    - la maison seigneuriale de Lebeuville

    - du papier vosgien pour des livres lorrains

    - Saint-Just Péquart, bibliophile

    Et les habituelles chroniques régionales, les recensions de livres et revues régionales...

     

    >> Le Pays Lorrain, n° 3, septembre 2010 (10 €)

    >> Vente sur abonnement. Plus d'infos sur www.museelorrain-payslorrain.org

  • Mosquée et églises à Farébersviller (Moselle) : question de respect

    mosquée farebersviller.jpgA l'occasion des Journées du Patrimoine, la commune mosellane de Farébersviller propose de visiter librement différents lieux : la maison des Arts, l'église Saint-Jean-Baptiste, l'atelier des Arboriculteurs, la chapelle Saint-Antoine, la mosquée El-Hijra, l'église Sainte-Thérèse et la ferme du Bruskir. En cela, rien d'anormal.

    Ce qui est plus surprenant c’est que la mairie demande aux visiteurs féminins de prévoir un foulard à l'occasion de la visite de la mosquée… Qu'en est-il des lieux chrétiens ? La municipalité et le clergé catholique exigeront-ils également que les visiteurs des édifices chrétiens portent des tenues décentes ?

    Il n’y aurait aucune raison d’exiger des mesures de décence pour les lieux islamiques et que pour les édifices de la première religion de France – le christianisme – l’on soit d’une tolérance intégrale, manquant en cela de respect pour ces lieux sacrés.

    Défenseurs du patrimoine et croyants, exigeons aussi le respect des lieux de culte chrétiens en France... et en Lorraine !

  • Il faut sauver le château de Hombourg-Budange

    Numériser.jpg

    [Le Républicain lorrain | 02.09.10]

  • Malbrouk, forteresse lorraine

    Manderen (Moselle) possède un superbe château du XVe siècle, édifié par le chevalier Arnold VI de Sierck. Classé monument historique en 1930, il a été entièrement rénové en 1998 et offre un site d'exception à visiter.

    malbrouk.jpg
    [Vosges Matin]
  • « La Gazette Lorraine » estivale est parue !

    gazette lorraine juinr.jpgAu sommaire du numéro d’été de La Gazette Lorraine, votre revue du patrimoine et de l’environnement en Lorraine :

     

    - La Gazette en balade : le chemin des traces (Chaligny-Val de fer)

    - Marc Namblar : le promeneur ‘écoutant’

    - Mille-feuille aux fraises : recette de Jean-Marie Cuny

    - La Lorraine aux cent jardins

    - Des papillons signés “Art Nouveau” - Les grilles en fer forgé

    - Jean-Claude Golvin : voyage imaginaire d'un notable de Bleisbrück-Reinheim à Rome

    - Sur les traces d'Apollon : cinquante ans de découvertes archéologiques à Grand (Vosges)

    - Thionville - Waldwisse : ligne 112 du réseau TIM, exploité par Veolia Transport

    - Camille Hilaire : du trait à la lumière

     

    >> En librairie ou sur abonnement sur http://www.gazette-lorraine.com/abonnement.php

  • La Nouvelle revue lorraine n° 2 est parue !

    La revue préférée des Lorrains et de tous ceux qui aiment notre belle province est parue !

    NRL 2.jpgDans son 2ème numéro, La Nouvelle revue lorraine vous présente un beau et riche sommaire. En voici un avant-goût... pour vous mettre l'eau à la bouche :

    - le haras de Rosières-aux-Salines

    - Fribourg et sa motte féodale

    - le château de Chanteheux ou deux rares jetons en argent de Stanislas

    - l'instruction populaire à Mirecourt sous le Directoire

    - Etain, capitale de la Woëvre

    - la catastrophe de Bouzey

    - le Père Umbricht (1873-1941)

    - l'année où les doryphores...

    - Pierre-Louis Maubeuge (1922-1999)

    - que sont devenues nos fêtes patronales ?

    - 2010, année du millénaire de la fondation de Saint-Sauveur

    ... et bien d'autres articles encore, et les infos sur la vie en Lorraine, sur les livres...

     

    >> La Nouvelle revue lorraine est vendue sur abonnement (36 € pour 6 numéros) en envoyant vos coordonnées postales accompagnées de votre règlement à : Jean-Marie CUNY | La Nouvelle revue lorraine | Le Tremblois | 54280 LANEUVELOTTE.

    >> La NRL est également en vente dans toutes les bonnes librairies... lorraines, bien sûr !

  • A la découverte de l'archéologie en Lorraine

    Samedi 5 juin 2010, l'INRAP va à la rencontre des Français. De nombreux sites archéologiques seront ouverts au public. Partez à la découverte des sites lorrains !

    archéologie.jpg> Bar-le-Duc (55) : présentation de la collection gallo-romaine du musée municipal

    > Bassing (57) : porte ouverte sur la fouille d'une ferme gauloise et d'une villa gallo-romaine sur la LGV est-européenne

    > Etival-Clairefontaine (88) : visite commentée du castellum de la Pierre d'Appel

    > Grand (88) : animations autour de l'exposition "Sur les traces d'Apollon. Grand, cinquante ans de découvertes"

    > Hennezel (88) : au musée des activités anciennes de Hennezel-Clairey, visite commentée de l'exposition "Les Gallo-romains en Saône Lorraine"

    > La Salle (88) : visite commentée du site d'extraction de meules des Fossottes

    > Metz (57) : au Musée de la Cour d'Or, visites guidées de la nouvelle scénographie des salles sur les divinités orientales et la période paléochrétienne

    > Nancy (54) : portes ouvertes sur la fouille du cimetière des Trois-Maisons, boulevard Charles-V

    > Saint-Dié-des-Vosges (88) : visite commentée de la salle d'archéologie du musée Pierre-Noël et visite du site de La Bure

    > Soulosse-sous-Saint-Elophe (88) : parcours guidé dans le village sur les pas de saint Elophe, premier martyr vosgien

    >> Plus d'infos sur www.inrap.fr