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  • A Bleurville, au coin de la cheminée vosgienne...

    lorraine,vosges,bleurville,cheminée,grès,vosgien,sebeler,tf1,13 heures,jean pierre pernautLes équipes du 13 Heures de Jean-Pierre Pernaut ont posé récemment leurs caméras et leurs micros à Bleurville. Le temps de se caler au coin du feu d'une cheminée vosgienne... et de faire la visite de la dernière exploitation de carrières de grès des Vosges : la société Sebeler à Bleurville.

    Bon, il y a les inévitables "clichés" sur les Vosges (c'est normal, les Vosges vues de Paris c'est le bout du monde !), le froid, la forêt omniprésente... mais vous découvrirez surtout, dans ce mini reportage, le savoir-faire de cette entreprise innovante, installée en milieu rural. Et qui fait la réputation de nos Vosges... et de Bleurville !

    [cliché : ©Musée Lorrain, Nancy]

     

    Découvrez le reportage de TF1 ici : http://videos.tf1.fr/jt-13h/au-coin-de-la-cheminee-en-gres-dans-les-vosges-6967007.html

  • Le général Bigeard aux Invalides en septembre ?

    general_bigeard.jpgLe  général  Bigeard  ira-t-il  aux  Invalides ? C'est ce qui était annoncé ; mais le 5 février dernier, dans l'émission  Internationales  sur  TV5 Monde, le ministre de la Défense, Gérard Longuet, a annoncé un report du transfert  du  corps  du général.

    Gérard Longuet a suggéré que le transfert aux Invalides pourrait intervenir fin septembre, pourquoi pas le jour de la Saint Michel, patron des paras.

  • Vers la création d'une association des Amis d'Alfred Renaudin

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    Alfred Renaudin (1866-1944), peintre lorrain.

     

    L'assemblée générale constitutive de l'association des Amis d'Alfred Renaudin aura lieu le samedi 17 mars 212 à 14h30 à la salle des fête de Val-et-Châtillon (Meurthe-et-Moselle)

     

    ‡ Consultez l'invitation ici Asso_Amis_Alfred_Renaudin.pdf

    ‡ Plus d'information et contact : bena_olivier@yahoo.fr

  • "La paille et l'osier", nouveau roman de Michel Caffier

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    [La Semaine de Nancy]

  • Poursuivre le développement du Pays des Trois Provinces

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    [Vosges Matin]

  • Quand Metz reçoit la France

    lorraine,moselle,metz,monarchie,empire,républiqueAu cours de sa longue et riche histoire, Metz a reçu un nombre impressionnant de souverains et de chefs d'Etat, et peu de villes peuvent se targuer d'en avoir vu passer ou séjourner autant. Capitale du royaume d'Austrasie chère aux mérovingiens et aux carolingiens qui y fixèrent leur nécropole, ville libre d'Empire, république patricienne fière de ses libertés, puis cité française gardienne de la frontière depuis 1552, deux fois annexée avant de retrouver la France et de s'insérer dans une Europe unie, Metz a reçu dans ses murs rois, empereurs et, depuis 1918, presque tous les présidents de la République jusqu'à nos jours. Un roi - Louis XV - faillit y mourir en 1744, un empereur - Napoléon III - en partit malade et presque déjà vaincu en 1870, un président de la République - Charles de Gaulle - y fut soldat avant d'y revenir à trois reprise comme chef d'Etat.

    Depuis que Metz est française, existe entre elle et la France une relation privilégiée, qui a permis aux Messins d'affirmer constamment leur attachement et leur loyauté envers la monarchie, l'empire et la république, un attachement qui connaît son point d'orgue en 1918. C'est l'histoire de cette relation particulière que relate, à la lumière de nombreuses sources, l'ouvrage de Pierre Brasme. Un livre d'histoire messine qui, au-delà du simple récit des visites officielles, tente de les situer et de les expliquer dans un contexte parfois complexe, mais avec le souci constant d'offrir au lecteur une connaissance renouvelée et originale de l'histoire de Metz.

     

    ‡ Quand Metz reçoit la France. Souverains et chefs d'Etat français dans la cité messine, Pierre Brasme, éditions des Paraiges, 2011, 347 p., ill. (25 €).

  • Bleurville (Vosges) : concours de belote le 11 mars avec le Comité des fêtes

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    [Vosges Matin]

  • Scy-Chazelles (57) : un label pour la Maison de Robert Schuman

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    [La Semaine de Nancy]

  • Pour soutenir les Europa-Scouts nancéiens

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    Guides et scouts de la IIe Nancy Bienheureuse Alix Le Clerc et Bienheureux Charles de Foucauld [archives © H&PB]

     

    Les unités Europa-Scoutes de Nancy seront présentes en l'église Saint-Pierre de Nancy pour la messe du dimanche 4 mars à 9h30.

    Les guides de la IIe Nancy vous proposeront une vente de gâteaux à l’issue de la messe pour financer leurs activités.

    Réservez-leur le meilleur accueil !

  • Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie

    lorraine,austrasie,mérovingiens,carolingiens,dagobert,sigisbert,chrodegang,brunehaut,metzLa toute jeune maison d'édition messine les Éditions des Paraiges propose la réédition de l'ouvrage de l'historien lorrain Alexandre Huguenin paru voici 150 ans, en 1862.

    L'austrasie résonne encore aujourd'hui dans l'imaginaire lorrain. L'éclat de ce royaume (511-741) illumine toujours son ancienne capitale, Metz, qui conserve de cette époque glorieuse le souvenir de la cour royale, la fameuse "Cour d'Or", qui désigne aujourd'hui le musée d'art et d'histoire de la ville.

    Cette Cour d'Or, chantée par le poète Venance Fortunat, vit passer des personnages remarquables, tels que le roi Dagobert, les saints évêques de Metz Arnoul et Chrodegang, sans oublier la rivalité sanglante entre les reines Brunehaut et Frédégonde, à peine éclipsée par la sainteté d'un Sigisbert qui voulut faire de son abbaye du Ban Saint-Martin le lieu d'une sépulture royale.

    Berçeau de la dynastie carolingienne, l'Austrasie disparaît devant l'ascension des maires du palais incarnée par Pépin le Bref déposant le dernier roi mérovingien.

    Un siècle et demi après sa parution, cette Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie, première synthèse sur le sujet, fait toujours autorité. Publié à l'occasion du XVe centenaire de l'Austrasie (511-2011), cette nouvelle édition a intégré les dernières recherches de la science historique sur le sujet.

     

    ‡ Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie, Alexandre Huguenin, éditions des Paraiges, 2011, 365 p., cartes (23 €).

  • Des timbres pour valoriser la Lorraine

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    [La Semaine de Nancy]

  • De cloches en cloches, du Pays messin à Thionville et à la Nied

    cloches.jpgDans cet ouvrage abondamment illustré, l'auteur nous invite à la découverte du patrimoine campanaire du Pays messin et du Thionvillois, patrimoine méconnu - sauf de quelques spécialistes -, mais pourtant omniprésent dans notre quotidien.

    L'inventaire dressé couvre plus d'un millier de cloches réparties dans près de 370 édifices cultuels, clochers d'églises et de temples, mais aussi de bâtiments civils, écoles et mairies. Des descriptifs techniques complètes utilement les notices sur chaque cloche, de la plus ancienne, datant de 1398, installée à la cathédrale Saint-Etienne de Metz, à celle de la chapelle de Morlange, coulée en septembre 2009.

    Un ouvrage indispensable pour comprendre les voix mystérieuses des clochers qui rythment la vie des villes et villages en Pays messin. De la naissance à la mort, les voix des cloches accompagnent le croyant en terre chrétienne.

    Des trésors habitent les clochers mosellans : vénérables ancêtres ou jeunes modernes, elles ont traversé le temps, résisté aux révolutions et aux guerres. Hommage enfin aux saintiers et artisans campanaires, hommes de traditions qui ont fait naître ces sympathiques résidentes de nos clochers.

    Enfin, un index recense toutes les cloches des églises visitées avec, pour chacunes d'elles, le nom du fondeur.

     

    ‡ De cloches en cloches. Du Pays messin à Thionville et à la Nied, Jean-Paul Philips, éditions des Paraiges, 2011, 290 p., ill. (42 €).

  • Une messe pour Zita, dernière impératrice d'Autriche et reine de Hongrie

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    L'association pour la béatification de l'impératrice Zita fait célébrer une messe le 3 mars en l'église Sainte-Elisabeth de Hongrie à Paris (3ème arrond.) à la mémoire de Zita de Bourbon-Parme, épouse de Charles Ier de Habsbourg-Lorraine.

    ‡ Plus d'info's ici : Invitation_Messe Zita_3 mars 2012.pdf

  • Les éditions des Paraiges, le dernier-né des éditeurs lorrains

    Fondées en mars 2011 et basées à Metz, les « Éditions des Paraiges » ambitionnent une envergure régionale avec la publication d’ouvrages locaux consacrés aux domaines historique et patrimonial ou à la littérature. A sa tête, Sébastien Wagner, historien de formation, concrétise un projet longuement pensé depuis une décennie alors que l'activité commerciale du secteur s'avère assez risquée pour une petite structure. A l’ère du numérique, le jeune homme sort son épingle du jeu.

     

    paraiges.jpgDe nos jours, l’ambition ou les moyens financiers ne suffisent plus pour fonder sa propre maison d’édition, a fortiori régionale. Pour se lancer dans l’aventure, il faut ajouter une bonne dose de passion et un réel esprit de sacerdoce. Il n’y a qu’à constater les difficultés rencontrées par les éditeurs voire pour certains d’entre eux la disparition totale de leur activité.Car l’industrie du livre évolue dans un contexte économique morose, et le marché de la culture se porte assez mal depuis quelques années. Pourtant en mars dernier Sébastien Wagner a décidé de fonder les « Éditions des Paraiges ». « La position de monopole de certains éditeurs n’est pas bonne. Il faut diversifier l’offre et l’enrichir », explique l’intéressé qui précise que, si l’édition se trouve avec l'émergence du numérique à un tournant de son histoire, le livre n’a rien à craindre de la nouvelle technologie. « Quelqu’un qui aime la matière du support-papier, ne le délaissera pas pour un iPod », renchérit l'éditeur.

     

    Il faudra dix années pour que le projet mûrisse dans la tête de Sébastien Wagner, durant lesquelles il accumulera de l’expérience professionnelle. En l’an 2000, il travaille sur des productions messines pour les « Éditions Économica » situées à Paris. Puis en 2009, le jeune historien de formation publie « Le Dictionnaire historique des rues de Metz ». Pourtant, ce ne sera qu'en 2010 que surviendra le déclic, l’étincelle qui mettra le feu aux poudres. « Je me suis rendu compte que les ouvrages de référence en histoire locale n’existaient pas », déclare le jeune patron. Il se saisit alors d'un livre posé sur la table basse. « Vous en avez déjà vu d'aussi volumineux, 360 pages, édités par une maison régionale ? », demande-t-il en manipulant le premier ouvrage de son catalogue, « Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie » d’Alexandre Huguenin. « Nous sommes les premiers à le proposer. Comme les attentes des lecteurs ou des auteurs n’étaient pas comblées dans notre région, j’ai voulu créer quelque chose qui n’existait pas encore. »

    « Je souhaite en littérature aborder l’aspect contemporain,
    et mettre en valeur le patrimoine lorrain avec l’Histoire »

     

    Doté d'un statut d’auto-entrepreneur, afin de limiter les frais, et fort d'un capital d’environ 5 000 euros, Sébastien Wagner a l’ambition d’imprimer six ouvrages d'ici la fin de l'année et pratiquement une dizaine pour 2012. D'ores et déjà disponibles auprès des libraires lorrains, l'ouvrage historique sus-cité « Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie » d’Alexandre Huguenin, et un polard d’Alain Thon « Mort suspecte d'un franc-maçon », édités chacun à 700 exemplaires et presque épuisés à ce jour. La jeune société s'est donné trois axes d'édition bien précis, l’histoire, le patrimoine et la littérature. Mais également la réédition d’auteurs locaux tombés dans l’oubli. « Je souhaite en littérature aborder l’aspect contemporain et mettre en valeur le patrimoine lorrain avec l’histoire », affirme Sébastien Wagner qui s'est aperçu grâce à son métier, consultant auprès du musée de Gravelotte, que les Lorrains ne connaissaient pas vraiment leur passé.

     

    Aucun doute, Sébastien Wagner affectionne tout autant la littérature que l’histoire. Alors, lorsqu’il a la possibilité de nommer sa maison d’édition en faisant référence aux six grandes familles qui dirigeaient la ville de Metz, et formaient une oligarchie urbaine du Moyen Âge jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, il s’en donne à cœur joie. C'est ainsi que naissent les « Éditions des Paraiges ». Le contenu, l’esthétique et la mise en page des ouvrages revêtent pour ce jeune entrepreneur une importance particulière. De la réception des tapuscrits à la rencontre des auteurs, de la relecture à la conception des ouvrages, de l’impression à la distribution des livres, rien ne lui échappe. « Dans les structures locales, le directeur d’édition est multi-casquettes. Il doit maîtriser l’intégralité de la chaîne du livre », signale-t-il, avant de préciser : « A Paris, il y a un poste par personne, et le contact avec les auteurs n’est pas le même, c’est regrettable. » Le temps est précieux et le jeune homme n’ignore pas que son travail sera jugé sur la qualité et le nombre d’ouvrages figurant à son catalogue. Ainsi, il annonce déjà la prochaine parution d’un livre sur la visite des chefs d’État français à Metz, et d’un roman historique sur le siège de Metz en 1552. 

     

    Si la passion et l’envie de proposer des ouvrages de qualité sur des thématiques bien précises donnent des ailes et de l’ambition à Sébastien Wagner, celui-ci n’est pas pour autant dépourvu de réflexion, reconnaissant que le secteur du livre vit une période de lourdes difficultés économiques. Aussi édite-t-il de petites quantités sous la barre des 1 000 exemplaires, et il lance régulièrement des souscriptions avant la mise sous presse de certains de ces titres. Seuls les lecteurs et l’avenir donneront raison ou non au projet de ce jeune entrepreneur qui n’aura pas eu froid aux yeux. Et nous savons tous qu’il faut, surtout en ce moment,  un courage sans faille pour se lancer.

     

    [source : www.laplumeculturelle.com]

     

     

    ‡ Renseignements et catalogue : www.editions-des-paraiges.eu

  • Marie-Thérèse de France, l'orpheline du Temple

    marie therese.gifMarie-Thérèse Charlotte de France (1778-1851), la fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette, demeure un personnage mal connu. Souvent cité sous le surnom de "Madame Royale", voire de "Mousseline", le petit nom donné par sa mère Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine, elle était plutôt, pour ses contemporains, "l'orpheline du Temple", le lieu d'emprisonnement de la famille royale après la chute de la monarchie en 1792.

    Marie-Thérèse est la seule de la famille à en sortir vivante, en 1795. Elle sort de cette épreuve meurtrie à jamais, mais auréolée d'une légitimité dynastique et politique hors norme pour une princesse française, exclue du trône par la loi salique. Elle devient, parce qu'elle a partagé les souffrances de ses parents considérés comme des martyrs par les légitimistes, une héroïne romanesque et un objet du culte pour l'ensemble des partisans de la royauté.

    De la même façon, son oncle Louis XVIII, qu'elle rejoint en exil et qui remonte sur le trône de France en 1814, fait d'elle le coeur de l'idéologie royale de la Restauration. Fille de France, dauphine de France par son mariage avec son cousin germain le duc d'Angoulème, elle défend tout au long de sa vie, avec intransigeance, ses conceptions d'une monarchie traditionnelle ancrée dans la chrétienté. Aux yeux des royalistes, elle en est arrivée à incarner, jusqu'à sa mort en Autriche en 1851, la royauté française à son crépuscule. Napoléon saluera en elle "le seul homme de la famille" et Chateaubriand dira d'elle qu'elle est "une des grandeurs de la France".

    Pour les Lorrains, Marie-Thérèse de France incarne aussi la descendance de la Maison de Habsbourg-Lorraine, puisque dans ses veines coule le sang du dernier duc héréditaire de Lorraine, François III, devenu l'empereur François Ier, père de Marie-Antoinette et grand-père de Marie-Thérèse. Et ne porte d'ailleurs t-elle pas les prénoms de sa grand-mère, Marie-Thérèse d'Autriche ?

    L'auteur, Hélène Becquet, ancienne élève de l'Ecole nationale des Chartes, est maître de conférence à l'IEP Sciences-Po Paris.

     

    ‡ Marie-Thérèse de France. L'orpheline du Temple, Hélène Becquet, éditions Perrin, 2012, 414 p. (24 €).

  • La foire aux andouilles du Val d'Ajol : une tradition à préserver

    andouille.jpg« Je fais toujours l’andouille devant le public. C’est mon métier. Mais le faire avec une andouille entre les mains et surtout devant cette salle des fêtes où je me suis produit à plusieurs reprises, c’est bien la première fois. » Intronisé, hier midi lors de la 47 e édition de la célèbre fête ajolaise, troubadour enchanteur-dépendeur honoris causa, Claude Vanony n’a pas perdu une once de son célèbre humour. Il était chez lui au Val d’Ajol comme dans toutes les communes vosgiennes où il s’est un jour arrêté. « Je suis un amuseur. J’ai quand même un métier fantastique : celui de faire rire les gens. »

    Au moment de la prestation de serment, ses fans applaudissent, puis veulent poser pour une petite photo souvenir ou dédicacer un billet de l’Olympia où l’homme s’est produit il y a quelques semaines. Les visiteurs de cette foire ajolaise apprécient. Comme une vieille habitude.

    Claude Vanony savoure. A l’image de ces petits toasts proposés par trois jeunes ajolaises Lorine, Marie et Cloé. « Je l'ai dégusté souvent en casse-croûte. Il n’y a pas de moment particulier. Mais ce que je préfère, c’est la manger chaud avec des pommes de terre. C’est vraiment excellent ! ». Le comique vosgien ne compte plus les intronisations auxquelles il a participé. « L’une des premières, c’était à Rambervillers lors de la foire à la tête de veau », se souvient-il.

    Ce mets ou plutôt ces spécialités lui ressemblent, lui l’homme attaché au terroir vosgien, à ces terres qui l’ont vu naître voici 76 ans. « Cette fête comme les autres organisées partout dans les Vosges fait partie de notre identité et de nos traditions. On doit tout faire pour la préserver. C’est un folklore à préserver. »

    Heureux tout simplement d’être ce représentant vosgien dans la vie de tous les jours et sur scène. « Ce type de manifestation permet d’expliquer aux Parisiens que l’on sait bien vivre dans les Vosges et faire la fête comme il se doit », évoque-t-il encore sur le ton de l’humour.

    Comme un contre-pied à la caricature de la Déodatie proposée par l’humoriste parisien Laurent Gerra il y a quelques semaines sur l’antenne d’une radio nationale. D’où la proposition de Claude Vanony : « Je connais Laurent. Alors pourquoi ne pas l’introniser l’an prochain afin de lui montrer une partie de nos traditions. Ce serait une belle idée. » Celle-ci pourrait faire son bonhomme de chemin. « Mais attention, ici, les intronisés ne sont pas rémunérés. Ils viennent juste pour le plaisir. Il n’y a pas de star, juste les andouilles », prévient en souriant Jacques Racadot, grand dépendeur de la Confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux.

    [d'après Vosges Matin]

  • Le saint lorrain du mois : saint Gundelbert

    St_Gondelbert.jpgSaint Gundelbert fut évêque de Sens (Yonne). Après la mort de Clovis II (+657), il quitta son siége, vint au diocèse de Toul et s’y retira en un lieu fort désert, situé vers la source de la rivière de Meurthe.

    A cet endroit, secondé par les libéralités de Childéric II (+675), il bâtit une abbaye qu’il nomma Senones, du nom de la cité dont il avait été évêque et qui se dit en latin Senonœ (Sens).

    La tradition veut que, dans la suite, il ait quitté cette abbaye pour se retirer à Moyenvic (Moselle), près du tombeau des saints Pient, Agent et Colombe, où il mourut et où l’on pense qu’il est inhumé.

    L'Eglise le fête au calendrier liturgique en ce 21 février.

    [source : www.introibo.fr]

  • Nancy, 29 février : Conférence "Crise financière, crise économique, crise politique, crise morale"

    L'association Histoire & Culture nous prie d'insérer l'information suivante :

     

    L’Association Histoire & Culture

    vous invite

    à la conférence-débat

    avec

    Hilaire de Cremiers

    Directeur de Politique magazine, de La Nouvelle Revue Universelle,

    délégué général de La Restauration Nationale

    * * *

    « Crise financière, crise économique,

    crise politique, crise morale »

     

    Mercredi 29 février 2012

    Brasserie « Les Deux Palmiers »

    64 rue Stanislas à Nancy 

    19 h 00 : accueil

    19 h 45 : conférence

    21 h 00 : débat avec le conférencier autour d’un buffet froid. 

    * * *

    Participation aux frais : 12 € par personne hors boissons. 5 € pour étudiants.

  • L'Echo des Trois Provinces bientôt en ligne

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    [Vosges Matin]

  • Malzéville (54) : concert pour la sauvegarde de l'église Saint-Martin

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  • Le donjon et le clocher

    donjon.jpgLe nancéien Eric Mension-Rigau retrace l'histoire de l'Oeuvre des campagne - institution éclésiale qui existe toujours -, fondée en 1857 à l'initiative d'un prêtre, l'abbé Vandel, et d'une aristocrate, la comtesse Auguste de la Rochejacquelein, dans le but de faire prendre conscience à la noblesse du rôle social qu'elle a encore à jouer dans les campagnes. C'est elle, en effet, qui est invitée, par ses dons, mais aussi par le comportement modèle qu'elle doit adopter, à favoriser le retour de la foi dans les paroisses rurales.

    S'appuyant sur une vaste documentation, cette étude de l'alliance du château et du presbytère, permet une relecture globale des relations entre les élites nobiliaires et le clergé rural, dont l'auteur analyse finement l'évolution. Si la dimension religieuse est première, la perspective politique n'est jamais trop éloignée : l'Oeuvre, qui propose un modèle de société proche de celui des légitimistes, est un des lieux où s'exprime la pensée contre-révolutionnaire qui a tant marqué la noblesse française.

    L'ouvrage met en relief une vision du monde et de la société qui idéalise le paysan et fonde la hiérachie sociale sur un échange de droits et de devoirs imposant au châtelain la justification de sa prééminence par l'exercice de la piété et de la charité. Il cerne les réactions de la noblesse face au délitement progressif d'une France catholique et rurale, mais il souligne aussi sa capacité à dépasser ses attaches idéologiques et à adapter son héritage de traditions et de valeurs pour assurer la permanence de sa présence historique dans les campagnes.

    L'auteur, Eric Mension-Rigau, originaire de Nancy, est professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Paris-Sorbonne. Il a déjà publié aux éditions Perrin La vie des châteaux et Aristocrates et grands bourgeois.

     

    ‡ Le donjon et le clocher, Eric Mension-Rigau, éditions Perrin, collection Tempus, 2012, 645 p. (12 €).

  • Saône Lorraine : Les Croqueurs de pommes préparent le printemps

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    [Vosges Matin]

  • Les activités de février du Cercle d'études de Contrexéville

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    Saint Basle, patron de la chapelle de Lignéville (Vosges), vitrail, XIXe s.

     

    Découvrez les activités de février du Cercle d'études locales de Contrexéville en cliquant sur le fichier ci-dessous :

    CELC_fév 2012.pdf

     

    [courtoisie de Gilou Salvini, président du CELC]

  • Trois ans chez Bigeard

    lorraine,bigeard,algérie,guerre,parachutistes,engagésQuand un Savoyard rend hommage à un Lorrain, cela donne un ouvrage doublement étonnant. Étonnant par la vie d'Albert Bernard, engagé durant la Guerre d'Algérie, et par les moments passés sous les ordres de "Bruno", alias Bigeard.

    Radio 1ère classe de 1955 à 1957 au sein du 3ème régiment de parachutistes coloniaux, Albert Bernard nous décrit l'ambiance qui régnait dans ce régiment d'élite commandé alors par le colonel Marcel Bigeard. Il retrace les principales opérations qu'il a mené sous ses ordres : Timimoun, Sirocco, la bataille d'Alger... Il évoque la mémoire des capitaines Florès et Douceur et propose des documents inédits de ces deux officiers mythiques qui s'illustrèrent durant le conflit algérien.

    En 1958, Albert Bernard a terminé son engagement. Mariée à une Algéroise, il vivra de très près les événements qui secouèrent l'Algérie jusqu'à son indépendance en 1962.

    De retour en Savoie, il va continuer à mener une "vie à 3000 tours" - tout comme son mentor, le général Bigeard -, nous donnant une belle leçon de simplicité, de dévouement, de dignité et de droiture.

    Un bel hommage à ces hommes qui combattirent sur cette terre française d'outre-mer... et à notre héroïque Bigeard !

     

    ‡ Trois ans chez Bigeard, Albert Bernard, éditions LBM, 2012, 521 p., ill. (27 €).

  • Le dernier empereur

    empereur.jpgVienne, 1916 : l'empereur François-Joseph de Habsbourg-Lorraine meurt après soixante-huit ans de règne.

    Son successeur est son petit-neveu, titré Charles Ier en Autriche et Charles IV en Hongrie. Agé de 29 ans, accédant au trône en pleine guerre, le nouveau souverain possède un programme : la paix, les réformes. Négociant en secret avec les Alliés et avec l'appui du pape Benoît XV, il fait l'impossible pour sortir son pays du conflit, mais ses efforts n'aboutissent pas. Proche du peuple, attentif aux questions sociales, il imprime un nouveau style à la monarchie des Habsbourg, mais sa volonté novatrice n'est pas toujours comprise.

    En 1918, la guerre étant perdue pour les puissances centrales, la Double Monarchie se disloque et Charles Ier doit quitter le pouvoir. Réfugié en Suisse, il tente par deux fois de retrouver sa couronne en Hongrie. Après cet échec, la famille impériale est reléguée à Madère. Sans ressources, elle y fait preuve de dénuement. Cette page sombre, vécue chrétiennement, s'achève dans le drame : le 1er avril 1922, le dernier empereur meurt de maladie à l'âge de 34 ans. L'impératrice Zita, son épouse, attend alors son huitième enfant.

    En le béatifiant en 2004, le pape Jean-Paul II a voulu faire de Charles de Habsbourg-Lorraine, personnage à qui l'Histoire a réservé une destinée tragique, une figure spirituelle pour notre temps, offrant en modèle son amour de la paix et de la justice, et son humilité.

    Il s'agit de la réédition dans la collection Tempus de l'ouvrage paru aux éditions Perrin en 2009. Réédition bienvenue après le décès en juillet 2011 du fils héritier du dernier empereur, Otto de Habsbourg-Lorraine. Et pour les Lorrains, il s'agit d'une noble figure d'un descendant de la Maison de Lorraine qui règna sur les duchés jusqu'en 1737 avec François III, fondateur de la dynastie des Habsbourg-Lorraine avec son mariage avec Marie-Thérèse de Habsbourg.

    L'auteur, Jean Sévillia, journaliste et essayiste, est l'auteur de Zita, impératrice courage.

     

    ‡ Le dernier empereur, Jean Sévillia, éditions Perrin, collection Tempus, 2012, 386 p. (10 €).

  • Pays de la Saône vosgienne : "De bals en balle"

    La Communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne nous prie d'insérer l'information suivante :

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  • Messe pour le roi Stanislas et son épouse

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    Stanislas Leszczynski, roi de Pologne, duc de Lorraine et de Bar

     

    Une messe sera célébrée jeudi 23 février 2012 à 18h00

    en l'église Notre-Dame de Bon-Secours à Nancy

    pour le repos de l'âme de Stanislas,

    roi de Pologne,

    duc de Lorraine & de Bar (1737-1766),

    et de son épouse, Catherine Opalinska

     

     

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    Catherine Opalinska

     

     

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    Vierge au manteau, Notre-Dame de Bon-Secours, Nancy, XVIe s.

  • Centenaire de la Grande Guerre : la Meuse s'y prépare

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    [L'Est Républicain]