foire
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Faucogney-et-la-Mer (70) : 13e foire éco-bio festive les 1er-2 octobre 2016
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Monthureux-sur-Saône (88) : la tradition de la foire au boudin
[Vosges Matin]
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Patrimoine et animations en Saône Lorraine
[Vosges Matin]
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La foire aux andouilles du Val d'Ajol : une tradition à préserver
« Je fais toujours l’andouille devant le public. C’est mon métier. Mais le faire avec une andouille entre les mains et surtout devant cette salle des fêtes où je me suis produit à plusieurs reprises, c’est bien la première fois. » Intronisé, hier midi lors de la 47 e édition de la célèbre fête ajolaise, troubadour enchanteur-dépendeur honoris causa, Claude Vanony n’a pas perdu une once de son célèbre humour. Il était chez lui au Val d’Ajol comme dans toutes les communes vosgiennes où il s’est un jour arrêté. « Je suis un amuseur. J’ai quand même un métier fantastique : celui de faire rire les gens. »
Au moment de la prestation de serment, ses fans applaudissent, puis veulent poser pour une petite photo souvenir ou dédicacer un billet de l’Olympia où l’homme s’est produit il y a quelques semaines. Les visiteurs de cette foire ajolaise apprécient. Comme une vieille habitude.
Claude Vanony savoure. A l’image de ces petits toasts proposés par trois jeunes ajolaises Lorine, Marie et Cloé. « Je l'ai dégusté souvent en casse-croûte. Il n’y a pas de moment particulier. Mais ce que je préfère, c’est la manger chaud avec des pommes de terre. C’est vraiment excellent ! ». Le comique vosgien ne compte plus les intronisations auxquelles il a participé. « L’une des premières, c’était à Rambervillers lors de la foire à la tête de veau », se souvient-il.
Ce mets ou plutôt ces spécialités lui ressemblent, lui l’homme attaché au terroir vosgien, à ces terres qui l’ont vu naître voici 76 ans. « Cette fête comme les autres organisées partout dans les Vosges fait partie de notre identité et de nos traditions. On doit tout faire pour la préserver. C’est un folklore à préserver. »
Heureux tout simplement d’être ce représentant vosgien dans la vie de tous les jours et sur scène. « Ce type de manifestation permet d’expliquer aux Parisiens que l’on sait bien vivre dans les Vosges et faire la fête comme il se doit », évoque-t-il encore sur le ton de l’humour.
Comme un contre-pied à la caricature de la Déodatie proposée par l’humoriste parisien Laurent Gerra il y a quelques semaines sur l’antenne d’une radio nationale. D’où la proposition de Claude Vanony : « Je connais Laurent. Alors pourquoi ne pas l’introniser l’an prochain afin de lui montrer une partie de nos traditions. Ce serait une belle idée. » Celle-ci pourrait faire son bonhomme de chemin. « Mais attention, ici, les intronisés ne sont pas rémunérés. Ils viennent juste pour le plaisir. Il n’y a pas de star, juste les andouilles », prévient en souriant Jacques Racadot, grand dépendeur de la Confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux.
[d'après Vosges Matin]
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Foire au boudin de Monthureux : toujours le succès populaire
[Vosges Matin]
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Traditions : foire au boudin de Monthureux-sur-Saône dimanche 9 octobre
>> Plus d'info's sur www.monthureux.fr
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La tradition fait l’andouille au Val d’Ajol
La dégustation des andouilles, ça se prépare ! Car si la préparation de l’andouille ne demande pas des efforts in considérables, les petites mains s’activent depuis le matin pour que chacun puisse trouver, au Val-d’Ajol, une assiette bien remplie. Que ce soit à la maison, sous le chapiteau ou au restaurant.
Il est 10 h 40 et devant la boucherie Daval, place de l‘Hôtel-de-Ville, il y a déjà la queue. Un bon quart d’heure avant d’être servi. Les années passent mais le succès ne se dément pas. Jean-Marie et Jeanne-Marie sont là pour en témoigner. Ils viennent de Rixheim et chaque année à pareille époque, le couple fait le voyage jusqu’au Val-d’Ajol, avec une liste de courses longue comme le bras : « On prend du gandoyau, des andouilles, de la palette, des saucisses… Moi, je suis né en face explique Jean-Marie, bientôt 79 printemps. Le fondateur Jean-Paul Grillot était un copain. Quand j’habitais ici, tous les jeudis, on venait éplucher un panier d’oignons pour faire le boudin. »
A quelques mètres de là, sous un chapiteau, la joyeuse équipe des « Amis du plateau » est déjà derrière les fourneaux. Les premiers amateurs sont arrivés à 9 h et depuis, Luce officie derrière la marmite. 280 repas dimanche, 400. La troupe est rodée et la foire aux Andouilles est devenue un rendez-vous traditionnel. Pire, incontournable. « Avant je prenais une journée de RTT pour venir ici » explique Luce. « C’est vrai que cette année, la foire ne tombe pas pendant les vacances scolaires dont c’est un peu plus compliqué mais les enfants du Val d’Ajol ont l’autorisation exceptionnelle de louper l’école. Du coup, ils font leurs premières actions de bénévoles et on y tient beaucoup » appuie Jean-Marie Yager, trésorier de l’association et professeur de judo. « La foire s’est vraiment développée ces dernières années et on voit des gens qui viennent de loin pour manger l’andouille sous le chapiteau. »
Mais au chapiteau, d’autres encore ont préféré le cadre pittoresque d’une salle bien connue des Ajolais : « Chez Narcisse ». Plus enclin à recevoir des groupes musicaux (Pigalle y jouera d’ailleurs dimanche 27 février à 15 h), l’endroit s’est transformé pour l’occasion en grande salle de restauration. Au son de l’accordéon, s’il vous plaît ! « Ces deux ou trois dernières années, il restait de la place mais ce lundi, on était obligé de refuser du monde. C’est un véritable crève-cœur, explique Stéphanie Collot, responsable de l’établissement. Au menu : andouille bien sûr, salade de pommes de terre, munster et tarte aux brimbelles. Du typique qui là aussi dure depuis presque trente ans…
Attablés au milieu de la salle, Nicolas, Bernard, Colette, Jacky et Daniel sont venus « entre copains », profiter d’une journée pas comme les autres. « On vient régulièrement manger ici. L’ambiance est bonne. C’est bien de conserver de telles traditions, atteste Nicole, venue de Luxeuil. Cela met de l’ambiance dans la commune. » « Et puis, comme à Luxeuil, il n’y a pas d’andouilles, on en ramène une paire », ironise Daniel, le comique de la bande non mécontent d’avoir passé une journée haute en couleurs. Comme chaque 3e lundi de février au Val-d’Ajol.
[Vosges Matin | 22.02.11]
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412ème foire de Poussay les 23 et 24 octobre 2010
[Le Paysan Lorrain, n° 2232]
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Le Val-d’Ajol fait l’andouille !
Trois journées de liesse en l'honneur "d'lé bouène mouéronde". Traduit du patois vosgien, "le bien manger" est toujours de bon goût au Val-d'Ajol. Pour preuve la manifestation en l'honneur de l'andouille est inscrite à l'inventaire des plus belles fêtes gourmandes françaises.
Depuis samedi 13 février, la cité vosgienne fête avec faste le 45ème anniversaire de l'illustre confrérie des Tastes-Andouilles.
En lever de rideau comme tous les cinq ans, les représentants d'une douzaine d'associations ont été intronisés en tant que membres persona grata. Reste le plat de résistance nappé d'un copieux marché gourmand réunissant une quarantaine de producteurs venus de tout l'hexagone. A la carte ou au menu, autant dire qu'aucune de nos régions n'a été oubliée par les organisateurs invitant aux joyeuses ripailles. Parmi ces ambassadeurs soucieux de promouvoir leurs produits du terroir, on retiendra la venue pour la première fois dans nos contrées d'un fabricant de macarons à l'accent du Sud-Ouest et d'un maître fromager ayant fait spécialement le déplacement depuis le village d'Espelette, au Pays Basque. Une découverte gustative pour les visiteurs bravant des températures très hivernales afin de partager un bain de foule tonique dans les rues noires de monde. Il était temps pour chacun d'assister au corso coloré placé pour ce nouveau millésime sous le signe de Saint Valentin.
Au total quatorze chars décorés par les bénévoles originaires du Val-d'Ajol, mais aussi du Girmont, de Remiremont et Fougerolles. Le grand défilé débutait peu avant 16 heures. Tandis que la fanfare de Basse-sur-le-Rupt ouvrait le bal, le cortège prenait peu à peu possession du centre-ville.
Une mention spéciale au passage du défilé pour le char de "Fanny et Marius", sous forme de clin d'œil au célèbre "Bar de la marine" cher à Marcel Pagnol. La littérature justement était dimanche à la page grâce à la présence d'une vingtaine d'auteurs régionaux dont l'éditeur local Thierry Rollet. Une simple entrée en matière avant la remise du prix littéraire de l'andouille prévue lundi 15 février au cours du vin d'honneur. Bien que le nom du lauréat soit jalousement gardé secret, plusieurs membres du jury précisent qu'ils ont a été très sensibles à la qualité des poèmes ainsi qu'à la prose des esprits éclairés épris de belles-lettres. Comme le veut la tradition c'est également aujourd'hui que se tiendra le XXXXVe chapitre de la docte, insigne et gourmande confrérie des Tastes-Andouilles et Gandoyaux du Val-d'Ajol.
Un moment toujours très solennel précédant à 11 heures précises sur le parvis de la salle des fêtes, l'intronisation de 40 "petits nouveaux" jurant fidélité à la noble andouille. Parmi eux, le mathématicien israélien Itai Benjamini, élevé au grade de dépendeur Honoris Causa. Chercheur à Tel-Aviv le scientifique sera parrainé par le jeune Nicolas Curien, actuellement élève de l'Ecole normale supérieure.
En écho à cette partie officielle, l'andouille dûment estampillée régnera sans partage sur les étals ajolais.
[Vosges Matin | 15.02.10]
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Poussay, ses Dames, sa foire
Sorti des presses des éditions Gérard Louis pour la 411ème foire de Poussay, les 24 et 25 octobre, voici un ouvrage bienvenu qui mèle à la fois histoire religieuse et histoire profane, histoire des chanoinesses et histoire de la célèbre foire de Poussay.
Le village de Poussay, surplombant le Madon entre Mirecourt et la colline de Sion, évoque la foire automnale plusieurs fois centenaire. Mais ce que l'on sait peut-être moins c'est que cette foire fut créée à l'initiative du chapitre canonial des nobles Dames de Poussay.
L'auteur rappelle tout d'abord la riche histoire du monastère fondé au XIe siècle puis transformé en chapitre de Dames nobles. C'est d'ailleurs au sein de cette institution religieuse que la Bienheureuse Alix Le Clerc ouvrit en 1598 l'une des premières écoles pour jeunes filles.
C'est aussi au XVIe siècle qu'apparaissent les premières traces de la foire agricole. Par ordonnance de 1543, Antoine, duc de Lorraine et de Bar, confirme que le village peut s'enorgueillir d'organiser une des foires les plus anciennes du royaume de France.
Depuis, la foire de Poussay a connu un succès grandissant : elle accueille près de 1200 camelots, artisans, éleveurs, exposants divers qui font que cette foire est en constante évolution. Et demeure un des événements phare de la Lorraine rurale.
>> Poussay, ses Dames, sa foire, André Faliguerho, éditions Gérard Louis, 2009, 126 p, ill. (25 €).
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411ème foire de Poussay
Elle sera plus imposante que jamais ! Rendez-vous les 24 et 25 octobre.
La mairie de Poussay, c'est un peu le Pentagone de l'Ouest vosgien, on cogite pendant des mois sur des plans de bataille. Georges Garnier est le « Clausewitz » de la troupe municipale qui organise chaque année la foire du village. Le placier officiel de cette manifestation, qui se déroule ce week-end, trace à la règle et au crayon de papier les 1.300 emplacements réservés aux exposants de la troisième plus grosse foire de l'Hexagone. La feuille de papier au format XXL est clouée sur un tableau rectangle en bois maintenu par un gros pied métallique. Seule concession au progrès : quelques coups de feutre fluo rose encadrent certaines zones du champ de foire qui couvre 22 hectares.
Pour l'instant, il est hors de question d'informatiser ce plan. Jean Demard ne veut pas en entendre parler : « Sur un écran informatique, on ne verrait plus rien, le champ de foire est tellement grand, comment pourrait-on distinguer les petits stands des camelots ? Et puis, travailler au crayon de papier, cela nous permet d'être très réactifs, jusqu'au dernier moment, on peut changer de place tel ou tel exposant. »
La commune de Poussay, n'a même pas de site Internet pour promouvoir l'événement. Le premier des Porsuavitains ne ferme pas complètement la porte à cette idée : « C'est vrai, toute l'année, on reçoit deux ou trois coups de téléphone par jour à la mairie concernant la foire. La plupart du temps, ce sont des exposants. Si l'on crée un site dédié aux réservations, on se coupe d'une des forces essentielles de la foire : le contact humain. Et puis, nous animons tout de même en collaboration avec une radio locale, un blog... »
Cette façon de faire artisanale ne nuit en rien au développement de la foire dont on fête ce week-end la 411ème édition.
La foire de Poussay n'a pas besoin d'être boostée par des campagnes de marketing dernier cri. L'événement se suffit à lui-même, 45.000 visiteurs sont attendus ! Ce week-end, la foire devrait battre tous les records. Tous les exposants n'ont pu être servis. Une centaine de malheureux se retrouvent sur une liste d'attente en attendant l'hypothétique désistement d'un confrère.
Autre événement notable cette année à Poussay à l’occasion de la foire : un livre d’André Faliguerho édité chez Gérard Louis livrera aux curieux l’extraordinaire histoire des Dames chanoinesses de Poussay et les débuts de la célèbre foire en 1598.
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41 ans de boudin à Monthureux-sur-Saône (Vosges)
Voici quarante-et-un an que Monthureux a rendez-vous avec le boudin. Un bail ! Et toujours autant d'animation dans les rues de la cité. Une véritable fête populaire au sens noble du terme.
Ils étaient venus des Vosges bien sûr, mais aussi de la Franche-Comté et de la Champagne toutes proches pour déguster et acheter les quatre tonnes de boudin confectionnées par les bouchers-charcutiers locaux.
Entre produits du terroir et étalages divers, les milliers de promeneurs avait le choix. Le "roi Boudin" était cependant l'invité d''honneur. Porté haut par les charcutiers Jeantroux et Dispot qui ont le souci de la qualité, chacun a pu déguster le mets du jour en toute simplicité. Sans parler du traditionnel concours du plus gros mangeur de boudin... Mais pour l'apprécier, mieux vaut prendre son temps et déguster de petites portions !
Bref, l'édition 2009 de la foire au boudin restera encore longtemps dans les mémoires monthurolaises comme un agréable souvenir... au doux fumet de boudin !
>> Plus d'infos et d'images sur http://www.monthureux.fr/info%20monthureux.htm
[clichés : Ch. Thiébaut]
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Le boudin roi de la 40ème foire à Monthureux (Vosges)
Les transatlantiques les plus rapides remportaient autrefois le ruban bleu. Dimanche, la quarantième foire au boudin de Monthureux a remporté son « ruban tricolore » pour son concours national du plus gros mangeur de « tripe noire ».
Le matin, l'inauguration officielle s'est déroulée en présence du conseiller général Alain Roussel, du maire-adjoint Thierry Durand - le premier magistrat, Raynald Magnien, étant absent pour raisons de santé - et des conseillers, des maires de la communauté de communes et de la présidente de l'union des artisans-commerçants, Valérie Abriet. Le cortège fut précédé par la batterie-fanfare et par la Miss et son Mister, couronnés la veille au soir. Martha Royer, artiste peintre du chef-lieu fut élue Miss 2008, devant Magali Hoyet de Monthureux et Nina Boulard de Morizécourt. Quant au Mister de l'année, il s'agit de Frédéric Magnien de Martinvelle. Il a pour dauphins Romain Jacquin et Alexandre Goncalves de Monthureux.
Après le vin d'honneur, les stands de vente de boudin et les mini-restaurants installés tout au long de la foire ont été pris d'assaut. Si quelques familles avaient prudemment réservé leur table, beaucoup de gourmands ont dû manger sur le pouce. Mais les portions, agrémentées de frites, de compote ou de moutarde, ont été très appréciées. Les rôtisseurs n'ont donc pas chômé.
Le repas terminé, chacun a pu déambuler dans l'étroit corridor de la rue principale, où plus d'une centaine de commerçants avaient très tôt installé leurs stands. Mais personne n'était pressé et chacun adopta le rythme des flâneurs et des badauds.
Monthureux, par expérience, connaît bien les secrets de la réussite : il faut du soleil et des étalages attrayants et diversifiés. Si bien qu'au fur et à mesure de la promenade, les porteurs de sacs en plastique étaient de plus en plus nombreux, avec des réserves de pulls et chaussettes pour l'hiver proche, avec aussi d'autres utilités comme le linge de maison ou des cadeaux à faire (sacs de tous modèles, montres, fleurs).
Et puis, l'heure fatidique approchant, ce fut la ruée vers la place de la République, lorsque s'attablèrent sur le podium les huit concurrents du concours, présenté par Valérie Abriet et François Jeantroux - il n'a pas manqué une foire depuis la création.
Durant un quart d'heure, la goinfrerie fut à son comble et les assiettes, approvisionnées par les membres du stand ADMR, se vidaient à une vitesse soutenue : pas question d'utiliser la fourchette, les doigts faisaient l'affaire et les concurrents au béret basque en redemandaient sans cesse. Lorsque le temps imparti fut atteint, un roulement de tambour a retenti et les juges ont prononcé leur verdict : 1. Frédéric Grandgeorge de la Chapelle-devant-Bruyères (13 portions de 100 gr au moins), 2. Frédéric Descrains de Bétaucourt (10 portions), 3. ex-aequo Gérôme Guyot des Thons, Guy Perquin de Monthureux et Patrice Quinot de Taillancourt (9 portions), 6. Patrice Moudin de Clefcy-la-Côte (8 portions), 7. Romain Clément des Thons, 8. Loïc Grandgeorge (12 ans) de la Chapelle-devant-Bruyères.
Une coupe a été remise au vainqueur, ainsi que du champagne et une enveloppe de bons d'achat. Les autres candidats ont également été récompensés.
[d’après L'Est Républicain | 13.10.2008]
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La foire au boudin de Monthureux-sur-Saône a 40 ans !
Créée en 1968 par un commerçant local, la foire au boudin de Monthureux-sur-Saône, aux confins des Vosges, de la Haute-Saône et de la Haute-Marne, attire chaque automne des centaines de badauds amateurs de bonnes affaires... et de bon boudin élaboré par les bouchers locaux !
Découvrez son histoire sur http://membres.lycos.fr/monthureux
La 1ère foire au boudin vue par la presse locale (La Liberté de l'Est, octobre 1968)