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histoire

  • T'es Lorrain (pour toujours) si...

    Si la Lorraine n'existe plus en tant que région à part entière, désormais englobée dans le "Grand Est", il n'en demeure pas moins que les Lorrains conservent leur identité et leurs expressions bien à eux.

    Sous un mode humoristique, les auteurs déclarent leur amour pour la Lorraine, son parler, ses expressions, ses traditions. L'ouvrage évoquera forcément des souvenirs d'enfance à son lecteur. Il renforcera son attachement à ce territoire qui revit à travers une foule d'anecdotes.

    Bref, un bouquin sans prétention qui nous fait redécouvrir notre Lorraine, son histoire et ses traditions avec une bonne dose d'humour.

     

    ‡ T'es Lorrain (pour toujours) si..., Laetitia Debrycke et Laurent Kasprowicz, auto édition, 2018, 96 p., ill., 10 €.

  • Le mystère Clovis

    Dans une évocation gorgée de couleurs fortes et de furieuses sonorités, Philippe de Villiers - le Lorrain de cœur... et aussi par ses racines familiales ! - fait revivre le roi des Francs Clovis et lui donne la parole. Le roi fondateur dévoile les épisodes les plus intimes, les plus secrets, de ses enfances, de ses amours, de ses chevauchées.

    Ce livre éclaire d’un jour nouveau le mystère de sa conversion, rétablit la vérité sur la date de son baptême et renouvelle ainsi la perspective symbolique de tout notre passé, de notre destin. Au fil d’un récit haletant, affleurent parfois des correspondances troublantes entre les tribulations du monde de Clovis et les commotions de notre temps : le va-et-vient des peuples en errance, les barbares, les invasions, les fiertés évanescentes, les civilisations qui s’affaissent…

    Une restitution spectaculaire, passionnante, inattendue, qui nous fait revivre comme jamais les temps mérovingiens et les origines de la France.

     

    ‡ Le mystère Clovis, Philippe de Villiers, éditions Albin Michel, 2018, 432 p., 22 €.

  • Des musées de Metz au musée de la Cour d'Or

    Ce fort volume, doté d'une remarquable iconographie, se propose d'écrire l'histoire des musées messins. C'est seulement en 1839 que Metz se dote d'un musée. Il est alors créé sous l'impulsion des sociétés savantes locales et des artistes de l'Ecole de Metz. Avec l'Annexion et jusqu'en 1918, le musée va connaître de profondes transformations dans un contexte politique inédit. Il profitera des avancées de la science allemande, notamment dans le domaine de l'archéologie. Les musées de Metz entrent alors dans une première période prospère avec la construction de nouveaux bâtiments et un accroissement constant des collections archéologiques. L'établissement n'est plus seulement un musée des Beaux-Arts, mais aussi un important musée archéologique et même un musée de site avec la découverte dans ses sous-sols des anciens thermes gallo-romains.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, il devient un outil de propagande au service de l'occupant et sert de centre de collecte aux objets spoliés par les nazis. Il faut attendre 1957 pour que les musées de Metz connaissent un nouvel âge d'or. De 1964 à 1980, le conservateur intégrera dans les collections de multiples témoignages patrimoniaux : en étendant ces collections , il transforme la présentation des œuvres de la Cour d'Or et crée un des premiers musées d'architecture médiévale en Europe.

    Le lancement du programme de rénovation du musée a encouragé la rédaction de cet ouvrage où la période la plus récente est présente grâce à une série d'entretiens réalisés avec les personnalités liées à l'histoire du lieu.

    Issus d'une fondation classique, les musées de Metz, par leur inscription dans un territoire marquée par l'Histoire et deux guerres mondiales, sont un exemple peu ordinaire dans le paysage muséal français. Véritable institution transnationale où les visions française et allemande cohabitent, confrontée à la création d'une annexe du Centre Pompidou, un ouvrage relatant son histoire, mais également les enjeux politiques, culturels et sociaux à l'œuvre, s'avérait plus que nécessaire.

     

    ‡ Des musées de Metz au musée de la Cour d'Or. Histoire des collections, reflets d'un territoire, Arnaud Bertinet, Jean-Christophe Diedrich et Julien Trapp (dir.), éditions Snoeck - Metz Métropole, 2018, 391 p., ill., 35 €.

  • L'histoire de la Lorraine et des Lorrains sur RCF Lorraine Nancy

    RCF Lorraine Nancy, la radio chrétienne lorraine propose plusieurs rendez-vous avec l'histoire du diocèse de Nancy et Toul mais aussi l'histoire de la Lorraine et l'histoire des chrétiens.

    Les émissions "Lorrains dans l'Histoire", le jeudi à 18h30 et "Chrétiens d'hier et d'aujourd'hui" le dimanche à 10h00 sont animées par des historiens lorrains passionnés : Catherine Guyon et Stefano Simiz, enseignants et chercheurs à l'Université de Lorraine, Etienne Martin, collaborateur du Pays lorrain, et Jean-Claude L'Huillier, érudit lorrain spécialiste de la vie religieuse dans nos anciens duchés et collaborateur de La Nouvelle revue lorraine.

    On peut écouter RCF Lorraine à Nancy sur 93.7 !

     

    ‡ Site de RCF Lorraine Nancy : https://rcf.fr/  

    ‡ Plus d'infos sur Facebook : https://www.facebook.com/RCF54/

  • le 100ème numéro de La Gazette Lorraine

    La Gazette Lorraine a 25 ans révolus… et l'association CHATEL un peu plus… Ce n'est plus à proprement parler une jeune association, même si nous n'avons pas vu le temps passer, même si celui-ci n'a pas émoussé nos passions, nos enthousiasmes et nos combats !

    Un numéro anniversaire est toujours compliqué à gérer. Faut-il faire comme si de rien n'était, et ne rien changer ? Faut-il au contraire en profiter pour faire une révolution… autre temps, autre mœurs, autre engagements ? Certainement pas !

    Pour notre vingtième anniversaire, nous avions sollicité des artistes, écrivains, photographes, illustrateurs… Ils nous avaient donné leur vision de la Lorraine…

    Nous avons donc choisi de faire ce numéro 100 une revue particulière, tournée vers le bilan, celui de l'association CHATEL et de La Gazette Lorraine. Un numéro qui nous permet de transmettre, des plus anciens aux plus récents de nos lecteurs, notre histoire, nos engagements et nos convictions. Aujourd'hui, les conditions institutionnelles, politiques et sociales ont changé. Une réforme territoriale est en effet en cours en Lorraine qui, comme entité administrative, disparaît au profit d'une grande région pour laquelle le nom est encore à trouver.

    Alors comment faut-il envisager l'avenir de la revue? La Gazette Lorraine aura-t-elle encore un sens demain ? Faut-il proposer désormais une Gazette de la Grande Région ? Ou au contraire, arrêter là notre chemin ? Évidemment non !

    De toutes ces questions nous n'avons pas fait l'impasse au sein de notre comité de rédaction. La Gazette Lorraine restera La Gazette Lorraine car les frontières, les institutions et le sens de l'histoire n'ont jamais gommé ni les territoires, ni les traditions, ni les richesses qu'ils recèlent.

    Loin de nous une idée de repli sur soi. Fidèle à notre engagement de toujours, La Gazette ne défendra pas la vision d'un territoire replié sur lui-même, enfermé, réducteur… Notre vision du patrimoine, de l'environnement, des traditions est au contraire une vision d'ouverture, de connaissance et un engagement.

    Nous continuerons donc à offrir demain une revue fidèle à ce qu'elle a été jusqu'ici… une revue qui continuera à évoluer avec son temps et son époque.

    Nous travaillons depuis quelques moi déjà pour vous proposer un nouveau graphisme, renouveler quelques rubriques ou rendez-vous, intégrer, quand ceci est justifié, un regard et une ouverture vers l'ensemble des territoires de notre nouvelle grande région aussi !

    Ce numéro 100, différent des 99 précédents et de ceux qui lui succèderont, est aussi, l'occasion de poser la question de la pertinence de cette grande région pour laquelle nous avons récemment.

    Aussi, à titre exceptionnel et contrairement à nos habitudes, nous avons sollicité cet automne les élus jusqu'ici en charge des trois exécutifs régionaux, ceux des quatre départements lorrains ainsi que le président du Sillon Lorrain, entité atypique et structurante du territoire majeure !

    Merci à nos abonnés et à nos lecteurs pour la fidélité, le soutien, l'intérêt témoignés tout au long de ces 25 années !

    le directeur de la publication, Stéphane Wieser

    SOMMAIRE :
    • Questions posées aux présidents des régions:Jean-Paul Bachy (Champagne-Ardennes), Philippe Richeret (Alsace), Jean-Pierre Masseret (Lorraine), Patrick Weiten (Moselle), Claude Leonard (Meuse), François Vanson (Vosges)
    • l'Abécédaire de la Grande Région
    • L'Art Nouveau, un engagement
    • Donner à voir, une mission
    • Préserver - Conserver - Restaurer
    • Comprendre l'universel et le local
    • L'environnement, un impératif
    • Les éditions de La Gazette (collections "Tourisme et Patrimoine", "Histoire et Archéologie", "Art et Découverte")

     

    La Gazette Lorraine est une revue trimestrielle disponible sur abonnement (15 €). Envoyez vos coordonnées postales et votre règlement par chèque à l'ordre de "CHATEL" à : LA GAZETTE LORRAINE, 44 AVENUE DU CHÂTEAU, 54600 VILLERS-LES-NANCY

  • La Nouvelle revue lorraine n° 33 : quel avenir pour nos églises ?

    Devenir de la région Lorraine, devenir de nos églises... Jean-Marie Cuny pose la question dans la dernière livraison de La Nouvelle revue lorraine. Plus que jamais, il faut que les Lorrains s'approprient leur histoire et leur culture afin de mieux aimer et mieux défendre leur région menacée par la réforme territoriale de la grande région "Alca" ou "Acal". Bref, une horreur.

    A lire dans le numéro 33 de août-septembre :

    - hommage vendéen à Jean-Nicolas Stofflet à Bathelémont
    - dossier : le devenir de nos églises lorraines
    - un champion lorrain injustement éclipsé par son épouse : le colonel de Saint-Balmont
    - un vosgien dans l'Essonne
    - tisserands des Vosges
    - la maison et les habitants des "Hauts"
    - un pionnier de l'aviation : Pierre-Marie Bournique
    - début de la Grande Guerre : témoignage d'un habitant de Pagny-sur-Moselle
    - une famille lorraine : le Michel
    - de l'église Saint-Joseph au temple Saint-Jean de Nancy
    - un lorrain oublié : Pierre-François Viriot
    - les compagnons du comte de Lobau
    - le maréchal de France Gabriel Jean Joseph Molitor
    - mobilier lorrain à l'époque napoléonienne
    - les Vierges à l'Enfant du musée de la Cour d'Or de Metz

    Et les rubriques habituelles : l'édito' du Jean-Marie, les infos lorraines et les recensions de livres.

     

    ‡ La Nouvelle revue lorraine est disponible sur abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (38 €) à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBLOIS, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Retrouver l'histoire

    histoire.jpgEt si, à force de renier le passé, nous avions renoncé à tout avenir ? Et si, à force d'exalter l'individualité, nous étions devenus incapables de communauté ? Et si, à force de vanter la diversité, nous avions oublié l'unité ?

    Refusant la fatalité, récusant les mythes dorés comme les légendes noires, ce livre montre que l'exception française tient à l'histoire de France.

    Convoquant les hommes et les femmes qui l'ont bâtie, les penseurs qui l'ont méditée, appelant aux discours de Jaurès, Clemenceau, de Gaulle, entrant en dialogue avec Charles Péguy et Simone Weil, Pierre Nora et Régis Debray, Louis Manaranche déroule ici les actes fondateurs de la nation française, de l'avènement de Louis XIII à l'assassinat des Girondins par les Jacobins, des Trente Glorieuses à la construction européenne, et interroge jusqu'au récent projet de réforme de la carte territoriale ou l'état présent de la laïcité.

    Voulant "raison garder", selon le maître mot de la monarchie comme de la république, cet essai vif et flamboyant constitue un antidote à la crise morale ambiante.

     

    ‡ Retrouver l'histoire, Louis Manaranche, éditions du Cerf, 2015, 128 p. (12 €).

  • 1715, 1815, 1915… 2015 ? Le « 15 », une date souvent maudite pour la France

    Depuis des siècles, l’histoire de France subit un étrange phénomène cyclique. C’est une implacable statistique, véritable « bug » dans la matrice. En effet, notre pays connaît pratiquement toutes les années finissant en 15 un très grand événement. Souvent régénérateur, presque toujours meurtrier…

    15.jpg1315 : La France dégouline mortellement depuis des années, sous l’intensité incompréhensible de pluies diluviennes. Les récoltes sont pourries, la famine s’étend partout. L’espérance de vie s’effondre comme jamais. Dans un climat d’apocalypse, l’éphémère roi Louis X laisse mourir sa reine dans un cachot obscur et glacial, suite au scandale de la tour de Nesle.

    1415 : Année noire pour la patrie. Le funeste 25 octobre, la chevalerie française est littéralement anéantie par l’armée anglaise à Azincourt. Les Français, englués dans la boue, sont massacrés. A cette époque, on meurt surtout après le combat, de ses blessures. Les corps sont broyés à coup de masses, les membres coupés gisent sous un ciel noir. La France est en état de mort clinique !

    1515 : Seul cru positif ! Marignan bien sûr, avec la victoire historique des troupes au Lys devant les troupes suisses des états italiens, réputées invincibles. 1515 est en outre l’année de l’avènement de François Ier qui, après sa victoire, entre triomphalement en Italie. Le roi rêve d’être César.

    1615 : Cinq ans après l’attentat qui a coûté la vie au bon roi Henri IV, la France souffre d’une guerre civile désastreuse dans une ambiance de fin du monde. Dans certaines régions, la faim pousse les hommes « à paître dans l’herbe comme des bêtes ». La nation est rongée par les divisions, mais les États généraux, les derniers avant ceux de 1789, s’achèvent néanmoins avec le renforcement de l’absolutisme.

    1715 : Exsangue, le royaume de France est au bord de la rupture. Après plusieurs décennies de guerres contre l’Europe entière, après avoir frôlé la catastrophe militaire (victoire miracle de Denain en 1712), le peuple de France aspire au repos. En septembre de cette année, le grand roi meurt d’une gangrène ; les finances sont au plus mal, et les graves épisodes de refroidissement climatiques (1692 et 1709) ont causé plus de morts en proportion que la future Grande Guerre !

    1815 : C’est la fin d’un monde. Depuis Louis XIV, la France occupait le premier rang des puissances mondiales. Dans la boue de Waterloo, au cœur d’une ultime défaite, la Grande Nation passe la main. C’est un tournant historique majeur.

    1915 : Le pays est plongé dans la plus effroyable des guerres. Enterrés depuis plusieurs mois dans les tranchées, les soldats français font face à l’ennemi dans un conflit cauchemardesque. Après la saignée de l’année précédente, l’armée est comme sous le choc. Il faut tenir, à tout prix…

    2015… On parle de dissolution, certains évoquent à mots couverts un putsch… La malédiction du 15 ne va – semble-t-il – pas s’arrêter !

    [source : Boulevard Voltaire]

  • La Nouvelle revue lorraine n° 22 : chez Jean-Paul Marchal, imagier vosgien

    NRL22.jpgAvec ce numéro automnal de La Nouvelle revue lorraine, Jean-Marie Cuny nous fait entrer dans l'atelier de l'imagier vosgien Jean-Paul Marchal. Il nous conduit également à Lunéville et nous ouvre les portes du conservatoire de la broderie... et de la plume !

    Comme d'habitude, le numéro recèle encore maints articles qui nous font découvrir la Lorraine sous des aspects étonnants. Au sommaire :

    - la Lorraine et le nationalisme français

    - la vie rustique

    - il y a quarante ans, la réconciliation

    - 13 septembre 1914 : un épisode de la Grande Guerre en Lorraine

    - l'abbaye de Morimond, des cisterciens dans le Bassigny lorrain

    - René Veillon, artiste et fondateur de la Société cotonnière lorraine

    - le médecin-colonel Léon Hauvuy

    - le culte des fontaines

    - le Gaulois de la Grande Guerre

    - le Grand-Couronné

    - Epinal et ses remparts

    ... et les traditionnelles rubriques : les info's lorraines, les livres... et l'édito' du Jean-Marie !

     

    ‡ La Nouvelle revue lorraine, n° 22, octobre-novembre 2013 (7 € le numéro). Disponible en librairie et sur abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (38 €, 6 numéros, chèque à l'ordre de "SEP Helenus") à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

    ‡ Plus d'info' : jmcuny@hotmail.fr 

  • Xavier Alphonse Monchablon s'expose à Bleurville

    affiche monchablon.jpg

  • Lamarche (88) : une place dédiée à l'historien de la cité

    dr germain.jpg

    [Vosges Matin]

  • Annales de l'Est : "Récit & Histoire"

    AE récits.jpgLa dernière livraison des Annales de l'Est publie les actes du colloque tenu lors des Universités d'Hiver les 3, 4 et 5 novembre 2011 à Saint-Mihiel (Meuse). Ces Universités étaient organisées notamment par le Conseil général de la Meuse et le Centre de Recherche universitaire lorrain d'histoire, sur le thème "Récit et histoire".

    On y lira avec intérêt plusieurs contributions ayant trait directement à l'histoire de la Lorraine :

    - Récits de crises : disettes, famines et épidémies à Metz et en pays mosan (XIVe-XVIe siècles), Jean-Marie Yante

    - Du carnet au récit de voyage : le cas de l'explorateur Jules Crevaux, Francis Grandhomme

    - Rapport politique ou récit de voyage : la correspondance des envoyés lorrains à Rome au début du XVIIIe siècle, Laurent Martin

    - Le récit de miracle au XVIIe siècle : autour de la béatification de Pierre Fourier, Cédric Andriot

    - Récit historiques au coeur de la vie conventuelle féminine au XVIIe siècle : la fondation du monastère de l'Annonciade céleste de Saint-Mihiel, Marie-Elisabeth Henneau

    - Le récit de conversion au catholicisme dans le Saint-Empire : relations, discours et normes, Laurent Jalabert

    Et bien d'autres articles autour du thème du récit en politique, à l'étranger, etc.

     

    ‡ Les Annales de l'Est, n° spécial, 2012, Récit & Histoire - Formes et épistémologie d'un outil historique, Jean El Gammal et Laurent Jalabert (dir.), 2013, CRULH-Université de Lorraine-CG55-Région Lorraine, 243 p. (23 €). A commander à : Association d'historiens de l'Est, CRULH, 3 place Godefroy de Bouillon, 54000 NANCY.

  • La Nouvelle revue lorraine n° 17 : entre nature et histoire

    NRL17.jpgJean-Marie Cuny nous propose ce mois-ci le 17ème numéro de sa Nouvelle revue lorraine. Il nous fait découvrir notamment un homonyme, Jacques Cuny, un Vosgien qui fait découvrir les Vosges aux Vosgiens... et à tous ceux qui aiment cette nature à taille humaine imprégnée de traditions.

    Le sommaire est encore riche de nombreux récits qui vous feront découvrir la Lorraine d'hier et d'aujourd'hui :

    - Plombières la Jolie

    - La Petite-Fosse

    - Jeanne d'Arc et Poissy

    - Deux oeuvres de Monchablon à Domremy

    - La mort du dernier loup de Tranqueville

    - Mes "loups" du Bois-le-Prêtre

    - Henri Poincaré, un génie aux racines lorraines

    - Henri Cordebard, pharmacien et chimiste

    - Jeûne et abstinence au XVIIe siècle sous le duc Charles III

    - Renaissance mise à mal à Metz

    - Cigognes au pays de Sarrebourg

    - Le charbonnier

    - Les formulettes enfantines

    - Alain Cotinaut-Kempf, artiste peintre

    Et les rubriques habituelles : la revue vous avise, les livres, d'une revue à l'autre...

     

    ‡ En vente en librairie ou à commander (7 € le numéro ou abonnement : 38 € pour 6 numéros) en s'adressant à : La Nouvelle revue lorraine, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Petites histoires de la grande Lorraine [50 avant J.-C. - 2013]

    caffier.jpgCe livre à la plaisante lecture détaille en vingt-sept épisodes, étalés depuis la Gaule romaine au bord de la Moselle jusqu'au Sillon entre nos villes, le feuilleton souriant de l'histoire de la Lorraine. Il ne manque personne, de Charlemagne aux distributeurs de tracts d'Arcelor Mittal, aucun fait, de la République de Metz aux étudiants d'Artem à Nancy, aucun lieu des Vosges du textile à la Meuse fromagère.

    Michel Caffier, avec une plume appliquée et avec une bonne dose d'humour, mêle aux grands personnages de la Lorraine, fidèles à eux-mêmes, des hommes et des femmes de son cru imaginatif. On se sent tous Lorrains.

    L'auteur, Michel Caffier, est originaire de Boulogne-sur-Mer. Journaliste, grand reporter et critique littéraire, il est aussi l'auteur d'une soixantaine d'ouvrages, essais, romans et albums sur la Lorraine.

     

    ‡ Petites histoires de la grande Lorraine [50 avant J.-C. - 2013], Michel Caffier, éditions Serpenoise, 2012, 142 p. (15 €).

  • A propos du "Métronome" de Lorànt Deutsch : Histoire officielle contre Histoire populaire

    metronome.jpgLe Métronome de Lorànt Deutsch, par inadvertances ou relâchement, semblait être passé jusqu’alors entre les gouttes des censeurs officiels. Comment se fait-il, en effet, que l’on n’ait pas repéré et arrêté à temps un tel acteur mal pensant ?

     

    Les nouveaux inquisiteurs

     

    Non content de supprimer l’enseignement de l’Histoire en terminale scientifique au lycée, les nouveaux inquisiteurs veillent maintenant à ce que l’histoire reste officielle. Rien avant 1789 et surtout pas de frontières et encore moins de patries ! Ainsi, l’Histoire enseignée se réduit-elle maintenant à l’étude de grandes thématiques, abordées dans la « longue durée » et dans un espace transfrontalier, une histoire presque idéale et sans conflits de positions, une histoire sans même d’examen chronologique des évènements.

     

    Or comment initier l’élève à la pragmatique de l’Histoire, à la notion d’événement et à l’imprévisibilité (Dominique Venner, L’imprévu dans l’Histoire, treize meurtres exemplaires, éd. Pierre-Guillaume de Roux, Paris 2012) sans jamais avoir étudié en classe, au moins une fois dans son détail le déroulement d’une grande bataille ou les conséquences hasardeuses d’un assassinat politique ? Quel professeur d’histoire de lycée est-il d’ailleurs aujourd’hui capable de citer un général d’empire, revivre comme si on y était une bataille de la guerre de cent ans ou de connaître le panthéon celtique ou germanique, une des souches vitales de l’esprit français ?

     

    Dans les nouveaux programmes du collège, tous les grands hommes tels Louis XIV et Napoléon 1er ont été occultés au profit de grandes thématiques comme "l’émergence d’un roi absolu", "la Révolution, l’empire et la guerre" ou ‘’ les guerres d’anéantissement’’. Des périodes considérées comme essentielles pour l’Histoire nationale telle la Guerre de cent ans ou de trente ans disparaissent des programmes, ou deviennent optionnelles, au profit d’ouvertures culturelles et géographiques sur "la Chine des Hans à son apogée" ou "l'empire du Mali du XIIIe au XIVe siècles".  Le curseur a été déplacé du national au mondial en sorte que le Ministère de l’Education nationale n’est plus que le Ministère de l’Education mondialiste (rajouté socialo ou libéro suivant la tendance électorale !). Quid de s’interroger un instant sur l’utilité ou non de la chronologie dans l’enseignement de l’histoire auprès d’adolescents souvent dénués de repères.

     

    L’histoire : apprendre les racines du futur 

     

    En réalité, cela fait depuis bien longtemps qu’on ne parle plus de « l’ Histoire de France » et les historiens souhaitent même en accélérer la modernisation forcée, occultant dans l’enseignement du passé tout ce qui subsisterait de la Tradition ou tout ce qui conforterait un esprit traditionnel considéré comme rétrograde. De fait, l'apprentissage de l’Histoire, depuis la fin du XIXe siècle, a toujours répondu à une triple finalité : une finalité morale, intégratrice et civique, de nature républicaine. La finalité morale, c'est l'idée selon laquelle l'étude du passé devrait apprendre l'absolu humaniste et universaliste des valeurs et le sens du relatif, conduisant à la tolérance pacifiste (sans rien entendre à la logique de la guerre comme essence du politique). 

     

    La finalité intégratrice vise à asservir l'histoire à une fonction identitaire et laïque. Quant à la finalité civique, elle repose sur l'idée que l'histoire est censée aiguiser l'esprit critique et que, dès lors, elle est une excellente propédeutique à l'exercice de la citoyenneté démocratique parlementaire, aux sentiments humanitaires ou à l’engagement ONG. Ainsi la finalité intégratrice de l’enseignement de l’Histoire s’est trouvée prisonnière elle-même d’un devoir de mémoire exacerbé par les communautés ou d’une discrimination positive faisant l’éloge au premier plan de la diversité. Elle a dû abandonner petit à petit l’idée d’une République forte au profit d’un Etat mobile et souple, paradigme d’une gouvernance mondiale, affichant pour résoudre juridiquement le conflit des valeurs une relativité des civilisations, avec ses concepts vagues de « communauté internationale » ou de « gouvernance » technocratique.

     

    Finalement, la nouvelle histoire enseignée reflète les évolutions socialo-libérales des intellectuels organiques et les nouveaux programmes ne constituent pas en soi une révolution dans la dégradation permanente de l’enseignement de la discipline. Tout au plus, déplacent-ils légèrement le curseur entre les trois pôles précédemment évoqués et finissent-ils par évacuer les grands hommes et les rois au profit de mouvements sociologiques (telle la théorie du genre ou la sociohistoire) esquissés hors de toute perspective géopolitique ou guerrière. 

     

    Alors que pendant longtemps, on a considéré que le citoyen français devait connaître sur le bout des doigts ses départements, sa géographie fluviale, la biographie des "grands hommes", les dates des grandes batailles et les grands classiques de la littérature française, on ne lui demandera en somme de ne reconnaître que ce qui les rassemble et les ressemble. En somme, la finalité morale l’a emporté sur tout le reste dans une "impolitique" généralisée, au détriment des approches intellectuelles classiques et de l’analyse scrupuleuse, scientifique et positiviste des faits.

     

    Bien sûr, tout est sans doute de bonne foi : l’introduction de chapitres sur l’Inde classique, l’empire du Ghana et la Chine des Hans n’a pas pour ambition de nier l’identité française, mais de considérer qu’à une époque où la mondialisation n’est plus un fantasme, il est grand temps d’offrir à nos enfants une ouverture culturelle nécessaire ! Alors, l'histoire au programme mais pour combien de temps encore ? Le temps de l’expiation ou de la reconquête européenne.

     

    Chez les petits maître de l’histoire, l’ouvrage de Lorànt Deutsch a fait l’effet d’une bombe ou plutôt donné l’impression de l’arrivée inopportune d’un indien dans la ville. Au début, ce fut comme un sourire narquois dans la patrie de la Révolution puis très vite, Deutsch est devenu, chez les universitaires, persona non grata, une tête à claque alors que comme nous le rappelions plus haut, l’enseignement de l’histoire vient juste d’être supprimé dans les classes de Terminale scientifique, presque sans le moindre émoi. Si l’on n’apprend plus l’Histoire de France aux enfants, c’est qu’elle est en pleine mondialisation, au stade ultime du capitalisme, dangereuse parce que surtout, ce qu’il s’agit de nous imposer, dans le cadre du Nouvel Ordre Mondial d'essence anglo-saxonne, c’est une seule identité culturelle, une seule réalité politique : l’identité planétaire et la réalité unipolaire.

     

    Les historiens  professionnels ont donc d’abord attaqué Lorànt Deutsch sur son amateurisme : comment un jeune acteur, amoureux de l’Histoire de France, pourrait-il prétendre raconter l’Histoire et faire partager cet amour aux Français ? Jalousies de pacotille d’autant que le livre a de quoi inquiéter les salles de prof : le Métronome s’est vendu à plus d’un million cinq cent mille exemplaires, sans parler du succès de la série télévisuelle qui en a été tirée. Maryline Crivello, directrice du laboratoire Telemme (MMSH) à l’université d’Aix-Marseille a dénoncé en Lorànt Deutsch l’amateur qui a osé venir piétiner les platebandes des professionnels,  « ces chercheurs ou enseignants, ces médiateurs traditionnels issus d’une culture scolaire peu valorisée et associée à des amphis poussiéreux ». 

     

    Mais pourquoi tant de reproches et tant de haines ? La lecture de la chronique « Rebonds » de Libération en ce sens est très  instructive. Ce que les historiens officiels reprochent à Deutsch c’est – je cite - un « récit fétichiste et gallo-centré ». Or, c’est exactement ce que nous reprochons aux historiens officiels et patentés de ne plus être fétichistes, de détourner les faits ou plutôt ce que nous leur reprochons, outre d’être particulièrement ennuyeux, c’est de s’attaquer surtout à l’histoire populaire au nom d’une mise en scène idéologique et multiculturaliste des faits et événements historiques, de refouler les rois et les saints catholiques en pratiquant systématiquement l’anachronisme au nom d’un militantisme laïc et partisan, d’appliquer en permanence l’amalgame et une lecture restrictive de l’Histoire de France, par exemple de l’occupation et de la résistance, de l’histoire de la Guerre d’Algérie ou du soviétisme. Bref, ce que nous leur reprochons, c’est de n’être en fait que des enseignants idéologues. 

     

    Il y a pire : les nouveaux historiens sont en fait incapables de concevoir un quelconque projet collectif. Plus que des « intellectuels spécifiques » (Michel Foucault) qui se distingueraient par la croyance maintenue en l’utilité sociale pourtant limitée de leurs « compétences » particulières, les historiens universitaires ne sont, en fait, que des intellectuels de gouvernement, représentants à l’université et à l’école du réformisme centriste qui, au travers de réseaux de pouvoir médiatiques puissants se distinguent par leur dénonciation des intellectuels « amateurs »  et du dilettantisme cultivé (Bernard Lugan, Reynald Seycher, Dominique Venner). Or, face aux crises profondes du monde social à venir, ces intellectuels de la compromission s’effaceront naturellement devant le retour du politique et de l’histoire, devant l’exemplarité de l’intellectuel critique (Alain de Benoist et ses entretiens avec François Bousquet, Mémoire vive chez de Fallois) qui ne confond pas la mode avec la vérité ou comme en ce moment, devant de simples citoyens comme Lorànt Deutsch qui n’acceptent plus de voir leur identité bradée alors qu’elle n’est que le seul patrimoine qui leur reste encore avant l’écroulement des banques ou la volonté politique du silence historique.

     

    [d'après Metamag | Michel Lhomme | 10/07/2012]

     

  • Merveilleuses & Insolites été 2012 au Pays d'Epinal Coeur des Vosges

    jardin et croix juin 10.jpgLe Pays d'Epinal Coeur des Vosges, qui s'étend de Rambervillers à Châtillon-sur-Saône en passant par Charmes et Xertigny, propose un riche programme de visites et d'animations autour de son patrimoine durant cet été.

    Partez sans tarder à la découverte de la diversité des patrimoines des Vosges, entre plaine et montagne.

    [cliché : croix du jardin monastique, Bleurville | © H&PB]

     

    ‡ A découvrir ici : Merveilleuses-Estivales-2012.pdf

  • Domremy : Colloque international « De Domremy... à Tokyo : Jeanne d'Arc et la Lorraine » du 24 au 26 mai 2012

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    Jeanne d'Arc au sacre de Charles VII, fin XIXe-début XXe s., église de Bleurville [cliché ©H&PB]

    A l'occasion de la commémoration du 600e anniversaire de la naissance de Jeanne d'Arc, un colloque universitaire international est organisé par l'Université de Lorraine, le Conseil général des Vosges, le Conseil général de la Meuse et la ville de Vaucouleurs sous la direction de Catherine Guyon et de Magali Delavenne les 24, 25 et 26 mai 2012 à Domremy et Vaucouleurs.

    Vingt-cinq chercheurs français et étrangers reprendront le dossier de la naissance, l'enfance et la jeunesse de Jeanne. Ce sera l'occasion de rappeler le contexte politique des marges lorraines au début du XVe siècle et de préciser les cadres géographiques et administratifs complexes de ce secteur mettant en contact royaume de France, duché de Lorraine et Barrois.

    Les communications porteront sur la famille de Jeanne et ses jeunes années replacées dans leur environnement villageois quotidien, mais aussi dans leur contexte religieux et social. Il sera aussi question du retentissement dans l'espace lorrain et des régions limitrophes de son épopée, des enquêtes menées à Domremy ainsi que de la fausse Jeanne d'Arc, Claude des Armoises, sur laquelle des éléments nouveaux ont été découverts.

    Les intervenants aborderont enfin les enjeux de cette commémoration et s'interrogeront sur l'image de Jeanne, figure majeure de l'histoire de France, à la fois enjeu politique, emblème féminin, modèle d'enfance et sainte de l'Eglise. Loin de s'arrêter aux frontières nationales, la figure de Jeanne d'Arc a rayonné dans le monde entier, comme le révèle l'exemple du Japon où elle est connue du grand public et a constitué une source d'inspiration pour les artistes, acteurs et écrivains.

     

    ‡ Programme du colloque de Domremy ici programme_colloque Jeanne d'Arc.pdf

  • Nouveaux programmes d'Histoire : de l'ignorance au formatage

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  • La Lorraine des origines à nos jours

    Lorraine.jpgL’histoire de la Lorraine a vu se multiplier ces dernières années travaux et publications, de grande qualité mais souvent, en général, destinés à un public régional averti.

     

    De diffusion trop restreinte, ces ouvrages ne sont guère parvenus à faire connaître à l’échelle nationale une région à l’histoire longue, riche et complexe, que beaucoup voient et jugent encore au prisme déformant des clichés véhicules par les vicissitudes du passé. La Lorraine, longtemps convoitée, déchirée, écartelée entre France et Allemagne, mais aujourd’hui rassemblée, veut se faire connaître comme une grande région à la fois française et européenne, et valoriser les atouts que lui ont donnés sa nature, son histoire, son patrimoine et sa culture.

     

    Avec une iconographie abondante et un texte agréable et rigoureux, cette histoire de La Lorraine des origines à nos jours se veut un ouvrage de référence accessible au plus grand nombre, avec la double ambition de rendre les Lorrains fiers de leur histoire et de transformer l’image encore floue qu’en ont beaucoup de Français.

     

     

    ‡ La Lorraine des origines à nos jours, Pierre Brasme, éditions Ouest-France, 2012, 127 p., ill. (18,50 €).

  • Des timbres pour valoriser la Lorraine

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    [La Semaine de Nancy]

  • Abonnez-vous à La Nouvelle revue lorraine !

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  • Manuel d'histoire de France

    histoire,france,oeuvre scolaire saint nicolas,cours moyen,école,éducation nationaleBon, autant le dire tout de suite, ce n'est pas un énième ouvrage sur l'histoire de la Lorraine que nous vous proposons. C'est beaucoup mieux que cela ! Voici un manuel d'histoire que tout parent devrait détenir pour instruire "nos chères têtes blondes" de l'Histoire (avec un grand H) de notre France. Et cela devient urgent lorsque l'on sait que le ministère de l'Education nationale réalise des coupes sombres (on devrait plutôt parler de "coupes claires" !) dans les programmes d'histoire du primaire au lycée.

    Bref, elle est bien lointaine l'époque où les enfants de France apprenaient par coeur la liste des préfectures et des sous-préfectures de tous les départements français ainsi que les dates-clés de notre histoire nationale : 496 baptême de Clovis, 1214 victoire de Bouvines, 1515 François Ier armé chevalier par Bayard à Marignan, 14 juillet 1789 prise de la Bastille...

    Au-delà des images d'Epinal, les auteurs de ce Manuel d'Histoire de France ont voulu renouer avec l'Histoire chronologique qui, seule, permet à l'enfant de situer les événements dans le temps et de comprendre l'enchaînement des faits.

    Découvrir ce passé qui nous a faits ce que nous sommes, apparaît d'autant plus nécessaire que notre époque aspire à renouer le fil du temps, ce dont témoigne le succès des reconstitutions historiques et des publications consacrées à l'Histoire.

    C'est dans ce cadre qui lui est proche et familier que l'enfant doit d'abord étudier le passé, son passé, avant de s'ouvrir aux autres cultures et civilisations.

    Les auteurs de ce manuel ont eu à coeur de fournir aux élèves du cours moyen un texte clair, agrémenté de très nombreuses illustrations et de cartes explicites afin d'aider à situer géographiquement les événements. Ils ont souhaité, dans le respect de la réalité des faits, faire connaître et mettre en valeur tous ceux qui ont forgé la France au destin et au rayonnement si particuliers.

    A mettre de toute urgence entre les mains des parents de jeunes enfants scolarisés dans le primaire !

     

    ‡ Manuel d'Histoire de France. Cours moyen, Anne de Mézeray, éditions Oeuvre scolaire Saint-Nicolas, 2011, 330 p., ill. (24 €).

  • Mirecourt : Salon du livre régional "Lorraine & Vosges" le 4 septembre

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  • Les Annales de l'Est : l'humour et l'historien

    AE_2_2010.jpgLa dernière livraison des Annales de l'Est présente un riche sommaire autour du thème de "l'humour et l'historien". L'historien n'est pas dénué d'humour... et l'Histoire elle-même présente souvent des situations cocasses ! Qu'on en juge par les articles proposés par ce numéro : Attila manquait-il d'humour ?, Farce, satires, lazzi et ridicules à l'assemblée du Clergé de 1635, Un témoignage de 1664 sur les foires de Strasbourg, Autour de l'oeuvre de dom Calmet : parodies et détournements, Bons mots, petites phrases et traits d'esprit : les gaullistes et l'humour, etc.

    L'histoire de la Lorraine est également passée au crible de plusieurs contributions : Du cloître au quartier canonial : approche historique et archéologique de l'abbaye de Bouxières-aux-Dames, La poésie angevine de Pierre de Blarru (XVe siècle), Anoblissement et pouvoir princier dans la Lorraine ducal (1698-1729), Les cours du soir à Nancy (1843-1914) : l'instruction "démocratisée", la République enracinée ?, Le Service de sécurité allemand pour la Lorraine-Sarre-Palatinat (1940-1945).

     

    ‡ L'humour et l'historien, Annales de l'Est, n° 2, 2010, CRULH de l'Université de Nancy 2, 270 p., ill. (23 €).

    A commander à : Association d'Historiens de l'Est, UFR des Sciences Historiques, 3 place Godefroy-de-Bouillon, 54000 NANCY.

  • La Nouvelle revue lorraine, numéro 6

    NRL 6.jpgTous les deux mois, les abonnés l'attendent avec fébrilité et impatience... La sixième livraison de La Nouvelle revue lorraine est sortie depuis début février ! Avec un sommaire toujours aussi riche. Qu'on en juge avec ces quelques articles sur l'histoire et les histoires qui ont marqué notre Lorraine, rédigés par des auteurs qui vous font partager leur amour pour la région :

    - Alfred Renaudin, peintre de la Lorraine

    - Thionville face au culte réformé (XVIe-XVIIIe siècles)

    - Un espion au service du duc Léopold

    - Des noms communs devenus propres... L'exemple des rues de Bleurville

    - Les dénicheurs

    - Deux courageuses vosgiennes

    - L'église restaurée de Mars-la-Tour

    - L'Alsace-Moselle : une mode ? Une volonté de se faire remarquer ?

    - Charlemagne, empereur d'Occident

    - Henriette de Lorraine à Sampigny

    - La dernière croisade de la Croix de Lorraine

    ... et de nombreux autres articles, chroniques et notes de lecture.

    La Nouvelle revue lorraine, c'est la revue de tous les Lorrains de Lorraine et des Lorrains expatriés ! Alors, ceux qui ne sont pas encore abonnés, abonnez-vous vite !

    >> Abonnement pour 1 an (36 €, 6 numéros) en envoyant vos coordonnées postales et votre règlement à : Jean-Marie Cuny, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE

  • La Nouvelle revue lorraine rend hommage à Saint Nicolas

    nrl5.jpgLa Nouvelle revue lorraine continue son petit bonhomme de chemin. Déjà 5 numéros depuis son retour chez les amoureux de la Lorraine et sur les rayons des libraires.

    Encore une fois, Jean-Marie Cuny nous propose un sommaire varié et une belle première de couverture consacrée à Saint Nicolas. Normal, à la veille de la fête du saint patron de la Lorraine !

    Dans ce numéro de début d'hiver, vous découvrirez notamment :

    - Denis Mellinger, sculpteur-restaurateur et un fondeur

    - La Vierge de Lorry-lès-Metz opte pour la France après 1871

    - Georges Claude, génial inventeur oublié

    - Quand on vidait ses pots de chambre par les fenêtres

    - Histoire du comté de Dabo

    - Au temps des sorciers

    - L'abbaye Sainte-Marie-Majeure à Pont-à-Mousson

    - La consultation des pauvres malades des campagnes en 1764

    - Capitaines de la Grande Armée

    - Le miracle de Brin-sur-Seille

    - Saint Nicolas et les trois clériaux

    - Saint Nicolas, le retour...

    Et encore bien d'autres histoires et anecdotes, des infos sur la vie en Lorraine, sur les livres...

     

    >>  Pour s'abonner à La Nouvelle revue lorraine, envoyer vos coordonnées postales et votre règlement (36 € pour 6 numéros) à Jean-Marie Cuny, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Des livres lorrains pour Saint-Nicolas, Noël... et les étrennes du Nouvel An

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    >> Abonnement et règlement à envoyer à : La Nouvelle revue lorraine, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE

  • La Lorraine se dévoile...

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    La Lorraine se dévoile sur... http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com

    Un blogue passionnant qui vous fera voyager dans l'univers du patrimoine historique, architectural et naturel de notre belle Lorraine. Vous y découvrirez la Lorraine sous un jour méconnu, parce que sa richesse patrimoniale est encore trop ignorée des Lorrains eux-mêmes et pas suffisamment mise en valeur.

    Allez vite découvrir le blogue La Lorraine se dévoile... Et surtout allez le visiter aussi souvent que celui de Histoire & Patrimoine Bleurvillois !