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Histoire & Patrimoine Bleurvillois - Page 131

  • Nancy, Domaine de l'Asnée - 1er avril : "Pierre & Mohamed. Algérie, 1er août 1996"

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  • La Lorraine philatélique

    Le programme philatélique de La Poste pour 2012 prévoit l'émission de trois timbres rendant hommage, à un titre ou à un autre, à la Lorraine. Présentation.

    jeanne d'arc.jpgEn mai, à l'occasion du 6ème centenaire de la naissance de Jeanne d'Arc à Domremy (Vosges), La Poste française et la Cité du Vatican émettent un timbre magnifique où, sur fond d'or craquelé, est reproduite une miniature  issue d'un manuscrit du XVe siècle représentant Jehanne la Bonne Lorraine en armure.

    En juillet, un timbre commémorant le centenaire de la première liaison postale entre Nancy et Lunéville sera émis. En 1911 est créée à Nancy une association des Amis de l'Aviation à l'initiative de trois officiers aviateurs, les lieutenants Cheutin, Nicaud et Varcin, du conseiller municipal Antoine, et avec le soutien du Directeur des Postes de la cité ducale et du sous-secrétaire d'Etat aux Postes. Il s'agissit de réaliser le premier service postal aérien en France métropolitaine, entre Nancy et Lunéville. Le vol, prévu le 29 juillet 1912, fut reporté au 31 à cause du mauvais temps. A 7 heures du matin, le biplan Farman du lieutenant Nicaud sortit du hangar. Il décolla à 7h16, en emportant environ 10 000 plis, pour atterrir sur le Champ-de-Mars de Lunéville à 7h33 après un vol de 27 km.

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    orgue luneville.jpgEnfin, en novembre, l'orgue de l'église Saint-Jacques de Lunéville sera à l'honneur avec l'émission d'un splendide timbre. Ce chef-d'oeuvre baroque est le seul orgue à tuyaux cachés actuellement connu en Europe. L'instrument se dissimule derrière les balustrades et les colonnes formées d'un réseau de lattes verticales qui laissent passer le son. La tribune et le buffet ont été dessinés par Emmanuel Héré, à la demande du roi et duc de Lorraine et de Bar Stanislas Leszczynski. Mais l'originalité de la disposition de l'instrument est l'oeuvre du facteur d'orgue Nicolas Dupont, de Maxéville.

     

    [source : La Poste, service philatélique]

  • Jeanne d'Arc, vérités et légendes

    jeanne d'arc.jpgLa spécialiste reconnue de Jeanne d'Arc, Colette Beaune entreprend ici, en quelques chapitres très clairs et concis, de couper court aux pires bêtises qui circulent encore sur Jehanne. Car depuis une trentaine d'années, les recherches ont permis d'établir de façon scientifique et incontestable la vie de la "Pucelle d'Orléans".

    Face aux hypothèses sensationnalistes - pour ne pas dire loufoques - que l'on peut lire et entendre encore de nos jours, l'auteur, avec la rigueur et l'exigence d'une grande historienne, rétablit la vérité : Jehanne fut-elle bergère ou fille d'un roi caché ? Avait-elle des pouvoirs spéciaux puisqu'elle a été condamnée pour sorcellerie ? Etait-elle vierge ? A-t-elle péri sur le bûcher ?...

    Un petit ouvrage passionnant et utile en cette année du 6ème centenaire de sa naissance, qui révèle en outre l'incroyable talent de conteuse de Colette Beaune.

    Il s'agit de la réédition de l'ouvrage grand format paru en 2008 chez Perrin.

     

    ‡ Jeanne d'Arc, vérités et légendes, Colette Beaune, éditions Perrin, collection Tempus, 2012, 264 p. (8 €).

  • Nancy : sur les traces de la première place Stanislas

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    [Est Républicain]

  • Les Guises

    guises.jpgLes Guises, qui régnèrent longtemps en maître sur les affaires politiques de la France, connurent une ascension foudroyante sous le règne d'Henri II et devinrent tout puissants sous celui de François II, qu'ils manipulèrent pour accroître leur influence au détriment de Catherine de Médicis. Devenus les véritables souverains du royaume, ils se rendirent particulièrement célèbres en se faisant les champions de la cause catholique.

    Mais savez-vous que leur illustre Maison était originaire de Lorraine ? Jusqu'à l'avènement d'Henri IV, l'ancienneté de leur duché lotharingien les autorisa à se déclarer héritiers de Charlemagne et à revendiquer la couronne de France. Le plus célèbre des Guises, Henri le Balafré, paya ses prétentions de sa personne en étant assassiné à Blois sur ordre d'Henri III...

    L'aventure des Guises ne s'acheva pas sur ce fameux épisode ni sur l'avènement de leur nièce et cousine Marie Stuart au trône d'Ecosse puis de France. Si elle demeure surtout liée au principaux événements du XVIe siècle, on ignore souvent qu'elle se poursuit avec ceux que leurs contemporains nommèrent "les petits Guises" : Charles, amiral du Levant, héros du siège de La Rochelle ; Henri II, impliqué dans plusieurs complots contre Mazarin et proclamé roi de Naples ; Marie, tante et tutrice des deux derniers, mécène du compositeur Marc-Antoine Charpentier. Autour du rameau principal, gravitèrent encore d'innombrables rejetons : les cardinaux Jean et Charles de Lorraine qui jouèrent un rôle politique considérable à la Cour de France, particulièrement dans la lutte contre les réformés.

    Ainsi, les Guises, restent omniprésents dans l'histoire de France pendant deux siècles. Et lorsque le dernier représentant des Guises en France, Charles-Eugène, prince de Lambesc, expatrié à Vienne, disparaît en 1825, l'impératrice Marie-Thérèse de Habsbourg-Lorraine s'exclamera : "Voici cette antique et glorieuse Maison de Lorraine à jamais éteinte !".

     

    ‡ Les Guise, Henri Pigaillem, éditions Pygmalion, 2012, 517 p., ill. (24,90 €).

  • Cathédrale de Nancy - 24 mars 2012 : Marie-Christine Barrault dit l'Annonciation

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  • Le livre d'orgue du Toulois Jean-Baptiste Nôtre (1732-1807)

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    [Est Républican]

  • Papa, prisonnier de guerre 1939-1945

    papa-prisonnier-de-guerre-une-famille-dans-la-tourmente-1939-1945.jpgPartez à la découverte de lʼhistoire dʼune famille dans la tourmente de la deuxième guerre mondiale. L'épisode des prisonniers de guerre du conflit 39-45 nʼa pas lʼintensité dramatique des mémoires de poilus dans les tranchées ou des survivants des camps de la mort, mais il témoigne pourtant dʼun passé commun à nombre de foyers français. Et vosgiens !

    Daniel Maurice publie un ouvrage inédit sur la correspondance échangée entre Henri, son père détenu en stalag durant la Seconde Guerre mondiale, et son épouse Madeleine, habitant Saulxures-sur-Moselotte avec ses deux enfants. L'ouvrage s'appuie sur les lettres que se sont envoyées les époux entre la France et l'Allemagne et les diaires intimes, exhumés récemment, qu'ils ont tenus chacun de leur côté pour témoigner de leur vécu en l'absence de l'autre.

    Le livre est complété par des clichés, des anecdotes et des souvenirs qui viennent renforcer la qualité et la profondeur de cette chronique quotidienne. Ces documents familiaux permettent de pénétrer dans le secret de la vie du prisonnier et le quotidien de la vie de sa femme et de ses enfants dans les Vosges occupées. C'est la guerre vue autrement qu'avec l'oeil de l'historien ou du militaire. Les difficultés matérielles de la vie au stalag ou dans la France occupée côtoient le travail incroyable de la jeune mère de famille et les souffrances morales de la séparation...

    L'ouvrage a valeur d'exemple pour les enfants d'anciens PG mais aussi pour toute la jeune génération qui découvrira avec intérêt - et sûrement étonnement - la vie de Français séparés par la guerre.

     

    ‡ Papa, prisonnier de guerre. Une famille dans la tourmente 1939-1945, Daniel Maurice, éditions Edhisto, 2011, 352 p., ill. (21 €).

  • 12-13 mai 2012 : 34ème pèlerinage Domremy-Vaucouleurs

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    34ème pèlerinage de Domremy à Vaucouleurs...

    600ème anniversaire de la naissance de Jehanne la Bonne Lorraine...

    "Tous les ans, aux environs du 13 mai a lieu le pèlerinage de Domremy (Vosges) à Vaucouleurs (Meuse) dans les pas de la Sainte de la Patrie. Cette marche de 22 km rappelle le tout premier départ de Jeanne d'Arc lorsqu'elle a été trouver le Sire de Baudricourt pour lui faire part de sa mission. Cela eut lieu en 1428 vers le moment de l'Ascension qui tombait cette année-là le 13 mai. Cette commémoration est importante dans sa signification, car sans Baudricourt et sans Vaucouleurs, la mission de Jeanne était impossible. Donc cette année encore, après la veillée du samedi à la chapelle de Notre-Dame de Beauregard, hauteur qui domine le pays de Domremy, le groupe partira dans le petit matin depuis la maison natale de Jeanne vers la porte de France à Vaucouleurs.

    Passant par les villages et sites pittoresques de cette région, faisant étape à Notre-Dame de Bermont où Jeanne aimait venir prier tous les samedis, la colonne des marcheurs lancera ses chants joyeux dans le ciel... Ave Maria ; Nous voulons Dieu ; Parle, commande, règne ; Catholique et Français toujours !, Reine de France ; Sainte Jeanne de Domremy, etc. Après l'ermitage de Bermont situé dans une clairière, voilà Goussaincourt puis Montbras où l'on s'arrête un temps devant la magnifique façade Renaissance de l'imposant château, Taillancourt et, enfin, Champougny, l'étape attendue à mi-chemin. La messe a lieu à midi dans une curieuse église fortifiée du XIIe siècle. Le repas tiré des sacs sera pris à l'ombre d'énormes châtaigniers et proches de la petite chapelle très bien entretenue qui renferme de belles statues rustiques.

    A quatorze heures, nouveau départ en chantant le chapelet, des méditations sont proposées au pied des calvaires par les responsables des différents groupes participants à ce pèlerinage.

    Voici Chalaines, puis l'on passe le pont sur la Meuse pour entrer dans Vaucouleurs en chantant haut "Nous voulons Dieu, c'est notre Père ; nous voulons Dieu, c'est notre Roi...".

    L'arrivée a lieu à la porte de France, dominant la célèbre "vallée des couleurs". C'est ici même que Jeanne d'Arc commença sa mission qui devait la conduire à Orléans, puis à Reims pour le couronnement du roi et se terminer de façon tragique pour la raison humaine, sur le bûcher de Rouen."

    Jean-Marie Cuny, organisateur du pèlerinage annuel Domremy-Vaucouleurs

     

    ‡ Contact et renseignements : Association Pèlerins de Lorraine, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE - Tél. : 03.83.20.67.22 (J.-M. Cuny).

  • "Hommage à Jeanne d'Arc" en souscription

    lorraine,jeanne d'arc,hommage,jerome arnauld des lions,mgr ailletLe livre Hommage à Jeanne d'Arc de Jérôme Arnauld des Lions, édité pour le 6ème Centenaire de la naissance de notre héroïne nationale et lorraine, est un hommage poétique composé de quarante textes introduits chacun par une présentation historique.

    Il retrace toute l'épopée de Jehanne, de sa naissance à sa réhabilitation, illustrée par une iconographie riche et variée puisée au meilleures sources.

    De la modeste enfance de Domremy à la patronne secondaire de la France, suivez ce parcours unique, bercé par le rythme doux de la poésie.

    L'ouvrage est préfacé par Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne.

    L'auteur, Jérôme Arnauld des Lions, est militaire, colonel-vétérinaire à Fontainebleau.

     

    ‡ Accédez au bon de souscription de l'ouvrage Hommage à Jeanne d'Arc ici souscription_hommage Jeanne d'Arc.pdf

    ‡ Hommage à Jeanne d'Arc, Jérôme Arnauld des Lions, éditions de Sermaise, 2012, format 210 x 240, 104 pages, 170 gr., 50 pages d'illustrations, couverture carton reliée quadricollée, pelliculé mat.

    ‡ Commande et règlement (24 € jusqu'au 31 mars 2012 + 7 € de port) à envoyer à : Editions de Sermaise, BP 14, 77590 BOIS-LE-ROI.

     

  • Correspondance de Valentin Jamerey-Duval, bibliothécaire des ducs de Lorraine

    lorraine,duc,jamerey duval,correspondance,andré courbetJeune paysan originaire d'un village aux confins de la Champagne et de la Bourgogne, aujourd'hui dans l'Yonne, Valentin Jamerey devient une célébrité au XVIIIe siècle. D'extraction fort modeste, après avoir été serviteur de quelques religieux lorrains, il devient bibliothécaire des ducs de Lorraine, puis directeur du Cabinet impérial des monnaies à Vienne lorsqu'il suivit, en 1737, le duc François III partit prendre pour épouse l'héritière des Habsbourg, Marie-Thérèse d'Autriche.

    La quarantaine passée, Jamerey-Duval est célèbre au-delà du cercle lorrain, après deux rencontres décisives à la Cour de Lunéville, durant la régence de la duchesse douairière Elisabeth-Charlotte d'Orléans, mère du duc François III. En mai-juin 1731, il fait la connaissance de Johann-George Keyssler, un voyageur d'origine bavaroise qui publie en 1740 un récit de sa vie. Il rencontre également à Lunéville, Voltaire, venu se réfugier en 1735 à la Cour de Lorraine. Madame Du Châtelet connaissait et appréciait Jamerey-Duval.

    Les Mémoires de Valentin Jamerey-Duval, récemment rééditées, ont beaucoup contribué à sa célébrité de son vivant : il devient l'incarnation du philosophe autodidacte. Et démontre, par son exemple, que même une personne d'extraction populaire peut atteindre les sphères du pouvoir à force de travail et d'obstination. Tout en restant humble et modeste sur son parcours intellectuel et humain !

    La correspondance de Jamerey-Duval bénéficie d'une annotation précise et soignée de l'auteur, qui la restitue exactement dans le contexte historique de la Lorraine de la première moitié du XVIIIe siècle.

    André Courbet, historien et érudit, collaborateur au Pays Lorrain, a consacré de nombreux travaux à l'histoire de la Lorraine.

     

    ‡ Correspondance de Valentin Jamerey-Duval, bibliothécaire des ducs de Lorraine. Tome 1 - 4 novembre 1722-21 décembre 1745, André Courbet, éditions Honoré Champion, 2011, 652 p., ill. (150 €).

  • A Bleurville, au coin de la cheminée vosgienne...

    lorraine,vosges,bleurville,cheminée,grès,vosgien,sebeler,tf1,13 heures,jean pierre pernautLes équipes du 13 Heures de Jean-Pierre Pernaut ont posé récemment leurs caméras et leurs micros à Bleurville. Le temps de se caler au coin du feu d'une cheminée vosgienne... et de faire la visite de la dernière exploitation de carrières de grès des Vosges : la société Sebeler à Bleurville.

    Bon, il y a les inévitables "clichés" sur les Vosges (c'est normal, les Vosges vues de Paris c'est le bout du monde !), le froid, la forêt omniprésente... mais vous découvrirez surtout, dans ce mini reportage, le savoir-faire de cette entreprise innovante, installée en milieu rural. Et qui fait la réputation de nos Vosges... et de Bleurville !

    [cliché : ©Musée Lorrain, Nancy]

     

    Découvrez le reportage de TF1 ici : http://videos.tf1.fr/jt-13h/au-coin-de-la-cheminee-en-gres-dans-les-vosges-6967007.html

  • Le général Bigeard aux Invalides en septembre ?

    general_bigeard.jpgLe  général  Bigeard  ira-t-il  aux  Invalides ? C'est ce qui était annoncé ; mais le 5 février dernier, dans l'émission  Internationales  sur  TV5 Monde, le ministre de la Défense, Gérard Longuet, a annoncé un report du transfert  du  corps  du général.

    Gérard Longuet a suggéré que le transfert aux Invalides pourrait intervenir fin septembre, pourquoi pas le jour de la Saint Michel, patron des paras.

  • Vers la création d'une association des Amis d'Alfred Renaudin

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    Alfred Renaudin (1866-1944), peintre lorrain.

     

    L'assemblée générale constitutive de l'association des Amis d'Alfred Renaudin aura lieu le samedi 17 mars 212 à 14h30 à la salle des fête de Val-et-Châtillon (Meurthe-et-Moselle)

     

    ‡ Consultez l'invitation ici Asso_Amis_Alfred_Renaudin.pdf

    ‡ Plus d'information et contact : bena_olivier@yahoo.fr

  • "La paille et l'osier", nouveau roman de Michel Caffier

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    [La Semaine de Nancy]

  • Poursuivre le développement du Pays des Trois Provinces

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    [Vosges Matin]

  • Quand Metz reçoit la France

    lorraine,moselle,metz,monarchie,empire,républiqueAu cours de sa longue et riche histoire, Metz a reçu un nombre impressionnant de souverains et de chefs d'Etat, et peu de villes peuvent se targuer d'en avoir vu passer ou séjourner autant. Capitale du royaume d'Austrasie chère aux mérovingiens et aux carolingiens qui y fixèrent leur nécropole, ville libre d'Empire, république patricienne fière de ses libertés, puis cité française gardienne de la frontière depuis 1552, deux fois annexée avant de retrouver la France et de s'insérer dans une Europe unie, Metz a reçu dans ses murs rois, empereurs et, depuis 1918, presque tous les présidents de la République jusqu'à nos jours. Un roi - Louis XV - faillit y mourir en 1744, un empereur - Napoléon III - en partit malade et presque déjà vaincu en 1870, un président de la République - Charles de Gaulle - y fut soldat avant d'y revenir à trois reprise comme chef d'Etat.

    Depuis que Metz est française, existe entre elle et la France une relation privilégiée, qui a permis aux Messins d'affirmer constamment leur attachement et leur loyauté envers la monarchie, l'empire et la république, un attachement qui connaît son point d'orgue en 1918. C'est l'histoire de cette relation particulière que relate, à la lumière de nombreuses sources, l'ouvrage de Pierre Brasme. Un livre d'histoire messine qui, au-delà du simple récit des visites officielles, tente de les situer et de les expliquer dans un contexte parfois complexe, mais avec le souci constant d'offrir au lecteur une connaissance renouvelée et originale de l'histoire de Metz.

     

    ‡ Quand Metz reçoit la France. Souverains et chefs d'Etat français dans la cité messine, Pierre Brasme, éditions des Paraiges, 2011, 347 p., ill. (25 €).

  • Bleurville (Vosges) : concours de belote le 11 mars avec le Comité des fêtes

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    [Vosges Matin]

  • Scy-Chazelles (57) : un label pour la Maison de Robert Schuman

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    [La Semaine de Nancy]

  • Pour soutenir les Europa-Scouts nancéiens

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    Guides et scouts de la IIe Nancy Bienheureuse Alix Le Clerc et Bienheureux Charles de Foucauld [archives © H&PB]

     

    Les unités Europa-Scoutes de Nancy seront présentes en l'église Saint-Pierre de Nancy pour la messe du dimanche 4 mars à 9h30.

    Les guides de la IIe Nancy vous proposeront une vente de gâteaux à l’issue de la messe pour financer leurs activités.

    Réservez-leur le meilleur accueil !

  • Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie

    lorraine,austrasie,mérovingiens,carolingiens,dagobert,sigisbert,chrodegang,brunehaut,metzLa toute jeune maison d'édition messine les Éditions des Paraiges propose la réédition de l'ouvrage de l'historien lorrain Alexandre Huguenin paru voici 150 ans, en 1862.

    L'austrasie résonne encore aujourd'hui dans l'imaginaire lorrain. L'éclat de ce royaume (511-741) illumine toujours son ancienne capitale, Metz, qui conserve de cette époque glorieuse le souvenir de la cour royale, la fameuse "Cour d'Or", qui désigne aujourd'hui le musée d'art et d'histoire de la ville.

    Cette Cour d'Or, chantée par le poète Venance Fortunat, vit passer des personnages remarquables, tels que le roi Dagobert, les saints évêques de Metz Arnoul et Chrodegang, sans oublier la rivalité sanglante entre les reines Brunehaut et Frédégonde, à peine éclipsée par la sainteté d'un Sigisbert qui voulut faire de son abbaye du Ban Saint-Martin le lieu d'une sépulture royale.

    Berçeau de la dynastie carolingienne, l'Austrasie disparaît devant l'ascension des maires du palais incarnée par Pépin le Bref déposant le dernier roi mérovingien.

    Un siècle et demi après sa parution, cette Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie, première synthèse sur le sujet, fait toujours autorité. Publié à l'occasion du XVe centenaire de l'Austrasie (511-2011), cette nouvelle édition a intégré les dernières recherches de la science historique sur le sujet.

     

    ‡ Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie, Alexandre Huguenin, éditions des Paraiges, 2011, 365 p., cartes (23 €).

  • Des timbres pour valoriser la Lorraine

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    [La Semaine de Nancy]

  • De cloches en cloches, du Pays messin à Thionville et à la Nied

    cloches.jpgDans cet ouvrage abondamment illustré, l'auteur nous invite à la découverte du patrimoine campanaire du Pays messin et du Thionvillois, patrimoine méconnu - sauf de quelques spécialistes -, mais pourtant omniprésent dans notre quotidien.

    L'inventaire dressé couvre plus d'un millier de cloches réparties dans près de 370 édifices cultuels, clochers d'églises et de temples, mais aussi de bâtiments civils, écoles et mairies. Des descriptifs techniques complètes utilement les notices sur chaque cloche, de la plus ancienne, datant de 1398, installée à la cathédrale Saint-Etienne de Metz, à celle de la chapelle de Morlange, coulée en septembre 2009.

    Un ouvrage indispensable pour comprendre les voix mystérieuses des clochers qui rythment la vie des villes et villages en Pays messin. De la naissance à la mort, les voix des cloches accompagnent le croyant en terre chrétienne.

    Des trésors habitent les clochers mosellans : vénérables ancêtres ou jeunes modernes, elles ont traversé le temps, résisté aux révolutions et aux guerres. Hommage enfin aux saintiers et artisans campanaires, hommes de traditions qui ont fait naître ces sympathiques résidentes de nos clochers.

    Enfin, un index recense toutes les cloches des églises visitées avec, pour chacunes d'elles, le nom du fondeur.

     

    ‡ De cloches en cloches. Du Pays messin à Thionville et à la Nied, Jean-Paul Philips, éditions des Paraiges, 2011, 290 p., ill. (42 €).

  • Une messe pour Zita, dernière impératrice d'Autriche et reine de Hongrie

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    L'association pour la béatification de l'impératrice Zita fait célébrer une messe le 3 mars en l'église Sainte-Elisabeth de Hongrie à Paris (3ème arrond.) à la mémoire de Zita de Bourbon-Parme, épouse de Charles Ier de Habsbourg-Lorraine.

    ‡ Plus d'info's ici : Invitation_Messe Zita_3 mars 2012.pdf

  • Les éditions des Paraiges, le dernier-né des éditeurs lorrains

    Fondées en mars 2011 et basées à Metz, les « Éditions des Paraiges » ambitionnent une envergure régionale avec la publication d’ouvrages locaux consacrés aux domaines historique et patrimonial ou à la littérature. A sa tête, Sébastien Wagner, historien de formation, concrétise un projet longuement pensé depuis une décennie alors que l'activité commerciale du secteur s'avère assez risquée pour une petite structure. A l’ère du numérique, le jeune homme sort son épingle du jeu.

     

    paraiges.jpgDe nos jours, l’ambition ou les moyens financiers ne suffisent plus pour fonder sa propre maison d’édition, a fortiori régionale. Pour se lancer dans l’aventure, il faut ajouter une bonne dose de passion et un réel esprit de sacerdoce. Il n’y a qu’à constater les difficultés rencontrées par les éditeurs voire pour certains d’entre eux la disparition totale de leur activité.Car l’industrie du livre évolue dans un contexte économique morose, et le marché de la culture se porte assez mal depuis quelques années. Pourtant en mars dernier Sébastien Wagner a décidé de fonder les « Éditions des Paraiges ». « La position de monopole de certains éditeurs n’est pas bonne. Il faut diversifier l’offre et l’enrichir », explique l’intéressé qui précise que, si l’édition se trouve avec l'émergence du numérique à un tournant de son histoire, le livre n’a rien à craindre de la nouvelle technologie. « Quelqu’un qui aime la matière du support-papier, ne le délaissera pas pour un iPod », renchérit l'éditeur.

     

    Il faudra dix années pour que le projet mûrisse dans la tête de Sébastien Wagner, durant lesquelles il accumulera de l’expérience professionnelle. En l’an 2000, il travaille sur des productions messines pour les « Éditions Économica » situées à Paris. Puis en 2009, le jeune historien de formation publie « Le Dictionnaire historique des rues de Metz ». Pourtant, ce ne sera qu'en 2010 que surviendra le déclic, l’étincelle qui mettra le feu aux poudres. « Je me suis rendu compte que les ouvrages de référence en histoire locale n’existaient pas », déclare le jeune patron. Il se saisit alors d'un livre posé sur la table basse. « Vous en avez déjà vu d'aussi volumineux, 360 pages, édités par une maison régionale ? », demande-t-il en manipulant le premier ouvrage de son catalogue, « Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie » d’Alexandre Huguenin. « Nous sommes les premiers à le proposer. Comme les attentes des lecteurs ou des auteurs n’étaient pas comblées dans notre région, j’ai voulu créer quelque chose qui n’existait pas encore. »

    « Je souhaite en littérature aborder l’aspect contemporain,
    et mettre en valeur le patrimoine lorrain avec l’Histoire »

     

    Doté d'un statut d’auto-entrepreneur, afin de limiter les frais, et fort d'un capital d’environ 5 000 euros, Sébastien Wagner a l’ambition d’imprimer six ouvrages d'ici la fin de l'année et pratiquement une dizaine pour 2012. D'ores et déjà disponibles auprès des libraires lorrains, l'ouvrage historique sus-cité « Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie » d’Alexandre Huguenin, et un polard d’Alain Thon « Mort suspecte d'un franc-maçon », édités chacun à 700 exemplaires et presque épuisés à ce jour. La jeune société s'est donné trois axes d'édition bien précis, l’histoire, le patrimoine et la littérature. Mais également la réédition d’auteurs locaux tombés dans l’oubli. « Je souhaite en littérature aborder l’aspect contemporain et mettre en valeur le patrimoine lorrain avec l’histoire », affirme Sébastien Wagner qui s'est aperçu grâce à son métier, consultant auprès du musée de Gravelotte, que les Lorrains ne connaissaient pas vraiment leur passé.

     

    Aucun doute, Sébastien Wagner affectionne tout autant la littérature que l’histoire. Alors, lorsqu’il a la possibilité de nommer sa maison d’édition en faisant référence aux six grandes familles qui dirigeaient la ville de Metz, et formaient une oligarchie urbaine du Moyen Âge jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, il s’en donne à cœur joie. C'est ainsi que naissent les « Éditions des Paraiges ». Le contenu, l’esthétique et la mise en page des ouvrages revêtent pour ce jeune entrepreneur une importance particulière. De la réception des tapuscrits à la rencontre des auteurs, de la relecture à la conception des ouvrages, de l’impression à la distribution des livres, rien ne lui échappe. « Dans les structures locales, le directeur d’édition est multi-casquettes. Il doit maîtriser l’intégralité de la chaîne du livre », signale-t-il, avant de préciser : « A Paris, il y a un poste par personne, et le contact avec les auteurs n’est pas le même, c’est regrettable. » Le temps est précieux et le jeune homme n’ignore pas que son travail sera jugé sur la qualité et le nombre d’ouvrages figurant à son catalogue. Ainsi, il annonce déjà la prochaine parution d’un livre sur la visite des chefs d’État français à Metz, et d’un roman historique sur le siège de Metz en 1552. 

     

    Si la passion et l’envie de proposer des ouvrages de qualité sur des thématiques bien précises donnent des ailes et de l’ambition à Sébastien Wagner, celui-ci n’est pas pour autant dépourvu de réflexion, reconnaissant que le secteur du livre vit une période de lourdes difficultés économiques. Aussi édite-t-il de petites quantités sous la barre des 1 000 exemplaires, et il lance régulièrement des souscriptions avant la mise sous presse de certains de ces titres. Seuls les lecteurs et l’avenir donneront raison ou non au projet de ce jeune entrepreneur qui n’aura pas eu froid aux yeux. Et nous savons tous qu’il faut, surtout en ce moment,  un courage sans faille pour se lancer.

     

    [source : www.laplumeculturelle.com]

     

     

    ‡ Renseignements et catalogue : www.editions-des-paraiges.eu

  • Marie-Thérèse de France, l'orpheline du Temple

    marie therese.gifMarie-Thérèse Charlotte de France (1778-1851), la fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette, demeure un personnage mal connu. Souvent cité sous le surnom de "Madame Royale", voire de "Mousseline", le petit nom donné par sa mère Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine, elle était plutôt, pour ses contemporains, "l'orpheline du Temple", le lieu d'emprisonnement de la famille royale après la chute de la monarchie en 1792.

    Marie-Thérèse est la seule de la famille à en sortir vivante, en 1795. Elle sort de cette épreuve meurtrie à jamais, mais auréolée d'une légitimité dynastique et politique hors norme pour une princesse française, exclue du trône par la loi salique. Elle devient, parce qu'elle a partagé les souffrances de ses parents considérés comme des martyrs par les légitimistes, une héroïne romanesque et un objet du culte pour l'ensemble des partisans de la royauté.

    De la même façon, son oncle Louis XVIII, qu'elle rejoint en exil et qui remonte sur le trône de France en 1814, fait d'elle le coeur de l'idéologie royale de la Restauration. Fille de France, dauphine de France par son mariage avec son cousin germain le duc d'Angoulème, elle défend tout au long de sa vie, avec intransigeance, ses conceptions d'une monarchie traditionnelle ancrée dans la chrétienté. Aux yeux des royalistes, elle en est arrivée à incarner, jusqu'à sa mort en Autriche en 1851, la royauté française à son crépuscule. Napoléon saluera en elle "le seul homme de la famille" et Chateaubriand dira d'elle qu'elle est "une des grandeurs de la France".

    Pour les Lorrains, Marie-Thérèse de France incarne aussi la descendance de la Maison de Habsbourg-Lorraine, puisque dans ses veines coule le sang du dernier duc héréditaire de Lorraine, François III, devenu l'empereur François Ier, père de Marie-Antoinette et grand-père de Marie-Thérèse. Et ne porte d'ailleurs t-elle pas les prénoms de sa grand-mère, Marie-Thérèse d'Autriche ?

    L'auteur, Hélène Becquet, ancienne élève de l'Ecole nationale des Chartes, est maître de conférence à l'IEP Sciences-Po Paris.

     

    ‡ Marie-Thérèse de France. L'orpheline du Temple, Hélène Becquet, éditions Perrin, 2012, 414 p. (24 €).

  • La foire aux andouilles du Val d'Ajol : une tradition à préserver

    andouille.jpg« Je fais toujours l’andouille devant le public. C’est mon métier. Mais le faire avec une andouille entre les mains et surtout devant cette salle des fêtes où je me suis produit à plusieurs reprises, c’est bien la première fois. » Intronisé, hier midi lors de la 47 e édition de la célèbre fête ajolaise, troubadour enchanteur-dépendeur honoris causa, Claude Vanony n’a pas perdu une once de son célèbre humour. Il était chez lui au Val d’Ajol comme dans toutes les communes vosgiennes où il s’est un jour arrêté. « Je suis un amuseur. J’ai quand même un métier fantastique : celui de faire rire les gens. »

    Au moment de la prestation de serment, ses fans applaudissent, puis veulent poser pour une petite photo souvenir ou dédicacer un billet de l’Olympia où l’homme s’est produit il y a quelques semaines. Les visiteurs de cette foire ajolaise apprécient. Comme une vieille habitude.

    Claude Vanony savoure. A l’image de ces petits toasts proposés par trois jeunes ajolaises Lorine, Marie et Cloé. « Je l'ai dégusté souvent en casse-croûte. Il n’y a pas de moment particulier. Mais ce que je préfère, c’est la manger chaud avec des pommes de terre. C’est vraiment excellent ! ». Le comique vosgien ne compte plus les intronisations auxquelles il a participé. « L’une des premières, c’était à Rambervillers lors de la foire à la tête de veau », se souvient-il.

    Ce mets ou plutôt ces spécialités lui ressemblent, lui l’homme attaché au terroir vosgien, à ces terres qui l’ont vu naître voici 76 ans. « Cette fête comme les autres organisées partout dans les Vosges fait partie de notre identité et de nos traditions. On doit tout faire pour la préserver. C’est un folklore à préserver. »

    Heureux tout simplement d’être ce représentant vosgien dans la vie de tous les jours et sur scène. « Ce type de manifestation permet d’expliquer aux Parisiens que l’on sait bien vivre dans les Vosges et faire la fête comme il se doit », évoque-t-il encore sur le ton de l’humour.

    Comme un contre-pied à la caricature de la Déodatie proposée par l’humoriste parisien Laurent Gerra il y a quelques semaines sur l’antenne d’une radio nationale. D’où la proposition de Claude Vanony : « Je connais Laurent. Alors pourquoi ne pas l’introniser l’an prochain afin de lui montrer une partie de nos traditions. Ce serait une belle idée. » Celle-ci pourrait faire son bonhomme de chemin. « Mais attention, ici, les intronisés ne sont pas rémunérés. Ils viennent juste pour le plaisir. Il n’y a pas de star, juste les andouilles », prévient en souriant Jacques Racadot, grand dépendeur de la Confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux.

    [d'après Vosges Matin]

  • Le saint lorrain du mois : saint Gundelbert

    St_Gondelbert.jpgSaint Gundelbert fut évêque de Sens (Yonne). Après la mort de Clovis II (+657), il quitta son siége, vint au diocèse de Toul et s’y retira en un lieu fort désert, situé vers la source de la rivière de Meurthe.

    A cet endroit, secondé par les libéralités de Childéric II (+675), il bâtit une abbaye qu’il nomma Senones, du nom de la cité dont il avait été évêque et qui se dit en latin Senonœ (Sens).

    La tradition veut que, dans la suite, il ait quitté cette abbaye pour se retirer à Moyenvic (Moselle), près du tombeau des saints Pient, Agent et Colombe, où il mourut et où l’on pense qu’il est inhumé.

    L'Eglise le fête au calendrier liturgique en ce 21 février.

    [source : www.introibo.fr]

  • Nancy, 29 février : Conférence "Crise financière, crise économique, crise politique, crise morale"

    L'association Histoire & Culture nous prie d'insérer l'information suivante :

     

    L’Association Histoire & Culture

    vous invite

    à la conférence-débat

    avec

    Hilaire de Cremiers

    Directeur de Politique magazine, de La Nouvelle Revue Universelle,

    délégué général de La Restauration Nationale

    * * *

    « Crise financière, crise économique,

    crise politique, crise morale »

     

    Mercredi 29 février 2012

    Brasserie « Les Deux Palmiers »

    64 rue Stanislas à Nancy 

    19 h 00 : accueil

    19 h 45 : conférence

    21 h 00 : débat avec le conférencier autour d’un buffet froid. 

    * * *

    Participation aux frais : 12 € par personne hors boissons. 5 € pour étudiants.