Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Notre patrimoine - Page 46

  • L'Echo des 3 Provinces d'automne : le Parc naturel régional en phase d'étude

    echo 166.jpgLe numéro automnal du magazine des habitants du Pays des Trois Provinces, L'Echo des 3 Provinces, propose comme à son habitude un petit voyage aux confins de la Lorraine, de la Franche-Comté et de la Champagne.

    Au sommaire de ce numéro :

    - l'anniversaire de la borne des 3 Provinces

    - l'église Saint-Martin de Frain (88)

    - la bourrache

    - les livres

    - les visites de l'été au Pays des Trois Provinces

    - le projet de Parc naturel régional entre en phase d'étude

    - histoire de la cuisine : les poires

    - conte du Pays des Trois Provinces : les amours contrariées de Juminella

    - la maison des heureux jours

    - le chasseur de La Mothe

    - la vie des associations locales

    - les animations d'octobre-novembre

     

    L'Echo des 3 Provinces est disponible sur abonnement. Contact : evelyne.relion@orange.fr 

  • Labry 1914-1918 : la vie quotidienne d'un village de Lorraine sous l'occupation allemande

    LABRY.jpgSitué à mi-distance de Metz et de Verdun, Labry a subi au cours de la Première Guerre mondiale une occupation continue des troupes allemandes. Envahi dès le 6 août 1914, trois jours après la déclaration de guerre,  ce village mosellan ne sera libéré que le 17 novembre 1918, au terme de 1561 jours d'occupation.

    Le livre évoque un pan méconnu de l'histoire de la Grande Guerre. Le sort de Labry est emblématique de tous ces villages situés entre le front et la frontière. Totalement coupés du reste du pays, bombardés par les alliés, impuissants face au drame qui se déroulait à quelques kilomètres de là sur les hauteurs de Verdun, les habitants ont vécu pendant quatre ans une situation absolument schizophrénique. Les femmes, restées seules au village, ont joué dans ce conflit un rôle essentiel. Une large place leur est consacrée dans cette monographie fouillée qui vient compléter le premier ouvrage de l'auteur, Labry - Histoire d'un village de la vallée de l'Orne des origines à 1914, édité en 1998.

     

    ‡ Labry 1914-1918. La vie quotidienne d'un village de Lorraine sous l'occupation allemande, Eric Gangloff, éditions Serpenoise, 2013, 159 p., ill. (20 €).

  • Amalric Walter, maître de la pâte de verre

    Amalric-Walter.jpgArtiste talentueux mais trop modeste, Amalric Walter (1870-1959) est mort dans l'indifférence et a été totalement oublié par les biographes qui se sont surtout intéressés aux "grands" de l'Art nouveau et de l'Ecole de Nancy. Amalric Walter a pourtant porté l'art de la pâte de verre au plus haut niveau et contribué au renom de l'Ecole de Nancy dans le monde.

    Loin de n'être qu'un simple technicien talentueux comme certains l'ont affirmé, Amalric Walter a toujours été un concepteur, maîtrisant successivement l'idée, le dessin, le modelage, l'harmonie des couleurs et les finitions. Aucun verrier de l'Ecole de Nancy n'a maîtrisé comme lui l'ensemble du processus créatif, de la conception à l'objet fini.

    Son inspiration, nourrie de la nature et de la féminité, a donné naissance à des oeuvres d'une douceur exquise ou au contraire à des oeuvres plus contrastées. Collaborateur des frères Daum à Nancy, il est imprégné par l'Art nouveau et a ensuite adopté l'Art déco, oscillant parfois entre les deux styles.

    L'ouvrage est aussi un remarquable catalogue des oeuvres inédites de Walter.

     

    ‡ Amalric Walter, maître de la pâte de verre, François Le Tacon et Jean Hurstel, éditions Serpenoise, 2013, 150 p., ill. (30 €).

  • "Saint Jérôme & Georges de La Tour" : expo' à Vic-sur-Seille (57)

    musee vic.jpg

  • Bleurville (88) : vol de reliques à l'église paroissiale

    C'est lors d'une de ses visites régulières à l'église paroissiale, ce samedi 5 octobre 2013, qu'un paroissien a constaté la disparition de reliques déposées sur l'autel de la chapelle Saint-Maur de l'église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens de Bleurville.

    Bleurville reliquaires.jpgQuatre reliquaires en bois sont exposés sur l'autel de Saint-Maur. Ils contiennent quelques fragments d'os provenant des corps de deux martyrs comtois du VIIIe siècle, Bathaire et Attalein. Ces ossements appartiennent aux saints patrons du monastère bénédictin de Bleurville. Ils furent déposés dans la basilique de Saint-Nicolas-de-Port lors du rattachement de Bleurville au prieuré de Varangéville, et furent miraculeusement épargnés par l'incendie qui détruisit l'édifice en 1635, lors de la funeste guerre de Trente Ans. Rapatriés à Bleurville par les bénédictins du prieuré Saint-Maur, ils furent rassemblés dans une chasse qui sera installée à l'église paroissiale à la Révolution.

    Quelle ne fut pas la surprise de ce fidèle en remarquant que le réceptacle, contenant les saintes reliques, d'un des reliquaires était déposé sur l'autel. En examinant l'objet de plus près, il s'aperçut que les trois fragments d'os appartenant à saint Bathaire avaient disparu, détachés du tissu leur servant d'écrin. Les autres reliquaires n'ont pas fait l'objet de dégradations.

    Ces reliquaires ont été réalisés par l'abbé Jacquot, curé de Bleurville à la fin du XIXe siècle ; les reliques avaient été officiellement reconnues par Mgr Caverot, évêque de Saint-Dié.

    Ce sacrilège a été commis durant les dernières Journées du Patrimoine alors que l'église était ouverte au public, malheureusement sans surveillance.

    Ce vol est symptomatique d'une époque qui a perdu le sens du sacré et, surtout, est ignorante de l'histoire de l'Eglise et de la foi chrétienne. En effet, il n'est pas un jour sans que l'actualité - lorsque la presse grand public veut bien s'en faire l'écho - apporte son lot de dégradations, sacrilèges et blasphèmes commis contre la foi chrétienne et les lieux de culte catholiques.

    [cl. H&PB]

  • La Nouvelle revue lorraine n° 22 : chez Jean-Paul Marchal, imagier vosgien

    NRL22.jpgAvec ce numéro automnal de La Nouvelle revue lorraine, Jean-Marie Cuny nous fait entrer dans l'atelier de l'imagier vosgien Jean-Paul Marchal. Il nous conduit également à Lunéville et nous ouvre les portes du conservatoire de la broderie... et de la plume !

    Comme d'habitude, le numéro recèle encore maints articles qui nous font découvrir la Lorraine sous des aspects étonnants. Au sommaire :

    - la Lorraine et le nationalisme français

    - la vie rustique

    - il y a quarante ans, la réconciliation

    - 13 septembre 1914 : un épisode de la Grande Guerre en Lorraine

    - l'abbaye de Morimond, des cisterciens dans le Bassigny lorrain

    - René Veillon, artiste et fondateur de la Société cotonnière lorraine

    - le médecin-colonel Léon Hauvuy

    - le culte des fontaines

    - le Gaulois de la Grande Guerre

    - le Grand-Couronné

    - Epinal et ses remparts

    ... et les traditionnelles rubriques : les info's lorraines, les livres... et l'édito' du Jean-Marie !

     

    ‡ La Nouvelle revue lorraine, n° 22, octobre-novembre 2013 (7 € le numéro). Disponible en librairie et sur abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (38 €, 6 numéros, chèque à l'ordre de "SEP Helenus") à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

    ‡ Plus d'info' : jmcuny@hotmail.fr 

  • Un atelier de métallurgie du Moyen-Âge découvert à Champigneulles

    De septembre à mi-octobre 2013, des archéologues de l'Inrap mène une fouille sur le site de Bellefontaine, en amont de la construction d'un deuxième réservoir d'eau par la mairie de Champigneulles.

    fouille_inrap.jpgAu cours de cette fouille archéologique, les chercheurs de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives), en collaboration avec deux spécialistes en sidérurgie ancienne du CNRS, étudient les vestiges d'un site de production de fer des XIIIe-XVe siècles, période durant laquelle un bond technologique a révolutionné le secteur.

    Cette découverte est importante, selon l'Inrap, car peu de vestiges d'activité sidérurgique de cette époque ont été étudiés.

    La fouille se situe dans le val Saint-Barthélemy, probablement l'un des premiers sites lorrains où les nouvelles techniques de mécanisation hydraulique et de production de fonte ont été mises en œuvre.

    L'équipe d'archéologues a mis au jour un atelier organisé en deux parties : d'un côté la production de fer et de l'autre la gestion des déchets. Dans cette partie se trouve un crassier, un monticule d'environ trente mètres de long et quinze mètres de larges qui contient les résidus issus de la fabrication du métal.

    Six fours à usage différents ont été identifiés sur le site. Des bas-fourneaux, qui ont servi à la réduction du minerai lorrain, la "minette", afin de le transformer en fer. Ce dernier était retravaillé, avec des passages successifs du foyer de forge au martelage, pour aboutir à un bloc de fer forgeable.

    Aucune trace de production d'outils finis en fer n'a été repérée sur le site pour l'instant.

    [d’après France 3 Lorraine]

  • Champougny (55) : pèlerinage à Notre-Dame des Affligés

    champougny.jpg

  • Saône Lorraine chez les Ch'tis

     

    saone lorraine_voyage nord.JPGChaque année, à l’automne, Jean-François et Marie-Françoise Michel, les dynamiques animateurs de l’association Saône Lorraine organisent un voyage destiné à faire découvrir aux participants les richesses historiques, artistiques et architecturales d’une région française.

    C’est ainsi que du 23 au 27 septembre, cinquante-cinq adhérents et sympathisants « saône-lorrains » ont participé à un voyage culturel dans le Nord de la France ; excursion qui leur permit de visiter de nombreuses abbayes des Flandres françaises (Saint-Michel en Thiérache, Septfontaines, Vauxcelles) ainsi que d’intéressants châteaux (Rametz, Gussignies, Westcapel, Liessies).

    Un après-midi fut consacré à la visite des vestiges antiques de Bavay, cité qui eut un rôle économique et stratégique durant le Haut-Empire attestée par les ruines spectaculaires du plus imposant forum de la Gaule (près de trois hectares), et un autre à celle du port de Dunkerque, suivie d’une réception sur le trois-mâts « Duchesse Anne », navire confisqué à l’Allemagne au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

    [cliché ©J.-F. Michel : Les participants sur les marches du château de Gussignies]

  • Les églises fortifiées de la Meuse

    meuse.jpg

    Les éditions Citedis publient, en coédition avec le Conseil régional de Lorraine et le Conseil général de la Meuse, une nouvelle édition augmentée de l'ouvrage paru en 1993 sur les églises fortifiées de la Meuse.

    Les églises fortifiées du département les plus significatives - plus d'une centaine d'édifices subsiste encore - sont présentées avec, en outre, un état critique des sources et l'inventaire le plus complet de ce patrimoine singulier de ce territoire lorrain.

    ‡ Les églises fortifiées de la Meuse, Philippe Pagnotta, conservateur en chef du Patrimoine, 144 p., nombreuses illustrations (27,44 € port inclus) à commander à : EDITIONS CITEDIS, 15 rue Poirier-de-Narçay, 75014 PARIS (joindre votre règlement à l'ordre de ACTIV'SECRETARIAT).

  • Grand (88) : le conseil scientifique du site archéologique s'est réuni

    grand_0001.jpg

    [L'Abeille]

  • Des projets chez les Amis de l'abbaye de Saint-Sauveur

    st sauveur.jpg

    [ER]

  • « La vocation de Jeanne » inaugurée à l’ermitage Notre-Dame de Bermont

    Dimanche 29 septembre, solennité de saint Michel. Cet archange, chef de la Milice céleste, fut le conseil de Jeanne d’Arc tout au long de son épopée… C’est en ce dimanche que l’association nationale Avec Jeanne a choisi d’inaugurer la sculpture « La vocation de Jeanne » à côté de la chapelle Notre-Dame de Bermont prolongeant ainsi les commémorations du 6e Centenaire de la naissance de Jeanne "la Bonne Lorraine".

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 064.jpgAvant la messe, Alain Bournazel, spécialiste de l’histoire militaire, a présenté brièvement l’histoire de Jeanne d’Arc et les liens spirituels étroits entretenus avec l’ermitage de Bermont, justifiant le choix du lieu pour y installer la sculpture de Boris Lejeune, une oeuvre de près de 3 mètres en bronze. Ensuite, plus de cent cinquante fidèles, donateurs et amis, venus surtout de la région parisienne et de Lorraine, ont assisté en l’église paroissiale Saint-Remi de Domremy à la messe célébrée par l’abbé Guillaume de Tanöuarn, prêtre de l’Institut du Bon Pasteur et directeur du Centre Saint-Paul (Paris), en présence de l’abbé Fourgerolle, prêtre retraité en Haute-Marne. Lors de son homélie, l’abbé de Tanöuarn a insisté sur la geste de Jeanne, « première patriote » de France.

    A 14h30 s’est déroulée l’inauguration officielle puis la bénédiction de la statue de "La vocation de Jeanne". Alain Olivier, président de l’association des Amis de Notre-Dame de Bermont – Sainte Jeanne d’Arc, a accueilli Claude Philippe, conseiller général du canton de Coussey, Gilles Andriot, maire de Greux, Jacques Drapier, ancien député-maire de Neufchâteau, ainsi que plusieurs maires des communes environnantes. Il souligna que l’installation de cette statue à Bermont met un point final à vingt ans de travaux. Le maire de Greux félicita chaleureusement les époux Olivier et tous les bénévoles pour leur formidable engagement dans le sauvetage de Notre-Dame de Bermont.

    lorraine,vosges,domremy,notre dame de bermont,boris lejeune,jeanne d'arc,guillaume de tanouarn,alain olivierTous saluèrent la magnifique sculpture de Boris Lejeune réalisée sur une commande de l’association Avec Jeanne avec le soutien de nombreux souscripteurs privés. Pour Gilles Andriot, « le mouvement donné à Jeanne donne envie de la suivre ». Alain Olivier salue « l’alliance de la tradition et de la modernité ». Quant au sculpteur Boris Lejeune, accompagné du fondeur qui a réalisé l’œuvre dans son atelier en région parisienne, il précise qu’il a voulu faire « une Jeanne en pleine action ».

    Avant de procéder à la bénédiction de la statue, l’abbé de Tanöuarn rappela la symbolique de l’œuvre : elle est orientée vers Reims, lieu du sacre du roi Charles VII, et point d’orgue de la mission johannique ; elle porte sur sa poitrine une croix, celle du Christ, faisant écho aux mots 'Jésus' et 'Marie' imprimés en lettres de bronze sur l’étendard brandi par notre Jeannette. Le prêtre y voit « une statue pour notre temps et de notre temps », « c’est une œuvre pensée qui doit faire école en renouvelant la vision de Jeanne d’Arc ».

    Rappelons que le sculpteur de « La vocation de Jeanne », Boris Lejeune, est né à Kiev en 1947. Il doit son nom français à son ancêtre soldat des armées de Napoléon Ier resté en Russie et y ayant fait souche. En 1974, il achève ses études dans la classe de sculpture à l'Institut des Arts Répine à Leningrad qui succéda à l'Académie Impériale Russe des Beaux-Arts, après la révolution de 1917. Puis, il exécute une série de sculptures monumentales, participe à des expositions dans plusieurs villes de Russie et d'Ukraine et entre à l'Union des Artistes de l'URSS. En 1980, il émigre en France et s'installe à Paris. Ces œuvres sont remarquées par la critique. En 1983, il est primé au concours national « Expressions – Sculptures ». En 1987, il remporte le concours pour l'installation de cinq sculptures monumentales dans les jardins du boulevard Pereire à Paris. Il participe à de nombreuses expositions en France et à l’étranger. En avril 2010, à Vosne-Romanée (Côte d'Or), il installe la belle sculpture de « L'ange au pied de vigne ».

    La cérémonie d’inauguration s’est clôturée par un vin d’honneur servi devant l’ermitage. Chacun a pu admirer l’œuvre et féliciter le maître ainsi que les hôtes du jour, Monsieur et Madame Olivier.

    Quelques images de cette journée...

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 007.jpg

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 009.jpg

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 013.jpg

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 028.jpg

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 037.jpg

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 044.jpg

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 049.jpg

    ND Bermont_bénédiction statue jeanne d'arc_29.09.13 062.jpg

    Boris Lejeune devant son oeuvre.

    [clichés ©H&PB]

  • 41ème édition des Journées d’études meusiennes dans le Nord meusien les 5-6 octobre 2013

    JEM.jpgPour cette 41ème édition, les Journées d’études meusiennes auront lieu conjointement à Stenay et à Montmédy, deux cités des marches occidentales lorraines. De ces villes et de leurs cantons actuels, des tranches d’histoires sont connues mais encore bien des choses restent à défricher ou à relire. L’histoire de cette partie de la Meuse est, à n’en pas douter, fortement liée à l’existence d’une frontière que l’on peut lire et interpréter à travers les âges. Dans les esprits, c’est le passé militaire, ancien et récent, ce sont les conflits, qui surgissent à l’évocation de cette région. Pourtant, la frontière, qui est aussi espace de transferts, se décline en d’autres facettes, économiques, humaines, architecturale. Cette frontière se traduit aussi en paysages à analyser et comprendre.

    A travers communications et visites de terrain, ce sont quelques aspects du passé des villes et villages de la région de Stenay-Montmédy-Marville qui seront évoqués au cours des deux journées proposées.


    Courriel : archives.municipales@stenay.fr 

     

     Samedi 5 octobre 2013 à STENAY 

     

    Samedi matin, 9 h 30 : salon d’honneur de l’Hôtel de Ville de Stenay

     

    v   Accueil par Stéphane PERRIN, maire de Stenay, conseiller général du canton de Stenay

    J    Jacques LE ROUX et Dominique HARMAND

    Entre Stenay et Montmédy : des Côtes et des Causses

    v   Franck MOUROT

    Les sites archéologiques gallo-romains du Nord meusien 

    v   Hervé HUTZINGER

    Attila est-il passé à Stenay et Montmédy ? La Ciuitas Verodunensium dans l'Antiquité tardive

     

    Samedi après-midi, 14 h : salon d’honneur de l’Hôtel de Ville de Stenay

     

    v   Nicolas LEMMER

    Situation et évolution des prévôtés de Stenay et de Marville durant la Renaissance, étude comparative 

    v   Philippe VOLUER

    Les activités économiques à Stenay du XVIIe au XIXe siècle

    v   Laurent JALABERT

    La ville en guerre au XVIIe siècle : se battre et se rendre dans la guerre de siège entre Meuse et Othain 

    v   Jean-Paul STREIFF

    1814-1820, occupation et répression 

    v   Franck MOUROT et Nicolas LEMMER

    Visite guidée de l’exposition « Les arts de la table à la Renaissance » au Musée Européen de la Bière

     

     Dimanche 6 octobre 2013 à MONTMÉDY 

     

    Dimanche matin, 10 h : rendez-vous devant l’église de Marville

     

    v   Annie TOSI et l’association Marville Terres Communes

    Visite guidée de Marville et de plusieurs maisons classées en cours de restauration

     

    Dimanche après-midi, 14 h : salon d’honneur de l’Hôtel de Ville de Montmédy

     

    v  Accueil par Claude LÉONARD, conseiller général du canton de Montmédy, Yves LECRIQUE, maire de Montmédy et Jean-Marie BRADFER, président de la Codecom du Pays de Montmédy 

    v   Jean LANHER

    Le français tel qu’on le « cause » à Montmédy au XXIe siècle

    v   Charles KRAEMER

    Entre évêchés et principautés : morphogenèse et développement urbain de quelques bourgs médiévaux du Nord-Meusien

    v   Hugues MARSAT

    Guerre et religion dans le Nord-Meusien dans la deuxième moitié du XVIe siècle

    v   Michel MAIGRET

    Benoîtons contre Féburiens: épisodes de la vie politique dans l'arrondissement de Montmédy au début du XXe siècle (1910-1914)

    v   Alain CESARINI

    Le massacre de la garnison de Montmédy à Brandeville en août 1914

    v   Laurent JALABERT

    Conclusion

    ENTRÉE LIBRE

  • La Ligne Maginot et ses casernes disparues

    maginot.jpg

  • Nancy : un nouveau Musée Lorrain pour 2020

    État, ville et Région étaient ensemble récemment à Nancy pour lever le voile sur l’esquisse qui a remporté le concours d’architecture concernant la rénovation du musée lorrain.

    musee lorrain.jpgAutour de Laurent Hénart, adjoint à la culture, Jean-Pierre Moinaux, vice-président du Conseil régional de Lorraine, Frédérique Boura, directrice adjointe de la DRAC, Dominique Flon, président de la société d’histoire et d'archéologie de la Lorraine et du Musée Lorrain, a été présenté le projet lauréat porté par l’agence parisienne Dubois et associés. « Dans tous nos projets, notre philosophie est d’essayer de renforcer la qualité des lieux plutôt que de donner un effet architectural », explique l’architecte Philippe-Charles Dubois qui a rénové plusieurs musées en France, dont celui de Toulouse-Lautrec à Albi.

    L’esprit est de redonner au musée et au palais ducal ses perspectives sur le parc de la Pépinière. Les bâtiments du fond du jardin vont ainsi disparaître au profit d’une longue aile d’accueil vitrée, transparente, depuis laquelle on accédera au musée par le sous-sol, comme au Louvre.

    Le premier coup de pioche est prévu pour la mi-2015 avec une livraison programmée pour 2020. Le coût prévisionnel est estimé à près de 40 millions d’euros HT.

    [d'après ER]

  • "Saint Jérôme & Georges de La Tour" avec les Amis d'Alfred Renaudin

    renaudin.jpg

  • 15ème Journées d'études vosgiennes à La Bresse du 24 au 27 octobre 2013

    JEV LA BRESSE 1.jpg

    JEV LA BRESSE 2.jpg

    JEV LA BRESSE 3.jpg

  • Sud-Ouest vosgien : mieux exploiter les richesses touristiques

    article pour mieux exploiter.jpg

    [Vosges Matin]

  • Saint Jérôme & Georges de La Tour

    st jerome.jpgPeu de maîtres anciens jouissent en France d'une popularité comparable à celle de Georges de La Tour. Redécouvert en 1915 après avoir sombré dans le plus profond oubli, le peintre est devenu en quelques décennies l'égal d'un Claude Lorrain, d'un Nicolas Poussin, voire d'un Vermeer ou d'un Rembrandt. Emouvant et étrange mélange de réalisme et de spiritualité, son oeuvre nous est parvenu de façon fragmentaire, on le sait, mais un sujet semble avoir retenu son attention toute sa carrière durant, un sujet de prédilection dont il a multiplié les versions de ses débuts jusqu'à la fin de sa vie : saint Jérôme.

    Présentée en 2013, au Musée départemental Georges de La Tour de Vic-sur-Seille à l'occasion du dixième anniversaire de son ouverture au public, l'exposition réunit autour du Saint Jérôme du Prado, le dernier chef-d'oeuvre redécouvert du maître lorrain, toutes les compositions de La Tour aujourd'hui connues sur ce thème. La confrontation inédite de ces toiles provenant de collections publiques et privées - un ensemble constitué d'originaux, d'oeuvres d'atelier, de copies anciennes et même de quelques tableaux ayant autrefois été considérés comme de La Tour - entend témoigner de la puissance plastique et de l'originalité iconographique caractérisant des interprétations picturales profondément marquantes, conçues par un artiste qui non seulement garde avec le temps sa part de mystère mais encore, depuis bientôt un siècle, sans cesse se donne et se reprend.

    Un somptueux ouvrage enrichi des reproductions des oeuvres de La Tour présentées pour la première fois à Vic-sur-Seille, venant de plus grands musées de France bien sûr, mais aussi du Canada, du Royaume-Uni, d'Espagne et de Suède.

     

    ‡ Saint Jérôme & Georges de La Tour, collectif, IAC éditions d'Art, 2013, 269 p., ill. (32 €).

  • Expo' "Le duché de Bar sous René II" à Bar-le-Duc

    expo rené 2.jpg

  • Les Vosges préparent le centenaire de 14-18

    Particulièrement touchés dès le début de la Première Guerre mondiale, les Vosges préparent les commémorations du centenaire en misant sur les particularités historiques.

    le-site-de-la-fontennelle-abrite-1-382-tombes-de-soldats-francais-(photos-eric-thiebaut).jpgDans le paysage des commémorations de la Grande guerre qui va défiler à compter de l’année prochaine, les Vosges essayent de se frayer une place dans les premiers rangs. Loin derrière la Meuse, la Marne ou la Somme, le département a pourtant des arguments historiques à mettre en avant. Au premier rang desquelles la nécropole de la Fontenelle, où étaient présentées mercredi matin les premières manifestations départementales pour la commémoration. « C’est le seul site de combat en montagne sur le territoire français », précise Yann Trouillet, historien, responsable d’un bureau d’études en charge de l’aménagement des territoires de mémoire. Comblé dès 1919 et construite sur le site même des combats, le site a ensuite été laissé en l’état. Les terrains autour du monument, appartenant au ministère de la Défense, n’ont été dégagés que dernièrement : 300 à 400 m³ de bois ont été débardés pour laisser le passage vers les croix.

    Cette préservation en fait « un lieu avec un des taux de muséalité à ciel ouvert les plus importants de France », souligne Yann Trouillet. Guerre de positions, guerre des mines, avec des galeries creusées à plus de 120 m sous terre, guerre des frontières ou épigraphies internationales (rares !) gravées dans la roche près du sentier de la Roche Mère Henry. Ce sont toutes ces spécificités que les élus, les associations et les communautés de communes (entre autres celle de la vallée de la Plaine et celle du Rabodeau) veulent mettre en avant à l’occasion de la kyrielle de cérémonies qui jalonneront les quatre prochaines années à compter de 2014. « Nous étions souvent oubliés des livres d’histoire », constate William Mathis, vice-président du Conseil général des Vosges. « Désormais grâce au travail des historiens locaux, les combats de 1914-1915 sont mieux connus. Nous voulons montrer que les Poilus morts ici ont la même valeur que ceux qui sont dans les sites nationaux. »

    Un PER (pôle d’excellence régionale) baptisé « Tourisme de mémoire 14-18 » a été créé en 2008 en interdépendance entre le Conseil général des Vosges et son homologue du Haut-Rhin, pour permettre le financement, à hauteur de 2,5 millions d’euros, de projets mettant en valeur 11 sites remarquables de la Grande guerre sur la ligne de front. La mission centenaire nationale a des ramifications départementales, gérées par Christophe Salin, le sous-préfet de Saint-Dié. Et les Vosges préparent un dossier pour entrer au GIP (groupement d’intérêt public) qui rassemblera à terme 15 départements et mettra en place des actions complémentaires pour « valoriser des sites connus et reconnus. » Plusieurs projets sont en cours, notamment la création d’un sentier « de 1,2 km, à fond de tranchée », sur le site de la nécropole de la Fontenelle. D’autres pourraient aussi voir le jour, notamment un sur la route des crêtes, de l’Hartmannswillerkopf au col de la Chapelotte, et l’autre qui irait de la Roche Mère-Henry au monument Sartorio.

    [d’après Vosges Matin]

  • Nancy : la chapellenie Bhx Charles de Habsbourg-Lorraine érigée pour la forme extraordinaire

     

    Ncy_chapelle Marie Immaculée_2013 005.jpg

    Tympan de la chapelle Marie-Immaculée de Nancy [cliché ©H&PB].


    Le bulletin officiel de L'Eglise catholique en Meurthe-et-Moselle du 11 septembre 2013 a publié le décret de Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et de Toul, qui érige canoniquement la chapellenie diocésaine Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine "pour la célébration des actes du culte sous la forme extraordinaire du rite romain" :

    Chapellenie-1.jpg

    Chapellenie-2.jpg


  • Découvrez Boucq avec Maisons Paysannes de Meurthe-et-Moselle

    boucq.jpg

  • Le magazine Pèlerin soutient la restauration de la chapelle de Libdeau

    libdeau.jpg

    [Pèlerin | 12 septembre 2013]

  • 30 ans de protection à Châtillon-sur-Saône (88)

    L’association Saône Lorraine a souhaité s’associer aux récentes Journées du Patrimoine en proposant une rétrospective sur trente années qui ont changé le visage du patrimoine bâti du village.

    Expo Châtillon 30 ans protection_2013 019.jpgC’est au Grenier à sel, « quartier général » de l’association, que Jean-François Michel, le président de Saône Lorraine, a accueilli Aimé Bonneret, maire de la localité, Alain Roussel, conseil général de Monthureux-sur-Saône, André Granget, maire de Bleurville, et les adhérents et amis fidèles afin d’inaugurer l’exposition temporaire consacrée aux 30 ans de protection du patrimoine de Châtillon. Ce n’était pas tout à fait un hasard, puisque cette année les Journées du Patrimoine avaient pour thème le centenaire de la loi de 1913 sur la protection des monuments historiques.

    Grâce à plusieurs panneaux conçus et réalisés par les époux Michel et Hubert Flammarion, et agréablement illustrés avec photos, textes et coupures de presse tirés des archives de l’association, les animateurs de Saône Lorraine valorisent l’immense travail réalisé afin de sauver de la ruine plusieurs immeubles Renaissance du vieux Châtillon. Dès 1983, Saône Lorraine a déclaré une véritable guerre contre l’indifférence, les tracasseries administratives, les inerties et les dégradations qui menaçaient les riches bâtisses des XVIe-XVIIe siècles. Il s’agissait surtout de lutter contre des démolisseurs sans scrupules qui abusèrent de la crédulité de propriétaires qui se laissèrent tenter par la vente de leurs vieilles demeures… Pour être mieux dépecer de leurs cheminées monumentales et de leurs poutres ancestrales…

    Expo Châtillon 30 ans protection_2013 021.jpgComme le rappelait le président Michel « Ces trente années ont certes été marquées par des échecs mais l’état général du vieux village reste une véritable satisfaction que Saône Lorraine partage avec la municipalité et toutes les collectivités partenaires ainsi que des mécènes privés. » Belle satisfaction en effet lorsque l’on flâne dans les ruelles du vieux Châtillon : on peut y admirer de splendides immeubles Renaissance restaurées grâce à l’impulsion donnée par Saône Lorraine : ainsi les maisons du cordonnier et du berger, l’hôtel de Sandrecourt, le Grenier à sel, la Grosse Tour… Sans compter les particuliers qui ont suivi la voie ouverte par l’association de sauvegarde !

    Tout cet ensemble architectural rénové vit désormais durant la belle saison grâce aux musées vivants, au public toujours nombreux et à l’action de bénévoles qui ne comptent ni leur temps, ni leur sueur pour que ce patrimoine soit transmis aux générations futures.

     

    lorraine,vosges,châtillon sur saône,saône lorraine,jean françois michel,renaissance,hubert flammarion

     

    ‡ L’exposition « 30 ans de protection à Châtillon-sur-Saône » est visible tous les après-midi au Grenier à Sel jusqu’au 1er novembre 2013.

  • Patrimoine et vie religieuse dans les Vosges

    flabemont.jpg

    rabiemont chapelle.jpg

    lamarche.jpg

    la bresse mission 1931.jpg

    Mission prêchée dans la paroisse de La Bresse (88) en 1931.

    [Vosges Matin]

  • Val-et-Châtillon (54) : le patrimoine religieux à l'honneur

    VAL.jpg

    [ER]

     

    La commune de Val-et-Châtillon a édité à l'occasion des Journées du Patrimoine 2013 un magnifique bulletin couleur et noir et blanc de 76 pages avec de nombreuses photos.

    N'hésitez pas à vous le procurer car il n'y en aura pas pour tout le monde ! Tout le patrimoine religieux de la commune est abordé. 5 € le numéro (si envoi par poste, port en sus).

    Plus d'info en contactant bena_olivier@yahoo.fr