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Nos traditions - Page 29
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Le Saint Clou de Toul
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"Mirecourt, la ville, son histoire et ses métiers" : les actes des Journées d'études vosgiennes 2012
Mirecourt, ville ancienne de la plaine des Vosges, ville d'art à l'architecture souvent cachée, se dévoile dans le premier tome des actes des Journées d'études vosgiennes tenues dans la cité des Luthiers en octobre 2012. Au sud du plateau lorrain, au bord du Madon aux crues dangereuses, la ville s'est développée depuis le Moyen Âge, protégée par ses remparts. Ses activités commerçantes et artisanales, associées au rôle politique de chef-lieu de bailliage, ont favorisé un fort développement urbain et une grande influence sur le pays environnant.
Après la nécessaire description du milieu naturel, trois moments sont abordés en trois grands chapitres : l'évolution médiévale de Mirecourt avec ses remparts et son bourg ; le riche patrimoine bâti, la société et l'évolution politique du XVIIe siècle à la Révolution ; enfin, les aspects contemporains, les hommes qui se sont investis dans la vie locale, ont fait connaître leurs idées par une presse active, ont contribué à la prospérité du pays, ont parfois tutoyé la grande histoire par des mandats nationaux ou des charges ministérielles.
L'étude est élargie à l'espace de la nouvelle communauté de communes, qui correspond au coeur du Xaintois, grenier à blé de l'ancienne Lorraine, avec la base aérienne de Juvaincourt, les grandes surfaces qui ravitaillent le canton et les espaces ruraux en pleine mutation.
Un ouvrage indispensable pour mieux connaître l'espace mirecurtien, son histoire et son patrimoine pour mieux préparer son avenir. Ce livre reprend et développe les communications des universitaires et érudits rassemblés lors des Journées d'études vosgiennes de Mirecourt.
‡ Mirecourt, la ville, son architecture et son histoire, Jean-Paul Rothiot et Jean-Pierre Husson (dir.), FSSV - Amis du Vieux Mirecourt-Regain, 2013, actes des Journées d'études vosgiennes d'octobre 2012, tome 1, 359 p., ill., cartes (25 €).
Lutherie et dentelle sont les fleurons qui firent - et font encore - la réputation de Mirecourt. Pourtant d'autres métiers ont fait la prospérité et la gloire de la ville et c'est ce que démontre les actes réunis dans le second tome consacré aux métiers de Mirecourt et de la campagne environnante.
Loin des légendes qu'il faut apprécier pour ce qu'elles sont, le premier chapitre retrace les origines de la lutherie, son essor au XVIIIe siècle, son expansion vers Paris et sa mutation qui allie art et industrie. Mais d'autres productions instrumentales, notamment celle des serinettes, se développent à Mirecourt, qui connaît une succession de crises et de renaissances. Au XXe siècle, les luthiers sont préoccupés par la transmission des métiers et des savoir-faire, avec la création d'école de formation.
Mirecourt s'est également illustrée dans l'activité de la dentelle relayée à la fin du XIXe siècle par une longue parenthèse textile, la Cotonnière, fermée à la fin des Trente Glorieuses.
La ville a accueilli également l'Ecole normale qui forma les instituteurs du département, les "hussards de la République". Les témoignages retranscrits montrent toute la vie de ces normaliens, avec leurs traditions et leurs nombreuses activités parascolaires.
Mirecourt s'identifie aussi à l'hôpital départemental de Ravenel. Comment est-on passé du château médiéval de Mandres-aux-Trois-Tours, aux ventes de la Révolution, au domaine Buffet, au Frontstalag 120 et à l'hôpital de guerre ? L'architecture de l'hôpital s'intègre dans une longue évolution où les préoccupations médicales dominent, jusqu'au moment où les orientations psychiatriques changent radicalement et provoquent un certain abandon du site.
Ce second tome nous fait mieux connaître les métiers qui ont contribué au développement de la cité de la plaine vosgienne et son rayonnement.
‡ Mirecourt, une ville et ses métiers, Jean-Paul Rothiot et Jean-Pierre Husson (dir.), FSSV - Amis du Vieux Mirecourt-Regain, 2013, actes des Journées d'études vosgiennes d'octobre 2012, tome 2, 446 p., ill. (30 €).
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Inauguration des orgues restaurées de Montmédy (Meuse)
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Les guides du Pays des Trois Provinces en assemblée à Bleurville
Accueillis en mairie par André Granget, maire de Bleurville, les guides bénévoles de l’association du Pays des Trois Provinces ont dressé le bilan de la saison estivale. Encourageant.
Dominique Grandjean, vice-présidente de l’association chargée de la coordination des circuits des visites estivales, a dessiné les grandes lignes de ce bilan : « 1026 visiteurs ont participé aux quelques 55 visites thématiques organisées entre juin et septembre dans les bourgs et villages des confins de la Haute-Marne, de la Haute-Saône et des Vosges. » La participation varie entre une poignée de visiteurs à 62 personnes ; la palme revient cette année à la visite de la forêt de Relanges-Saint-Baslemont pilotée par Roger Thiébaut à qui a été remise la borne des Trois Provinces, trophée du meilleur guide de l’été en terme de nombre de visiteurs.
La présidente de l’ADP3P, Evelyne Relion, a salué l’esprit d’innovation qui anime la quarantaine de guides du Pays des Trois Provinces, tous amoureux et connaisseurs de leur petite patrie. Et de citer le circuit Jan Monchablon et du moulin Courtillet à Grignoncourt (88) qui a rassemblé 41 participants ; Villars-Saint-Marcellin (52) qui a reconstitué pour l’occasion quelques aspects du monde rural de jadis ; le circuit de l’eau entre Droiteval et Ameuvelle (88) animé par Marie-Madeleine Boulian ou encore le circuit Maréchal Victor à Lamarche (88) et la route des Choiseul à Montigny-le-Roy et dans le Bassigny (52)…
Dominique Grandjean a abordé ensuite la question de la promotion des visites estivales avec une publicité à renforcer auprès des offices du tourisme de la région et des établissements thermaux de Bourbonne-les-Bains et de Bains-les-Bains. Sans oublier L'Echo des Trois Provinces qui édite un numéro d’été spécial ! La vice-présidente veillera également à informer préalablement aux visites les desservants des lieux de culte visitées.
Des projets de nouvelles visites thématiques pour 2014 ont été dévoilés : la visite de l’ancienne abbaye cistercienne de Cherlieu (70) à partir d’une maquette du monastère reconstitué ; le circuit de l’eau entre Bleurville et Marey (88) ; les commerces de jadis à Lamarche (88) et les camps de la Délivrance (1870-71 et 1943-44).
A l’issue de cette réunion de travail, le groupe a visité l’ancienne abbaye bénédictine Saint-Maur et son musée de la Piété populaire sous la conduite d’Alain Beaugrand, président des Amis de Saint-Maur. L’après-midi s’est clôturé par le verre de l’amitié offert par la municipalité.
[cliché : Les guides devant le prieuré bénédictin de Bleurville | ©Patrick Hannelle]
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Zoom sur saint Nicolas... Un autre regard sur le Saint Patron des Lorrains
En trois chapitres, ce sympathique ouvrage jette un regard original sur le grand saint patron des Lorrains : saint Nicolas. La vie exceptionnelle de saint Nicolas est relatée sur quatorze tableautins de bois peints à l'intention des pèlerins de Saint-Nicolas-de-Port. Les miracles qui sont évoqués sur ces peintures correspondent à ceux qui figurent sur certaines icônes byzantines. Mais ici, saint Nicolas porte une mitre comme les évêques latins et les images nous parlent d'autant plus qu'elles sont peintes à la manière occidentale.
C'est à travers ces images que nos ancêtres connaissaient leur saint patron. le vrai saint Nicolas n'est pas loin et chacun des hauts faits présentés est à l'origine d'un patronage, d'une légende ou d'un usage.
En dehors de Marie, aucun saint n'a connu dans la Chrétienté une aussi grande popularité que saint Nicolas dont le culte est présent en Lorraine depuis près de mille ans. Il est au coeur de notre histoire et ne cesse d'être une référence ; il est le point de convergence de toutes les composantes de notre région. Son image est présente sur nos chemins, dans nos églises et jusque dans nos foyers.
Très tôt, les marchands se sont placés sous son patronage et parcouraient l'Europe pour se retrouver sur les grandes foires. Saint Nicolas qui est au coeur des échanges, est aussi au coeur de la fête, cette fête de lumière, cette merveilleuse fête des enfants que toute la Lorraine célèbre le 6 décembre, jour de sa naissance au Ciel.
Dans cet album magnifiquement illustré, Saint Nicolas vient à notre rencontre ; sa vie, son patronage et son intervention dans la vie quotidienne des Lorrains nous sont présentés avec talent grâce aux textes de Jean-François Tritschler, chancelier de la confrérie Saint-Nicolas de Yutz, et aux clichés de Denise Bloch qui a su traduire sa curiosité pour le saint patron des Lorrains dans ses représentations les plus variées provenant des quatre coins de la Lorraine.
Un "zoom" qui fera découvrir au curieux le saint Nicolas des Lorrains tel qu'on le connaît, mais surtout tel qu'on ne le connaît pas.
‡ Zoom sur saint Nicolas, Denise Bloch et Jean-François Tritschler, éditions Association d'idées, 2013, 109 p., ill. (35 €).
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Une relique de saint Nicolas pour l’église Saint-Nicolas-des-Lorrains à Rome
Au début du XXe siècle, l’évêque de Metz offrit au couvent de la Visitation de Nancy une relique de l’évêque de Myre et saint patron de la Lorraine. Remise au diocèse après le départ des religieuses, cette relique de saint Nicolas sera transférée début décembre à Rome – pour sa fête liturgique –, afin d’être désormais vénérée dans l’église Saint-Nicolas-des-Lorrains.
Le reliquaire, spécialement créé pour l’occasion, sera solennellement bénit par Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul, primat de Lorraine, lors de la messe de la Toussaint, le 1er novembre, à la cathédrale Notre-Dame de l’Annonciation de Nancy.
Pour accueillir la précieuse relique, soigneusement identifiée, l’Association des Amis de Saint-Nicolas-des-Lorrains, à l’origine de ce don, a confié à Jean-Louis Hurlin, ferronnier d’art mosellan, la réalisation d’un reliquaire en acier damassé.
Le culte des reliques remonte aux premiers temps du Christianisme. Reconnue par l’Église comme un acte de piété et de foi, cette pratique populaire perdure aujourd’hui. « Les fidèles ont besoin de ce mode de vénération simple, au-delà de toute idolâtrie », explique le Père Bruno Gonçalves, de l'Oratoire Saint-Philippe Néri de Nancy et professeur de droit canonique à l'Institut catholique de Paris. « La sainteté n’est pas quelque chose de nébuleux, elle s’incarne dans la vie d’un homme. Ainsi, une relique témoigne de l’historicité d’une personne dont la vie a été exemplaire, et à travers elle, de la présence de l’Esprit Saint en l’homme. »
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"Chefs-d'oeuvre de la tapisserie des XVIIe et XVIIIe siècles" à Nancy
L'exposition du Musée des Beaux-Arts de Nancy rassemble 17 tapisseries des XVIIe et XVIIIe siècles provenant du Petit Palais (Paris).
Rarement présentées, en raison de leur format exceptionnel et de leur fragilité, ces oeuvres sont issues de grandes manufactures européennes et tissées dans des matériaux précieux.
Elles ont été réalisées d'après les cartons ou modèles de peintres majeurs, tels que Le Brun, Champaigne, Boucher...
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Eglises : chefs-d'oeuvre en péril ?
Le patrimoine religieux français fait régulièrement les gros titres des médias : certains le trouvent trop coûteux à entretenir et demandent même qu’on désaffecte, voire qu’on détruise, certaines églises. La presse étrangère nous fait remarquer que nos églises sont souvent crasseuses et mal entretenues…
Qui est responsable ? Lorsque les Églises (essentiellement l’Eglise catholique, mais pas seulement) et l’État se sont séparés en 1905, la question s’est posée du devenir des lieux de culte. L’« affectation légale » en est résultée, notion juridique qui demeure en Europe une exception cultuelle aux nombreuses conséquences, parfois paradoxales, qu’il faut connaître avant d’interroger l’état du patrimoine cultuel en France.
Pour la première fois, la revue Arts sacrés propose un dossier complet et accessible, avec de nombreux exemples pratiques, fait le point de la question. Une comparaison avec l’Allemagne et l’Italie permet de mieux cerner la spécificité française et de corriger certains préjugés. Un rapide tour de France de communes de tailles et de conditions diverses permet d’évoquer les nombreuses situations que rencontrent les maires faces à « leurs » églises, parfois charges écrasantes, souvent potentiel ignoré. Des rencontres avec des acteurs et médiateurs du patrimoine cultuel nous font découvrir les réalités du terrain.
L’Etat et l’Eglise sont embarqués ensemble pour faire vivre les églises et les entretenir. Une responsabilité partagée aussi avec les Français, et les croyants baptisés en particulier : pour qu’un édifice cultuel continue à vivre et, par conséquent, à être entretenu, il faut le fréquenter (sous entendu, venir y prier et assister aux offices). A bon entendeur…
‡ On peut se procurer le numéro 25 de la revue Arts sacrés ici http://www.arts-sacres.fr/numero-25/eglises-chefs-d-oeuvre-peril.3860.php
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Rencontre avec Boris Lejeune, sculpteur de la "Jeanne de Bermont"
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Messe des ducs en la chapelle des Cordeliers de Nancy
Ce samedi 19 octobre 2013, en la chapelle des Cordeliers de Nancy a été célébrée la messe à la mémoire des princes et princesses de la famille de Lorraine.
Devant une assistance fournie, dont les responsables de la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain, le père François Weber, curé de la basilique Saint-Epvre, a célébré la messe de la bienheureuse Marguerite de Lorraine, sœur du duc René II, messe inscrite au propre du diocèse de Nancy & de Toul à la date du 3 novembre, en mémoire des défunts de la famille ducale de Lorraine.
Dans la prière de la collecte, l’Eglise implore Dieu et l'intercession de la bienheureuse Marguerite de Lorraine : « Dieu, Père de toutes les vertus, qui avez voulu glorifier votre servante Marguerite par de grands mérites dans les divers états de sa vie, accordez-nous, par ses prières, de persévérer fidèlement dans notre vocation et de donner des exemples de lumière. » Et le célébrant de rappeler lors de son homélie l’action des ducs de Lorraine dans la promotion et la défense de la foi catholique dans leurs états. Le père Weber a associé à Marguerite de Lorraine le souvenir du bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine.
La messe était magnifiquement rehaussée par les chants interprétés par la chorale nancéienne Choralliance.
Quelques images de la messe des ducs…
Homélie du père Weber.
Offertoire.
Elévation.
[clichés ©H&PB]
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La synagogue de Remiremont
[Vosges Matin]
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Nancy : messe à la mémoire des ducs de Lorraine & de Bar le 19 octobre
Samedi 19 octobre 2013 à 11h00
Messe à la mémoire de la famille des ducs de Lorraine & de Bar
célébrée par le Père François Weber, c.o., curé de la basilique Saint-Epvre,
en la chapelle des Cordeliers, en Grande-Rue, à Nancy
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Saint Michel, protecteur des commerçants spinaliens
Tradition ancestrale, la statue de saint Michel, protecteur des commerçants, a changé de mains à l’issue d’une messe chantée dimanche 13 octobre en la basilique Saint-Maurice d'Epinal. « L’Oiseau bleu » l’accueille pour un an.
« En fouillant dans les archives, on a retrouvé des traces de cette tradition en 1630 », explique Marie-Thérèse Luc-Chanel, l’infatigable et humble secrétaire qui œuvre depuis 35 ans au sein de la corporation Saint-Michel, à l’issue de la messe célébrée à la basilique Saint-Maurice.
Chaque année, la statue représentant le protecteur des commerçants de la ville change de mains. Abritée à la librairie « Quai des mots » depuis un an, la statue représentant saint Michel terrassant le mal incarné par un dragon, logera désormais juste en face de la basilique, à « L’Oiseau bleu », la boutique de souvenirs tenue par Catherine Muller. « Je ne pensais pas être émue à ce point-là », confie cette dernière qui a repris en 2007 le flambeau de ses parents qui ont ouvert cette boutique place Saint-Goëry il y a 54 ans. Nul doute que la statue devrait trouver bonne place au milieu des innombrables petits objets de ce magasin qui a gardé son charme d’antan.
A l’issue de cette messe célébrée par l’abbé Vuillemin et qui devrait apporter protection – et peut-être aussi prospérité ! – aux commerçants spinaliens, les membres de la corporation Saint-Michel se sont rendus au centre culturel.
Car autre tradition, chaque année une association se voit remettre généreusement un chèque de 1 000 €. Cette année c’est l’association France Parkinson qui en a bénéficié car, lorsque les prières ne suffisent plus à apaiser les maux, il est bon d’aider la science à lutter contre la maladie. Un bel exemple de charité !
[d’après Vosges Matin]
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Prière de consécration du monde au Cœur immaculé de Marie
Consécration du monde au Coeur immaculé de Marie par Sa Sainteté le Pape François.
Bienheureuse Vierge Marie de Fatima,
avec une reconnaissance renouvelée pour ta présence maternelle
nous unissons notre voix à celle de toutes les générations
qui te disent Bienheureuse.
Nous célébrons en toi les grandes œuvres de Dieu,
qui jamais ne se lasse de se pencher avec Miséricorde sur l’humanité,
affligée par le mal et blessée par le péché,
pour la guérir et pour la sauver.
Accueille avec ta bienveillance de Mère
l’acte de consécration qu'aujourd'hui nous faisons avec confiance,
devant ta statue qui nous est si chère.
Nous sommes certains que chacun de nous est précieux à tes yeux
et que rien de ce qui habite nos cœurs ne t'est étranger.
Nous laissons rejoindre par ton regard très doux
et nous recevons la caresse consolante de ton sourire.
Garde notre vie entre tes bras ;
bénis et renforce tout désir de bien ;
ravive et nourris la Foi ;
soutiens et éclaire l'Espérance ;
suscite et anime la Charité ;
guide-nous tous sur le chemin de la sainteté.
Enseigne-nous ton amour de prédilection
pour les petits et les pauvres,
pour les exclus et les souffrants,
pour les pécheurs et ceux qui sont égarés dans leur cœur :
rassemble tous sous ta protection
et remets-nous tous à ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus.
Ainsi soit-il.
Pape François
Rome, Place Saint-Pierre,
le 13 octobre 2013
Le pape émérite Benoît XVI accueille la statue de la Vierge de Fatima.
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Le Pays Lorrain : statuaire et dévotion entre Moyen Âge et Renaissance en Lorraine
Le Pays Lorrain propose dans son numéro d'automne un riche sommaire. A découvrir :
- les défis de la croissance démographique de Nancy sous les règnes de Charles III et Henri II (1559-1624)
- la statuaire lorraine de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance
- les traits de la dévotion : sculptures du XVIe siècle dans la Meuse
- Chambord, résidence d'exil et reliquaire du pouvoir de Stanislas
- l'école de la Doctrine chrétienne à Blâmont (1808-1903) : une école libre face à la laïcité
- pédagogie chrétienne et culture moderne
- note sur Thomas Bonnefoy, imprimeur à Verdun et sur la diffusion des idées jansénistes en Lorraine
- les croix historiques des évêques de Nancy et de Toul
- le genizah de la synagogue de Dambach-la-Ville : une découverte inestimable pour la connaissance de la vie juive
Et les rubriques habituelles : la chronique du patrimoine, la chronique régionale, la vie du Musée, les publications récentes...
‡ Le Pays Lorrain est une revue de la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain. Disponible à l'accueil du Musée lorrain, 64 Grande-Rue à Nancy, ou sur abonnement (39 €, 4 numéros) en adressant ses coordonnées postales et son règlement (à l'ordre de "Le Pays Lorrain") à : LE PAYS LORRAIN, PALAIS DUCAL, 64 GRANDE-RUE, 54000 NANCY.
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L'Echo des 3 Provinces d'automne : le Parc naturel régional en phase d'étude
Le numéro automnal du magazine des habitants du Pays des Trois Provinces, L'Echo des 3 Provinces, propose comme à son habitude un petit voyage aux confins de la Lorraine, de la Franche-Comté et de la Champagne.
Au sommaire de ce numéro :
- l'anniversaire de la borne des 3 Provinces
- l'église Saint-Martin de Frain (88)
- la bourrache
- les livres
- les visites de l'été au Pays des Trois Provinces
- le projet de Parc naturel régional entre en phase d'étude
- histoire de la cuisine : les poires
- conte du Pays des Trois Provinces : les amours contrariées de Juminella
- la maison des heureux jours
- le chasseur de La Mothe
- la vie des associations locales
- les animations d'octobre-novembre
‡ L'Echo des 3 Provinces est disponible sur abonnement. Contact : evelyne.relion@orange.fr
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"La Barrette" d'octobre
La communauté catholique latine attachée à l'église Saint-Pierre de Nancy vous propose son bulletin d'octobre :
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Amalric Walter, maître de la pâte de verre
Artiste talentueux mais trop modeste, Amalric Walter (1870-1959) est mort dans l'indifférence et a été totalement oublié par les biographes qui se sont surtout intéressés aux "grands" de l'Art nouveau et de l'Ecole de Nancy. Amalric Walter a pourtant porté l'art de la pâte de verre au plus haut niveau et contribué au renom de l'Ecole de Nancy dans le monde.
Loin de n'être qu'un simple technicien talentueux comme certains l'ont affirmé, Amalric Walter a toujours été un concepteur, maîtrisant successivement l'idée, le dessin, le modelage, l'harmonie des couleurs et les finitions. Aucun verrier de l'Ecole de Nancy n'a maîtrisé comme lui l'ensemble du processus créatif, de la conception à l'objet fini.
Son inspiration, nourrie de la nature et de la féminité, a donné naissance à des oeuvres d'une douceur exquise ou au contraire à des oeuvres plus contrastées. Collaborateur des frères Daum à Nancy, il est imprégné par l'Art nouveau et a ensuite adopté l'Art déco, oscillant parfois entre les deux styles.
L'ouvrage est aussi un remarquable catalogue des oeuvres inédites de Walter.
‡ Amalric Walter, maître de la pâte de verre, François Le Tacon et Jean Hurstel, éditions Serpenoise, 2013, 150 p., ill. (30 €).
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Bleurville (88) : vol de reliques à l'église paroissiale
C'est lors d'une de ses visites régulières à l'église paroissiale, ce samedi 5 octobre 2013, qu'un paroissien a constaté la disparition de reliques déposées sur l'autel de la chapelle Saint-Maur de l'église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens de Bleurville.
Quatre reliquaires en bois sont exposés sur l'autel de Saint-Maur. Ils contiennent quelques fragments d'os provenant des corps de deux martyrs comtois du VIIIe siècle, Bathaire et Attalein. Ces ossements appartiennent aux saints patrons du monastère bénédictin de Bleurville. Ils furent déposés dans la basilique de Saint-Nicolas-de-Port lors du rattachement de Bleurville au prieuré de Varangéville, et furent miraculeusement épargnés par l'incendie qui détruisit l'édifice en 1635, lors de la funeste guerre de Trente Ans. Rapatriés à Bleurville par les bénédictins du prieuré Saint-Maur, ils furent rassemblés dans une chasse qui sera installée à l'église paroissiale à la Révolution.
Quelle ne fut pas la surprise de ce fidèle en remarquant que le réceptacle, contenant les saintes reliques, d'un des reliquaires était déposé sur l'autel. En examinant l'objet de plus près, il s'aperçut que les trois fragments d'os appartenant à saint Bathaire avaient disparu, détachés du tissu leur servant d'écrin. Les autres reliquaires n'ont pas fait l'objet de dégradations.
Ces reliquaires ont été réalisés par l'abbé Jacquot, curé de Bleurville à la fin du XIXe siècle ; les reliques avaient été officiellement reconnues par Mgr Caverot, évêque de Saint-Dié.
Ce sacrilège a été commis durant les dernières Journées du Patrimoine alors que l'église était ouverte au public, malheureusement sans surveillance.
Ce vol est symptomatique d'une époque qui a perdu le sens du sacré et, surtout, est ignorante de l'histoire de l'Eglise et de la foi chrétienne. En effet, il n'est pas un jour sans que l'actualité - lorsque la presse grand public veut bien s'en faire l'écho - apporte son lot de dégradations, sacrilèges et blasphèmes commis contre la foi chrétienne et les lieux de culte catholiques.
[cl. H&PB]
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La Nouvelle revue lorraine n° 22 : chez Jean-Paul Marchal, imagier vosgien
Avec ce numéro automnal de La Nouvelle revue lorraine, Jean-Marie Cuny nous fait entrer dans l'atelier de l'imagier vosgien Jean-Paul Marchal. Il nous conduit également à Lunéville et nous ouvre les portes du conservatoire de la broderie... et de la plume !
Comme d'habitude, le numéro recèle encore maints articles qui nous font découvrir la Lorraine sous des aspects étonnants. Au sommaire :
- la Lorraine et le nationalisme français
- la vie rustique
- il y a quarante ans, la réconciliation
- 13 septembre 1914 : un épisode de la Grande Guerre en Lorraine
- l'abbaye de Morimond, des cisterciens dans le Bassigny lorrain
- René Veillon, artiste et fondateur de la Société cotonnière lorraine
- le médecin-colonel Léon Hauvuy
- le culte des fontaines
- le Gaulois de la Grande Guerre
- le Grand-Couronné
- Epinal et ses remparts
... et les traditionnelles rubriques : les info's lorraines, les livres... et l'édito' du Jean-Marie !
‡ La Nouvelle revue lorraine, n° 22, octobre-novembre 2013 (7 € le numéro). Disponible en librairie et sur abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (38 €, 6 numéros, chèque à l'ordre de "SEP Helenus") à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.
‡ Plus d'info' : jmcuny@hotmail.fr
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Un atelier de métallurgie du Moyen-Âge découvert à Champigneulles
De septembre à mi-octobre 2013, des archéologues de l'Inrap mène une fouille sur le site de Bellefontaine, en amont de la construction d'un deuxième réservoir d'eau par la mairie de Champigneulles.
Au cours de cette fouille archéologique, les chercheurs de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives), en collaboration avec deux spécialistes en sidérurgie ancienne du CNRS, étudient les vestiges d'un site de production de fer des XIIIe-XVe siècles, période durant laquelle un bond technologique a révolutionné le secteur.
Cette découverte est importante, selon l'Inrap, car peu de vestiges d'activité sidérurgique de cette époque ont été étudiés.
La fouille se situe dans le val Saint-Barthélemy, probablement l'un des premiers sites lorrains où les nouvelles techniques de mécanisation hydraulique et de production de fonte ont été mises en œuvre.
L'équipe d'archéologues a mis au jour un atelier organisé en deux parties : d'un côté la production de fer et de l'autre la gestion des déchets. Dans cette partie se trouve un crassier, un monticule d'environ trente mètres de long et quinze mètres de larges qui contient les résidus issus de la fabrication du métal.
Six fours à usage différents ont été identifiés sur le site. Des bas-fourneaux, qui ont servi à la réduction du minerai lorrain, la "minette", afin de le transformer en fer. Ce dernier était retravaillé, avec des passages successifs du foyer de forge au martelage, pour aboutir à un bloc de fer forgeable.
Aucune trace de production d'outils finis en fer n'a été repérée sur le site pour l'instant.
[d’après France 3 Lorraine]
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Champougny (55) : pèlerinage à Notre-Dame des Affligés
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Messe pour le Bienheureux Charles 1er de Habsbourg-Lorraine
Bienheureux Charles d'Autriche.
A l’occasion de la fête du Bienheureux Charles d'Autriche
La Ligue de la prière chargée de la cause de la canonisation du Bienheureux Charles d’Autriche, serviteur de la paix,
vous invite
à la messe pontificale célébrée par
Son Excellence Mgr de Moulins-Beaufort,
évêque auxiliaire de Paris
Samedi 12 Octobre 2013 à 18h30
en l’église Sainte-Elisabeth de Hongrie
195 rue du Temple - 75003 Paris
La messe sera suivie d’une veillée mariale en union avec Sa Sainteté le Pape François.
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« La vocation de Jeanne » inaugurée à l’ermitage Notre-Dame de Bermont
Dimanche 29 septembre, solennité de saint Michel. Cet archange, chef de la Milice céleste, fut le conseil de Jeanne d’Arc tout au long de son épopée… C’est en ce dimanche que l’association nationale Avec Jeanne a choisi d’inaugurer la sculpture « La vocation de Jeanne » à côté de la chapelle Notre-Dame de Bermont prolongeant ainsi les commémorations du 6e Centenaire de la naissance de Jeanne "la Bonne Lorraine".
Avant la messe, Alain Bournazel, spécialiste de l’histoire militaire, a présenté brièvement l’histoire de Jeanne d’Arc et les liens spirituels étroits entretenus avec l’ermitage de Bermont, justifiant le choix du lieu pour y installer la sculpture de Boris Lejeune, une oeuvre de près de 3 mètres en bronze. Ensuite, plus de cent cinquante fidèles, donateurs et amis, venus surtout de la région parisienne et de Lorraine, ont assisté en l’église paroissiale Saint-Remi de Domremy à la messe célébrée par l’abbé Guillaume de Tanöuarn, prêtre de l’Institut du Bon Pasteur et directeur du Centre Saint-Paul (Paris), en présence de l’abbé Fourgerolle, prêtre retraité en Haute-Marne. Lors de son homélie, l’abbé de Tanöuarn a insisté sur la geste de Jeanne, « première patriote » de France.
A 14h30 s’est déroulée l’inauguration officielle puis la bénédiction de la statue de "La vocation de Jeanne". Alain Olivier, président de l’association des Amis de Notre-Dame de Bermont – Sainte Jeanne d’Arc, a accueilli Claude Philippe, conseiller général du canton de Coussey, Gilles Andriot, maire de Greux, Jacques Drapier, ancien député-maire de Neufchâteau, ainsi que plusieurs maires des communes environnantes. Il souligna que l’installation de cette statue à Bermont met un point final à vingt ans de travaux. Le maire de Greux félicita chaleureusement les époux Olivier et tous les bénévoles pour leur formidable engagement dans le sauvetage de Notre-Dame de Bermont.
Tous saluèrent la magnifique sculpture de Boris Lejeune réalisée sur une commande de l’association Avec Jeanne avec le soutien de nombreux souscripteurs privés. Pour Gilles Andriot, « le mouvement donné à Jeanne donne envie de la suivre ». Alain Olivier salue « l’alliance de la tradition et de la modernité ». Quant au sculpteur Boris Lejeune, accompagné du fondeur qui a réalisé l’œuvre dans son atelier en région parisienne, il précise qu’il a voulu faire « une Jeanne en pleine action ».
Avant de procéder à la bénédiction de la statue, l’abbé de Tanöuarn rappela la symbolique de l’œuvre : elle est orientée vers Reims, lieu du sacre du roi Charles VII, et point d’orgue de la mission johannique ; elle porte sur sa poitrine une croix, celle du Christ, faisant écho aux mots 'Jésus' et 'Marie' imprimés en lettres de bronze sur l’étendard brandi par notre Jeannette. Le prêtre y voit « une statue pour notre temps et de notre temps », « c’est une œuvre pensée qui doit faire école en renouvelant la vision de Jeanne d’Arc ».
Rappelons que le sculpteur de « La vocation de Jeanne », Boris Lejeune, est né à Kiev en 1947. Il doit son nom français à son ancêtre soldat des armées de Napoléon Ier resté en Russie et y ayant fait souche. En 1974, il achève ses études dans la classe de sculpture à l'Institut des Arts Répine à Leningrad qui succéda à l'Académie Impériale Russe des Beaux-Arts, après la révolution de 1917. Puis, il exécute une série de sculptures monumentales, participe à des expositions dans plusieurs villes de Russie et d'Ukraine et entre à l'Union des Artistes de l'URSS. En 1980, il émigre en France et s'installe à Paris. Ces œuvres sont remarquées par la critique. En 1983, il est primé au concours national « Expressions – Sculptures ». En 1987, il remporte le concours pour l'installation de cinq sculptures monumentales dans les jardins du boulevard Pereire à Paris. Il participe à de nombreuses expositions en France et à l’étranger. En avril 2010, à Vosne-Romanée (Côte d'Or), il installe la belle sculpture de « L'ange au pied de vigne ».
La cérémonie d’inauguration s’est clôturée par un vin d’honneur servi devant l’ermitage. Chacun a pu admirer l’œuvre et féliciter le maître ainsi que les hôtes du jour, Monsieur et Madame Olivier.
Quelques images de cette journée...
Boris Lejeune devant son oeuvre.
[clichés ©H&PB]
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41ème édition des Journées d’études meusiennes dans le Nord meusien les 5-6 octobre 2013
Pour cette 41ème édition, les Journées d’études meusiennes auront lieu conjointement à Stenay et à Montmédy, deux cités des marches occidentales lorraines. De ces villes et de leurs cantons actuels, des tranches d’histoires sont connues mais encore bien des choses restent à défricher ou à relire. L’histoire de cette partie de la Meuse est, à n’en pas douter, fortement liée à l’existence d’une frontière que l’on peut lire et interpréter à travers les âges. Dans les esprits, c’est le passé militaire, ancien et récent, ce sont les conflits, qui surgissent à l’évocation de cette région. Pourtant, la frontière, qui est aussi espace de transferts, se décline en d’autres facettes, économiques, humaines, architecturale. Cette frontière se traduit aussi en paysages à analyser et comprendre.
A travers communications et visites de terrain, ce sont quelques aspects du passé des villes et villages de la région de Stenay-Montmédy-Marville qui seront évoqués au cours des deux journées proposées.
Courriel : archives.municipales@stenay.fr
Samedi 5 octobre 2013 à STENAY
Samedi matin, 9 h 30 : salon d’honneur de l’Hôtel de Ville de Stenay
v Accueil par Stéphane PERRIN, maire de Stenay, conseiller général du canton de Stenay
J Jacques LE ROUX et Dominique HARMAND
Entre Stenay et Montmédy : des Côtes et des Causses
v Franck MOUROT
Les sites archéologiques gallo-romains du Nord meusien
v Hervé HUTZINGER
Attila est-il passé à Stenay et Montmédy ? La Ciuitas Verodunensium dans l'Antiquité tardive
Samedi après-midi, 14 h : salon d’honneur de l’Hôtel de Ville de Stenay
v Nicolas LEMMER
Situation et évolution des prévôtés de Stenay et de Marville durant la Renaissance, étude comparative
v Philippe VOLUER
Les activités économiques à Stenay du XVIIe au XIXe siècle
v Laurent JALABERT
La ville en guerre au XVIIe siècle : se battre et se rendre dans la guerre de siège entre Meuse et Othain
v Jean-Paul STREIFF
1814-1820, occupation et répression
v Franck MOUROT et Nicolas LEMMER
Visite guidée de l’exposition « Les arts de la table à la Renaissance » au Musée Européen de la Bière
Dimanche 6 octobre 2013 à MONTMÉDY
Dimanche matin, 10 h : rendez-vous devant l’église de Marville
v Annie TOSI et l’association Marville Terres Communes
Visite guidée de Marville et de plusieurs maisons classées en cours de restauration
Dimanche après-midi, 14 h : salon d’honneur de l’Hôtel de Ville de Montmédy
v Accueil par Claude LÉONARD, conseiller général du canton de Montmédy, Yves LECRIQUE, maire de Montmédy et Jean-Marie BRADFER, président de la Codecom du Pays de Montmédy
v Jean LANHER
Le français tel qu’on le « cause » à Montmédy au XXIe siècle
v Charles KRAEMER
Entre évêchés et principautés : morphogenèse et développement urbain de quelques bourgs médiévaux du Nord-Meusien
v Hugues MARSAT
Guerre et religion dans le Nord-Meusien dans la deuxième moitié du XVIe siècle
v Michel MAIGRET
Benoîtons contre Féburiens: épisodes de la vie politique dans l'arrondissement de Montmédy au début du XXe siècle (1910-1914)
v Alain CESARINI
Le massacre de la garnison de Montmédy à Brandeville en août 1914
v Laurent JALABERT
Conclusion
ENTRÉE LIBRE
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Rentrée des Europa Scouts nancéiens
Les troupes Europa Scouts de la IIe Nancy Bienheureuse Alix Le Clerc et de la IIIe Nancy Bienheureux Charles de Foucauld ont fait leur rentrée au domaine du Tremblois, à Laneuvelotte, sympathiquement accueillies par le maître des lieux, Jean-Marie Cuny.
Après la projection des vidéos des camps de l'été, les responsables d'unités se sont présentés et ont accueilli les nouvelles recrues.
Les cérémonies officielles, en présence de l'abbé Stemler, aumônier des Europa Scouts lorrains, de l'abbé Husson, des parents et amis, se sont déroulées dans le parc arboré de la propriété. Elles ont vu la montée chez les scouts et guides de plusieurs jeunes garçons et filles.
Les unités accueillent cette année plusieurs nouveaux louveteaux et louvettes. Elles ne demandent qu'à croître !
‡ Renseignement et inscription : europascouts.nancylorraine_enf@yahoo.fr
Quelques images de cette journée de rentrée...
[clichés ©H&PB]
Le scoutisme pour tous !
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Nancy : un nouveau Musée Lorrain pour 2020
État, ville et Région étaient ensemble récemment à Nancy pour lever le voile sur l’esquisse qui a remporté le concours d’architecture concernant la rénovation du musée lorrain.
Autour de Laurent Hénart, adjoint à la culture, Jean-Pierre Moinaux, vice-président du Conseil régional de Lorraine, Frédérique Boura, directrice adjointe de la DRAC, Dominique Flon, président de la société d’histoire et d'archéologie de la Lorraine et du Musée Lorrain, a été présenté le projet lauréat porté par l’agence parisienne Dubois et associés. « Dans tous nos projets, notre philosophie est d’essayer de renforcer la qualité des lieux plutôt que de donner un effet architectural », explique l’architecte Philippe-Charles Dubois qui a rénové plusieurs musées en France, dont celui de Toulouse-Lautrec à Albi.
L’esprit est de redonner au musée et au palais ducal ses perspectives sur le parc de la Pépinière. Les bâtiments du fond du jardin vont ainsi disparaître au profit d’une longue aile d’accueil vitrée, transparente, depuis laquelle on accédera au musée par le sous-sol, comme au Louvre.
Le premier coup de pioche est prévu pour la mi-2015 avec une livraison programmée pour 2020. Le coût prévisionnel est estimé à près de 40 millions d’euros HT.
[d'après ER]
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15ème Journées d'études vosgiennes à La Bresse du 24 au 27 octobre 2013
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Sud-Ouest vosgien : mieux exploiter les richesses touristiques
[Vosges Matin]
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Des apparitions mariales en Lorraine