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Nos traditions - Page 26

  • Fête de Saint Blaise

    Saint Blaise est invoqué contre le mal de gorge.

    La messe de ce lundi 3 février était célébrée en mémoire de saint Blaise : à l'issue de la messe, les cierges et les aliments, sacramentaux destinés à la protection des fidèles, ont été bénits par le prêtre.

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    Saint Blaise, Musée Lorrain.

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    Bénédiction des cierges de Saint Blaise, église Marie-Immaculée.

     

    Per intercessiónem sancti Blásii, Epíscopi et Mártyris, líberet te Deus a malo gútturis, et a quólibet álio malo. In nómine Patris, et Fílii, et Spíritus Sancti. 

    [bénédiction des cierges de Saint Blaise] 

    Par l’intercession de saint Blaise, Évêque et Martyr, que Dieu vous libère de tout mal de gorge, et de tout autre mal. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.

     

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    Bénédiction des aliments, église Marie-Immaculée.

    [clichés ©H&PB]

     

  • Pays de Neufchâteau (88) : le plus vieux distillateur vosgien

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    [Vosges Matin]

  • La Nouvelle revue lorraine n° 24 : fidélité à la famille ducale

    lorraine,la nouvelle revue lorraine,jean marie cuny,habsbourg lorraineAprès le dépôt des reliques du Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine à la basilique Saint-Epvre de Nancy en décembre dernier, Jean-Marie Cuny nous livre dans l'édito' de la dernière livraison de La Nouvelle revue lorraine, une réflexion sur la fidélité des Lorrains à la famille ducale, celle-ci se prolongeant dans la dynastie des Habsbourg-Lorraine.

    Ce numéro hivernal nous offre, comme à son habitude, un sommaire éclectique :

    - Rêves d'artiste : Chantal Galiana, peintre nancéien

    - L'ancien trader est devenu maraîcher-arboriculteur

    - L'ermite de Prény

    - Quand la fille aînée de Louis XV guignait le duché de Lorraine

    - La Fabrique du Glorieux Saint-Hubert

    - Louis-Adélaïde de Bourbon-Condé

    - Les dentellières

    - Barrès inspiré

    - Prénom : Valéry

    - Le chasse-neige

    - Le repos du Poilu

    - le pavillon du jardin Grignan à Moulins-lès-Metz

    - Les portes monumentales dans les villages du sud de la Lorraine

    - Les reliques du Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine à la basilique Saint-Epvre

    ... Et les traditionnelles rubriques : les info's en vrac, les livres, Entre nous...

     

    La Nouvelle revue lorraine est disponible sur abonnement (38 €, 6 numéros) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (à l'ordre de "SEP Helenus") à : La Nouvelle revue lorraine, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Fête de la Purification de la Sainte Vierge

    Le quarantième jour après Noël-Épiphanie, la fête de la Purification de la Vierge était célébrée à Jérusalem dès 386, la procession des cierges y fut ajoutée en 450. Au VIe siècle, la fête est reçue à Constantinople sous le nom d’ « Hypapantê », ou « rencontre » du vieillard Siméon et du Sauveur, Notre-Seigneur Jésus Christ.

    Quelques images de la messe de la Purification de la Vierge en l'église Marie-Immaculée de Nancy...

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    Bénédiction des cierges.

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    Encensement des cierges.

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    Distribution des cierges bénits aux fidèles.

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    Procession des cierges.

     

    Suscépimus, Deus, misericórdiam tuam in médio templi tui : secúndum nomen tuum, Deus, ita et laus tua in fines terræ : iustítia plena est déxtera tua.

    Magnus Dóminus, et laudábilis nimis : in civitáte Dei nostri, in monte sancto eius.

     

    [Introït de la messe de la Purification de la Sainte Vierge]

     

    Nous avons reçu, ô Dieu, votre miséricorde au milieu de votre temple : comme votre nom, ô Dieu, ainsi votre louange s’étend jusqu’aux extrémités de la terre : votre droite est pleine de justice.

    Le Seigneur est grand et digne de toute louange, dans la cité de notre Dieu, sur sa sainte montagne.

     

    [clichés ©H&PB]

  • Attention, danger pour nos enfants ! La "théorie du genre" à l'école

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    Le ministre de l'éducation nationale veut faire croire aux parents que la "théorie du genre" n'est pas enseignée dans les écoles. Mensonge !

    En réalité, cette théorie contre-nature, sous des formes diverses, intégrera définitivement les programmes officiels de l'éducation nationale à partir de la rentrée 2014 avec la complicité de plusieurs syndicats enseignants.

    Des centaines d'écoliers sont déjà victimes de ces programmes à titre expérimental.

    Sous couvert de « lutter pour l'égalité et contre les discriminations homophobes », l'éducation nationale considère que ces questions sont des priorités. C'est pourquoi désormais enseignants et militants 'LGBT' (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels) abordent en classe l'homosexualité, la bisexualité et la transsexualité.

    La pudeur et l'intégrité de nos enfants sont profondément attaquées par « la théorie du genre ».

    Cette théorie prétend que nous ne naissons pas homme ou femme mais que nous le devenons à cause des pressions sociales. A leurs yeux, c'est la société qui « construirait » le genre masculin ou le genre féminin, la nature n'y serait pour rien.

    Cette théorie dissocie ainsi notre corps sexué de notre identité de genre. Un homme qui se sent femme est du « genre féminin » peu importe son sexe... Une femme qui se perçoit homme est du « genre masculin » indépendamment de son corps. Pour les tenants de la « théorie du genre », on peut être par exemple de sexe masculin et de genre féminin ! Ce ne serait au fond qu'une question de choix personnel !

    Toutes les institutions sont touchées. Même l'école ! Surtout l'école ! Le pouvoir actuel prévoit de véritablement rééduquer nos enfants en les « arrachant au déterminisme familial », c'est-à-dire à leurs parents.

    Nos enfants n'appartiennent pas à la république socialiste !

     

    ‡ Plus d'info sur le site "Journée de Retrait de l'Ecole" : jre2014.fr 

  • Le Pays Lorrain : Renaissance en Lorraine, toujours et encore

    pays lorrain.jpgLe 4ème opus de la prestigieuse revue trimestrielle de la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée Lorrain, Le Pays Lorrain, clôt l'année 2013 avec un sommaire encore très "Renaissance", mettant ainsi un point final à l'année "Renaissance Nancy 2013".

    Au sommaire du n° 4 / 2013 :

    - Orfèvres et orfèvrerie en Lorraine, 1480-1630

    - Antoine de Lenoncourt, grand chancelier du chapitre de Remiremont

    - Les fêtes romaines de la béatification de Pierre Fourier

    - Les maladies, les traitements et la mort de Madame de Graffigny

    - Le couvent Notre-Dame-du-Chêne à Nancy et la restauration de l'Ordre des Frères Prêcheurs

    - Louis-Gilles, dit Gil Bureau, architecte de la reconstruction en Moselle

    - Renaissance de la chapelle de Libdeau

    - Redécouverte de deux vases japonais en porcelaine laquée au Musée de la Princerie de Verdun

    - La journée doctorale de la SHL et du Musée Lorrain : plusieurs communications présentées par des doctorants en histoire sur des thématiques d'histoire de la Lorraine

    ... Et les habituelles rubriques : la vie de la SHL et du Musée, la chronique régionale, les publications...

     

    ‡ Le Pays Lorrain est disponible sur abonnement (39 €, 4 numéros) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (à l'ordre de "Le Pays Lorrain") à : LE PAYS LORRAIN, PALAIS DUCAL, 64 Grande-Rue, 54000 NANCY.

  • Démolition programmée de l’église du Plateau de Mont-Saint-Martin

    Malgré l'opposition des habitants à la décision du diocèse de Nancy & de Toul, la démolition de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption, dite du Plateau, de Mont-Saint-Martin est imminente. Une Maison paroissiale doit être élevée en lieu et place de l’édifice construit en 1959 ; ce dernier étant devenu trop cher à entretenir face au faible nombre de fidèles.

    Eglise_plateau_Mont_St_Martin.JPGL’église a été construite en 1959 (date portée par la pierre de fondation et datation par source) par l'entreprise Bertoldi, de Longwy, sur des plans des architectes Zimmermann, Corre et Epron ; l'abbé Bettinelli étant curé. Elle a remplacé une chapelle construite en 1952 derrière l'école Notre-Dame-de-l'Assomption, située dans le nouveau quartier du plateau créé à partir de 1936 avec des cités-jardins et considérablement accru au lendemain de la guerre 1939-1945, en raison de la proximité des usines sidérurgiques de Mont-Saint-Martin et de Longwy. La construction de la nouvelle église a été cofinancée par les paroissiens, l'évêché de Nancy & de Toul et l'usine Lorraine-Escaut, qui a fourni une subvention pour l'achat du terrain. L'ensemble des verrières en dalles de verre a été réalisé par les ateliers Flamant d'Annet-sur-Marne (77) sur des cartons signés Gillen.

    -touche-pas-a-mon-eglise.jpgDes manifestants se sont rassemblés le jour théorique du lancement des travaux de déconstruction, afin de réaffirmer leur attachement à l’église. Il faut dire qu’il aurait été plus judicieux de la réaffecter à des fins culturelles (en veillant à ce qu'elle ne soit pas transformée en mosquée...) plutôt que de la détruire. Des dessins d’enfants, des images de la Vierge Marie, des fleurs et un crêpe noir ont été symboliquement accrochés aux grilles de protection du chantier.

    Outre la perte d’un symbole d'architecture chrétienne du XXe siècle, les opposants dénoncent un choix inadapté, aussi bien en termes de coûts que de services. En janvier 2011, une commission « immobilier » composée de décideurs et de représentants des sept paroisses du secteur pastoral du Pays-Haut a été créée. En juin 2012, un projet, élaboré et chiffré avec le concours d’un architecte lorrain, a obtenu l’approbation de la majorité des membres. Evalué à 450 000 euros, ce programme prévoyait de conserver l’église du Plateau en l’état actuel, voire de la vendre à la commune de Mont-Saint-Martin pour la reconvertir en centre culturel. L’investissement aurait alors principalement concerné la réhabilitation de la Maison paroissiale de Longwy-Haut et l’aménagement d’un espace situé sous l’église Saint-Barthélemy de Mont-Saint-Martin en salle de réunion pour 100 personnes. Mais le projet a été abandonné en septembre dernier. Le diocèse a alors décidé de procéder à la démolition de l’église et de construire une nouvelle Maison pastorale excentrée. Ce choix représente quant à lui une dépense de 750 000 euros.

    [source : blogerslorrainsengages.unblog.fr]

  • La "théorie du genre" : non, ça n'est pas une rumeur !

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    A propos de la "soi-disante" rumeur concernant la théorie du genre enseignée dans les écoles, le ministre de l'éducation nationale Peillon déclare : "Je demande aux chefs d'établissement, aux directeurs d'école, aux conseillers pédagogiques, aux inspecteurs de l'Education nationale de convoquer les parents qui ne mettent pas leurs enfants à l'école pour leur expliquer la réalité des choses et leur rappeler que dans notre pays, il y a une obligation scolaire à l'égard des enfants".

    Rappelons cette citation du ministre Peillon à propos de la théorie du genre qu'il déclare aujourd'hui n'être qu'une "rumeur" : 

    La « lutte contre les stéréotypes de genre et l’homophobie doit être menée avec force, à tous les niveaux d’enseignement. Les stéréotypes de genre doivent être remis en question dès l’école primaire », [extrait de son livre-programme "Refondons l'école", éd. du Seuil, 2013, page 128].

    Il prend vraiment les parents pour des buses !

     

    Oui à la différence naturelle entre l'homme et la femme !

    Non à la théorie du genre !

    Nos enfants n'appartiennent pas à la république !

  • Val-et-Châtillon, son passé, ses gens

    val et chatillon.jpgRoger Cornibé réédite sont ouvrage Val-et-Châtillon, son passé, ses gens.

    Cette nouvelle édition revue et enrichie couvre la longue période de 670 à 2012.

    Il s'agit d'une intéressante monographie qui contribue à faire découvrir la riche histoire humaine, économique et religieuse de la communauté de Val-et-Châtillon, commune de l'extrême sud-est meurthe-et-mosellan.

     

    ‡ Val-et-Châtillon, son passé, ses gens, Roger Cornibé, RC éditions, 2013, 231 p., ill. (20 €). L'ouvrage est disponible auprès de l'auteur, tél. : 03.83.42.67.92.

  • Mirecourt (88) : la relève des luthiers en question

    Six luthiers quinquagénaires et plus ont pignon sur rue à Mirecourt. Héritière d’une tradition séculaire dans la fabrication du quatuor à cordes, la cité a observé le départ en semi-retraite de Jean-Jacques Pagès, un symbole du renouveau de la lutherie en 1977.

    en-semi-retraite-jean-jacques-pages-cree-des-instruments-baroques-tout-en-preparant-un-livre-sur-le-savoir-faire-de-la-lutherie.jpgEn semi-retraite, Jean-Jacques Pagès crée des instruments baroques, tout en préparant un livre sur le savoir-faire de la lutherie.

    Le métier de luthiers se trouvait littéralement au creux de la vague dans les années 1960, avec seulement une cinquantaine de fabricants dans l’Hexagone. La cité mirecurtienne n’échappait pas à la règle avec seulement deux « survivants » créateurs d’instruments du quatuor à cordes (deux violons, un alto et un violoncelle) : Jean Eulry et René Morizot.

    L’installation d’un jeune luthier en 1977, Jean-Jacques Pagès, formé notamment à l’école nationale de lutherie de Mirecourt et chef d’atelier pendant sept ans chez le célèbre Etienne à Paris, coïncidait avec une nouvelle vague de luthiers. Sa retraite effective en septembre 2013, annonce la fin d’un cycle pour cet homme passionné.

    Depuis l’annonce de votre retraite, que faites-vous ?

    « Je me fais avant tout plaisir. C’est l’occasion pour moi de fabriquer des instruments baroques, un alto ou un violon piccolo par exemple, qui n’existent plus et j’éprouve énormément de joie à entendre les sons. Je considère la musique baroque comme exceptionnelle ; j’en écoute volontiers chez moi. D’autre part, je vais adopter un statut d’auto-entrepreneur ces jours-ci qui me permettra d’entretenir les instruments que j’ai fabriqués tout au long de ma carrière. »

    Êtes-vous déçu de ne pas avoir de successeur ?

    « Bien évidemment. Je n’ai pas trouvé de repreneur pour mon atelier ainsi que l’école de lutherie que j’avais créée en 2000, qui formait trois luthiers par an après un apprentissage de trois ans. Aucun d’entre eux n’a souhaité venir s’installer à Mirecourt. C’est même inquiétant pour la profession qui subit la crise économique actuelle. J’ai donc quitté mon atelier pour installer tout mon matériel juste en dessous de mon logement. En revanche, je conserve l’espoir d’un rebond. Lorsque je suis venu m’installer ici, en 1977, il ne restait plus que deux luthiers, René Morizot et Jean Eulry, ainsi que les frères Jérôme pour la fabrication de guitares. Étienne Vatelot, créateur de l’école de l’école nationale de lutherie en 1970, chez qui je travaillais à Paris, considérait que mon pari était audacieux, voire risqué. D’autres ont suivi ensuite le mouvement et la lutherie a survécu à Mirecourt. »

    Comment analysez-vous cette situation ?

    « Le manque d’attrait de la ville est incontestable. A cela, il convient d’y ajouter un contexte économique. Beaucoup d’élèves abandonnent en cours de route. Je suis inquiet pour l’avenir des luthiers à Mirecourt. L’implantation d’un grand musée, qui a failli voir le jour en 2001, aurait pu redonner du lustre à ce métier. Sachant qu’au XIXe siècle, Mirecourt était la référence mondiale du quatuor à cordes avec plus de 650 luthiers qui se sont succédé dans la cité. »

    La transmission du savoir-faire reste-t-elle d’actualité ?

    « N’ayant plus de contrainte de rentabilité, je vais profiter de mon nouveau statut pour écrire un livre dans lequel je rassemble toutes les techniques et l’expérience acquises au cours de ma carrière. Le luthier fabrique des violons mais il transmet en même temps ses connaissances aux jeunes générations. C’est grâce à ce rituel que la profession existe depuis des siècles. »

    [d’après Vosges Matin]

  • Des chalots à découvrir à vélo et à cheval

    lorraine,vosges,chalots,vôge,le val d'ajol,plombières les bains,fougerollesDes vélos en 2013. Et des chevaux en 2014 ? L’idée fait son chemin au sein de l’association de la route touristique des chalots, ces annexes des fermes utilisées comme greniers pour la conservation du grain, de la nourriture et des trésors de la famille. Cet été, six vélos électriques ont été proposés à la location sur les communes de Plombières et du Val-d’Ajol. Une idée novatrice et séduisante qui pourrait s’étendre au-delà des frontières du département.

    « Nous avons été sollicités par des maires de la partie franc-comtoise de la route, entre Fougerolles et le plateau des Mille Etangs. C’est une activité accessible à tous qui offre la possibilité de découvrir la nature autrement », atteste Ludovic Daval, le président de l’association.

    Lequel annonce également qu’en 2014, chaque locataire de vélo se verra remettre un carnet de bord proposant une série de différents circuits.

    Bientôt, les vélos pourraient d’ailleurs côtoyer les chevaux. « On réfléchit à établir un circuit de promenades équestres sur tout le territoire. On a la chance d’avoir beaucoup de fermes équestres sur la route des chalots et cela permettrait de proposer des circuits plus longs », poursuit Ludovic Daval. Ce projet pourrait voir le jour entre 2014 et 2015.

    Pour mémoire, quelque 300 chalots sont actuellement recensés sur le territoire dont une grande majorité à Fougerolles et au Val-d’Ajol.

    Dans le parc de l’hôtel-restaurant La Résidence au Val-d’Ajol, un étang a été creusé et, autour, trois chalots ont été construits. « Les chellos de Marie » (« chalots » en patois vosgien) seront proposés à la location à partir du 1er mai. Un projet que la propriétaire des lieux, Marie Bongeot, avait en tête depuis un bon moment. L’hôtel ajolais entend également planter, dans le parc, des arbres fruitiers avec, comme objectif, de mettre en valeur le patrimoine régional.

    [d’après Vosges Matin]

  • A Paris le 2 février contre la théorie du genre

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  • Bleurville (88) : le repas de la Saint-Maur des aînés

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    [Vosges Matin]

  • Le Parc naturel régional entre Saône et Meuse

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    [Vosges Matin]

  • Laneuvelotte (54) : week-end des Europa Scouts au Tremblois

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  • L’exposition « L’Art du Geste » les 18 et 19 janvier à Epinal

    L’exposition "l’Art du Geste" présentée à la Cité de l’Artisanat et de l’Entreprise 22 rue Léo Valentin à Epinal est ouverte de 14h00 à 18h00 samedi 18 et dimanche 19 janvier prochains.

    epinal.jpgElle rassemble des photos d’ateliers de menuiserie en siège de Liffol-le-Grand et quelques-unes de leurs productions exceptionnelles : La somptueuse méridienne « Sirène » de l’entreprise Henryot et Cie (3,20 m de long), la bergère à dôme en hêtre naturel sablé créée par Philippe Starck pour la boutique Baccarat à Moscou, le fauteuil en Corian, modèle de Partick Jouin réalisé pour les parties communes du Plaza Athenee, le fauteuil SEA SHELL réalisé pour les Yachts design Remi Tessier en fibre de verre plaqué ébène de macassar brillant, piétement en inox poli miroir, garniture cuir, produits par la société Laval. D’autres pièces remarquables des ateliers Yvon Hesse, Delaroux, Chemin, sont également exposées, illustrant des styles aussi différents que du Louis XIV, du Louis XVI et de l’Art Déco. Tous ces ateliers sont labellisés EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant).

    L’exposition montre aussi les pièces de concours de trois Meilleurs Ouvriers de France vosgiens en sculpture, ébénisterie et menuiserie en siège. Elle réunit également des créations artisans designers, dont la série de meubles de Framatec à Dinozé, avec le designer Jean-Luc Antoine.

    Démonstrations de tapisserie-décoration par Emmanuelle Cuny et de sculpture par Thierry Choppin. Visite guidée de l’expo' de photos avec le photographe Pascal Bodez dimanche 19 janvier entre 15 et 16h00.

     

    ‡ Entrée libre. Toutes les informations sont sur www.cma-vosges.fr

  • A Paris le 2 février pour défendre la famille

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  • Fête de saint Maur, patron secondaire de Bleurville

    Ce 15 janvier, l'Eglise fait mémoire de saint Maur, abbé de l'ordre bénédictin et disciple de saint Benoît.

    Il fut choisi comme patron secondaire de la paroisse de Bleurville en souvenir de l'abbatiale bénédictine du village (XIe s.) qui lui était dédiée.


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    Saint Maur, pierre polychrome, XVIIe s., église de Bleurville (classée MH).

     

    Intercéssio nos, quǽsumus, Dómine, beáti Mauris Abbátis comméndet : ut, quod nostris méritis non valémus, eius patrocínio assequámur. 

    [Collecte pour la messe du commun des abbés, mémoire de saint Maur, Missel de 1962]

     

    Que l’intercession du bienheureux Abbé Maur, nous recommande, s’il vous plaît, auprès de vous, Seigneur, afin que nous obtenions, par son patronage, ce que nous ne pouvons attendre de nos mérites.


  • Pays de la Saône vosgienne : des voeux... et des inquiétudes

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    [Vosges Matin]

  • Messe de l'Epiphanie en l'église Marie-Immaculée de Nancy

    lorraine,nancy,église marie immaculée,épiphanie,chapellenie bienheureux charles de lorraine,abbé munier,abbé hussonCe dimanche 12 janvier 2014, l'Eglise fête la solennité de l'Epiphanie dans le calendrier liturgique du rite extraordinaire. A cette occasion, l'église Marie-Immaculée accueillait, pour la première fois depuis son affectation à la chapellenie Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine, le vicaire général du diocèse, M. l'abbé Jean-Michaël Munier. La messe était célébrée par l'abbé Florent Husson, chapelain.

    C'est devant une nef comble et en présence des troupes des Europa Scouts que l'abbé Munier donna l'homélie. Par ailleurs, en vertu du pouvoir conféré par Mgr Papin, évêque de Nancy & de Toul, il installa officiellement l'abbé Husson dans son ministère de chapelain en charge de la communauté latine du diocèse.

    La messe fut suivie, dans les salles du lycée professionnel Marie-Immaculée, du partage de la galette offerte par l'association Saint-Brunon. Le vicaire général remit les lettres de mission aux membres de l'équipe d'animation pastorale ; ceux-ci sont chargés d'assister le chapelain dans l'organisation de la vie pastorale de la chapellenie.

    Quelques images de la fête de l'Epiphanie...

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    [clichés ©H&PB]

  • Traditions de l'Epiphanie en Moselle

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  • Images d'Epinal

    images epinal.jpgDes images d'Epinal, nous connaissons les devinettes, les histoires pour enfants sages, les poupées à habiller, les images de saints, les feuilles de soldats... Mais la liste est bien plus longue ! Cartes à jouer, architectures de papier, théâtres, portraits de rois ou d'empereurs... sont tout aussi attachants et étonnants.

    Fruit des recherches menées par le Musée de l'Image d'Epinal, dont les collections françaises ou étrangères comptent désormais plus de 110 000 images, ce magnifique album tout en couleur nous raconte l'histoire de ces images. Et des ateliers d'imagiers d'Epinal. Ces créations nous ont accompagnées depuis plus de trois siècles et nous révèlent d'une manière insoupçonnée l'histoire de notre société.

    Martine Sadion, la conservatrice du Musée de l'Image, a choisi de publier des images imprimées entre 1664 et les années 1930. Elle s'arrête à l'époque où l'image était partout : l'image était une porte ouverte sur le monde.

    L'ouvrage propose un regard étonné et émerveillé sur le monde et sur la société d'hier. Un ouvrage à lire et à regarder avec curiosité, ferveur et passion.

     

    ‡ Images d'Epinal, Martine Sadion, éditions de La Martinière - Le Musée de l'Image | Ville d'Epinal, 2013, 192 p., ill. (29 €).

  • Les Lorrains célèbrent leur histoire : 537ème anniversaire de la Bataille de Nancy

    C'est sous une météo particulièrement clémente que les Lorrains ont participé ce dimanche 5 janvier 2014, au pied de la Croix-de-Bourgogne à Nancy, à la fête nationale qui commémore l'anniversaire de la Bataille de Nancy qui mit un terme au projet impérialiste du Grand Duc d'Occident Charles le Téméraire et qui vit également sa mort sous les murs de la cité ducale.

    Cette année encore, un fidèle Lorrain était présent en armure et avec bannière lorraine déployée, rappelant la geste de René II, notre vaillant duc, le "tombeur" du Téméraire.

    Depuis 1977, Jean-Marie Cuny et l'association Mémoire des Lorrains invitent les fidèles Lorrains à se rassembler chaque 5 janvier sur la place de la Croix-de-Bourgogne, lieu même où fut retrouvé, à l'issue de la Bataille de Nancy, le cadavre à demi dévoré de Charles le Téméraire ; bataille qui, rappelons-le, mit un terme final au rêve de nouvelle "grande lotharingie" du duc de Bourgogne.

    Comme à son habitude, Jean-Marie Cuny, l'infatigable défenseur de l'identité et de l'histoire de la Lorraine et - accessoirement - animateur de La Nouvelle revue lorraine (qui fête ses 40 ans cette année !), a harangué la centaine de participants - dont de nombreux jeunes - en fustigeant notamment la disparition de l'enseignement de l'histoire, la destruction de la société fondée sur la famille et la volonté de couper les français de leurs racines. Il a rappelé, fort à propos, la déclaration de SAIR Otto de Habsbourg-Lorraine, descendant de notre dernier duc de Lorraine, sur la nécessité de connaître son passé pour mieux se préparer à vivre l'avenir.

    A l'issue, le feu d'artifice fut tiré et le vin chaud partagé dans une joyeuse ambiance.

    Et vive la Lorraine !

     

    ‡ Consultez la harangue de Jean-Marie Cuny ici Harangue JMC_5 janvier 2014.pdf

     

    Quelques images de la fête nationale des Lorrains 2014...

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    [clichés ©H&PB]

     

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    Clin d'oeil : René II junior sur son fidèle destrier, vainqueur du Téméraire [cliché & costume de ©Légendes Lorraines].

  • Nancy : messe pour le roi Louis XVI le 19 janvier 2014

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    "Faire du bien, entendre dire du mal de soi patiemment, ce sont là des vertus de Roy", Louis XVI.


    A l'initiative des associations USRL et La Lorraine royaliste,

    messe pour le repos de l’âme du roi Louis XVI

    dimanche 19 Janvier 2014 à 10h30

    église Marie-Immaculée

    33 avenue du général Leclerc à Nancy

  • Visite à la Crèche

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    Crèche de l'église Saint-Pierre-aux-Liens de Bleurville (paroisse Notre-Dame de la Saône).

     

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    Crèche de l'église Marie-Immaculée de Nancy (chapellenie Bhx Charles de Habsbourg-Lorraine).

     

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    Crèche de la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy (paroisse Notre-Dame de Bonne Nouvelle).

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    Crèche de la basilique Saint-Epvre de Nancy (Pères de l'Oratoire Saint-Philippe Néri).

    [cliché ©H&PB]

  • Bonne année 2014 !

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    Bonne année

    et bonne santé

    à tous nos lecteurs !


    ... et avec les souhaits de bonne année de Jean-Marie Cuny, directeur de La Nouvelle revue lorraine

    Bon An neuf 2014.pdf

  • Le 537e anniversaire de la Bataille de Nancy célébré le 5 janvier 2014

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    Harangue de Jean-Marie Cuny au pied de la Croix-de-Bourgogne lors de la Fête des Lorrains 2013 [cliché archives ©H&PB]

     

    L'association Mémoire des Lorrains invite toutes les Lorraines et tous les Lorrains à participer dans une joyeuse ambiance à la commémoration de la Bataille de Nancy dimanche 5 janvier 2014, veille de l'Epiphanie.

     

    Programme de la Fête nationale des Lorrains à Nancy

     

    10h30 – Messe en l’église Marie-Immaculée (33 avenue du Général Leclerc à Nancy) dite pour le repos de l’âme des collaborateurs décédés de La Revue lorraine populaire / La Nouvelle revue lorraine depuis 40 ans

    18h30 – Rassemblement place de la Croix-de-Bourgogne

    ‡ 19h00 – Harangue de Jean-Marie Cuny suivie du feu d'artifice et partage du vin chaud