Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Nos traditions - Page 28

  • Guérisseurs contre sorciers dans la Lorraine du XXIe siècle

    guérisseurs.jpgSorciers, envoûteurs, ensorceleurs, jeteurs de sorts...

    Que savons-nous de ces êtres capables d'actes de magie maléfique qui nous dépassent ? Sont-ils encore à craindre ? Quels sont leurs pouvoirs ? En ce début du XXIe siècle, quelles manifestations sont imputées à la sorcellerie ? Existe-t-il des personnes capables de les maîtriser, de les combattre ?

    L'auteur a mené une enquête de terrain en Lorraine durant six années. Elle a rencontré des dizaines de guérisseurs-désenvoûteurs qui ont bien voulu livrer leurs secrets et leurs savoirs en matière de sorcellerie et de désenvoûtements.

    Sa présence aux rituels de contre-sorcellerie auxquels ils se livrent régulièrement lui a permis de faire la connaissance des victimes de sorts qui associent leur maladie, leur symptôme et leur malheur aux actions d'un puissant sorcier.

    Illustré par de nombreux témoignages et des observations, cet ouvrage dévoile les aspects surprenants de la sorcellerie contemporaine.

    Déborah Kessler-Bilthauer est docteur en ethnologie et chercheur au Laboratoire lorrain de sciences sociales. Elle enseigne l'ethnologie et la sociologie à la Maison des Sciences de l'Homme de l'université de Lorraine.

     

    ‡ Guérisseurs contre sorciers dans la Lorraine du XXIe siècle, Déborah Kessler-Bilthauer, éditions Serpenoise, 2013, 276 p., ill. (20 €).

  • Bleurville (88) : le Club vosgien entretien ses chemins de randonnées

    club vosgien.jpg

    [Vosges Matin]

  • "La Barrette de Marie-Immaculée" de décembre

    marie immaculée.jpg

    Sortie de la première messe en l'église Marie-Immaculée de Nancy [cliché ©Y. Masson]

     

    La communauté latine attachée à la chapellenie Bienheureux Charles de Lorraine-Habsbourg de Nancy vous propose son bulletin paroissial de décembre :

    http://chapellenie-bhx-charles-nancy.com/IMG/pdf/bulletin_52_201312_site.pdf

  • Le patrimoine chrétien, témoin de la foi dans les Vosges

    vosges.jpg

  • Saint-Avold de la préhistoire à nos jours

    st avold.jpgSaint-Avold a connu en plus de 1500 ans une histoire riche et mouvementée. Fondée selon une légende vers 506-520, par la création d'un oratoire attribué dit-on, au moine Fridolin. Une modeste abbaye se développe sous les souverains carolingiens pour devenir un important monastère bénédictin, enrichi et protégé par les évêques de Metz qui y déposent les reliques  de saint Nabor. C'est autour de cette abbaye évêchoise que naît une ville qui prendra le nom du monastère.

    Aux XIVe et XVe siècles, la cité, située à un croisement routier majeur, croît pour devenir un important centre commercial et administratif du temporel épiscopal. La ville et sa seigneurie intègrent le duché de Lorraine en 1581 et connaissent un âge d'or grâce à l'attrait des foires naboriennes et de son commerce. Cette phase d'expansion est brutalement interrompue par les guerres qui ravagent l'espace lorrain au XVIIe siècle. Une lente reconstruction s'amorce au début du XVIIIe siècle symbolisée par de belles demeures sobres et élégantes en pierre de taille aux portes sculptées.

    Française en 1766, la ville devenue chef-lieu de canton en 1790, connaît après une période révolutionnaire troublée, un déclin car l'industrialisation ne s'amorce que très lentement au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. La création de la voie de chemin de fer Metz-Sarrebrück en 1851-1852, assoit la prospérité du négoce local. Intégrée au IIe Reich en 1870, Saint-Avold connaît une grande prospérité liée à la présence de l'armée allemande qui y installe toute une ceinture de casernes. La bourgade affirme son caractère urbain et se dote alors d'équipements modernes.

    Française en 1918, elle ne connaîtra que peu de changements durant l'entre-deux-guerres. L'exploitation charbonnière qui a débuté lentement à la fin du XIXe siècle s'accentue et la société houillère Sarre-et-Moselle construit pour les ouvriers majoritairement polonais, la cité Jeanne-d'Arc en 1927-1930. Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville paye un lourd tribut : le cimetière américain le plus grand d'Europe témoigne des sacrifices consentis par les militaires américains pour libérer l'Europe. Ce n'est que dans les années 1950-1960 que se développe le pôle carbo et pétrochimique de Carling. La ville voit alors se créer de nouveaux quartiers et intègre en 1965 le village de Dourd'hal.

    Un bel ouvrage copieusement illustré pour découvrir l'histoire de cette commune mosellane.

     

    ‡ Saint-Avold de la préhistoire à nos jours, Pascal Flaus, éditions Serpenoise, 2013, 277 p., ill. (29 €).

  • Saint Nicolas fêté à Saint-Nicolas-de-Port

    st nicolas.jpg

  • Fausse médaille miraculeuse…

    Médaille_miraculeuse.jpgComment on le sait, lors de ses apparitions à Paris (rue du Bac) en 1830, la Vierge Marie a demandé à Catherine Labouré de faire frapper une médaille suivant le modèle qu'elle a donné et à promis des grâces à ceux qui la porteront.

    Or, voici que depuis un certain temps, de fausses médailles miraculeuses sont vendues partout dans le monde. Celles-ci, - oeuvre de la franc-maçonnerie ? -, sont hélas très répandues et beaucoup de gens de bonne foi n'y voient que du feu. Croyant se procurer un objet de piété, ils se retrouvent avec un objet qui porte ni plus, ni moins, des symboles sataniques !

    fausse medaille.jpgVoici donc quelques indications qui caractérisent la fausse médaille :

    1- Le ‘M’ n'est plus vertical mais incliné et voit sa position inversée, retournée.

    2- L'épée ne transperce plus le cœur.

    3- Celui-ci n'est plus réellement un cœur mais un triangle couronné surmonté d'une tête à double cornes.

    4- Le sommet de la croix est porteur d'une tête satanique.

    5- Une étoile a été ajoutée au-dessus du visage de Marie.

    6- Le ‘M’ est rayé par des traits en travers.

    Prudence donc ! Même dans les lieux mariaux, on risque de se faire berner par cette fausse médaille. Comme on le voit, le démon ne ménage pas ses efforts pour tromper ceux qui, malgré les ricanements de certains membres du clergé, manifestent avec raison une piété salutaire à travers les sacramentaux.

    Jean-Pierre Snyers

    jpsnyers.blogspot.com 

     

  • La représentation du massif vosgien (1670-1870)

    lorraine,vosges,massif,montagne,montaigne,victor hugo,marie josé laperche fournelA l'âge classique, les Vosges, modeste massif situé au nord-est de la France, n'inspirent au mieux qu'indifférence, au pire aversion, et ne sont, pour la plupart, à l'instar des autres montagnes de l'Europe, d'un ailleurs répulsif, le monde de l'âpreté, de la laideur, voire de la sauvagerie. Car, à l'effroi qu'inspire la nature répond l'horreur que suscite chez le voyageur citadin la vision du montagnard vosgien.

    Deux siècles plus tard, en revanche, au temps du romantisme, la montagne vosgienne et ses habitants sont devenus objet d'étude et de passion, source de jouissance et de délectation esthétique.

    Entre ces deux périodes - 1670 à 1870 - a eu lieu le basculement du discours et la conversion du regard à de nouveaux modèles d'appréciation, à des visions nouvelles dont l'auteur s'efforce de saisir les genèses et les déterminants.

    A travers les discours des savants, praticiens, administrateurs et surtout voyageurs, érudits, mondains ou bien esthètes, c'est une histoire des représentations qu'on propose au lecteur : des représentations que les hommes à différents moments se son fait du massif, véritable reconstruction du paysage vosgien et de ses habitants par le regard d'autrui.

    Espace perçu, rêvé, représenté, la montagne vosgienne est aussi un espace vécu que chacun construit en fonction de la représentation qu'il en a.

     

    ‡ La représentation du massif vosgien (1670-1870), Marie-José Laperche-Fournel, éditions L'Harmattan, 2013, 250 p., ill. ( 27 €).

  • Un nouveau lieu de culte catholique à Nancy : l'église Marie-Immaculée

    "Il y a des demeures nombreuses dans la maison de mon Père" (Jn., 14, 2). Nancy compte en effet depuis ce dimanche 24 novembre une nouvelle église où se célèbre le Saint Sacrifice de la messe. Une première dans la ferveur et la joie pour la toute nouvelle Chapellenie Bienheureux Charles Ier de Habsbourg-Lorraine.

    Eglise Marie-Immaculée_premiere messe_24.11.13 001.jpgLe diocèse de Nancy & de Toul a confié à M. l'abbé Florent Husson, prêtre diocésain, la responsabilité de la chapellenie qui rassemble la communauté attachée à la célébration de la messe selon le Missel publié par Jean XXIII en 1962. Jusque-là, les offices étaient célébrés en l'église Saint-Pierre, avenue de Strasbourg. Désormais, l'ancienne église des Oblats de Marie-Immaculée, située avenue Général Leclerc, accueille les activités de la chapellenie. Cette église - construite au milieu du XIXe siècle - est la propriété de la congrégation des Soeurs de Saint-Charles.

    lorraine,nancy,chapellenie bienheureux charles de lorraine habsbourg,charles d'autriche,abbé husson,catholique,église,marie immaculée,soeurs de saint charlesRappelons que, selon le droit de l'Eglise, une chapellenie dispose d'une certaine autonomie spirituelle et matérielle. Son "terrain d'action" n'est pas circonscrit à un périmètre paroissial ; la communauté accueille tous les croyants qui souhaitent prier selon le rite liturgique défini par le Concile de Trente.

    Après plusieurs semaines de travaux et d'aménagements imposés par la longue inutilisation de l'édifice cultuel, l'église Marie-Immaculée accueillait ce dimanche les fidèles venus nombreux, dont une délégation des guides Europa-Scouts de Nancy. Liturgie parfaitement réglée, chorale dirigée de main de maître par le chef de choeur, M. Paul Thiébaut, la Sainte Messe, fervente et priante, fut stimulée par le sermon tonique de l'abbé Husson, nouveau Bossuet retrouvant la chaire à prêcher abandonnée depuis des lustres !

    A l'issue de la messe, les fidèles étaient invités à partager le vin d'honneur servi dans les locaux des Soeurs de Saint-Charles mis gentillement à la disposition de la Chapellenie. A cette occasion, l'abbé Husson a remercié les religieuses, bien sûr, pour leur excellente collaboration, l'architecte ayant mené les travaux à l'église, Mme Hennequin, ainsi que tous les bénévoles qui n'ont ménagé ni leur temps ni leurs efforts pour que l'église soient prête pour cette première messe.  Ad majorem Dei gloriam !

    Quelques images de cette messe...

     

    lorraine,nancy,chapellenie bienheureux charles de lorraine habsbourg,charles d'autriche,abbé husson,catholique,église,marie immaculée,soeurs de saint charles

    Le choeur de l'église Marie-Immaculée.

     

    lorraine,nancy,chapellenie bienheureux charles de lorraine habsbourg,charles d'autriche,abbé husson,catholique,église,marie immaculée,soeurs de saint charles

    Le portrait du Bhx Charles de Habsbourg-Lorraine à l'honneur.

    lorraine,nancy,chapellenie bienheureux charles de lorraine habsbourg,charles d'autriche,abbé husson,catholique,église,marie immaculée,soeurs de saint charles

    Encensement du Saint Evangile.

    lorraine,nancy,chapellenie bienheureux charles de lorraine habsbourg,charles d'autriche,abbé husson,catholique,église,marie immaculée,soeurs de saint charles

    A l'élévation.

    lorraine,nancy,chapellenie bienheureux charles de lorraine habsbourg,charles d'autriche,abbé husson,catholique,église,marie immaculée,soeurs de saint charles

    Ite missa est.

    lorraine,nancy,chapellenie bienheureux charles de lorraine habsbourg,charles d'autriche,abbé husson,catholique,église,marie immaculée,soeurs de saint charles

    Pendant le chant final.

    [clichés ©H&PB]

     

    >> Plus d'infos et de photos sur 

    http://chapellenie-bhx-charles-nancy.com 
  • Saint-Nicolas-de-Port (54) : 768e procession en l'honneur de Saint Nicolas le 7 décembre

    st-nicolas-pelerinage.jpg

     

    768ème procession ancestrale en l'honneur de Saint Nicolas, patron de la Lorraine

    samedi 7 décembre 2013 à 20h30

    en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port

  • La nouvelle guerre de religion mondiale

    Thierry Desjardins, journaliste et reporter, directeur général adjoint du Figaro, nous fait part de ses réflexions concernant la nouvelle guerre de religion qui menace le monde.

    coran.jpg« Il serait grand temps que nous nous apercevions – enfin - qu'une nouvelle guerre de religion a éclaté et, cette fois, à l'échelle planétaire.

    Les islamistes massacrent les chrétiens en Égypte, en Irak, aux Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigeria, un peu partout. Malraux avait dit : « Le XXIème siècle sera religieux ou il ne sera pas ».

    On a bien l'impression que ce siècle qui commence va voir le déchaînement sans pitié d'un Islam renaissant, voulant dominer le monde et faire payer à la civilisation chrétienne les quelques siècles pendant lesquels elle a régné sur la planète.

    Cette haine du chrétien dépasse de beaucoup tous les problèmes de la foi. En s'attaquant aux églises, aux prêtres, aux religieuses, aux fidèles, les islamistes veulent abattre la civilisation occidentale, la démocratie, le capitalisme, ce qu'ils appellent le « néo-colonialisme », la parité hommes femmes, les Droits de l'Homme, le progrès tel que nous le concevons.

    Le XXème siècle a été marqué par l'affrontement Est-Ouest, le bloc communiste contre les pays « libres ». Marx, Lénine et Staline se sont  effondrés d'eux-mêmes sous les incohérences, bien souvent monstrueuses, de leur idéologie. Mais ils ont aussitôt été remplacés par Allah et son Prophète.

    Le Coran a pris la place du Communisme, le drapeau vert de l'Islam celle du drapeau rouge, les imams prédicateurs des mosquées celle des commissaires politiques.

    Le XXIème siècle sera une guerre sans merci car les foules immenses du Tiers-monde islamisé (et des banlieues de nos grandes métropoles) sont autrement plus dangereuses que ne l'ont jamais été les chars du Pacte de Varsovie.

    Nous pleurons, avec nos larmes de crocodiles habituelles, les coptes massacrés à Alexandrie et les chrétiens assassinés à Bagdad.

    Mais nous restons les bras ballants.

    Il faut bien dire qu'on voit mal ce que nous pourrions faire. Ce n'est plus guère le temps des croisades et nos dernières expériences en Afghanistan ou en Irak (où nous commençons à regretter la belle époque de Saddam Hussein qui savait, lui, au moins, faire respecter la laïcité baasiste) n'ont pas été très concluantes, c'est le moins qu'on puisse dire. Il est bien loin le temps où Napoléon III pouvait envoyer un corps expéditionnaire protéger les maronites du Liban que massacraient les Druzes.

    Mais au moins restons lucides et surtout arrêtons de ressortir une fois de plus la fameuse « repentance » qui nous sert désormais pour maquiller toutes nos lâchetés.

    L'autre jour, un imbécile de service nous a longuement expliqué à la télévision que si les islamistes égyptiens massacraient les coptes c'était parce que ces chrétiens de la vallée du Nil étaient « les représentants de l'Occident », les ambassadeurs de la culture européenne, les symboles vivants du capitalisme, du néocolonialisme, du dollar et du coca-cola. En un mot, les ultimes survivants de l'époque coloniale. Autant dire, à l'en croire, que les islamistes avaient parfaitement raison de vouloir éliminer ces survivances d'un passé détesté.

    Les coptes sont les descendants du peuple des pharaons. « Copte » veut dire « égyptien ». Ils étaient sur les bords du Nil bien avant la conquête arabe et musulmane. S'ils sont plus nombreux au sud, entre Assiout et Assouan, c'est précisément parce qu'ils ont fui les cavaliers conquérants venus d'Arabie. Ils avaient leurs églises bien avant que nous ne construisions nos cathédrales.

    On peut d'ailleurs dire exactement la même chose de tous les chrétiens d'Orient qu'ils soient catholiques (de rite d'Antioche, de rite syriaque comme les maronites libanais, de rite byzantin, de rite arménien, de rite d'Alexandrie) ou « non chalcédoniens » comme les coptes, ou orthodoxes (ayant leur patriarcat soit à Istanbul, soit à Alexandrie, soit à Jérusalem, soit à Damas). Tous sont « chez eux » dans ces pays-là depuis des millénaires, certains parlant encore l'araméen, la langue du Christ. En faire des ambassadeurs de l'Occident, des représentants du capitalisme colonial est évidemment une absurdité.

    Même si, en effet, ils sont « de culture chrétienne ». Mais ils l'étaient avant nous. Nous ne pouvons rien faire pour les protéger, mais au moins ne les trahissons pas en reprenant à notre compte les accusations odieuses de leurs assassins. Nous pouvons les accueillir, comme nous nous devons d'accueillir tous ceux qui sont persécutés. Beaucoup ont déjà fui leur pays.

    Mais, en tous les cas, ne continuons pas à nous boucher les yeux, à parler de « l'amitié islamo-chrétienne », d'un « Islam à l'occidentale », de « la cohabitation harmonieuse des trois monothéismes ».

    Soyons intransigeants avec les règles de notre laïcité, mais ne nous laissons entraîner ni vers la stigmatisation ni vers la discrimination (surtout si elle devait être « positive », comme le souhaitent certains), car ce serait, évidemment, faire le jeu des fanatiques.

    Aujourd'hui, la grande mode est d'évoquer, d'invoquer à tout bout de champ "les années les plus sombres de notre histoire". C'est souvent absurde et parfois odieux. Mais s'il y a une leçon qu'il ne faut jamais oublier c'est bien celle de Munich, Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux.»

    Il ne faut jamais tenter de pactiser avec ceux qui vous ont déclaré la guerre. »

  • Nancy : première messe à Marie-Immaculée le 24 novembre

    mi-ncy.jpg

    Eglise Marie-Immaculée affectée à la communauté Summorum pontificum de Nancy [cliché ©H&PB].

     

    La communauté catholique latine de Nancy vous invite à la première messe célébrée dans son nouveau lieu de culte nancéien, l’église Marie-Immaculée (angle quai de la Bataille – avenue Général Leclerc), qui aura lieu

     

    dimanche 24 novembre 2013

    à 10h30

     

    La messe sera suivie d’un vin d’honneur offert par l’Association Saint-Brunon.

     

  • A ceux qui cherchent...

    snyers.jpgLe blogueur belge Jean-Pierre Snyers, ami du pays de la Saône Lorraine - il y a possédé un temps une résidence secondaire - partage dans son petit ouvrage des raisons de croire, en forme de billets d’humeur plutôt dérangeants.

    Il a rassemblé un florilège de ses plus récentes notices apologétiques dédiées, comme l’indique le titre de la brochure, A ceux qui cherchent…. Celle-ci débute par un paradoxe : une lettre aux indifférents. Une fois convertis à l’inquiétude existentielle, l’auteur les prendra par la main sur le sentier de la recherche du sens : des origines de l’univers à la résurrection des morts, en passant par la fiabilité des Ecritures et de la Tradition, et les questions les plus diverses. Sur le bien et le mal, le Purgatoire, les miracles, la foi pluraliste au goût du jour ou l’autorité dans l’Eglise.

    Comme l’auteur n’est pas un théologien conciliaire, il ne se contente pas de soulever des questions, il avance des réponses ou des objections aux doutes. Quoiqu’en disent certains, un peu de prosélytisme de bon aloi n’a jamais fait de tort à personne !

    Auteur de plusieurs essais, Jean-Pierre Snyers est rédacteur à la revue mensuelle belge Médiatrice et Reine. Il est en outre conférencier et membre de l'Association des écrivains belges. On peut visiter son blog : http://jpsnyers.blogspot.fr 


    ‡ A ceux qui cherchent..., Jean-Pierre Snyers, éditions Sursum Corda, 2013, 25 p. (3 € port compris).

    >> La brochure peut être commandée à : Sursum Corda asbl, rue Vinâve d’Île, 20/64, B-4000 Liège.

    >> IMPORTANT ! Contactez le mail sursumcorda@skynet.be afin d'obtenir les références bancaires pour le règlement.

  • Mirecourt (88) : novembre au musée de la lutherie et de l'archèterie

    mirecourt.jpg

  • Des images d'Epinal aux violons de Mirecourt

    images.jpg

    mirecourt.jpg

    [Vosges Matin]

  • Colloque "Entre Orient et Occident : le culte de Saint Nicolas en Europe (Xe-XXIe s.)"

    saint_nicolas.jpgSaint Nicolas est sans doute le saint chrétien qui, dans les pays d’Europe, a connu et connaît encore la popularité la plus grande, la plus durable et la mieux partagée entre l’Orient et l’Occident. De l’évêque de Myre à l’ami des enfants qui a inspiré le personnage du Père Noël, la figure de Nicolas a suivi des cheminements complexes qui sont à l’origine de sa présence encore très vivante dans les cultes et l’imaginaire de nos sociétés contemporaines, par-delà les frontières politiques et culturelles. 

    La richesse de cette figure a retenu depuis longtemps l’attention des chercheurs mais de nombreux pans de son histoire restent à préciser. Dans la continuité d’une rencontre tenue à Bari en 2010, principalement consacrée aux domaines italien et français, le colloque organisé par l'Université de Lorraine envisage l’histoire du culte de saint Nicolas à l’échelle de l’Europe entière. Rassemblant 25 chercheurs universitaires de sept nationalités différentes, il se tient à Lunéville et à Saint-Nicolas-de-Port au moment des fêtes de la Saint-Nicolas d’hiver (6-7 décembre 2013).

    Ce colloque sera jumelé avec quatre expositions qui se tiendront à Lunéville et à Saint-Nicolas-de-Port, ainsi qu’avec des visites de la basilique portoise et des vestiges du prieuré de Varangéville. Il s’achèvera par la grande fête de saint Nicolas (défilé de chars et procession ancestrale à la basilique).


    ‡ Consultez le programme du colloque ici Programme_colloque Saint-Nicolas_déc. 2013.pdf

  • Lettre à un ami français

    laicisme.jpgD'après Vincent Peillon. « On ne pourra jamais construire un pays de libertés avec la religion catholique... il faut inventer une religion républicaine... », dit-il. Quel homme ! Vraiment, vous avez de la chance d'avoir des gens comme lui, Hollande et toute son équipe ! Depuis que le p'tit Sarko est parti, quel progrès ! Exemple ? Le Mariage. Avant (au temps de la préhistoire), un homme, une femme. Aujourd'hui ? Un homme, un homme. Et demain ? Un homme, une vache ? Une femme, une girafe ?... Tant pis pour le « Petit Larousse » et ses définitions archaïques ! Cela dit, il reste pas mal de boulot. Eh oui, pour en finir complètement avec l'infâme civilisation judéo-chrétienne, il y a encore du pain sur la planche ! Entre nous : trouvez-vous normal de continuer à compter les années après Jésus-Christ ? Quand on a la chance d'avoir Zidane, Hallyday, ou Depardieu, qu'est-ce qu'on attend pour changer ? De même, les noms de lieux. « Saint-Emilion », « Sainte-Maxime », « Saint-Jean-Pied-de-Port ... » Non ! « Emilion », « Maxime », « Jean Pied-de-Port (ou Pied-de-Port) » tout simplement ! Et les croix dans les cimetières ou au bord des chemins ? Combien de temps resteront-elles plantées comme des insultes à la laïcité ? Pire : vous connaissez Peuvillers ? Dans ce petit village meusien ; cimetière Allemand. Là, c'est par centaines qu'il y a des croix à arracher. Et puis surtout, surtout, une énorme statue de sainte Gertrude ! Défi à l'athéisme dans toute sa splendeur. Ne vous en faites pas, je vais contacter la mairie pour qu'on  enlève cette entrave à la liberté, afin de la remplacer par un édifice à la gloire de Vincent Peillon. Financièrement parlant, cadeau. Ne reculant devant aucun sacrifice quand il s'agit d'une bonne action, ma famille s'est cotisée. C'est nous qui « peillon ».

    Bon, il est l'heure que je vous quitte. Prenez bien soin de vos élus, mais gardez-les pour vous. Pas la peine de partager, en Belgique on est déjà copieusement servi.

    Jean-Pierre Snyers

    4141 Louveigné

    (Belgique)

    jpsnyers.blogspot.com 

  • Carnet rose : naissance de l’archiduchesse Maria-Stella d’Autriche

    armoiries-habsbourg-lorraine.jpg

     

    Nous apprenons la naissance le 11 novembre 2013 à Luxembourg de

    S.A.I.R. l’archiduchesse Maria-Stella d’Autriche,

    princesse royale de Hongrie et de Bohême, premier enfant de l’archiduc Imre et l’archiduchesse Kathleen d'Autriche, dix-septième arrière-arrière-petite-enfant de l’empereur Bienheureux Charles Ier de Habsbourg-Lorraine et de l’impératrice Servante de Dieu Zita, roi et reine apostolique de Hongrie, et de la Grande-Duchesse Charlotte du Luxembourg, du roi Léopold III et de la reine des Belges Astrid.

    La petite archiduchesse est le cinquième arrière-petit-enfant du grand-duc Jean de Luxembourg.

    Le couple s’était marié en septembre 2012 à Washington.

     


  • Frouard (54) : conférence sur les ermitages en Lorraine et l'ermitage Saint-Jean-Baptiste de Frouard

    ermitage conférence.jpg

     

    Dans le cadre de l’exposition historico-urbanistique « De l’ermitage à l’Ermitage », la mairie de Frouard propose

    une conférence sur « Les ermitages en Lorraine et l'ermitage Saint-Jean-Baptiste de Frouard »

    par Philippe Masson, de l’Université de Lorraine

    lundi 18 novembre de 18h45 à 19h45

    à l’Espace 89

    10-12 rue de Metz – 54390 Frouard

     

  • Des couronnes de l'Avent avec les Europa Scouts nancéiens

    COURONNE 1.JPG

    couronnes avent ES.jpg

     

    ‡ Pour commander, imprimez ou recopiez le bon de commande et envoyez le à l'adresse indiquée : Bon de commande Couronnes de l'Avent 2013.pdf

     

    COURONNE 2.JPG

  • Renard, les yeux dans les yeux

    renard.jpg

    ‡ Commande à envoyer accompagnée de votre règlement (30 € + 6 € de port) à :

    Fabrice CAHEZ, 1 rue du Pâtis, 88320 GIGNEVILLE

  • Bleurville se souvient de ses enfants morts durant la Grande Guerre

    Lundi 11 novembre 2013. Anniversaire de l'Armistice 1918. Bleurville s'est souvenu de ses enfants qui sont tombés au Champ d'honneur durant les quatre longues années du premier conflit mondial.

    Bleurville_11.11.2013 024.jpgA 9h00, à l'appel des cloches qui sonnent à toute volée, municipalité et habitants se sont retrouvés derrière les porte-drapeaux au cimetière communal où se dresse le Monument aux Morts, au milieu des sépultures des générations de Bleurvillois et Bleurvilloises.

    Après la montée des couleurs accompagnée par les sonneries réglementaires interprétées par la fanfare cantonale, André Granget, maire, a déposé une gerbe puis ont été égrenés les noms des combattants des deux derniers conflits "morts pour la France".

    Le maire a ensuite lu le message du secrétaire d'Etat aux Anciens combattants. On notait la présence d'un représentant de la brigade de la gendarmerie locale au côté du maire du village et des porte-drapeaux.

    On regrettera l'absence des enfants des écoles et les rangs clairsemés des participants... Près d'un siècle après ce terrible conflit que reste-t-il du souvenir de nos Poilus morts pour notre patrie chez leurs descendants et les nouvelles générations ?

    L'office religieux à la mémoire des victimes des guerres a été célébré en l'église de Monthureux par l'abbé Claude Durupt, vicaire général.

    Bleurville_11.11.2013 026.jpg

    Bleurville_11.11.2013 027.jpg

    Bleurville_11.11.2013 028.jpg

    Bleurville_11.11.2013 031.jpg

    Bleurville_11.11.2013 034.jpg

    [clichés ©H&PB]

  • Choisissez votre bonnet pour les prochaines manifestations !

    Après le sweet de La Manif' pour Tous,

    france,manifestation,bonnet,hollande,gouvernement,socialisme,bobos

     

    Choisissez votre bonnet pour les prochaines manifestations !

    france,manifestation,bonnet,hollande,gouvernement,socialisme,bobos

  • "La Nef" de novembre

    nef_0002.jpg

    Le mensuel La Nef propose ce mois-ci un dossier complet sur la discrimination antichrétienne en Europe.

    Les rapports, comme celui publié chaque année par l'Aide à l'Eglise en Détresse, montrent une augmentation de la persécution des chrétiens dans le monde. On pense bien sûr d'abord à l'Asie, l'Afrique... Mais l'Europe est également touchée, mais d'une autre manière. Plus insidieuse. Comme c'est le cas actuellement en France avec la lutte du pouvoir socialo-bobo-écolo et de ses affidés contre tout mouvement de contestation contre le "mariage homo" et ses dérives.

    Il est important de comprendre ce qui se passe et comment on y est arrivé.

     

    ‡ Plus d'info' sur le mensuel La Nef et son blog ici http://blog.lanef.net

  • "La Barrette" de novembre

    Logo-Année-de-la-foi.jpg

    La communauté catholique de rite latin attachée à l'église Saint-Pierre de Nancy vous propose son bulletin mensuel de novembre : 

    La Barrette_nov 2013.pdf

  • Des expositions autour de Saint Nicolas

    st nicolas1.jpg

    st nicolas2.jpg

  • Rencontres d'automne à Domremy-la-Pucelle (88)

    domremy1.jpg

    domremy2.jpg

  • Des reliques de saint Nicolas pour Saint-Nicolas-des-Lorrains à Rome

    Vendredi 1er novembre 2013, l’Eglise célèbre la fête de Tous les Saints au calendrier liturgique. En la cathédrale de Nancy, saint Nicolas était également convoqué lors de la sainte messe : Mgr Papin a en effet bénit un reliquaire contenant des parcelles d’ossements appartenant au corps saint du patron de la Lorraine. Ces reliques seront vénérées en l’église Saint-Nicolas-des-Lorrains de Rome, l’église de la nation lorraine dans la Ville Eternelle.

    Ncy_reliquaire st-nicolas_01.11.13 002.jpgC’est au début du XXe siècle que l’évêque de Metz offrit au couvent de la Visitation de Nancy une relique du saint évêque de Myre. Remise au diocèse de Nancy & de Toul après le départ des religieuses, cette relique de saint Nicolas a trouvé un nouvel écrin pour sa vénération : un reliquaire en acier damassé réalisé par Jean-Louis Hurlin, forgeron d‘art mosellan. La relique a été redécouverte à l’évêché nancéien par un historien de l'art, Etienne Martin, qui a pu déterminer son authenticité. La bibliothèque des reliques du diocèse conserve la trace d'une précédente authentification du XVIIIe siècle effectuée par le prélat toulois de l'époque.

    Ncy_reliquaire st-nicolas_01.11.13 006.jpg

    Ce reliquaire, remarquable par sa sobriété et la noblesse de ses matériaux, a été conduit processionnellement à l’issue de la messe de la Toussaint, avec un accompagnement à l’orgue sur une improvisation du célèbre cantique populaire « Saint Nicolas ton crédit d’âge en âge a fait pleuvoir des bienfaits souverains… ». Le reliquaire qui contient un ossement authentifié comme provenant de saint Nicolas a été bénit par Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul et primat de Lorraine, entouré de plusieurs chanoines et de l’abbé Lescanne, curé de la cathédrale. On notait la présence du ferronnier d’art ainsi que Denis Schaming, chancelier de l’association des Amis de Saint-Nicolas-des-Lorrains, et de nombreux Lorrains amis de saint Nicolas, bien sûr !

    lorraine,église catholique,jean louis papin,évêque,nancy,toul,primat de lorraine,saint nicolas,relique,saint nicolas des lorrains,romeLa prière de bénédiction prononcée par Monseigneur l'évêque : " Bénis sois-tu Seigneur, Toi le seul Saint, qui nous donnes dans les traits des saints des témoins de ta gloire et des modèles à imiter. Bénis ce reliquaire et cette relique, bénis ceux qui viendront vénérer saint Nicolas et donne-leur de vivre ici-bas de manière à avoir un jour part à l’héritage des saints dans la lumière éternelle. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen"

    Cet objet sacré a nécessité un mois et demi de travail. Il a été commandé par l’association des Amis de Saint-Nicolas-des-Lorrains, l’église lorraine de Rome. Le reliquaire y sera déposé le 6 décembre prochain. Le code de droit canon prévoit qu’en cas de cession d’une relique un « acte de transfert » doit être signé ; il a donc été rédigé et validé entre les Pieux établissements de la France à Rome et à Lorette et le diocèse de Nancy & de Toul. En retour, un acte d’acceptation a été établi.

    lorraine,église catholique,jean louis papin,évêque,nancy,toul,primat de lorraine,saint nicolas,relique,saint nicolas des lorrains,romeRappelons que le culte des reliques remonte aux premiers temps du christianisme. Reconnue par l’Église comme un acte de piété et de foi, cette pratique populaire perdure de nos jours. « Les fidèles ont besoin de ce mode de vénération simple, au-delà de toute idolâtrie », explique le Père Bruno Gonçalves, de l'Oratoire Saint-Philippe Néri de Nancy et professeur de droit canonique à l'Institut catholique de Paris. « La sainteté n’est pas quelque chose de nébuleux, elle s’incarne dans la vie d’un homme. Ainsi, une relique témoigne de l’historicité d’une personne dont la vie a été exemplaire, et à travers elle, de la présence de l’Esprit Saint en l’homme. »

    Un avant-goût de la fête de Saint-Nicolas... qui sera là dans quelques semaines !

    [clichés ©H&PB]

  • Commémoraison de tous les fidèles défunts

    défunts.jpg

    « En ce jour [2 novembre], dit le martyrologe romain, la commémoraison de tous les fidèles défunts, commémoraison en laquelle notre commune et pieuse Mère l’Église aussitôt après s’être efforcée de fêter par de dignes louanges tous ses fils qui déjà se réjouissent dans le ciel [à la Toussaint], s’efforce d’aider par de puissants suffrages auprès de son Seigneur et Époux, le Christ, tous ceux qui gémissent encore dans le Purgatoire, afin qu’ils se joignent au plus tôt à la société des habitants de la céleste Cité ».


    Réquiem ætérnam dona eis, Dómine : et lux perpetua lúceat eis. 

    [Introït de la messe de la commémoraison de tous les fidèles défunts]

    Donnez-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière sans fin brille pour eux.

  • Fête de Tous les Saints

    toussaint.jpg

     

    Omnípotens sempitérne Deus, qui nos ómnium Sanctórum tuórum mérita sub una tribuísti celebritáte venerári : quǽsumus ; ut desiderátam nobis tuæ propitiatiónis abundántiam, multiplicátis intercessóribus, largiáris.

    [Collecte de la messe de la fête de Tous les Saints]

     

    Dieu tout-puissant et éternel, qui nous avez accordé de célébrer dans une même solennité les mérites de tous vos Saints ; faites, nous vous en prions, que nos intercesseurs étant multipliés, une abondante effusion de vos miséricordes, objet de nos désirs, nous vienne de votre munificence.