Nos traditions - Page 25
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Nancy : conférence d'Alain Escada sur la théorie du genre le 11 avril
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Mi-Carême : dimanche de "Laetare", dimanche de la joie
Lætáre, Ierúsalem : et convéntum fácite, omnes qui dilígitis eam : gaudéte cum lætítia, qui in tristítia fuístis : ut exsultétis, et satiémini ab ubéribus consolatiónis vestræ.
Lætátus sum in his, quæ dicta sunt mihi : in domum Dómini íbimus.
[Introït de la messe du 4ème dimanche de Carême]
Réjouis-toi, Jérusalem, et rassemblez-vous, vous tous qui l’aimez ; tressaillez de joie avec elle, vous qui avez été dans la tristesse afin que vous exultiez et soyez rassasiés à la mamelle de vos consolations.
Je me suis réjoui de ce qui m’a été dit : Nous irons dans la maison du Seigneur.
Messe de Laetare, 4ème dimanche de Carême, 2014, église Marie-Immaculée [cliché ©H&PB].
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La Nouvelle revue lorraine n° 25 : la Lorraine et Napoléon
Numéro printanier de La Nouvelle revue lorraine, vingt-cinquième opus de la nouvelle série, vingt-cinq revues au service de la promotion de la Lorraine, de son histoire, de son terroir et de ses traditions !
2014 est l'année du Centenaire du début de la Grande Guerre, mais c'est aussi le 200ème anniversaire de la Campagne de France qui vit la chute du Premier Empire... La Nouvelle revue lorraine se souvient du passage de l'Empereur en Lorraine et rappelle, fort opportunément, que l'impératrice Marie-Louise de Habsbourg était la descendante du dernier duc de Lorraine François III !
Le sommaire est à l'image de ce numéro, printanier et éclectique. Vous y lirez avec plaisir :
- le tricentenaire de la naissance d'Anne-Charlotte de Lorraine
- les eaux bienfaisantes de la Lorraine thermale
- un globe-trotter vosgien
- Jean-Vincent Scheil, un savant lorrain
- le facteur rural du bon vieux temps
- une histoire véridique : le menuisier, la veuve et la bière
- le destin tragique d'un poilu mort par dévouement : René Thirion
- Nos poilus chantaient
- histoire lorraine : la Geneviève
- art populaire : une corne à jus de tabac
- au temps des hannetons
- quarante ans au chevet de l'abbaye de Bleurville
- le château de Void-Vacon
... Et les rubriques habituelles !
‡ La Nouvelle revue lorraine, n° 25, avril-mai 2014. Disponible en librairie ou sur abonnement (38 €, 6 numéros) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (à l'ordre de "SEP Helenus - La Nouvelle revue lorraine") à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.
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Marché de Pâques au musée d'Hennezel (88)
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Sur le chemin de Saint-Jacques... en passant par l'Ouest vosgien
[L'Abeille]
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Contrexéville (88) : Printemps des Poètes et histoires d'eau
Le Cercle d'études locales de Contrexéville présente une conférence table-ronde ouverte gratuitement au public, dans le cadre du Printemps des Poètes :
Vendredi 21 mars à 20h30
Salle chaude des galeries thermales de Contrexéville
Gilou Salvini et Vincent Decombis présenteront l'histoire des eaux à Contrexéville.
Divinisées dès la plus haute antiquité, les eaux qui jaillissaient dans l'étroit vallon de Contrexéville traversé par des rivières capricieuses, ont été par la suite drainées pour offrir aux hommes un espace habitable.
Certaines sources ont conservé leur attrait mystérieux, christianisée comme la source des Saints, fréquentée comme la fontaine Mala dont la minéralisation soulageait et guérissait ou encore la Bourguignotte qui a chaque inondation sort des profondeurs de la terre en pleine ville pour inonder la rue du Shah-de-Perse.
Partout sous l'asphalte et le béton de Contrexéville, l'eau jaillit et circule dans des aqueducs plus ou moins bien entretenus.
L'une des sources du Vair est canalisée sous le sol, l'ancien étang où se rejoignaient le ruisseau du Vair et celui de Suriauville existe toujours sous les graviers du parc thermal...
L'homme moderne a essayé d'apprivoiser ces eaux et il les a exploité, le village s'est alors transformé en station thermale.
L'archéologie et l'histoire ont permis de retrouver les traces du passé, c'est de cela qu'il sera question à la conférence-débat où chaque participant pourra intervenir.
[clichés de haut en bas : inondation à Contrex' en 1907, réservoir d'eau sous le parc thermal, inondation de 1947 à Contrex' - Courtoisie de Gilou Salvini]
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Belgique : une statue de la Vierge miraculeuse ?
"A quoi attribuer l'illumination, le soir venu, de la désormais célèbre statue de la Vierge à Sart-Jalhay, en Belgique ?
Pour expliquer rationnellement ce mystère, on aura tout entendu : radioactivité, ondes, panneaux photovoltaïques... Bref, il ne manque plus que l'influence de la lune, le passage des grues et le sifflement du TGV pour satisfaire les esprits les plus opposés au surnaturel.
Figurez-vous que je suis allé deux fois « voir sur place ». La première : en pleine journée. J'ai pu regarder tant et plus et prendre en mains cette statue de plâtre qui fait couler tellement d'encre. Une trentaine de centimètre, brunâtre, un peu abîmée par le temps. Rien de très spécial. La deuxième : le 16 mars, le soir. Environ 1500 personnes. Deux heures de file d'attente. Avec une trentaine d'autres visiteurs, me voici enfin à nouveau face à cette représentation de la Vierge (telle que je l'avais vue). Puis voici que quelqu'un éteint. Tout est plongé dans l'obscurité totale... sauf que deux secondes plus tard, la statue est, de la tête aux pieds, remplie d'une lumière blanche, extraordinaire.
Comme tant d'autres, je vous avoue que je suis bouleversé. Une personne la retourne pour nous faire constater que le dos n'est pas éclairé, et la remet ensuite face à nous, toute illuminée. Quelqu'un rallume. Tout redevient normal. A deux reprises, nous avons assisté à ce test. Qu'en conclure ? Une chose est sûre : à voir nos visages et nos gestes de piété après avoir vu, une telle expérience n'est pas prête d'être oubliée.
Alors quoi ? Surnaturel ? L'avenir nous dira peut-être si ce phénomène qui a débuté le 17 janvier (date anniversaire de l'apparition de la Vierge à Pontmain), est d'ordre divin ou non. Autre question : pourquoi les caméras et les appareils photos ne parviennent-ils pas à capter l'image de cette statue lorsqu'elle est illuminée ? Serait-ce parce que cette lumière n'est pas de ce monde ? En attendant, souvenons-nous de ces mots du philosophe Jean Guitton : « Le surprenant, c'est la négation préalable des esprits qui se disent scientifiques . »
Jean-Pierre Snyers
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Mirecourt (88) : la saga des luthiers Gérôme
[Vosges Matin]
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Mgr Joseph de Metz-Noblat sacré évêque de Langres
C’est devant une assemblée de plus de 2000 fidèles que Mgr Joseph de Metz-Noblat a été ordonné 120ème évêque de Langres, ce dimanche 16 mars 2014, en la cathédrale Saint-Mammès de Langres.
Ce fut une très belle célébration à la fois priante et empreinte d'une grande solennité, pour laquelle un dispositif exceptionnel a dû être mis en place : la cathédrale ne pouvant contenir la totalité des participants, de très nombreuses personnes ont suivi la messe de consécration de l’extérieur, notamment du cloître où un chapiteau et des écrans vidéos avaient été installés.
Le nouvel évêque de la capitale des Lingons a été sacré par Mgr Jordan, archevêque de Reims, en présence de vingt-deux évêques dont Mgr Maupu, évêque de Verdun - diocèse d'origine du nouveau pasteur -, Mgr Papin, évêque de Nancy et de Toul, et Mgr Mathieu, évêque de Saint-Dié.
Ancien scout d'Europe, Mgr de Metz-Noblat était vicaire général du diocèse de Verdun jusqu'à sa nomination à la tête du voisin de Langres. Proche des formations scoutes, il célébra plusieurs fois la messe en l'église de Champougny (sud meusien) et présida le Salut au Saint-Sacrement en la chapelle castrale de Vaucouleurs à l'occasion du pèlerinage annuel des Lorrains de Domremy à Vaucouleurs, mené par Jean-Marie Cuny et les Europa Scouts nancéiens.
[clichés : ©La Voix de la Haute-Marne / ©Diocèse de Langres]
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Le Pays des Trois Provinces : une association toujours aussi dynamique
[Vosges Matin]
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La saison 2014 en Saône Lorraine
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Nancy : une profession religieuse chez les Soeurs de Saint-Charles
Créés le 18 juin 1652 par le noble seigneur lorrain de Xoudailles, Emmanuel Chauvenel, pour se consacrer au service des pauvres, les sœurs de la Charité de Saint-Charles ont connu un événement devenu rare, dimanche 9 mars 2014, avec la profession des vœux perpétuels de sœur Marie Isabelle Flora, originaire du Sénégal, qui a fait son noviciat à la Maison-Mère de Nancy.
Etablies historiquement sur la paroisse Saint-Sébastien, rue Saint-Thiébaut, les sœurs de Saint-Charles ont ensuite fondé l’hôpital Saint-Julien de Nancy en 1702. Leur Maison-Mère fut établie rue Saint-Jean. Ses religieuses étaient presque uniquement dédiées aux soins des malades tant dans leur hôpital qu’à l’extérieur. Dépourvues de règle et de vœux, les premières sœurs ont peu à peu formé une congrégation en tant que telle avec une règle, celle des filles de Saint-François de Sales (1662-1663), et à partir de 1679, la première formule de vœux est établie où les professes promettent fidélité à la Congrégation, tout en servant les pauvres malades. Les premiers vœux sont officiellement émis le 22 juillet 1679 par quatre jeunes filles. Au cours du XVIIIe siècle, la Congrégation reçoit ses propres constitutions établies par le prémontré d'Etival, le Père Epiphane Louys, et officiellement publiées en 1713. Ainsi, après le vœu de charité (1679), puis le vœu d’obéissance (1704) et de pauvreté (1708), viennent le vœu de chasteté (1711) et enfin, le vœu de stabilité (1714).
Bénéficiant d’un recrutement exceptionnel s’appuyant sur les nombreuses fondations dans toute la Lorraine durant le XVIIIe siècle, les sœurs de Saint-Charles ont continué leurs actions hors de France durant tout le XIXe siècle, notamment dans les provinces rhénanes conquises par Napoléon, puis à Prague, à Rome et en Belgique.
Au XXe siècle, les sœurs de Saint-Charles s’établissent au Sénégal à partir de 1957 tout en adaptant leurs locaux nancéiens à l’accueil de personnes âgées dès 1995.
Aujourd’hui, la Congrégation est présente sur quatre continents avec des maisons au Mexique, en Tanzanie, au Sénégal, en Zambie, en Egypte, en Israël, en Sibérie, Roumanie, Pologne, République tchèque…
Si la Maison-Mère n’accueille plus de personnes âgées depuis quelques années, elle accueille toujours des novices surtout d’origine sénégalaise.
Après avoir reçu la formation du juniorat et servi le Seigneur dans les mouvements et les œuvres paroissiales au Sénégal, la jeune fille est entrée au noviciat de Nancy. Le dimanche 9 mars, en la chapelle de la congrégation des Soeurs de Saint-Charles de Nancy,la novice a fait sa profession perpétuelle au sein de la Congrégation au cours d’une émouvante cérémonie de deux heures, oscillant entre moments solennels et chants traditionnels.
La cérémonie de la profession religieuse a été rythmée par cinq grands moments à forte symbolique chrétienne.
Après l’homélie de l'abbé Munier, vicaire général du diocèse de Nancy & de Toul,
> la novice est reçue au chœur par le célébrant qui lui demande si elle est prête à se consacrer à Dieu par les vœux et à rechercher la charité parfaite en suivant la Règle et les Constitutions de sa famille religieuse.
> La novice est alors recouverte d’un pagne offert par sa mère figurant son linceul et signifiant sa mort pour le monde et sa naissance à une vie nouvelle, encadrée par sa famille, devant l’autel et le célébrant, pendant que l’assemblée entame la longue prière des litanies des saints.
> Enfin, la novice fait sa profession devant la Supérieure générale et c’est avec beaucoup d’émotion qu’elle parvient à lire la formule :
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
En présence de la Très Sainte Trinité pour son honneur et sa gloire, sous le regard de la Très Sainte Vierge Marie, Moi sœur Marie-Isabelle Flora Diédhiou, mue par le désir de vivre et travailler en communauté fraternelle, je me donne à la Congrégation de la Sainte Famille de Jésus, Marie, Joseph, établie sous le nom des sœurs de Charité de Saint-Charles.
Je promets à Dieu d’y servir par charité, toute ma vie, les pauvres, les abandonnés et les malades et je fais à perpétuité, entre les mains de ma Supérieure Générale, les vœux de chasteté, pauvreté, obéissance, selon les Constitutions de la même Congrégation.
La Mère Supérieure reçoit alors ces vœux en lui remettant un cierge symbole de foi, de générosité, de don et de vigilance et la nouvelle professe va ensuite signer l’acte de sa profession, sous les applaudissements de l’assistance et les félicitations de sa famille et de l’ensemble du clergé présent.
> Enfin, elle reçoit l’anneau bénit qui concrétise son union avec le Christ et qui fait d’elle une sponsa Christi puis elle est accueillie par la Supérieure générale qui lui dit : « Désormais, vous faites partie définitivement de notre Congrégation. Vous avez tout en commun avec nous ».
La messe s'est poursuivie avec la célébration de l’Eucharistie. Avant l’envoi, la professe devait remercier les fidèles présents ainsi que les sœurs et les prêtres qui l’ont accompagnés durant sa formation.
La célébration s’est conclue autour du verre de l’amitié où toute l’assistance était conviée.
[texte et clichés : courtoisie de J.-M. Lejuste]
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Des Français israélites - Une saga familiale du XVIIIe au XXIe siècle
Que reste-t-il de la saga familiale des Cerfberr, des Léon, des Worms de Romilly ou des Dreyfus, autant de familles juives originaires de l'Est de la France et, tout particulièrement de Lorraine, pour lesquels les descendants ignoraient quasiment tout jusqu'à fort peu...
Jusqu'à ce que l'auteur explore des cartons anonymes qui s'entassaient dans un grenier familial. La documentation découverte lui permit d'établir son ascendance. Une véritable histoire du judaïsme français. L'arbre généalogique s'est transformé au gré des recherches en une série de destins qui donnait à voir la naissance et l'épanouissement d'une élite israélite, à qui il est progressivement devenu possible d'être à la fois tout à fait française et tout à fait juive.
L'histoire des Cerfberr, des Léon, des Worms de Romilly et des Dreyfus, installés en Lorraine, enjambe quatre siècles et puise sa trame dans les bassins historiques du judaïsme français (Alsace, Lorraine, Bordelais).
A travers l'histoire de cette saga familiale surgit sous nos yeux l'histoire de France : la fin de l'Ancien Régime dans les provinces, la Révolution, les campagnes napoléoniennes, la conquête de l'Algérie, la IIIe République, la Première Guerre mondiale, la Résistance et Vichy, les Trente Glorieuses.
Du XVIIIe au XXIe siècle, partez à la découverte du parcours de Français israélites qui ont connu l'émancipation, l'assimilation et enfin l'intégration à la nation.
‡ Des Français israélites. Une saga familiale du XVIIIe au XXIe siècle, Adrien Cipel et Samuel Ghiles-Meilhac, éditions Michel de Maule, 2013, 270 p., ill. (20 €).
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Villotte-devant-Louppy (55) : un blason pour la commune
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Mercredi des Cendres : entrée en Carême
Bénédiction des cendres
Imposition des cendres
Immutémur hábitu, in cínere et cilício : ieiunémus, et plorémus ante Dóminum : quia multum miséricors est dimíttere peccáta nostra Deus noster.
[antienne de la messe du Mercredi des Cendres]
Changeons de vêtements, couvrons-nous de cendre et du cilice, jeûnons et pleurons devant le Seigneur ; car notre Dieu tout miséricordieux est prêt à nous remettre nos péchés.
Imposition des cendres, messe des cendres 2014,
église Marie-Immaculée, Nancy [©H&PB].
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Messe des Cendres à la paroisse Notre-Dame de la Saône en l'église de Monthureux-sur-Saône, mercredi 5 mars 2014 à 10h00 (rite ordinaire)
Messe des Cendres en l'église Marie-Immaculée, 33 avenue général Leclerc à Nancy, mercredi 5 mars 2014 à 18h30 (rite extraordinaire)
[pour en savoir plus : http://www.introibo.fr/Mercredi-des-Cendres]
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Bleurville (88) : les enfants fêtent Mardi-Gras
[Vosges Matin]
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L'Echo des Trois Provinces n° 168
L'Echo des Trois Provinces de fin d'hiver est paru. Encore beaucoup d'info's sur la vie au Pays des Trois Provinces - aux confins de la Lorraine, de la Franche-Comté et de la Champagne.
Au sommaire :
- Les livres au Pays des Trois Provinces
- Les monuments aux morts
- L'ermitage de Valrose à Rozières-sur-Mouzon (88)
- La croix de Mathieux à Montigny-les-Cherlieu (70)
- Bleurville (88) : un crucifix contre-révolutionnaire
- Escles (88) : découverte d'une cave gallo-romaine du Ier siècle
- Votre feuilleton : "Le chasseur de La Mothe"
- L'AG des Croqueurs de pommes à Bleurville
- Poèmes
- Histoire de la cuisine : le veau
- Marcel Arburger et Addi Bâ : cérémonie du souvenir à Epinal et en Guinée
- Isches (88) : Saint Brice à l'honneur
- La vie des associations au Pays des Trois Provinces
- les animations
‡ L'Echo des Trois Provinces est disponible sur abonnement. Contact : ADP3P, 10 rue Jules-Ferry, 88320 MARTIGNY-LES-BAINS - Mail : tresorerie.adp3p@yahoo.fr
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Bleurville (88) : Les Amis de l'abbaye Saint-Maur préparent le 40ème anniversaire
Crypte pré-romane, abbatiale bénédictine Saint-Maur, Bleurville [cliché ©H&PB].
Le bureau de l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville se réunira
samedi 12 avril 2014 à 16h30
mairie de Bleurville
afin d'examiner l'ordre du jour suivant :
- bilan 2013
- programme été 2014 (recrutement guide, manifestations, Journées du Patrimoine)
- élection du vice-président
- convocation d'une AG
>> Les personnes intéressées par la fonction de guide touristique saisonnier (assure les visites à l'abbaye Saint-Maur de bleurville entre le 1er juillet et le 31 août 2014 + entretien courant ; privilégier les personnes habitant le secteur) peuvent prendre contact avec le président à l'adresse courriel suivante : abbayesaintmaur.bleurville@gmail.com
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La bière de mars de Ville-sur-Illon (88)
Depuis presque vingt ans, les amateurs ont rendez-vous à l’écomusée de Ville-sur-Illon, conservatoire de la mémoire de l’histoire brassicole du département des Vosges.
On peut y déguster le cru 2014 de la fameuse bière de mars élaborée dans le courant de janvier par l’expérimentée équipe de brasseurs de la localité des bords de l’Illon. Celle qu’on appelle aussi la « rousse de printemps » est issue de malt et de houblons soigneusement sélectionnés qui, après une lente fermentation, réjouissent les papilles des connaisseurs.
L’événement marque également la réouverture partielle de l’Ecomusée qui offrira chaque week-end des visites guidées ainsi que l’accès libre à l’espace de convivialité ou l’on peut admirer une exposition consacrée aux anciennes brasseries vosgiennes telles que Charmes ou Xertigny.
Plaque émaillée, réclame "Bière de Ville-sur-Illon", XXe s.
‡ Ouverture de l’Ecomusée de la bière de Ville-sur-Illon tous les dimanches jusqu’au 1er mai, de 14h30 à 18h00. Visites guidées à 15h00 et 16h30.
[d’après Vosges Matin]
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Expo' "La manufacture vosgienne de grandes orgues de Rambervillers"
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Les paysages de la Saône vosgienne passés au crible
[Vosges Matin]
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Vanniers Yéniches d'Alsace
Bon nombre de villageois alsaciens et lorrains se souviennent que, jusqu'au début des années 1980, ont rencontrait encore fréquemment vanniers, bohémiens, manouches et autres "camps volants", sillonner les villages ruraux proposant corbeilles, paniers et "charpagnes" de leur production, mais aussi aiguisant les couteaux ou encore récupérant les peaux de lapins, avec leur phrasé si caractéristique. Parmi ces gens du voyage, il y avait des Yéniches, des nomades blonds venus du Ried alsacien...
Bien que faisant partie du "paysage local", ces personnages sont souvent assimilés à des Tsiganes alors que leurs origines sont toutes autres. Cette méconnaissance s'explique d'une part par l'absence d'écrits et de sources historiques - ces populations sont de tradition orale - et, d'autre part, par la disparition progressive des métiers traditionnels.
Cet ouvrage, fruit de nombreuses années de recherches, est un voyage "au pays des Yéniches" auquel le lecteur est invité à la rencontre de personnes qui rappelleront forcément des portraits d'hommes et de femmes rencontrés à un moment de son existence, dont il pourra découvrir, au-delà de l'absence apparente de richesses culturelles, une communauté minoritaire réellement digne d'intérêt qui marqua la vie traditionnelle de nos villages de l'Est.
Une étude sociologique solide et originale sur un groupe humain méconnu et mystérieux.
‡ Vanniers (Yéniches) d'Alsace, Rémy Welschinger, éditions L'Harmattan, 2013, 293 p., ill. (29 €).
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Ce qu'annonce le chant du coq...
Dans la mouvance de La Manif' pour Tous - vaste mouvement de contestation de la remise au cause des fondements de la société -, cet ouvrage démontre que nous sommes à la veille d'une grande aurore métaphysique qui, d'ores et déjà, devrait nous emplir le coeur d'une immense et joyeuse espérance.
La machine politique était bien huilée. Tout était en place pour faire changer la France de civilisation sans que l'on s'en aperçoive... Mais un grain de sable s'est glissé dan les rouages. De toutes les provinces, le pays s'est levé en masse pour rejoindre Paris par trois fois, entre le 13 janvier et le 26 mai 2013, et nous étions - quoi qu'en aient dit les chiffres officiels - autour d'un million chaque fois ! Mobilisation incroyable, inattendue, révélatrice d'une force vive qui couvait malgré les mensonges des médias aux ordres du pouvoir.
La France silencieuse, la France profonde, la France qui travaille et qui paie sans rechigner, s'est bel et bien réveillée ! Et maintenant ? Comment "transformer l'essai" en action efficace pour remettre dans notre société, le mariage et l'humain à leur juste place institutionnelle et sociétale, et pour préserver l'éducation de nos enfants d'une idéologie du genre qui veut changer radicalement les paradigmes de notre civilisation ?
Le Pape François donne la réponse : "La politique est la forme la plus haute de la charité car elle cherche le Bien Commun [...] Les laïcs ont le devoir de s'enfoncer dans la politique [...] La politique, c'est sale, mais elle est peut-être sale parce que les chrétiens ne s'y impliquent pas." (Rome, 7 juin 2013).
Pourquoi et comment incarner notre résistance dans l'action sur le terrain, c'est-à-dire en vue du Bien Commun politique ? Ce livre tente de répondre à cette interrogation.
A lire pour comprendre ce qui se passe actuellement dans la société française.
‡ Ce qu'annonce le chant du coq, Geneviève Esquier, éditions Rassemblement à Son Image, 2014, 192 p. (18 €).
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Expo' "La manufacture vosgienne de grandes orgues de Rambervillers" aux Archives départementales à Epinal
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"La théorie du genre" à l'école : ce n'est pas qu'une rumeur...
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Des batailles mérovingiennes à Liffol-le-Grand (88)
[L'Abeille]
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Le CD des chants de Poilus du Cercle d'histoire de Laneuvelotte (54)
En novembre dernier, le Cercle d'histoire du foyer rural de Laneuvelotte organisait un week-end consacré au début de la Grande Guerre autour de Nancy et, notamment les événements liés à la bataille du Grand-Couronné (août-septembre 1914).
Lors de ces journées, le Choeur d'hommes de Nancy donna un concert de chants de Poilus présentés par Jean-Marie Cuny. La chorale était accompagnée par la batterie-fanfare de Saint-Nicolas-de-Port et Bertrand Menut au violon.
Le programme donne un aperçu des airs repris par nos soldats de 14-18 dans les tranchées ou à l'arrière. Sentiments amoureux, patriotisme et chansons à boire égayaient les moments de repos de nos valeureux Poilus : on y écoute avec plaisir La Marche du 18e RI, Plaisir d'amour, En avant les p'tits gars, L'artilleur de Metz, Vive le pinard, Fanchon, La Madelon, Boire un p'tit coup, La Marche lorraine, Sambre et Meuse... Et encore bien d'autres titres connus ou désormais oubliés...
‡ Le CD "Chants des Poilus" est vendu au prix de 10 €+ 2 € de frais d'envoi (à l'ordre de "Foyer Rural de Laneuvelotte"). Commande à envoyer à : M. Alain Diaquin, 10 Grande Rue, 54280 Laneuvelotte.
‡ Le CD peut être commandé au moyen du bon de commande ici bon de commande CD Chants de Poilus.pdf
[ER]
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Journée impériale à Nancy : hommage à Charles et Zita de Habsbourg-Lorraine
Une journée dédiée au couple impérial et royal Bienheureux Charles Ier de Habsbourg-Lorraine et la Servante de Dieu Zita, son épouse, était organisée ce samedi 8 février 2014 à Nancy par l'association du Souvenir bourbonien en Lorraine.
Une messe selon le rite latin fut dite en la basilique Saint-Epvre par l'abbé Cyrille Debris, prêtre du diocèse de Rouen et postulateur de la cause de béatification de l'impératrice Zita de Habsbourg-Lorraine, en présence de l'abbé Florent Husson, chapelain de la chapellenie Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine et desservant de l'église Marie-Immaculée de Nancy.
Agrégé de l’Université, docteur en histoire et en théologie, l'abbé Debris est l'auteur du livre « Zita, portrait intime d’une impératrice » paru fin 2013 aux éditions du Cerf.
L'office a été célébré en mémoire de Charles et Zita en présence de LAIR l’archiduc Imre d’Autriche, arrière-petit-fils de Charles Ier, et de son épouse l’archiduchesse Kathleen. A l'issue de la messe, les reliques du bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine ont été vénérées par les fidèles.
L'abbé Debris donna l'après-midi une conférence sur l’impératrice Zita (1892-1989) en duo avec SAIR Isabelle, comtesse Czarnocki-Lucheschi, née archiduchesse d’Autriche-Este, petite-fille du couple impérial.
L'abbé Debris travaille depuis plusieurs années à rassembler documents et témoignages afin de présenter la cause de béatification de Zita auprès de Rome. L'empereur Charles a été lui-même béatifié en 2004 par le pape Jean-Paul II. Le prêtre rappelle qu'il a été le premier à apprendre sa béatification, avant même sa famille, alors qu'il visitait les dicastères quand il faisait ses études de théologie au séminaire français de Rome.
La vie de Zita de Bourbon-Parme fut un exemple. Son mariage en 1911 avec l'archiduc Charles d'Autriche est d'abord un pur moment de bonheur : ils se sont rencontrés dans la station thermale de Bohême de Franzensbad. Devenue impératrice en 1917, Zita connaît le début des malheurs de la famille impériale : en 1918, Charles, dont les propositions de paix séparée avec les alliés avaient été rejetées, abdique et c'est le début d'une vie d'errance et de misère. Charles meurt à Madère où le couple s'était réfugié, le 1er avril 1922. Le reste de sa vie, Zita parcourra le monde, changeant quatorze fois de pays. Un moment, elle voulut rentrer dans les ordres, à l'abbaye bénédictine de Solesmes où trois de ses soeurs étaient religieuses. Mais la famille s'y opposa.
Le chemin de la béatification est long. Celui de Zita a commencé en 2009 dans le diocèse du Mans où se situe l'abbaye de Solesmes chère au coeur de l'impératrice. L'abbé Debris a bon espoir de voir aboutir la cause de béatification, faisant ainsi de Zita et Charles un couple de bienheureux, exemple chrétien pour tous les parents, les familles et les chefs d'Etats.
Quelques images de la messe célébrée en la basilique Saint-Epvre de Nancy...
[clichés ©H&PB]
[ER | 09.02.2014]
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La cuisine lorraine par ses chefs
Les escargots de Vecoux en habit vert, les ravioles de munster à l'infusion de lard paysan, la tarte aux cèpes, le fois gras de canard et sa poêlée de mirabelles, le filet de sandre au Pinot noir de Toul, la feuillantine chaude aux fraises de Woippy, le financier à la bergamote... Cet ouvrage nous propose de découvrir la Lorraine et la diversité de sa cuisine. Entrées, viandes, poissons, desserts : dans le fumet de ces pages délicieusement illustrées se dégage une formidable invitation au voyage gustatif et culturel.
Issues de traditions populaires ancestrales, ces recettes au goût de terroir font la part belle aux produits locaux et sont parsemées d'anecdotes historiques et culturelles. Les plats, parfois revisités avec un trait d'esprit ou le souffle de l'invention, s'adressent à l'expert gourmet comme au néophyte gourmand.
Les mets présentés sont élaborés par des chefs lorrains et des artisans reconnus qui mettent tout leur savoir-faire et leur pédagogie à la portée de chaque cuisinier en herbe.
Avec sa centaine de recettes, ce livre fleure bon le plaisir, la convivialité et le partage. Ou comment allier aussi cuisine du terroir et culture régionale. Un ouvrage à déguster sans modération !
‡ La cuisine lorraine par ses chefs, Bertrand Munier, éditions Serpenoise, 2013, 207 p., ill. (30 €).
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Théorie du genre : Farida Belghoul en conférence à Nancy
L’ex-marcheuse des banlieues mène désormais le combat contre la « théorie du genre ». Elle a donné récemment une conférence à Nancy.
L’hôtel Ariane à Laxou accueillait dernièrement Farida Belghoul qui s’est exprimé devant environ 160 personnes sur les implication de la théorie du genre. Elle était invitée par les AFC (associations des familles catholiques), mais aussi des associations de familles évangéliques et musulmanes.
Face aux menaces de groupuscules d’extrême gauche, le lycée privé de la Malgrange à Jarville, et la Maison de l’Asnée à Villers-lès-Nancy, avaient refusé d’accueillir la conférencière ; ce qui avait conduit l’association « Journée de retrait de l’école » à verrouiller le dispositif en réservant une salle dans un lieu privé.
De nombreuses familles et des jeunes ont assisté à la conférence au cours de laquelle Farida Belghoul a dénoncé la théorie du genre, qui n’est pas une « simple rumeur » - comme le soutiennent les membres du gouvernement socialo-bobo-écolo -, mais une réalité qui sévit actuellement dans les établissements scolaires.
Tous les participants étaient des opposants à cette théorie perverse qui veut faire de nos enfants des être asexués : « Non à la théorie du genre que le gouvernement veut imposer à nos enfants, c’est pour ça qu’on est venu entendre cette femme qui parle clair et redonne de la dignité humaine ». « Comme ils veulent l’égalité à l’extrême en poussant à faire de nos filles des maçons, va falloir les muscler ! », lâche une mère de famille.
Plus que jamais, les parents doivent être vigilants et veiller à ce que l’école ne devienne pas le champ d’expérimentation de ces théories nauséabondes, voulues par une poignée de pervertis.