[Vosges Matin]
Notre patrimoine - Page 54
-
Pays des Trois Provinces : récompense pour une photographe amateur
-
Visitez "Le Trésor du Saint-Sépulcre" avec les Amis du Musée d'Epinal
Le château de Versailles accueille du 16 avril au 14 juillet 2013 l’exposition « Le Trésor du Saint-Sépulcre », dont le commissariat est assuré par Jacques Charles-Gaffiot, historien et amateur d’art bien connu des Lorrains pour son action en faveur de la connaissance de la Maison de Lorraine et du mobilier du château de Lunéville.
Renfermant des objets aussi symboliques que l’épée et les étriers de Godefroy de Bouillon, le Trésor du Saint-Sépulcre est constitué d’extraordinaires œuvres d’art destinées à rehausser la splendeur de la basilique du Saint-Sépulcre ainsi que de celles de Bethléem puis, plus tard, de Nazareth.
Adressés tout au long de l’histoire par des fidèles et des pèlerins, ces présents témoignent d’une grande diversité. Les plus insignes d’entre eux furent offerts par les principaux souverains européens. Pour la France, les Bourbons perpétuent cette tradition : ainsi Louis XIV fait-il expédier de somptueuses pièces d’orfèvrerie. En 1686, la Sérénissime République de Gênes offre un des plus extraordinaires ornements jamais réalisés, brodés de fil de soie polychrome. Mais, plus encore que toutes les autres nations, l’Espagne déploie un faste culminant dans une orfèvrerie d’or massif qui peut être jugée sans équivalent dans le monde.
Les Amis des musées et de la Bibliothèque multimédia intercommunale d’Epinal organisent un voyage à Versailles le 20 avril 2013 avec visite de l’exposition « Le Trésor du Saint-Sépulcre » et du château de Versailles.
‡ Pour s’inscrire, imprimer ou recopier le formulaire ci-joint et envoyez-le avant le 6 avril accompagné du règlement à : Dr Pascal SCHMIDT, 20 quai des Bons-Enfants, 88000 EPINAL
‡ Bulletin de réservation ici Réservation voyage Versailles_Le Trésor du Saint-Sépulcre.pdf
-
Metz et Guillaume II : l'architecture publique à Metz au temps de l'Empire allemand (1871-1918)
A la suite de la guerre franco-prussien de 18701871, la France perd l'Alsace et une grande partie de la Lorraine. Ces territoires sont réunis pour former le district de la Lorraine allemande au sein du Reichsland d'Alsace-Lorraine. Ainsi, jusqu'en 1918, une frontière sépare la Lorraine en deux : d'un côté la Lorraine annexée par le jeune Empire allemand et, de l'autre, la Lorraine française.
En raison de la position stratégique de la ville, et pour prévenir toute tentative française de reconquête, l'état-major allemand attacha une importance primordiale à l'annexion de Metz, devenue capitale de la Lorraine allemande. La ville de garnison, aux portes de la France, devint ainsi l'une des villes les plus fortifiées du monde. En même temps, les autorités allemandes s'efforcèrent de placer Metz et sa région sous l'influence culturelle de l'Empire.
Ce contexte tout à fait particulier se reflète naturellement sur l'architecture et soulève plusieurs questions : quels messages politiques peut-on trouver dans l'architecture des bâtiments construits à cette époque ? Existe-t-il un style "allemand prussien" et un style inspiré de la tradition française ? Peut-on globalement y voir une provocation ?
Dans cet ouvrage sont étudiées les constructions dirigées par des représentants de l'Empire, dont les ministères d'Etat de Berlin et la maison impériale d'une part, et les projets initiés par des institutions régionales ou locales, comme le gouvernement d'Alsace-Lorraine à Strasbourg ou les conseils municipaux, d'autre part.
‡ Metz et Guillaume II. L'architecture publique à Metz au temps de l'Empire allemand (1871-1918), Niels Wilcken, éditions Serpenoise, 2013, 129 p., ill. (25 €).
-
Des timbres pour la Renaissance en Lorraine
[ER]
-
L'ouvrage du Bois-du-Four
Situé au coeur du secteur fortifié de la Crusnes, face au Luxembourg, le Bois-du-Four A5 est l'un des rares ouvrages monolithes de la ligne Maginot.
Coulés à partir de 1932, ses 6000 mètres cubes de béton armé abritent des observatoires d'artillerie, des cuirassements de défense rapprochée, trois canons antichars de 47 mm, cinq jumelages de mitrailleuses, une tourelle tournante à éclipse de 96 tonnes et deux mortiers de 81 mm.
En septembre 1939, l'ouvrage entre en guerre fort d'un équipage de 137 hommes du 139e régiment d'infanterie de forteresse, du 152e régiment d'artillerie de position et d'unitiés spécialisées du génie. Harcelé quotidiennement par l'artillerie allemande à partir du 13 mai 1940, le Bois-du-Four conserve jusqu'à l'Armistice le morceau de terre lorraine confiée à sa garde. Invaincu, l'équipage tient ses positions jusqu'au 27 juin 1940 avant de connaître une captivité imméritée en Allemagne.
Entièrement ferraillé sous l'Occupation, abandonné au pillage pendant plus de 50 ans, saccagé et incendié, l'ouvrage A5 du Bois-du-Four renaît aujourd'hui de ses cendres grâce à la ténacité de l'association de préservation du patrimoine de Villers-la-Montagne.
‡ L'ouvrage du Bois-du-Four ou l'histoire du phénix de la ligne Maginot 1932-2012, Michaël Séramour, éditions des Paraiges, 2012, 127 p., ill. (20 €).
-
Darney (88) : le Soldat de 1870 retrouve son piédestal
[Vosges Matin]
-
La chapelle Notre-Dame du Pilier de Saragosse à Pompierre (88)
Chapelle Notre-Dame du Pilier de Saragosse, Pompierre, Vosges.
Partez à la découverte de l'histoire de la chapelle de Notre-Dame du Pilier de Saragosse située sur le territoire de la paroisse de Pompierre, proche de Neufchâteau, dans les Vosges.
L'article est paru dans Le Pays Lorrain de 1911.
-
Hugues des Hazards, un évêque de Toul réformateur à la Renaissance
Dans le cadre de Renaissance Nancy 2013, l'Institut des Sciences Religieuses de Nancy organise une visite-conférence avec le Père Jacques Bombardier, c.o., sur le thème :« Hugues des Hazards, un évêque de Toul réformateur à la Renaissance »Samedi 16 mars 2013 de 13h30 à 17h30à Blénod-lès-Toul (54)Présentation de l'évêque Hugues des Hazards, visite de l'enclos épiscopal de la Renaissance, du château, de l'église et du tombeau du prélat toulois, présentation d'un ouvrage de l'évêque (les Statuts synodaux de 1517).‡ Rendez-vous : parvis de l'église Saint-Médard de Blénod-lès-Toul à 13h30. Ouvert à tous. Participation aux frais : 5 €.‡ Contact : patrimoineblenod@orange.fr ou 06.85.20.38.33 (Dominique Notter). -
Sarrebourg (57) : conférence sur la villa gallo-romaine de Damblain
-
Le tableau de la Crucifixion chassé de la salle des assises de la Moselle
Dix ans après la polémique lancée par des avocats et des journalistes parisiens lors du procès de Francis Heaulme à propos du tableau de La Crucifixion, la salle des assises de la Moselle devrait recevoir une nouvelle œuvre rappelant le siège de Metz.
La polémique avait été tellement gonflée par la dogmatique, anticléricale et christianophobe administration française que le Christ en croix réalisé par Théodore Devilly, peintre majeur de l’Ecole de Metz, qui ornait depuis 1866 la salle des assises de la Moselle, avait fait l’objet d’un référendum au sein du Palais de justice parce qu’il ne concourrait pas au concept de laïcité. Du jamais vu. Soucieux du respect de la tradition, le personnel du tribunal messin, les magistrats et les avocats s’étaient prononcés en faveur du maintien de l’œuvre. Non content de l’issue de cette expression démocratique, Paris et le premier président du tribunal avaient alors décidé de cacher l’œuvre derrière un rideau. Ce diktat des sans-culottes républicains a été maintenu jusqu’en 2007, date à laquelle La Crucifixion a été transférée dans le chœur de l’abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold.
Afin de combler le vide sur le mur situé derrière le président et ses assesseurs, un tableau de trois mètres sur deux représentant le siège de Metz en 1552 devrait être accroché en mai. Il s’agit d’une reproduction signée du maître Léon-Charles Canniccioni, datant de 1928, qui dormait dans les réserves des Musées de la Cour d’Or. L’œuvre originale est exposée à Dijon. A cette époque, le roi de France, Henri II, avait arraché Metz à l’empereur Charles Quint. Désireux de récupérer la ville, ce dernier rassembla 100 000 hommes pour l’assiéger. Ses troupes furent repoussées par le duc de Guise. Ce fut alors le début de la fin pour Metz qui vit le déclin chasser sa prospérité… Un peu ce qu’on connaît de nos jours en France…
[source : blog des lorrains engagés | cliché : ©RL]
-
Nancy : graves menaces sur la forêt de Haye
Depuis 6 ans et demi un collectif de 62 associations lorraines se bat pour que soit respectée l’intégrité de la forêt de Haye.
Ce domaine, propriété du ministère de l’Agriculture et de la Forêt, véritable havre de tranquillité et bol d’air de la région, est parcouru toute l’année par les habitants du département venus découvrir la faune et la flore qui s’y trouvent.
Or une autoroute reliant Luxembourg à Strasbourg via Toul prévoit l’amputation d’une partie de cette forêt pour réaliser une sortie d’autoroute à Laxou alors qu’il en existe déjà une à 500 mètres... et que la nouvelle ne mènerait nulle part !
Le collectif a demandé la protection du domaine forestier ; une enquête publique va donc s’ouvrir, mais sera-t-elle menée en toute impartialité (nous apprenons qu’elle ne durerait qu’un mois).
Il faut souligner que le périmètre concerné par la destruction de la forêt fait partie intégrante du bois de Fourasses classé en ZNIEFF (Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique) et en ENS (Espaces Naturels Sensibles) et comprend des espèces protégées ; en outre il constitue la partie du massif la plus fréquentée par le public.
‡ 14ème "Rendez-vous Nature" de Laxou vendredi 15 mars 2013
‡ Plus d’informations sur www.flore54.org
-
La Saint Vincent à Toul en 1846
Les compagnons de la Capucine devant la cathédrale de Toul.
Revivez la fête de Saint Vincent à Toul en 1846, d'après un article paru dans Le Pays Lorrain de 1912 :
-
Georges de La Tour
Redécouvert à la fin du XIXe siècle, Georges de La Tour (Vic-sur-Seille 1593 - Lunéville 1652) est le peintre lorrain le plus mystérieux de l'histoire de l'art. Peintre à succès sous Louis XIII, il tomba dans l'oubli pour renaître en 1863 à la faveur d'une étude réalisée par un érudit local.
Séduit par la révolution picturale introduite par Le Caravage, il en a tiré une forme de réalisme très personnelle et d'une rare poésie.
Jacques Thuillier, en spécialiste reconnu de Georges de La Tour et de la peinture française du XVIIe siècle, s'appuie sur une documentation fort détaillée - correspondances, archives, figures de comparaison - pour livrer au lecteur une remarquable monographie des plus complètes.
Avec plus de 200 illustrations analysant la vie et l'oeuvre de Georges de La Tour, l'auteur nous offre les clés du plus fascinant et important artiste lorrain et français de son siècle.
L'ouvrage est accompagné d'un catalogue raisonné et d'une bibliographie mise à jour.
‡ Georges de La Tour, Jacques Thuillier, éditions Flammarion, 2013, 320 p., ill. (35 €).
-
Malzéville (54) : concert Renaissance le 24 mars à l'église Saint-Martin
L'Association pour la Sauvegarde de l'église Saint-Martin de Malzéville organise un concert "Renaissance" :
dimanche 24 mars 2013 à 16h00 en l'église Saint-Martin de Malzéville.
L'Ensemble Vocal de Salm, qui comme le nom l'indique est issu géographiquement des communes vosgiennes qui formaient jadis la Principauté de Salm autour de Senones, a une longue expérience du chant choral notamment grâce à son chef de choeur Mme Dominique Eumont, diplômé du conservatoire.
Le répertoire est très large. Il englobe le chant sacré baroque et il fait honneur à la chanson française adaptée à un ensemble choral. Dans le cadre de l'année Renaissance Nancy 2013, l'EVS a travaillé plus spécialement des chants du XVIe siècle. Le programme du 24 mars intitulé "Au fil de l'eau" est un clin d'oeil à la Meurthe qui traverse l'agglomération nancéienne et qui est témoin des 500 années écoulées depuis le Siècle d'or de la Lorraine.Concert gratuit avec libre participation aux frais.
[cliché : Saint Martin, église de Malzéville, © H&PB]
-
Nancy la belle se révèle
[Vivre Nancy | 20 février-5 mars 2013]
-
Le Poilu du Grand Couronné n° 4
Le Cercle d'histoire du Foyer rural de Laneuvelotte publie le n° 4 du Poilu du Grand Couronné.
Le Cercle travaille activement à la préparation du Centenaire du début de la Première Guerre mondiale.
Les 9 et 10 novembre 2013, le Foyer rural de Laneuvelotte organise une grande manifestation inaugurale au Centre socio-culturel de Seichamps avec expositions, conférences, projections, présentation de documents et de livres sur les débuts de la guerre en Lorraine... et même une chorale de "poilus" qui interprétera des chants de 14-18 !
Une date à retenir d'ores et déjà.
‡ On peut acquérir Le Poilu du Grand Couronné (4 pages en couleurs, 1 € minimum) auprès du président du Foyer rural de Laneuvelotte : adiaquin@yahoo.fr
-
Nancy, la ville révélée
A la fin du XVIe siècle, en pleine période Renaissance, l'oeuvre majeur du duc de Lorraine Charles III est la création de la Ville Neuve et la transformation de Nancy en une capitale au rayonnement européen.
Pour bien comprendre le changement radical qui s'opère alors, il suffit de se représenter Nancy cent ans plus tôt, offrant l'image d'une petite ville médiévale de quelques milliers d'habitants seulement, enserrée dans son enceinte, et de la comparer au Nancy du début du XVIIe siècle, capitale d'un duché indépendant, fière, remarquée et rayonnante.
C'est cette formidable aventure que racontent l'exposition La ville révélée, présentée au Palais du Gouvernement, et ce catalogue qui l'accompagne.
De précieux documents d'archives, mais aussi des reconstitutions totalement inédites (tel le plan-relief de la ville en 1611) faisant appel aux technologies les plus modernes (Nancy au début du XVIe en 3D), permettent de comprendre comment Nancy a ainsi pu grandir, puis évoluer au fil des siècles.
Le temps a fait son oeuvre... D'où la nécessité, pour les nancéiens et les visiteurs, de mieux connaître cette histoire et de découvrir, au coeur d'un des plus vastes secteurs sauvegardés de France, un patrimoine que chacun côtoie sans bien souvent avoir conscience de son importance, de sa qualité et de son originalité.
‡ Nancy, la ville révélée, Alain Barbillon et René Helter (dir.), hors-série de La Gazette lorraine, 2013, 87 p., ill., cartes (12 €).
-
Val-et-Châtillon (54) : les objets cultuels présentés lors des Journées du Patrimoine
Calice, XVIe s., Lorraine.
[Est Républicain]
-
L'Echo des Trois Provinces - Février/mars 2013
Tous les deux mois, l'association pour le Développement du Pays aux Trois Provinces (qui sont, rappelons-le, la Lorraine, la Champagne et la Franche-Comté), nous donne rendez-vous avec son magazine L'Echo des Trois Provinces.
Histoire locale, traditions, anecdotes, vie des associations et programme des animations rythment encore en cette fin d'hiver le sommaire du n° 162. A découvrir :
- Histoire de la guerre 1938-1945 à Regnévelle (88)
- Bourbonne-les-Bains (52) : un héros de la France libre dans le Pacifique
- Bains-les-Bains - Le Clerjus (88) : la gare a 150 ans
- De belles avancées pour le futur parc naturel régional
- Preigney (70) : un bel hommage à Michel-Ange à la Cure des Arts
- Villars-Saint-Marcellin (52) sous le règne de Louis XV
- Histoire de la cuisine
- Le chasseur de La Mothe
- la vie des associations : Coiffy-le-Haut (70), Martigny-les-Bains (88), Bleurville (88), Bourbonne-les-Bains (52), Serécourt (88), Hennezel-Clairey (88), Les Thons (88), Tignécourt (88)
- les animations autour de Bourbonne-les-Bains, Voisey, Fayl-Billot, Lamarche, Monthureux-sur-Saône, Darney
‡ L'Echo des Trois Provinces, n° 162, février-mars 2013. Abonnement possible (24 € pour 1 an) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement à : L'ECHO DES TROIS PROVINCES, Luce Mouton, 3bis route du Void-d'Escles, 88260 ESCLES.
-
Tignécourt (88) : 7ème Rencontres Natur'images les 6-7 avril
-
La Mothe
Vue de la cité fortifiée lorraine de La Mothe-en-Bassigny (XVIIe s.)
Nous proposons à nos lecteurs une évocation de l'ancienne cité lorraine de La Mothe par André Hallays. Cet article est paru dans Le Pays Lorrain & Le Pays Messin de 1912.
-
Lorrains, partagez vos archives vidéos avec l’INA !
Vous avez une vidéo d’archive qui parle de la vie en Lorraine ? Un trésor audiovisuel « fait maison » et que vous souhaitez partager ? Participez à l’opération « Mémoires Partagées » en Lorraine !
Lancée lundi 25 février à Nancy par l'Institut National de l'Audiovisuel (INA), en association avec la Ville de Nancy et le Centre Image Lorraine (C.I.L.), cette opération inédite vise à collecter les films amateurs utiles à la mémoire collective.
Les documents audiovisuels sélectionnés feront partie intégrante du patrimoine audiovisuel français et seront consultables par tous sur ina.fr ainsi que sur la chaîne Ina Mémoires partagées éditée par l’INA sur Dailymotion.
A Nancy, les meilleurs documents feront l’objet d’une restitution le vendredi 7 juin 2013 dans le cadre des manifestations Renaissance Nancy 2013 intitulées « Moments d'Inventions », dont l'INA est l'un des partenaires.
[source : Ville de Nancy]
-
Perspectives 2013 au Cercle d'études locales de Contrexéville
[Vosges Matin]
-
Préparation du Centenaire : Les Vosges et la guerre de 14-18
[Vosges Matin]
-
Proverbes lorrains de Damas-et-Bettegney (88)
Paysans au XIXe siècle.
[source : Le Pays Lorrain, 1911]
-
Des plaques de fonte pour les sites Renaissance de Nancy
Ce dimanche 24 février, municipalité nancéienne et mécènes ont officiellement dévoilée l’une des 19 plaques de fonte incrustées dans le sol pour indiquer les édifices remarquables de la Renaissance lorraine.
La société Saint-Gobain Pont-à-Mousson a réalisé et offert ces plaques qui reprennent le plan de Nancy de Claude de La Ruelle, dessiné en 1611. Un clou de bronze doré situe le positionnement sur le plan. Chaque plaque s’accompagne d’un pupitre sur lequel est présentée l’histoire du site visité.
Désormais, les Nancéiens, les Lorrains et les touristes de passage pourront se repérer grâce à ces plaques de fonte plantées, de manière pérenne, Porte de la Citadelle, Porte de la Craffe, devant l’église des Cordeliers, rue de Guise, place de l’Arsenal, devant la basilique Saint-Epvre, place Vaudémont, place de la Carrière, bastion de Vaudémont, rue des Dominicains, près de la cathédrale-primatiale et place de la Croix-de-Bourgogne.
[cliché : ©H&PB]
*
* *
Nancy : début des travaux sur la Porte Saint-Georges
-
Autour de l'abbaye de Mureau (Vosges)
[L'Abeille de Neufchâteau]
-
Les droits de l'abbaye de Mureau à Liffol-le-Grand
[L'Abeille]
-
Plombières-les-Bains (88) : un comité de soutien pour sauver l’église Saint-Amé
L'église Saint-Amé de Plombières-les-Bains prend eau... à l'intérieur et à l'extérieur ! Au-delà de la boutade thermale, le constat est alarmant : l’église Saint-Amé est en danger.
Ce patrimoine architectural et spirituel du XIXe siècle bâti grâce aux subsides de l’empereur Napoléon III, et pour lequel se sont investis tant de Plombinoises et Plombinois, ne doit pas disparaître.
Soucieux de préserver cet édifice, un comité de soutien se met en place. Créé à l'initiative d'un groupe de personnes volontaires et animées du désir de sauvegarder et valoriser le patrimoine religieux de la cité thermale, ce comité a pour objectif de sauvegarder l'église, d’éviter sa fermeture et de hâter les travaux de réhabilitation en particulier sa mise hors d'eau.
Un appel est lancé afin d'obtenir un maximum d'adhésions pour que ce comité soit représentatif. Aucune cotisation n'est sollicitée.
Une souscription via la Fondation du Patrimoine de Lorraine est envisagée dès que la commune, maître d'ouvrage, aura programmé les travaux.
‡ On peut adhérer gratuitement à ce comité en imprimant (ou recopiant) le bulletin ici Soutien Eglise Plombières-les-Bains.pdf
-
Châtel-sur-Moselle (88) : les activités 2013 à la forteresse
[Vosges Matin]