Maryline Artuso s'est prise de passion pour les campagnes et les montagnes vosgiennes qu'elle sillonne inlassablement à la découverte du patrimoine local.
Dans chacune de ses aquarelles, elle essaie de faire transparaître cet amour sensible et inspiré pour la nature et son souci de mettre en valeur une vue oubliée, un puit, un lavoir ou une fontaine, un chemin, l'authenticité d'une ferme, le charme d'une chapelle... tout ce qui fait la richesse et l'âme des communes vosgiennes, chacune recelant une variété de paysages et de patrimoine et chacune méritant que l'on s'y arrête afin d'apprécier son charme et sa singularité.
Ce site est un moyen de rendre hommage à la richesse du patrimoine naturel et architectural du département des Vosges et quoi de mieux que l'aquarelle pour mettre en valeur et en lumière ce que les Vosges comptent de plus beau ?
Un site à visiter de toute urgence pour redécouvrir les Vosges... différentes !
Quelques aquarelles de villages du sud-ouest vosgien... pour vous mettre l'eau (si j'ose dire !) à la bouche...

Le pont sur la Saône à Attigny

L'abbaye de Bleurville

Le lavoir d'Isches

Le pont du faubourg à Monthureux-sur-Saône
>> A découvrir sur http://les-vosges-en-aquarelles.e-monsite.com























Chacun se souvient encore de cette affaire criminelle. C’était fin novembre 2007, Anne-Lorraine Schmitt, jeune fille étudiante en journalisme originaire de Nancy, est sauvagement assassinée de 34 coups de couteaux dans le RER, dans la banlieue nord de Paris.



Pierre Fourier est né à Mirecourt (Vosges) le 30 novembre 1565 de commerçants aisés. Ayant reçu de ses parents une éducation familiale très soignée, il fit ses premières études dans sa ville natale parmi les « enfants prêtres » (enfants destinés au sacerdoce), puis à partir de 1578, il les continua à l’Université de Pont-à-Mousson où il manifesta d’exceptionnelles qualités intellectuelles en même temps qu’une très vive piété. En 1585, il entra chez les Chanoines réguliers de Chaumouzey, près d’Épinal. Ordonné prêtre en 1589, il reprit l’étude de la théologie à Pont-à-Mousson, puis rentra dans son abbaye et en 1597, fut nommé curé de Mattaincourt, gros village commerçant, voisin de sa ville natale. 

