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Nancy célèbre Chopin
[Est Républicain] -
Les Gallo-romains au musée de Hennezel
[Vosges Matin | 05.06.10] -
Jean-Baptiste Jacques Augustin, peintre en miniature
A l'occasion du 250ème anniversaire de sa naissance, une exposition est consacrée pour la première fois dans sa ville natale, Saint-Dié-des-Vosges, à Jean-Baptiste Jacques Augustin, un des artistes les plus talentueux dans l'art de la miniature. Plus de cent ans se sont écoulés depuis que des spécialistes ont mené de manière approfondie des recherches sur cet artiste et publié leurs études. Il était temps de disséquer documents et littérature afin de rédiger une nouvelle biographie d'Augustin.
Augustin fut un innovateur pour la miniature française. Avec beaucoup de soin et de minutie, il prêtait attention à chaque détail et en faisait ressortir les reliefs : rien n'est estompé. Comme les maîtres flamands du Moyen Âge, il plaçait dans la composition un élément à côté de l'autre, invitant l'oeil du spectateur à apprécier chaque détail. Aucun peintre de miniatures n'a atteint l'incroyable précision de ses coups de pinceau. Même sous la loupe, le rendu reste impeccablement exact, et l'on se demande, à juste titre, comment il est possible d'accéder à une telle finesse.
Deux autres peintres en miniature sont présentés dans le catalogue : Augustin Dubourg et Augustin fils (ou neveu ?), tous deux parents de Jacques Augustin. Leur véritable identité et leur lien familial avec Augustin, inconnus jusqu'à ce jour, sont enfin éclaircis.
L'auteur, Bernd Pappe, est historien de l'art. Il est l'auteur de plusieurs articles sur l'histoire, les techniques et la restauration des miniatures sur ivoire. Il est chargé de la restauration des miniatures du Louvre. Il prépare sa thèse sur Jean-Baptiste Jacques Augustin à l'université de Neufchâtel (Suisse).
>> Jean-Baptiste Jacques Augustin, peintre en miniature, Bernd Pappe, imprimerie L'Ormont, 2010, 95 p., ill., préface de Christian Pierret, maire de Saint-Dié et ancien ministre.
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Les bisons sont... dans la plaine des Vosges !
[Vosges Matin] -
Metz : lycée Georges de la Tour, un siècle d'histoire
Le lycée Georges-de-la-Tour, établissement scolaire bien connu des messins, célèbre cette année ses 100 ans d'existence. Né en 1910, alors que Metz était une ville du Reich allemand, il a connu et surmonté les vicissitudes de l'histoire régionale, en particulier les deux guerres mondiales et les rigueurs de la seconde annexion allemande.
L'histoire du lycée a été marquée par de fortes personnalités, au premier rang desquelles Zoé Cridlig, directrice nommée juste après la Libération de Metz et qui "régna" pendant 27 ans d'une main de fer sur le lycée de jeunes filles. C'est sous sa direction que le lycée adopta, en 1966, le nom du peintre lorrain Georges de la Tour.
Le lycée Georges-de-la-Tour a connu de nombreux changements, notamment celui de la langue d'enseignement (on y enseignait en allemand entre 1910 et 1918 puis entre 1940 et 1944). Jusqu'en 1971 il n'accueillit que des jeunes filles, sauf dans les classes primaires. Ses directeurs successifs ont cherché à élargir l'éventail des formations proposées.
Aujourd'hui le lycée Georges-de-la-Tour, fier de son passé, aborde le prochain centenaire avec confiance et détermination.
>> Lycée Georges de la Tour, un siècle d'histoire 1910-2010, Patrick Mouilleron, éditions Serpenoise, 141 p. (18 €).
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Contes, légendes et croyances des Vosges
Cet ouvrage sur le patrimoine légendaire des Vosges est le fruit de dizaines d'enquêtes menées dans l'ensemble du département, et pas seulement dans la partie montagneuse des Vosges.
Grâce à ce minutieux travail de terrain, Roger Maudhuy offre au lecteur un ensemble d'une centaine de textes, la plupart inédits, en liaison avec de nombreux témoins, parfois très âgés, qui possèdent encore la mémoire des contes, légendes et croyances populaires des Vosges.
Illustré par des dessins originaux de Jean-Joseph Bellel réalisés dans les années 1860, cet ouvrage sera le compagnon précieux pour les passionnés des traditions orales de la région.
L'auteur, Roger Maudhuy, est un des spécialistes français du folklore, c'est-à-dire le "savoir du peuple", qui va de la médecine populaire aux danses traditionnelles. Il privilégie la tradition orale, les contes et légendes, les saints protecteurs et guérisseurs, le culte des pierres et des fontaines...
>> Contes, légendes et croyances des Vosges, Roger Maudhuy, éditions Place Stanislas, 2010, 260 p., ill. (20 €).
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Le vandalisme dans nos églises lorraines : le cas de Nancy
[Est Républicain] -
"Les gallo-romains en Saône Lorraine" inaugurée
Samedi 28 mai, le musée de Hennezel-Clairey, en forêt de Darney, accueillait, à l'invitation de Jean-François Michel, président de l'association Saône-Lorraine, de nombreux adhérents et amis venus découvrir l'exposition dédiée à la présence gallo-romaine dans le bassin des sources de la Saône.
Il s'agissait d'inaugurer officiellement l'exposition temporaire présentée au musée des activités anciennes consacrée aux "Gallo-romains en Saône Lorraine". Le président Michel devait remercier tous les contributeurs qui ont permis que cette rétrospective voit le jour : l'association Escles-Archéologie, le Cercle d'études locales de Contrexéville et La Roye Demange d'Ainvelle. Tous ces passionnés d'archéologie ont mis le résultat de leurs fouilles à la disposition de l'équipe de Saône Lorraine afin de constituer une remarquable synthèse de la présence romaine dans le sud-ouest vosgien.
Et notre secteur est riche de cette présence qui s'est étalée entre le Ier et le IIIème siècle de notre ère. Villa rurales, lieux de culte, sépultures, voies de communication, les indices de l'occupation romaine sont nombreux entre Jonvelle et Bains-les-Bains en passant par Ainvelle, Contrexéville, Bleurville, Monthureux, Dombrot-le-Sec, Damblain, Escles...
Le musée de Hennezel-Clairey et l'exposition sont ouverts au public tous les jours jusqu'à la Toussaint.
Par ailleurs, une exposition complémentaire sur ce thème sera également présentée à l'abbaye Saint-Maur de Bleurville du 1er juillet au 19 septembre. Elle s'articulera autour de la présence celtique en Lorraine et celle des gallo-romains à Bleurville même, avec la découverte d'une villa dotée de bains de grandes dimensions au centre de l'actuel village. Le résultat des fouilles récentes de la villa de Damblain sera également présenté au public pour la première fois.
[crédit photo : H&PB] -
Bleurville : préparation de la saison estivale à l'abbaye Saint-Maur
L’abbaye ouvre ses portes dès le 27 juin. Les membres du bureau ont fait le point avant le lancement des animations estivales.
Les visiteurs seront accueillis cet été par deux jeunes gens qui se succéderont du 1er juillet au 31 août : il s’agit de Anne-Lise Renaudot, de Lamarche, et de William Bertrand, de Monthureux-sur-Saône.
Le président Alain Beaugrand a confirmé le programme de la saison : le 27 juin à 17h00, le flûtiste soliste Olivier Dartevelle propose un concert de l’ensemble à vent « Arumbaya » dans le cadre des Ballades musicales de l’Ouest vosgien, le 18 juillet à 15h00 Marie-Madeleine Boulian présentera une causerie-diaporama sur la Jordanie et le 22 août, Gilbert Salvini, du Cercle d’études locales de Contrexéville, détaillera les fouilles auxquelles il a participé sur le site de la villa rurale gallo-romaine de Damblain.
L’exposition « Les gallo-romains en Saône Lorraine » constituera le grand moment culturel de la saison à Saint-Maur. En lien avec Escles-Archéologie, le Cercle d’études de Contrexéville et l’association Saône-Lorraine, la nef de l’abbatiale accueillera une rétrospective historique sur l’époque gallo-romaine à Bleurville et dans la région entre les 1er et 3ème siècles après J.-C. Cette exposition temporaire est le complément de celle présentée au musée de Hennezel : les organisateurs ont souhaité faire bénéficier aux visiteurs d’un tarif réduit dans le deuxième site visité afin d’inciter le plus grand nombre – et notamment les plus jeunes - à voir cette passionnante et instructive exposition.
Les lampes à huile romaines en terre cuite créées spécialement et en série limitée pour l’abbaye Saint-Maur par Kathia Zimmermann seront mises en vente dès le 1er juillet au profit de la restauration du site.
Le bureau a enfin réfléchi aux futurs travaux à engager sur le site de l’abbaye : la réfection de la toiture de protection des fouilles côté jardin du prieuré et la plantation d’une haie de séparation feront l’objet d’une étude pour 2011.
> Rendez-vous est donné aux adhérents et bénévoles à l'abbaye Saint-Maur le 26 juin à 14h00 pour le nettoyage de l’église et du musée, et le 28 juin à 10h00 pour l’installation de l’exposition.
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Le Chien d'or : Nicolas Jacquin-Philibert, heurs et malheurs d'un Lorrain à Québec
En 1748, Nicolas Jacquin-Philibert, négociant de Québec, est assassiné.
À la suite d’une dispute, il aurait reçu un coup d’épée de Pierre Legardeur de Repentigny, qui contestait les frais de logement. La société rassemblée autour de l’intendant Bigot ne serait pas étrangère à ce meurtre. Legardeur de Repentigny s’enfuit au fort Saint-Frédéric. Inconsolable, la veuve de Philibert, Marie-Anne, aurait fait graver sur le fronton du porche de sa maison, une plaque représentant le bas-relief d’un chien couché et rongeant un os, accompagné d’une inscription, à la mémoire de son mari. Elle aurait souhaité par ce geste que ses fils se vengent de la mort de leur père. Récit épique de la fin de la Nouvelle-France, voici la légende telle qu’elle est décrite dans le roman à succès de William Kirby publié en 1877, « Le Chien d’or : la légende de Québec ».
Marie-Françoise et Jean-François Michel ont voulu faire la part des choses entre la légende et la réalité. Appuyé sur les recherches d’érudits québécois du XXe siècle et sur des recherches personnelles menées intensivement à Épinal, à Paris, à Montréal et à Québec, ils sortent définitivement le « Chien d’or » de sa légende.
Les auteurs ont rendu à Nicolas Jacquin-Philibert son identité et ses racines lorraines, l’ont resitué dans ses réseaux familiaux et surtout dans son espace économique et social. La légende était belle et larmoyante, la réalité est forte et passionnante. Tant sur l’irrésistible ascension que sur le meurtre de 1748 des énigmes demeurent, mais l’essentiel du voile est levé : le Lorrain de Québec – mais originaire de Martigny-les-Bains, dans les Vosges –, l’ambitieux marchand à qui tout semblait réussir, revit dans ce livre « en chair et en os ».
Les auteurs, Marie-Françoise et Jean-François Michel, sont enseignants retraités, engagés dans la défense du patrimoine du bassin des sources de la Saône (sud-ouest du département des Vosges). Auteurs de nombreux livres sur le sujet, ils ont mis à profit des liens familiaux les attachant à la Nouvelle-France pour se lancer dans la recherche et l’exploitation des fonds d’archives concernant leur « compatriote » Nicolas Jacquin-Philibert, devenu le Chien d’or.
>> Le Chien d’or. Nicolas Jacquin-Philibert (1702 - 1748), heurs et malheurs d'un Lorrain à Québec, Marie-Françoise et Jean-François Michel, édition Septentrion, Québec, 2010, 200 p., ill. (prix non communiqué)
>> Parution courant juin 2010. Pour tout renseignement, contacter : jean-f.michel@wanadoo.fr
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A la découverte de la fabrique de couverts de Darney (Vosges)
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A la découverte de l'archéologie en Lorraine
Samedi 5 juin 2010, l'INRAP va à la rencontre des Français. De nombreux sites archéologiques seront ouverts au public. Partez à la découverte des sites lorrains !
> Bar-le-Duc (55) : présentation de la collection gallo-romaine du musée municipal
> Bassing (57) : porte ouverte sur la fouille d'une ferme gauloise et d'une villa gallo-romaine sur la LGV est-européenne
> Etival-Clairefontaine (88) : visite commentée du castellum de la Pierre d'Appel
> Grand (88) : animations autour de l'exposition "Sur les traces d'Apollon. Grand, cinquante ans de découvertes"
> Hennezel (88) : au musée des activités anciennes de Hennezel-Clairey, visite commentée de l'exposition "Les Gallo-romains en Saône Lorraine"
> La Salle (88) : visite commentée du site d'extraction de meules des Fossottes
> Metz (57) : au Musée de la Cour d'Or, visites guidées de la nouvelle scénographie des salles sur les divinités orientales et la période paléochrétienne
> Nancy (54) : portes ouvertes sur la fouille du cimetière des Trois-Maisons, boulevard Charles-V
> Saint-Dié-des-Vosges (88) : visite commentée de la salle d'archéologie du musée Pierre-Noël et visite du site de La Bure
> Soulosse-sous-Saint-Elophe (88) : parcours guidé dans le village sur les pas de saint Elophe, premier martyr vosgien
>> Plus d'infos sur www.inrap.fr
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Sur les traces d'Apollon à Grand (Vosges)
>> Exposition du 15 mai au 14 novembre 2010 "Si Grand m'était contée" et "L'amphithéâtre de Grand : une épopée archéologique" à l'Espace d'exposition de la mosaïque et de l'amphithéâtre de Grand
>> "Les tablettes astrologiques de Grand et autres découvertes réalisées au fond des puits", du 15 mai au 31 octobre 2010 au Musée départemental d'art ancien et contemporain d'Epinal
>> Colloque international "Constantin et l'Est de la Gaule", les 6-7 octobre 2010 à l'auditorium du Centre "Visages de Jehanne" à Domremy-la-Pucelle
>> Contact : sitedegrand@cg88.fr | Tél. : 03.29.06.77.37 (Site gallo-romain de Grand).
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Sur les traces des gallo-romains en forêt de Darney
[Vosges Matin] -
Domrémy : visitez une page d'histoire
[Vosges Matin] -
Fontenoy-le-Château (Vosges) : la statuaire de l'église mise en valeur
[Vosges Matin] -
Vrécourt (Vosges) : conférence de Jean-Marc Lejuste sur le patrimoine funéraire dans le Bassigny lorrain
Ce vendredi 28 mai à 20h30 à la salle des fêtes de Vrécourt, l’association Vrécourt Culture Patrimoine propose de partir à la découverte de l’histoire et du patrimoine funéraire autour de Vrécourt, à travers une vidéoconférence animée par Jean-Marc Lejuste.
Cet historien, auteur de plusieurs brochures historiques et enquêteur pour l’Inventaire régional de Lorraine, présentera un essai de typologie funéraire dans le cadre du riche secteur délimité par les communes de Vrécourt, Sauville, Médonville, Saint-Ouen-lès-Parey, Urville, Aingeville.
Entrée libre.
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Greux (Vosges) livre son histoire
[Vosges Matin] -
A la recherche des derniers brasseurs de Maxéville
[L'Est Républicain] -
Les "Vieux du stade" de Monthureux-Bleurville ont fait la fête
Les anciens joueurs des équipes de football des communes voisines de Monthureux-sur-Saône et de Bleurville se sont retrouvés sur le stade du chef-lieu de canton pour une journée d'amitié et de retrouvailles.
Sous le chaud soleil du lundi de Pentecôte, nos dieux - et non pas "vieux", parce que les dieux sont toujours jeunes ! - du stade ont foulé le gazon monthurolais pour le plus grand plaisir des spectateurs et amis de l'ASM (association sportive monthurolaise) et de l'ASB (association sportive bleurvilloise) qui, depuis quelques années, se sont unies pour la promotion du football dans le sud-ouest vosgien.
Une excellente ambiance a règné toute l'après-midi sous le signe des retrouvailles avec les dirigeants, vétérans, entraîneurs et grands ancêtres du foot local. Jeunes et moins jeunes ont pu s'exercer au baby-foot humain et se distraire aux sons d'une jeune formation musicale.
Une belle réussite à mettre à l'actif des bénévoles de l'Union sportive du Val de Saône qui organisait pour la deuxième année consécutive cette journée de retrouvailles des amis du football Saône Lorrain.
>> Quelques images de la journée...
[crédit photo : J. & Ch. Thiébaut]>> Plus de photos sur http://www.monthureux.fr -
Le général Bigeard à nouveau hospitalisé
Le général et ancien ministre Marcel Bigeard, 94 ans, est hospitalisé depuis plusieurs jours à Nancy, a-t-on appris auprès de la préfecture de Meurthe-et-Moselle.
La préfecture a toutefois indiqué qu’il n’y avait pas "d’alerte particulière", l’état du militaire n’étant pas jugé "grave". "Il n’y a rien de grave ni d’inquiétant", a confirmé une source proche du général à l’AFP.
L'ancien combattant, grande figure de la Seconde Guerre mondiale et des conflits d'Indochine et d'Algérie, avait déjà été soigné pendant une dizaine de jours en mars dernier pour une phlébite au CHU de Nancy. Le général Bigeard, qui fut secrétaire d'Etat dans les années 1970 sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing, et député de Meurthe-et-Moselle, réside toujours à Toul avec son épouse Gaby.
[source : AFP | 26.05.2010]
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Saint-Dié-des-Vosges : la miniature s'expose
[L'Est Républicain] -
Le Christ est tombé à Velaine-sous-Amance
Le calvaire du Christ continue à Velaine-sous-Amance, village de l'est nancéien, dans le canton de Seichamps.
Venant de Laneuvelotte, à l'entrée de la commune de Velaine, une croix de mission, érigée par les paroissiens au XIXe siècle, est enserrée dans une haute haie. Déjà, elle mériterait d'être mieux valorisée et aménagée dans son environnement... Mais l'indifférence ne s'arrête pas là. Depuis plusieurs mois, le fût de la croix gît à même le sol, au bord de la route.
Et personne pour s'émouvoir de cette situation. Personne pour intervenir. Personne pour susciter une restauration de la croix. La municipalité ne semble pas concernée par la protection du patrimoine villageois. Etonnant. Alors que, partout en Lorraine, communes urbaines et rurales engagent des travaux de réhabilitation et de restauration du petit patrimoine villageois (lavoirs, fontaines, fours, chapelles, calvaires, croix...). Apparemment, à Velaine-sous-Amance, les édiles municipaux ne semblent pas être informés de toutes ces actions.
Et pourtant, il suffirait de peu de chose pour remettre en place la colonne de la croix : un peu de volonté, quelques bonnes volontés... et un peu de ciment !
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Le parc régional naturel du sud-ouest vosgien sur les rails
[Vosges Matin] -
Pèlerinage de la Saint Nicolas d'été
Lundi de Pentecôte. Les Lorrains fête la Saint Nicolas d'été. Sous un chaud soleil de mai, quelques courageux Lorrains ont effectué le pèlerinage en mémoire de la translation des reliques de saint Nicolas de Myre (Turquie) à Bari (Italie).
Partis de la grotte de Notre-Dame de Lourdes du Tremblois, à Laneuvelotte, nos pèlerins - en union avec les Lorrains qui marchaient aussi entre Paris et Chartres durant ce week-end de Pentecôte - ont pérégriné à travers la verdoyante campagne lorraine en passant par Velaine-sous-Amance, le château de Romémont, Buissoncourt, la vallée de la Roanne, Varangéville et Saint-Nicolas-de-Port.
La grande basilique dédiée au saint patron des Lorrains accueillait la foule des fidèles à l'occasion de la fête de la translation des reliques de saint Nicolas. Rappelons qu'en 1087, alors que la région de Myre, en Lycie, venait de tomber aux mains des turcs, Dieu permit que les reliques du saint fussent préservées. Trois navires abordèrent à Myre et enlevèrent les restes du saint. Ces "pieux pirates" parvinrent à Bari où la population accueillit avec joie les reliques de saint Nicolas. Une vaste basilique fut construite en son honneur.
A Bari, chaque 9 mai, l'on commémore la translation des reliques du saint. En Lorraine, à Saint-Nicolas-de-Port, notre saint est également fêté chaque lundi de Pentecôte en mémoire de cette translation réalisée au XIe siècle... bien loin des terres lorraines ! Une longue procession autour de la basilique, associant clergé et fidèles, conclut l'office religieux.
>> Quelques images de la Saint Nicolas d'été...
[crédit photo : H&PB] -
Bleurville : la statue de saint Michel bientôt restaurée
Le conseil municipal de Bleurville a décidé de faire restaurer la statue de saint Michel conservée en l'église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens.
Il s'agit d'une sculpture polychrome en bois du XVIIe siècle. Elle a été classée au titre des Monuments Historiques en 2005. La statue a subi les assauts du temps et, en particulier, des insectes qui ont attaqué le bois.
Le culte de saint Michel est très répandu en Lorraine : l'église paroissiale de Monthureux-sur-Saône, commune voisine de Bleurville, est d'ailleurs dédiée à l'archange. Il s'agit d'un culte fort ancien dans l'Eglise catholique qui s'est développé depuis le "fameux" Mont Saint-Michel où est apparu le chef de la milice angélique. Saint Michel est considéré comme le prince de tous les bons anges, le chef des forces du Ciel, des armées célestes, le Champion du Bien.
A Bleurville, notre saint archange, revêtu d'une cuirasse de légionnaire romain, terrasse un dragon à tête de diable.
L'opération de restauration est partiellement subventionnée par le Ministère de la Culture.
Après la statue de saint Eloi et la cuve baptismale, saint Michel sera la troisième pièce du mobilier de la chapelle des Fonts baptismaux à bénéficier d'une restauration. Il ne reste plus que le grand crucifix du XIX siècle... qui attend son heure.
[crédit photo : H&PB]
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Jeanne d'Arc fêtée à Notre-Dame de Bermont
L'Ermitage Notre-Dame de Bermont (entre Domremy et Greux, dans les Vosges) célèbre sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France, les samedi 29 mai et dimanche 30 mai.
Au programme :
> samedi 29 mai :
Ü à 19h00 : accueil des reliques de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus à la chapelle de Bermont et vénération des reliques
Ü à 20h00 : messe pour Sa Sainteté Benoît XVI, suivie de la vénération des reliques
> dimanche 30 mai :
Ü à 7h00 : messe pour la France
Ü à 8h00 : retour des reliques à la basilique du Bois-Chenu de Domremy
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Autour des 30 ans de Saône Lorraine
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Le saint lorrain du mois : saint Firmin
Septième évêque de Verdun, Firmin était originaire de Toul où il aurait dirigé l’école épiscopale.
Il mourut en 510, tandis que Clovis assiégeait Verdun dont les habitants s’étaient révoltés. En 959, le corps de saint Firmin fut apporté en grande solennité à Flavigny-sur-Moselle, où on venait de fonder un prieuré bénédictin. C’est dans cette paroisse qu’aujourd’hui encore on vénère ses reliques.
Il a donné son nom à la paroisse de Saint-Firmin, commune du Saintois, située entre Nancy et Mirecourt.
Le diocèse de Verdun fête saint Firmin le 2 décembre, avec saint Possesseur, son prédécesseur.
[source : http://www.introibo.fr/Saint-Firmin-eveque]
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Marie Nowakowski expose à Nancy