>> Contact : philomenelorraine@gmail.com
Histoire & Patrimoine Bleurvillois - Page 150
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Metz et Nancy : deux écoles privées hors contrat en projet
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Bleurville : vandalisme à l'abbaye Saint-Maur
Pour la deuxième fois en quelques mois, l’association des Amis de Saint-Maur déplore des dégradations commises sur le site de l’abbaye Saint-Maur.
Le président des Amis de Saint-Maur Alain Beaugrand, accompagné du vice-président Roger Persin, se sont rendus sur les lieux afin de constater les dégradations commises récemment : une colonne de la crypte située sur les fouilles archéologiques de l’ancien bas-côté nord a été renversée et brisée en plusieurs morceaux. Par ailleurs, une partie du mur extérieur nord de l’ancienne abbatiale a été démontée et les pierres éparpillées.
« Ces actes de vandalisme gratuits sont inadmissibles et intolérables » s’insurge le président Beaugrand. « Plutôt que de dépenser de l’énergie pour casser, ces individus feraient mieux de la mettre au service d’une œuvre pérenne et constructive, ou de venir tout simplement faire du bénévolat dans nos associations patrimoniales » insiste-t-il.
Ces actes "d’incivilités" - comme l'on dit aujourd'hui pudiquement - font écho à de nombreux autres commis ces temps derniers dans le village : vitres de la fenêtre de la sacristie de l’église paroissiale cassées à coups de cailloux, canettes brisées et détritus divers abandonnés dans le grand escalier qui mène à l’église, vandalisme sur les jeunes arbres plantés à l’occasion des naissances, dégradations sur l’aire de jeux…
Les responsables de l’association des Amis de Saint-Maur rappellent aux parents que leur responsabilité est engagée pour les actes de malveillance commis par leurs enfants et les invitent à une plus grande vigilance. L’association décline toute responsabilité en cas d’accident survenu dans le périmètre de l’ancienne abbaye. Le président rappelle que, s’agissant d’une propriété privée, il est formellement interdit de pénétrer sur le site de l’abbaye sans y avoir été préalablement autorisé par un membre du bureau.
L’association envisage de déposer plainte pour dégradations sur objets archéologiques protégés au titre de la loi sur les Monuments Historiques.
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Nancy offre une place au duc Charles III
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Pâques à Bleurville
Pâques, renouveau, résurrection ! Sous un soleil éclatant, la solennité de Pâques a été fêté dans les jardins tout d'abord, avec la traditionnelle chasse aux oeufs, puis en l'église paroissiale.
La messe du jour de Pâques a été célébrée en l'église Saint-Pierre-aux-Liens par l'abbé Claude Durupt, vicaire général du diocèse de Saint-Dié, devant une nef comble.
Après la procession d'entrée, le célébrant a aspergé les fidèles de l'eau lustrale bénie durant la veillée pascale en l'église de Monthureux, en signe de renouvellement du baptême. La Sainte Messe était animée par la chorale de la grande paroisse Notre-Dame de la Saône.
Ce dimanche était aussi la journée du souvenir des déportés. Plusieurs porte-drapeaux du canton étaient présents dans le choeur de l'église durant la messe.
[cliché ©H&PB]
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Epinal : colloque "Vosges, terre de tourisme" aux ADV les 10 et 11 mai
>> Inscrivez-vous en renvoyant ce bon : inscription colloque ADV.pdf
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8 mai 2011 à Paris : hommage national à Sainte Jeanne d'Arc
‡ Plus d'info sur www.civitas-institut.com
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Joyeuses et saintes fêtes de Pâques !
Resurrection, Fra Angelico (XVe s.)
Resurréxi, et adhuc tecum sum, allelúia : posuísti super me manum tuam, allelúia : mirábilis facta est sciéntia tua, allelúia, allelúia.
[Introït de la messe du dimanche de Pâques]
[Je suis ressuscité, et je suis encore avec Vous, Alléluia !
Vous avez posé votre main sur moi, alléluia !
Votre sagesse a fait des merveilles, alléluia, alléluia !]
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Sur les traces de Charles de Foucauld en Lorraine
Ce sympathique livret est le fruit du travail d'un groupe de Lorrains qui ont voulu en savoir plus sur un de leurs compatriotes et mieux le faire connaître. Nous voulons parler du Père Charles de Foucauld.
Les auteurs nous convient à un parcours "initiatique" sur les pas de Charles de Foucauld. Avec lui, le lecteur refait le voyage en Lorraine, visite les lieux où l'ermite de l'Atlas a vécu sa prime jeunesse puis son adolescence. De Mirecourt à Pont-à-Mousson en passant par Nancy, Lunéville, Plombières-les-Bains, Gérardmer et Saint-Dié, nous suivons pas à pas le Père de Foucauld dans sa famille et chez ses amis.
Cette brochure présente plusieurs photos d'époque, des extraits d'écrits et des prières attribués à Charles de Foucauld. Elle aidera chacun à découvrir sa personnalité complexe : adolescent doué très attaché à sa famille, jeune officier souffrant du désaveu de celle-là même qui l'a mis sous tutelle, missionnaire cherchant moins à convertir qu'à aimer, fondateur d'une famille spirituelle qui n'a vu aucun disciple de son vivant et, enfin, géographe, linguiste et ethnologue reconnu.
Un vrai pèlerinage pour guider nos pas dans un itinéraire humain et spirituel étonnant.
‡ Sur les traces de Charles de Foucauld en Lorraine, collectif, 2011, ill. (5 €).
‡ Pour commander le livret, utilisez le bon de commande ici : commande charles de foucauld en lorraine.pdf
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Bleurville : une forêt propre avec les écoliers
[Vosges Matin]
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Domremy : restauration du monument de la basilique du Bois-Chenu
Depuis 1894, un monument sculpté en marbre et bronze représentant Jeanne d’Arc écoutant ses voix s’élève sur l’esplanade de la basilique du Bois-Chenu. Œuvre du sculpteur André Allar, il avait été commandé par le diocèse de Saint-Dié pour marquer la première étape de l’ambitieux chantier de construction de la basilique, qui devait durer 45 ans.
Exposé aux intempéries et à la pollution, le monument a gravement souffert : avec d’importantes dégradations des matériaux, des déplacements successifs et des modifications de son agencement, il a aujourd’hui perdu son sens et sa puissance originelle. Un important chantier de restauration engagé au printemps en 2011 devrait permettre de préserver les vestiges de l’œuvre d’origine et restituer la lisibilité du monument.
En parallèle aux travaux de nettoyage et restauration conduits sur place par l’atelier de restauration Anne-Cécile, une exposition-dossier au Centre Visages de Jehanne à Domremy rappelle l’histoire de l’œuvre et présente les enjeux de sa restauration.
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A la découverte du Centre de la préhistoire de Darney (Vosges)
[Vosges Matin]
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La sorcière de la Vologne
Ce livre n'est pas une oeuvre d'imagination. C'est l'histoire d'une femme qui recherchait le bien de ses semblables à une époque où guerres et épidémies répandaient leur cortège de malheurs, où le fantastique imprégnait les réalités quotidiennes, où les savoir-faire féminins tuaient souvent aussi.
Claudette Clauchepied est mort brûlée vive sur un bûcher à Bruyères, dans les Vosges, le 4 avril 1601. Elle allait avoir 66 ans.
Construit une base archivistique solide, ce récit ouvre au lecteur le monde des campagnes lorraines. Il dévoile des comportements et des façons de penser authentiques. Le parler est réellement celui des gens du XVIe siècle et non un discours contemporain remanié en fonction d'hypothèses. Préservée des clichés et des déformations folkloriques, la vie de Claudette Clauchepied révèle les racines d'une violence qui a longtemps secoué les communautés rurales. Son procès le montre amplement. Il peut d'ailleurs être consulté aux archives départementales de Meurthe-et-Moselle à Nancy.
>> La sorcière de la Vologne. Le destin d'une guérisseuse du XVIe siècle, Jean-Claude Diedler, Les éditions de Paris/Max Chaleil, 304 p. (20 €).
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Combat pour la sauvegarde de l'institution Saint-Joseph de Laxou
[Vosges Matin]
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Découvrir la Saône Lorraine avec "www.monthureux.fr"
[Vosges Matin]
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Le chevalier de Pange
Ils étaient six frères. Ils aimaient la poésie, le théâtre, la musique. Ils rêvaient de liberté et de justice. La Révolution les a séparé.
Alors que Louis de Pange se fait tuer pour Dieu et le Roi en Vendée, François de Pange soutient la République. Quand André Chénier monte à l'échafaud, Marie-Joseph Chénier siège avec Robespierre à la Convention. Avec eux, nous revivons les derniers éclats de la monarchie et les fureurs de l'enfantement d'une nouvelle France.
Cette fresque romanesque et tragique s'attache particulièrement au destin du plus jeune. Issu d'une vieille famille lorraine, François de Pange passe son enfance et sa jeunesse au sein de la haute société parisienne. A vingt-quatre ans, engagé dans les événements révolutionnaires, il affirme avec force la souveraineté de la Nation avant de dénoncer les abus commis en son nom.
Le poète André Chénier et Germaine de Staël ont aimé le chevalier de Pange qui, malgré les désillusions et les épreuves, conservera jusqu'au bout l'amour de la justice, le courage et la générosité.
‡ Le chevalier de Pange ou la tragédie des frères, Edith de Pange, éditions Serpenoise, 2011, 369 p., ill. ( 27 €).
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Clairlieu, empreinte d'une abbaye
L'auteur, le Père Paul-Christian Grégoire, propose à ses lecteurs une agréable monographie sur l'histoire de l'abbaye cistercienne de Clairlieu.
Etablie sur le territoire de Chaligny, à une quinzaine de kilomètres au sud de Nancy, depuis 1151, les moines cisterciens de l'abbaye comtoise de Bithaine, huitième fille de Morimond, seront invités en 1159 par le duc Mathieu Ier de Lorraine à construire sur son fief de Villers-lès-Nancy au lieu-dit Amelum une abbaye qui prit le nom de Clairlieu. De moyenne importance, ce monastère est tombée en commende pendant une soixantaine d'années à la fin du XVIe siècle. Mais, dès le début du siècle suivant, la fondation religieuse eu la bonne fortune d'être gouverné par dom Jean Martin, un abbé exceptionnel fort estimé dans l'Ordre.
Le champenois Jean Savine, à l'invitation de l'abbé Martin, installa une imprimerie à Clairlieu. L'abbé disparu, l'abbaye a été entraînée dans les hostilités entre la France et la Lorraine, et elle connut des heures dramatiques. La Révolution l'a définitivement effacée du paysage religieux lorrain.
Quelques restes du monastère ont été dégagés et mis en valeur dans un parc archéologique à proximité du lotissement moderne qui perpétue désormais depuis 1970 le souvenir de cette vieille abbaye cistercienne lorraine.
‡ Clairlieu. Empreinte d'une abbaye, Paul-Christian Grégoire, éditions Serpenoise, 2011, 115 p., ill. (12 €).
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Abbaye Saint-Maur de Bleurville : à la recherche du guide de l'été...
L'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville recherche pour cet été une personne motivée (habitant dans le secteur de préférence) pour assurer les activités de visite et de gardiennage du site de l'ancienne abbaye bénédictine locale.
La période concernée : du 1er juillet au 28 août 2011, du jeudi au dimanche inclus, de 14h00 à 18h00.
>> Contactez les responsables de l'association des amis de Saint-Maur à cette adresse courriel en laissant vos coordonnées téléphoniques afin que l'on puisse vous rappeler : abbaye.saint-maur@laposte.net
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Révélations sur l'histoire de la station thermale de Vittel
CAUSERIE DU CERCLE D'ÉTUDES DE VITTEL
JEUDI 21 AVRIL 2011 - 20h30
SALLE DE L'ALHAMBRA – VITTEL
ENTRÉE GRATUITE
1850 – 1860 NAISSANCE DE LA STATION THERMALE DE VITTEL
Par Gilou SALVINI,
Président du Cercle d’études locales de Contrexéville
Ce n'est pas à une énième présentation de l'historique de la station thermale à laquelle vous invite Gilou Salvini ; il vous propose de véritables révélations et des détails inédits.
On croyait qu’une grande partie des documents se rapportant aux origines de la station thermale avait été égarés ou détruits. Or, Gilou Salvini a mis la main aux Archives départementales des Vosges sur plusieurs dossiers qui n'ont pas tous été exploités. Ils ont permis de documenter et d'éclairer de nombreux points importants de cette histoire comme, par exemple : Bouloumié, est venu en cure à Contrexéville pour la première fois en 1850, et non en 1852, qui fut l'année de sa troisième cure ; en 1852, le mirecurtien Charles Pommier, analysait l'eau de la source Gérémoy de Vittel, pour une thèse soutenue en 1853 et publiée en janvier 1854 ; Bouloumié a acheté deux sources en 1854, l'une le 13 décembre à Vittel, l'autre le 24 décembre à Mandres-sur-Vair ; comment lui est venue cette idée d'acheter des sources d'eau minérale pour les exploiter ; qui était Charles Rifflard, et pourquoi a t-il vendu le terrain de Vittel avec la source ; les fiches de police concernant Bouloumié et les mentions de sa présence à Contrexéville ; Bouloumié a inventé un ingénieux système destiné à embouteiller l'eau minérale ; la généalogie des Bouloumié, due à Guy de la Motte-Bouloumié, déposée aux ADV, etc.
‡ Plus d'infos : Vittel_Conf.pdf
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Georges Claude, un génie vosgien oublié
[L'Abeille]
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Fête des Rameaux
Bénédiction des rameaux lors de la messe à la paroisse Notre-Dame de la Saône
(cliché © H&PB, 2011).
Occúrrunt turbæ cum flóribus et palmis Redemptóri óbviam : et victóri triumphánti digna dant obséquia : Fílium Dei ore gentes prǽdicant : et in laudem Christi voces tonant per núbila : Hosánna.
[Antienne de la procession des Rameaux]
Des foules viennent au-devant du Rédempteur avec des fleurs et des palmes ; elles rendent un digne hommage à ce vainqueur triomphant. Les gentils publient la grandeur du Fils de Dieu et l’air retentit d’acclamations à la gloire du Christ : Hosanna !
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Grand (Vosges) : réouverture du site gallo-romain
[L'Abeille]
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Au musée d'Hennezel (Vosges) : Exposition "Xavier-Alphonse Monchablon, peintre d'histoire et portraitiste"
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Notule historique : les filles de saint Pierre Fourier à Châtel-sur-Moselle
Saint Pierre Fourrier
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33ème pèlerinage Domremy-Vaucouleurs : 14 et 15 mai 2011
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Xavier-Alphonse Monchablon au musée d'Hennezel-Clairey
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Vols de cloches en France
Dans une question écrite, Marie-Jo Zimmermann, député de la Moselle, s'inquiète que les cloches des églises, qui datent souvent d'avant la Révolution (ou du début du XIXe siècle), fassent de plus en plus fréquemment l'objet de tentatives de rachat, compte tenu de la hausse du prix du bronze. Le député souhaite savoir si le gouvernement envisage "de mettre sur pied, au niveau national, une politique tendant à préserver systématiquement les cloches qui datent d'avant la Révolution".
Dans sa réponse, le ministre de la Culture et de la Communication indique qu'environ 6.000 cloches sont protégées au titre des monuments historiques (classées ou inscrites). Plus de 98 % d'entre elles remontent à l'Ancien Régime. Elles ont d'autant plus de valeur qu'à la Révolution, les cloches de France ont été saisies, pour la fonte de la monnaie ou de canons, à l'exception d'une seule par paroisse, conservée pour les sonneries civiles. Les deux conflits mondiaux se sont également révélés particulièrement destructeurs. Le ministre estime que "compte tenu du nombre des destructions ainsi intervenues depuis deux siècles, on peut considérer que les quelque 6.000 cloches protégées au titre des monuments historiques représentent une part très significative des cloches d'Ancien Régime conservées".
La réponse ministérielle cite aussi le cas du vol de deux cloches classées dans les Deux-Sèvres, pesant respectivement 260 et 180 kilos et datant de 1542. Une autre cloche - non classée - est également signalée volée en Ariège. Ce patrimoine local "relève de la responsabilité des communes et des desservants, avec l'aide et sous le contrôle, lorsque ces cloches sont protégées au titre des monuments historiques, des services du ministère de la Culture et de la Communication".
Amis du patrimoine, élus, responsables paroissiaux, attention ! Surveillez vos lieux de culte. En France, nos cloches peuvent disparaître…
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Sur les pas d'Emile Badel
Comment, vous êtes Lorrain et vous ne connaissez pas Emile Badel, le "barde lorrain" ? Et bien, il existe une association qui se propose de promouvoir l'oeuvre d'Emile Badel qui, rappelons-le, est né à Saint-Nicolas-de-Port en 1861, et fut un écrivain et un historien de la Lorraine. Il est décédé à Bayon le 6 décembre 1936, jour de la Saint-Nicolas.
Après avoir été bibliothécaire à Nancy puis professeur de lettres et d'histoire à l'Ecole professionnelle de l'Est (actuel lycée Loritz), il devint en 1910 secrétaire de la rédaction de L'Est Républicain. Il collabora à de nombreux autres journaux et couvrit notamment en 1909 l'Exposition internationale de l'Est de la France à Nancy.
Il consacra plus d'une centaine d'ouvrages à l'histoire de Saint-Nicolas et de la Lorraine à laquelle il était très attachée. Citons en particulier Les Grands Jours de Saint-Nicolas, ses dictionnaires des rues de Saint-Nicolas-de-Port et de Nancy, ses études sur les saints et édifices religieux de Lorraine, ses travaux sur Jeanne d'Arc, ses paysanneries...
Bref, vous pouvez adhérer à l'association Sur les pas d'Emile Badel qui vous fera découvrir ce grand Lorrain grâce à la publication de deux bulletins annuels, des promenades commentées sur les pas de Badel et d'autres manifestations.
‡ Renseignements : Association Sur les pas d'Emile Badel, 35 rue Jolain, 54210 SAINT-NICOLAS-DE-PORT | Tél. : 03.83.48.51.20. | Mail : surlespasdemilebadel@yahoo.fr
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Domrémy : journée d'études "Représenter et dire sa foi : images et identités religieuses"
Sous l'égide du Conseil général des Vosges et du Site de Domrémy et du Centre départemental de documentation pédagogique des Vosges, une journée d'études dirigée par Laurent Jalabert, de l'Université de Nancy 2, et Philippe Martin, de l'Université de Lyon 2, est organisée dans le cadre des Mercredis du patrimoine le :
mercredi 20 avril 2011
de 10h00 à 18h00
au Centre Visages de Jehanne
à Domremy-la-Pucelle
Des communications seront présentées par Magali Delavenne, Claude Faltrauer, Fabienne Henryot, Laurent Jalabert, Fabienne Jagou, Philippe Martin et Stefano Simiz.
Consultez le programme de la journée d'étude ici : programme _Images et identités religieuses.pdf
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Les rendez-vous 2011 de Saône Lorraine
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Pont-à-Mousson : Journées d'histoire régionale "La Lorraine religieuse"
L'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson accueillait les 9 et 10 avril les 6èmes Journées d'histoire régionales sur le thème de "La Lorraine religieuse".
Organisées par le Comité d'histoire régionale, ces Journées rassemblaient une soixantaine d'acteurs associatifs qui contribuent tout au long de l'année à populariser l'histoire de la Lorraine auprès du grand public.
Durant ce week-end, les associations lorraines ont dévoilé les multiples facettes des rites religieux qui ont marqué - ou qui marquent encore de nos jours - l'espace public lorrain, notamment par l'édification de nombreux sanctuaires comme les cathédrales, églises, chapelles, temples ou synagogues jusqu'aux monuments plus modestes comme l'art funéraire, la statuaire...
Accueillie amicalement sur le stand des associations Mémoire des Lorrains - Pèlerins de Lorraine animées par Jean-Marie Cuny, l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville a présenté le site de l'ancienne abbatiale bénédictine du village ainsi que le musée de la piété populaire et ses activités aux nombreux visiteurs de ces deux journées.
Ces Journées furent inaugurées par Thibaut Villemin, vice-président du Conseil régional de Lorraine chargé de la culture, Henri Lemoine, maire de Pont-à-Mousson, et Jean-Luc Demandre, animateur du Comité d'histoire régionale.
Rappelons que l'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson a été édifiée dès 1705. D'inspiration classique, c'est l'architecte Thomas Mordillac qui en posa la première pierre et elle fut achevée par Nicolas Pierson. Elle laisse un bel exemple de style baroque d'une sobriété très marquée. L'abbaye présente des éléments architecturaux remarquables : trois escaliers rond, carré et ovale, un cloître ceint de trois galeries sur lesquelles s'ouvrent les salles historiques dont l'intéressante salle du Chauffoir avec ses voûtes en anse de panier.
L'abbaye Saint-Maur de Bleurville... entre drapeau lorrain et bannière de Sainte Jeanne d'Arc.
[clichés H&PB]