presbytère
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Bussang (88) : halte à la démolition du presbytère du XVIIIe siècle
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Bussang (88) : la mairie veut démolir le presbytère du XVIIIe siècle
Jean-François Michel, président de Saône Lorraine, lance un cri d'alarme concernant le projet de démolition du presbytère envisagé par le conseil municipal de Bussang.
"Démolition programmée du presbytère ancien de Bussang : un vrai crime contre le patrimoine !
Depuis une quinzaine d’années au moins, le vieux presbytère de Bussang est dans le collimateur du conseil municipal de la ville. En deux mots, la majorité des édiles veut la peau de ce haut bâtiment à fenêtres à arc segmenté, et qui trône sans histoires au centre du village, à deux pas de l’église. Sans histoires ? Pas vraiment, car déjà au lendemain de 1789 cette belle maison de cure du XVIIIe siècle (érigé entre 1725 et 1735) était une malheureuse cible : elle fut à deux doigts de la destruction complète, mais elle tint bon, tout en devenant progressivement le seul élément ancien de la localité, ou presque…Triste privilège, pauvre sursis, car, paraît-il, la majorité des conseillers municipaux a programmé sa disparition pour l’an prochain.
Pourquoi un tel acharnement, pourquoi cette volonté de faire table rase dans une région qui a perdu une à une les traces architecturales de son passé ? Un presbytère vide de son desservant, et depuis des décennies, dans les mains de municipalités sur lesquelles il est vain de faire des commentaires, tant le spectacle présent et passé semble désolant ! Déjà, voici presque quinze ans, la municipalité de Grandvillers avait assassiné son pittoresque presbytère en faisant fi des cris d’indignation et d’alarme des défenseurs de l’architecture villageoise, Maisons Paysannes des Vosges en tête.
Devant le crime programmé de Bussang, je me sens obligé de réagir, peut-être de façon plus virulente que dans l’affaire de Grandvillers : délégué VMF (Vieilles Maisons Françaises) pour la Région Grand-Est, j’avais commis avec mon épouse Marie-Françoise un livre sur les presbytères anciens des Vosges, avec des illustrations, des notices, une synthèse. Une somme considérable, qui aurait mérité d’être davantage lue, mais aussi une mise en garde adressée aux municipalités iconoclastes : vendre à des particuliers, oui, mais en prenant un minimum de garanties sur les transformations extérieures futures. Transformer en logements, oui, mais à condition de ne pas commettre horreurs ou erreurs sur les façades ou les toitures. Ne pas entretenir, comme l’ont fait bien des municipalités, fut et est une absurdité désolante. Nous en sommes là pour le cas présent, et la conclusion sera le coup d’estoc final programmé pour 2019.
Il y a plus de dix ans, j’eus l’heureuse surprise d’apprendre par la bouche d’un opposant farouche à toute démolition (et il n’était pas seul à Bussang), conseiller municipal de surcroît, que la démolition venait d’être repoussée à une courte majorité. Il avait, m’avait-il dit, brandi notre livre en argumentant : « vous n’allez pas démolir un bâtiment répertorié et photographié dans un ouvrage qui se vend en librairie ! » Un nouveau sursis….
Non, la montagne vosgienne n’a pas besoin d’un tel programme !
Non Bussang ne doit pas laisser partir le rare témoin de son passé !
Oui, il faut se mobiliser pour stopper cet acharnement, et balayer les arguments faussement justificatifs. Les menaces sur un presbytère ancien et élégant, qui maillait sans histoires le tissu de la localité, valent-elles une mobilisation, une réaction, des protestations ? Oui, trois fois oui.Jean-François Michel"
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Liffol-le-Grand (88) : le presbytère du XVIIIe siècle mis en vente
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Bleurville (88) : l'ancien presbytère est à vendre
L'ancien presbytère de Bleurville, 18e-19e s.
Noble bâtisse située en face de l’église paroissiale, elle surplombe le village de Bleurville avec une jolie vue sur la vaste forêt de Darney.
Maison de cure depuis le 18ème siècle, elle a connu un remaniement important en 1829-1830.
Le presbytère fut occupé par le desservant de la paroisse jusqu’en 2010.
Vaste demeure dont la toiture est refaite à neuf (2012), elle est close de murs et dispose d’un vaste jardin et d’un verger à l’arrière.
Cette maison de caractère conviendrait tout-à-fait pour la réalisation d'un projet de création de chambres d'hôtes.
Bleurville est situé dans le canton de Monthureux-sur-Saône, à 21 km au sud de Vittel et proche de la sortie A31 de Bulgnéville.
> Renseignements : Étude notariale Locqueneux à Vittel
> Tél. : 03 29 08 01 80
> Courriel : thierry.locqueneux@notaires.fr
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Graffigny-Chemin (52) : obsèques de l'abbé Fourgerolle
Encensement du corps par Mgr l'évêque de Langres [cl. Y. Masson].
Les obsèques de M. l'abbé Emile Fourgerolle ont été célébrées ce samedi 29 avril 2017 en l'église Saint-Elophe et Saint-Christophe de Graffigny (52) par Mgr Joseph de Metz-Noblat, évêque de Langres, en présence de plusieurs prêtres et des anciens paroissiens de l'abbé Fourgerolle.
Originaire du diocèse de Saint-Dié - né en 1919 à Lerrain -, il avait exercé son ministère à Tollaincourt et Romain-aux-Bois ainsi qu'à Anould, avant d'être mis à disposition du diocèse de Langres en 1960. L'abbé Fourgerolle sera curé de Graffigny-Chemin de 1969 à 1999, date à laquelle il prit sa retraite dans son presbytère de Graffigny.
RIP+
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Mattaincourt (88) : la résurrection du presbytère de saint Pierre Fourier
[Vosges Matin]
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Nancy : recherche de mobilier pour le presbytère Bhx Charles de Habsbourg-Lorraine
Choeur de l'église Marie-Immaculée affectée à la chapellenie Bhx Charles de Habsbourg-Lorraine [cliché ©H&PB]
Afin de poursuivre l'aménagement du presbytère de la chapellenie Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine, Monsieur le Chapelain recherche :
- des étagères pour livres
- une ou deux armoires de rangement
- une table (table de presse pour l'église)
Contact : infos@chapellenie-bhx-charles-nancy.com
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Quel avenir pour les presbytères vosgiens ?
Vente, rénovation ou destruction, les municipalités, pour la plupart propriétaires des maisons de prêtres, s’interrogent. Les réponses ne sont pas toujours satisfaisantes.
Pour les communes, la question se pose forcément une fois. Que faire du presbytère ? Le réhabiliter, le vendre ? Le conseil municipal de Saint-Maurice-sur-Moselle a dernièrement pris sa décision : le rénover pour y créer deux appartements. « Nous n’avons plus de prêtre depuis 2008, souligne le maire Philippe Spilleboute. Nous engageons des travaux importants notamment en matière d’isolation dans cette belle bâtisse et nous créons une salle de cantine qui jouxtera l’ancien presbytère. » Il y a deux ans, c’est Dogneville qui passait à l’acte en inaugurant son ancien presbytère transformé en appartements. Et dans les Vosges – qui comptaient dans les années 1970 quelque 400 presbytères – les exemples ne manquent pas…
Si la question du devenir des maisons de curé revient régulièrement sur la table des mairies, c’est parce qu’elles en sont majoritairement propriétaires. « Aujourd’hui l’Eglise n’a plus les moyens d’être propriétaire de ces bâtiments. C’est un gouffre financier lorsqu’il faut assurer toutes les réparations », explique Michel Petitdemange, économe du diocèse de Saint-Dié.
Dans les Vosges, si quinze presbytères restent dans les mains de l’évêché, trente-huit d’entre eux appartiennent aux communes. Dans ce cas, deux cas de figure se présentent : le prêtre y est encore en fonction et un contrat de bail est signé entre la commune et l’association diocésaine car « la responsabilité de l’évêché est de loger ses prêtres jusqu’à la mort », souligne Michel Petitdemange ; ou il n’y a plus de prêtre (souvent pour des raisons d’âge ou de regroupement de paroisses) et les municipalités disposent de leur bien comme elles l’entendent…
Et là, ça peut « faire mal au cœur », souligne Jean-François Michel, le président de l’association Saône Lorraine. Un exemple : Mattaincourt. Le presbytère de Saint-Pierre-Fourier – transformé en maison d’habitation – a été « un peu défiguré. » « On ne voit quasiment plus le puits, ni la cour intérieure. Le musée n’existe plus. Toute une partie a été goudronnée. Ce presbytère a perdu toute son originalité », souligne celui le président bénévole auteur de l’ouvrage “Maisons de curé et presbytères anciens des Vosges”. Globalement, « les municipalités qui entreprennent, malmènent les bâtiments », note le spécialiste. Il arrive même que ces édifices disparaissent totalement du paysage, soit par irrespect, soit par ignorance d’éléments patrimoniaux et historiques. Alors que les presbytères se font rares dans les Hautes-Vosges, celui de Bussang n’est pas passé loin du couperet. Il a été sauvé grâce à un conseiller municipal qui a brandi l’ouvrage de Jean-François Michel en réunion. Eh oui, le presbytère y est répertorié comme haut lieu patrimonial…
A contrario, quelques communes chérissent leur maison de curé. Monthureux-sur-Saône a transformé son presbytère en musée. A Bleurville, Nonville et Serécourt par exemple, ce sont de très belles restaurations qui ont été faites par des particuliers, amoureux des vieilles pierres. Mais, malheureusement, souvent acquis par des propriétaires originaires de Belgique, du Luxembourg ou des Pays-Bas, ces résidences secondaires changent bien vite de mains… et perdent une grande partie de leur âme.
[d’après Vosges Matin]
Destruction du presbytère de Grandvillers (88)
L’ancien presbytère de Bleurville est à vendre
Presbytère et église surplombent le village [cliché ©H&PB].
Noble bâtisse est située en face de l’église paroissiale et surplombe le village de Bleurville avec une jolie vue sur la vaste forêt de Darney.
Maison de cure depuis le 18ème siècle, elle a connu un remaniement important en 1829-1830. Le presbytère fut occupé par le desservant de la paroisse jusqu’en 2010.
Vaste demeure dont la toiture est refaite à neuf (2012), elle est close de murs et dispose d’un vaste jardin et d’un verger à l’arrière.
Cette maison de caractère conviendrait tout-à-fait pour la réalisation d'un projet de création de chambres d'hôtes.
Bleurville est situé dans le canton de Monthureux-sur-Saône, à 21 km au sud de Vittel et proche de la sortie A31 de Bulgnéville.
> Renseignements : Étude REBOURG-BALANCY à Vittel
> Tél. : 03 29 08 01 80 – etude-rebourg.balancy@notaires.fr
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Monthureux-sur-Saône (88) : vers la restauration des murs de soutènement du presbytère
[Vosges Matin]
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Monthureux-sur-Saône (88) : le mur du presbytère restauré
[Vosges Matin]
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Monthureux-sur-Saône (88) : assemblée générale de Saône Lorraine
C'est sous les couleurs du drapeau aux trois alérions que l'association de sauvegarde du patrimoine de la Saône Lorraine a tenu son assemblée générale annuelle ce dimanche 15 avril à la Maison pour Tous de Monthureux-sur-Saône. Occasion de faire le bilan de l'année écoulée dans la convivialité.
Après l'ouverture des travaux par le président Jean-François Michel et l'observation d'une minute de silence à la mémoire des adhérents disparus, MM. Jacques Kempf et Paul Thanry, le maire de la commune, Raynald Magnien, a exprimé sa joie d'accueillir les adhérents de Saône Lorraine et son souci permanent d'être à l'écoute de tous ceux qui ont le souci de la promotion du patrimoine historique et architectural.
Jean-François Michel a rappelé dans son rapport moral les grands moments qui ont marqué l'activité de l'association patrimoniale au cours de l'année 2011 : les animations au musée des activités anciennes de Hennezel-Clairey (marché de Pâques, expositions), les musées vivants de la petite cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône et les travaux engagés au couvent des Cordeliers des Petits-Thons.
Les questions d'emplois ont également été présentées à l'assemblée et notamment la problématique du remplacement d'Elodie Granget au Grenier à Sel et l'embauche d'un nouveau guide pour le musée de Châtillon avec l'appui de Pôle Emploi.
Le président Michel a aussi évoqué les voyages organisés par l'association et le succès qu'ils rencontrent. D'ailleurs, cette année, les adhérents pourront se rendre dans les états Baltes en mai et dans le Nivernais à l'automne.
Le bilan financier de Saône Lorraine a été présenté par la trésorière Nicole Hottier : chacun a pu se rendre compte de la situation financièrement saine de l'association, corroborée par la stabilité des adhésions, puisque ce sont 375 adhérents qui soutiennent les actions de Saône Lorraine à ce jour.
Afin de remplacer Jacques Kempf au conseil d'administration, la candidature de Françoise Dorion, de Claudon, a été acceptée à l'unanimité.
Lors des échanges entre l'assemblée et le bureau du conseil d'administration, Madeleine Courtial, de Saint-Julien, a évoqué l'état de délabrement que présente l'intérieur de l'église paroissiale de son village. L'église de Saint-Julien est en effet une des rares églises du secteur à être classée Monument historique... Ce qui ne facilite pas pour autant les travaux de restauration ! Cependant, il semblerait qu'il manque une réelle volonté de la part des élus locaux d'engager des travaux. Ceux-ci pourraient tout-à-fait faire l'objet d'une programmation sur plusieurs années afin de tenir compte des contraintes budgétaires de la commune. "L'église fait partie du patrimoine historique du village et il est de la responsabilité de son propriétaire - la commune - de l'entretenir", a rappelé le président Michel.
A l'issue de l'assemblée générale, un sympathique repas a réuni les membres présents. La fin d'après-midi a été consacrée à une page d'histoire locale : Jean-François Michel a brièvement relaté quelques bribes de l'histoire du presbytère de Monthureux, pur produit du XVIIIe siècle. Puis, une visite du musée du patrimoine local installé dans l'ancienne maison curiale, a été effectuée sous la conduite de Marie-Madeleine Boulian.
[cliché © H&PB]
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Bleurville (Vosges) : le presbytère XVIIIe-XIXe est vendu
Le dernier desservant de la paroisse a quitté le presbytère en octobre 2010. L'ancienne maison curiale, propriété de la commune, vient d'être vendue à un particulier.
Vaste bâtisse du XVIIIe siècle, elle a été transformée en 1830 en pleine révolution, entre la chute du roi Charles X et l'avènement du roi des Français Louis-Philippe. Le presbytère, situé en face de l'église paroissiale, est entouré de murs et dispose d'un vaste jardin à l'arrière ainsi qu'un verger.
La cure avait été vendue à la Révolution puis rachetée par la commune au moment de la restauration du culte catholique lors du Concordat de 1801. Des travaux d'agrandissement et d'embellissement seront réalisés en 1829.
L'immeuble dispose de nombreuses pièces, une belle montée d'escaliers en pierre de taille, une vaste cave ainsi qu'une grange et un bûcher.
Elément notable : grâce à son emplacement privilégié, la maison curiale jouit d'une large vue surplombante sur une grande partie du village ainsi que sur la vaste forêt de Darney qui s'étend à l'horizon.
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Monthureux-sur-Saône (Vosges) : le musée du patrimoine local dans l'ancien presbytère
[Vosges Matin]
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Combat pour la sauvegarde de l'institution Saint-Joseph de Laxou
[Vosges Matin]
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Paroisse Notre-Dame de la Saône : messe d'au revoir de l'abbé Villaume le 2 octobre
L'abbé Charles Villaume s'apprête à quitter la paroisse Notre-Dame de la Saône. Il avait déjà pris une semi-retraite dans son presbytère de Bleurville depuis fin 2009.
Nommé curé in solidum avec l'abbé Pierre Maillard, curé de Monthureux-sur-Saône, en 1994, en résidence à la cure de Bleurville, il avait mené à bien la création de la grande paroisse Notre-Dame de la Saône qui regroupe onze clochers, après avoir été durant 30 ans missionnaire fidei donum au Mali.
Son âge - 83 ans - et quelques soucis de santé l'ont décidé à quitter la maison curiale de Bleurville pour se rapprocher de sa famille.
L'abbé Villaume célébrera sa messe d'au revoir en l'église de Regnévelle samedi 2 octobre à 18h00. Elle sera suivi du verre de l'amitié.
Nul doute que les paroissiens pratiquants et non pratiquants auront à coeur de participer nombreux à sa dernière messe dans la paroisse Notre-Dame de la Saône.
Merci Monsieur l'abbé pour votre fructueux ministère passé parmi ces vosgiens catholiques du bout du diocèse !
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Spectacle vivant estival en Saône Lorraine
[Vosges Matin] -
Les presbytères vosgiens malmenés
[Vosges Matin] -
Monthureux-sur-Saône : réfection du mur de clôture du presbytère
[Vosges Matin | 13.12.09] -
Le musée du Patrimoine local de Monthureux-sur-Saône déménage
[Vosges Matin | 22.07.09] -
Patrimoine bleurvillois : restauration de la tombe de l'abbé Ferry
Jusqu'en 1894, le cimetière de Bleurville entourait l'église paroissiale. Depuis, toutes les anciennes tombes ont été déposées ; seule demeure, accollée au vieux sanctuaire, le monument funéraire d'un ancien curé de Bleurville, l'abbé Jean-Joseph Ferry.
L'abbé Ferry est nommé à la paroisse de Bleurville en 1820. Le presbytère ayant été vendu à la Révolution, il est obligé de se loger dans une maison au pied du grand escalier qui monte à l'église. En 1823, la commune rachète l'ancien presbytère et y fait réaliser des travaux de réhabilitation. C'est la maison de cure que l'on peut toujours voir aujourd'hui.
L'abbé Ferry exercera son ministère pastoral à Bleurville jusqu'en 1862. Il y est décédé et attend la résurrection des morts à l'ombre de l'édifice qui l'a vu célébrer le service divin pendant 42 ans. Ce prêtre a profondément marqué les esprits locaux par son dévouement, sa piété et son humanité, au point que les paroissiens l'avaient surnommé "le Père de Bleurville", ainsi qu'en témoigne encore la plaque funéraire. Et pourtant, l'homme dut subir de nombreuses vexations de la part de l'architecte responsable de la reconstruction de la cure... De même, il travailla avec intelligence avec plusieurs municipalités et au gré des changements de régimes politiques tels qu'en connu le XIXe siècle : la Restauration, la Monarchie de Juillet, la IIe République et le Second Empire.
Or, au fil des ans, le monument avait subi les assauts du temps ; depuis de nombreuses années le croisillon était cassé. La municipalité a fait procéder dernièrement à sa réparation. Désormais, le sobre monument du "Père de Bleurville" a retrouvé toute sa dignité. En souvenir de celui qui fit beaucoup de bien aux paroissiens de son époque.
Félicitations aux élus locaux qui ont le souci de la préservation du patrimoine de la commune. C'est un début, il faut continuer !