[Vosges Matin]
Histoire & Patrimoine Bleurvillois - Page 151
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Relanges (Vosges) : 6ème édition de Relanges Bio les 16 et 17 avril
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Hennezel-Clairey (Vosges) : marché de Pâques au musée
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Vandoeuvre-lès-Nancy : une église va devenir… un temple du commerce
L’église Saint-François d’Assise de Vandoeuvre-lès-Nancy, construite dans les années 60, va être vendue à un promoteur immobilier qui veut en faire un centre commercial.
L'économe du diocèse de Nancy & de Toul, Michel Petitdemange, explique : "Nous avons mise en vente cette église Saint-François d'Assise en 2007, car il y a eu une évolution de la pratique religieuse et du quartier : aujourd'hui, seule une petite centaine de fidèles s'y rendent, alors qu'elle peut accueillir plus de 700 personnes".
Ni la commune, ni la communauté urbaine du Grand Nancy ne souhaitant reprendre l'édifice, un promoteur a acheté l'ensemble pour 1,3 M€. Le diocèse s'est assuré que le projet commercial ne concernait "ni un bar, ni une salle de jeux, ni un commerce illicite du corps ou de l'esprit", a souligné l'économe.
Les fidèles de Saint-François d'Assise pourront toutefois continuer à se rendre dans la chapelle attenante au bâtiment pendant quelques mois, l'ensemble n'étant pas encore désacralisé.
Une autre église du diocèse, à Mont-Saint-Martin, est également à vendre.
[source : La Croix]
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Des Darnéens célèbres
[Vosges Matin]
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Monthureux-sur-Saône (Vosges) : Tréfil'art au pôle d'activité
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Le saint lorrain du mois : saint Don (ou Donat)
Les bords de la Meurthe, sur le territoire de Dombasle, au delà de Saint-Nicolas-de-Port, furent encore troublés du sang d’un martyr, à l’époque de l’irruption des Vandales, dans les Gaules, c’est-à-dire, vers l’an 406.
Ce martyr est saint Don ou Donat dont les Actes sont perdus. Quelques particularités seulement, concernant l’état, les miracles et le culte de ce bienheureux, se retrouvent dans un titre qu’Henri de Lorraine, évêque de Toul, expédia au profit de l’abbaye touloise de Saint-Mansuy. D’après ce document rédigé sur d’anciennes traditions : pervenit ad notitiam nostram, Donat était ermite, d’une éclatante vertu. Appréhendé par une troupe de Vandales, en présence desquels il confessa courageusement sa foi, ces cruels païens le percèrent d’une grêle de traits, tout près du grand chemin où son corps reçut la sépulture. Les miracles qui s’opérèrent au tombeau du saint martyr y attirèrent une foule de pèlerins. Il est surtout fait mention d’une femme aveugle depuis plusieurs années, laquelle y ayant recouvré la vue, fit élever une petite chapelle qui subsista jusqu’au temps de Thierry de Dombasle. Ce seigneur la rétablit dans un état plus décent et la fit consacrer par Pibon, évêque de Toul, vers l’an 1170.
Un autre seigneur de Dombasle, nommé Vidric, avait déjà fondé le prieuré de Saint-Don que Thierry fit accepter à l’abbé de Saint-Mansuy, alors nommé Théodoric. Les guerres qui désolèrent la Lorraine, obligèrent les successeurs de cet abbé, à transférer dans leur abbaye les reliques de saint Donat. Le prieuré élevé en son honneur, était déjà détruit en 1710 : une simple croix marquait remplacement qu’il avait occupé.
La fête liturgique de saint Don est célébrée le 7 avril.
[source : http://www.introibo.fr/Saint-Don-martyr]
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Archéologie et détecteurs de métaux : halte au pillage !
Le patrimoine national connaît une menace sans précédent dans son histoire. Même si cela sonne comme une évidence, il faut rappeler que les données archéologiques représentent une ressource finie qui n’est donc pas inépuisable et que la recherche des objets archéologiques en tant que telle n’est pas une fin en soi.
Il est urgent de renforcer la vigilance à tous les niveaux pour préserver ce qui peut l’être encore. Comme dans d’autres pays du monde, la lutte contre la détection illégale représente en France un enjeu majeur pour la préservation du patrimoine archéologique et historique.
Le Conseil national de la recherche archéologique vient de rendre son rapport sur les liens entre l'utilisation des détecteurs de métaux et le pillage des sites archéologiques. Il préconise notamment l'immatriculation et l'enregistrement des détecteurs de métaux, un renforcement de la législation destinée à protéger les sites archéologiques connus et non connus et l'élaboration d'une recommandation européenne sur la problèmatique du pillage des sites archéologiques.
>> Accès au rapport du CNRA en cliquant sur ce lien : cnra_rapport_ddm_2011.pdf
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La place de l'Arsenal à Nancy
[Vivre Nancy | 26 mars-8 avril 2011]
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Une souscription pour la restauration du couvent des Cordeliers des Thons (Vosges)
‡ Pour télécharger le bulletin de souscription : bon de souscription ancien couvent des cordeliers.pdf
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Concert de Glorious à Nancy, samedi 16 avril 2011
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Jésus de Nazareth, par Benoît XVI
En ce temps de Carême, nous faisons une petite exception à notre recension habituelle d'ouvrages lorrains en présentant le dernier ouvrage du pape Benoît XVI : Jésus de Nazareth.
Le Souverain Pontife renoue, avec cet ouvrage, avec un genre littéraire où il est à l'aise : le grand exposé sur la foi. Dans ce cadre, il se détache de l'actualité et son propos gagne en liberté. Avec une sorte de force paisible et équilibrée, le Saint-Père ouvre donc à nouveau le dossier "Jésus". Mais pour autant, cette tranquillité de ton n'entame pas la gravité et l'importance du sujet. Il ne s'agit en effet rien de moins que du coeur du christianisme, les derniers moments du Messie, sa Passion, sa mort et sa résurrection. Les question-clé de la foi.
Ce livre de théologie biblique se laisse découvrir à travers des chapitres accessibles à tous qui ouvrent autant la réflexion que la méditation. En ce sens, le livre répond tout à fait aux attentes d'un lecteur moderne qui n'est pas féru de science théologique mais veut en savoir d'avantage.
Au final, Benoît XVI ne cède pas dans cet ouvrage à une démonstration de foi expansive ou affective. Il se montre plus proche de la paix bénédictine que du débordement charismatique. Il n'hésite pas parfois pourtant à partager sa vision méditative. Ainsi, de cette belle méditation sur le visage de Jésus crucifié, qui renvoie à toutes les victimes, tous les souffrants de ce monde. Ou dans la finale de l'ouvrage qui ouvre sur une invitation à l'espérance spirituelle. Ce qui manque sûrement le plus au monde actuel.
>> Jésus de Nazareth. De l'entrée à Jérusalem à la Résurrection, Benoît XVI, éditions du Rocher, 2011, 352 p. (22 €).
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Haute-Marne 1900 vue par ses photographes
Pour le plaisir des yeux, Bruno et Jean-Michel Théveny proposent un nouveau voyage au début du XXe siècle avec les plus beaux clichés des meilleurs photographes haut-marnais.
Ils sont nombreux à nous avoir laissé de remarquables témoignages photographique : de Lucien Merger à Hortes, auquel un important chapitre est consacré ici, à Abel Maugras de Bourbonne-les-Bains, en passant par les éditeurs Alexandre Gauthier à Saint-Dizier, Alphonse Pourtoy à Chaumont, ou Paul Mongin à Langres. Beaucoup faisaient aussi de la photo par passion comme Léon Fyot à Farincourt ou Léon Aubry à Aubepierre-sur-Aube. Quand à Louis Guillemin, il assista à l'atterrissage du Zepplin L49 à Serqueux, à quelques kilomètres de Bourbonne, en 1917. N'oublions pas les nombreux prêtres qui saisissaient leurs fidèles ou les cérémonies religieuses sur papier photo : l'abbé Lassalle à Genevrières, l'abbé Chaumette à Malroy, ou encore l'abbé Haquin à Illoud qui immortalisa les célèbres Tantaloches du Bassigny, mi-bohémiens, mi-vanniers.
Avec près de 350 clichés, cartes postales et documents anciens, l'ouvrage invite le lecteur à redécouvrir cette Haute-Marne à la Belle Epoque... et le Bassigny si proche de la Lorraine historique.
>> Haute-Marne 1900 vue par ses photographes, Bruno et Jean-Michel Théveny, éditions Dominique Guéniot, 2011, 255 p., ill. (34 €).
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Félix Maréchal (1798-1871), médecin et maire de Metz
Félix Maréchal meurt d'épuisement le 29 mars 1871, quelques mois après le blocus prussien, et alors que Metz s'apprête à passer sous souveraineté allemande. Mais cette grande figure de la bourgeoisie messine laisse derrière elle un héritage considérable.
Médecin du privé comme du public, l'homme s'implique dans la vie associative et devient un notable. Ce statut et son engagement aux côtés des républicains libéraux de 1830 lui ouvrent les portes de la politique. Conseiller municipal de Metz sous la monarchie de Juillet, il siège au conseil général de la Moselle, qu'il préside pendant plusieurs années sous la Seconde République et, surtout, il est nommé à l'hôtel de ville sous le Second Empire.
Maire de 1854 à 1871, avec un mélange de savoir-faire, d'opportunisme et de pragmatisme, il s'efforce de moderniser et de développer Metz. Par son parcours et son action, il s'identifie à cette ville où son empreinte est toujours bien réelle.
Un personnage et une passion messine que Bernard Desmars nous fait découvrir dans cet ouvrage.
L'auteur, Bernard Desmars, est maître de conférences en histoire contemporaine à l'Université de Metz et spécialiste de l'histoire sociale du XIXe siècle.
>> Félix Maréchal (1798-1871). Médecin et maire de Metz, Bernard Desmars, éditions Serpenoise, 2011, 263 p. (20 €).
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La fontaine Stanislas à Plombières-les-Bains
[Vosges Matin]
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La Nouvelle revue lorraine n° 7 est parue
Tous les deux mois, La Nouvelle revue lorraine vous donne rendez-vous avec la Lorraine, son histoire, son patrimoine, ses traditions et son terroir. Ce numéro de printemps ne déroge pas à la ligne éditoriale ! Zoom sur le riche sommaire :
- la tradition du linge haut de gamme dans les Vosges
- que sont nos usoirs devenus ?
- le lavoir de Millery
- la pharmacie des jésuites à Pont-à-Mousson
- le vertueux Cange ou le commissionnaire de Saint-Lazare
- le cardinal Eugène Tisserant
- un guinéen héros de la Résistance vosgienne
- le château de Lunéville
- le crucifix d'or du château de Darnieulles
- Xavier Alphonse Monchablon s'expose à Hennezel
- proverbes lorrains
... et bien d'autres articles et anecdotes... et les traditionnelles rubriques : l'éditorial de Jean-Marie Cuny, les info's lorraines, les livres...
‡ En vente en librairie ou par abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (36 € pour 6 numéros) à : Jean-Marie CUNY, LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.
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Rozières-sur-Mouzon (Vosges) : au chevet de la chapelle N.-D. de Valrose
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Natur'images en Saône Lorraine : le programme
[Vosges Matin]
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Charmes (Vosges) : hommage musical au grand Chopin
[Vosges Matin]
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Mémoires de Valentin Jamerey-Duval ou l'enfance et éducation d'un paysan au XVIIIe siècle
Document unique sur le malheur paysan et la vie dans les campagnes au XVIIIe siècle, les Mémoires de Valentin Jamerey-Duval ont été écrits par un fils de paysan qui a connu, dans son enfance orpheline, la faim, le froid et la misère. C'est un témoignage paysan et non sur les paysans, rendu possible parce que le jeune Valentin apprendra à lire et à écrire au hasard d'un séjour chez des religieux et que, protégé du duc de Lorraine dont il deviendra le bibliothécaire, il ira étudier à l'université jésuite de Pont-à-Mousson.
C'est l'histoire aussi d'une enfance misérable, d'une lente émergence de la peur, de la superstition et de la faim vers le savoir, la culture, le bonheur. Tout en dénonçant une noblesse égoïste et enfermée dans la défense de ses privilèges, Valentin Jamerey-Duval donne les preuves de son appartenance au monde intellectuel intégré grâce au soutien d'hommes de la cour du duc de Lorraine.
Bourguignon de naissance, il fuit son enfance malheureuse en se fixant en Lorraine, au hasard de sa vie errante. Berger dans les Vosges, il est recueilli par des ermites de Deneuvre qui lui permettent d'accéder à l'instruction. En 1716, à l'occasion d'une rencontre avec le duc Léopold, ce dernier le prendra sous sa protection. Poursuivant son instruction, Léopold lui confie sa bibliothèque. En 1737, il suit le duc François III devenu grand-duc de Toscane où il s'occupe du transfert de la bibliothèque de Lunéville. Puis ce sera le Cabinet des médailles et monnaies viennois lorsque François-Etienne de Lorraine devient l'empereur François Ier de Lorraine-Habsbourg. Jamerey-Duval décède à Vienne en 1775.
>> Valentin Jamerey-Duval. Mémoires. Enfance et éducation d'un paysan au XVIIIe siècle, Jean-Marie Goulemot (présentation par), éditions Minerve, 2011, 326 p. (24 €).
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La culture gagne du terrain dans les Vosges
[Vosges Matin]
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La statuaire johannique, tome 2 : en souscription jusqu'au 25 avril 2011
Bernard Mugnier est devenu "le" spécialiste de la statuaire johannique en France et, tout particulièrement, en Lorraine.
Après son premier opus consacré à La statuaire johannique du XVIe au XXe siècle, il propose à tous les amateurs d'histoire johannique le second tome dans lequel il présente notamment les différents sculpteurs et leurs oeuvres, la production industrielle des statues de Jeanne d'Arc et les techniques de restauration et copie de statues.
L'ouvrage sera une belle mise en bouche pour se préparer aux festivités du 6ème centenaire de la naissance de notre Jeannette qui sera commémoré en 2012.
>> Pour souscrire, il suffit de renvoyer le bulletin ci-dessous avec votre règlement à : Bernard Mugnier, La Lysardière, 6 rue de Verdun, 70000 VESOUL.
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Bleurville : nouvelle splendeur pour la statue de saint Michel
La statue de saint Michel vient de retrouver son piédestal à l'église paroissiale après une cure de rajeunissement.
L’an dernier, le conseil municipal avait pris la décision de faire procéder à la restauration de la statue de saint Michel installée dans la chapelle des fonts baptismaux de l’église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens. Ces travaux ont été réalisés par Delphine Masson, spécialisée dans la restauration de sculptures à Paris. Le financement de l’opération a été pris en charge par la DRAC de Lorraine, le Conseil général des Vosges et la commune.
Cette statue originale de saint Michel est en bois polychrome du XVIIe siècle. Avec le temps, elle avait perdu ses couleurs et, surtout, était attaquée par des insectes xylophages qui risquaient, à terme, de la faire tomber en poussière. La restauration lui a redonné une nouvelle jeunesse : avec ses bonnes joues roses et sa cuirasse à la romaine rutilante, notre archange a désormais fière allure !
Chef de la milice céleste, saint Michel est représenté terrassant le dragon, symbole du Mal. Malheureusement, notre saint militaire a perdu son glaive depuis bien longtemps… La restauratrice ne l’a pas rétabli dans la mesure où aucune archive connue n’était en mesure d’en donner une description précise.
Le culte de saint Michel est bien présent dans le Nord-Est de la France. Rien que dans le diocèse de Saint-Dié, douze églises et chapelles sont dédiées à Saint Michel : Circourt-sur-Mouzon, Epinal, Etival, Domjulien, Jainvillotte, Moncel-sur-Vair, Monthureux-sur-Saône, Pont-lès-Bonfays, Remiremont, Saint-Michel-sur-Meurthe, Les Vallois et Vexaincourt. Sans compter les dizaines de statues conservées dans les églises ! Le culte de l’archange a été popularisé par les moines à partir du VIIIe siècle. Le culte de saint Michel a probablement été propagé en Lorraine par l’abbaye de Gorze et son abbé Jean de Vandières qui s’était rendu en 930 en pèlerinage au Mont Gargano, en Italie, où apparu l’archange Michel.
Le Saint Michel terrassant le dragon de Bleurville est une belle œuvre populaire qui fait honneur à l’église paroissiale, aux croyants qui en firent don, ainsi qu’à son créateur, artiste de village qui dût donner les traits de personnes de son entourage à saint Michel… et au démon – somme toute à la figure sympathique – écrasé par le pied de l’archange !
Après la rénovation de la statue de saint Eloi et celle de saint Michel, c’est un des deux grands tableaux du XVIIIe, consacré à La résurrection et attribué au curé François Ricard, qui devrait faire l’objet d’une prochaine restauration programmée par la municipalité. Peut-on espérer un jour voir l’intérieur de l’église complètement rénovée… Elle le mériterait ; les derniers travaux ayant eu lieu en 1962.
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Prière à Saint Michel
Seigneur, daignez vous souvenir que dans les circonstances douloureuses de notre histoire, vous avez fait de l’archange Saint Michel l’instrument de votre miséricorde à notre égard, nous ne saurions l’oublier.
C’est pourquoi, nous vous supplions de conserver à notre patrie la protection dont vous l’avez jadis entourée par le ministère de cet archange vainqueur.
Et vous, ô Saint Michel, prince de la milice céleste, venez à nous, nous vous appelons de touts nos vœux. Vous êtes l’ange gardien de l’Eglise et de la France. C’est vous qui avez inspirer et soutenu Jeanne d’Arc dans sa mission libératrice.
Nous mettons nos personnes, nos familles, nos paroisses, la France entière sous votre protection toute spéciale. Nous en avons la ferme espérance : vous ne laisserez pas mourir le peuple qui vous a été confié. Que Dieu suscite parmi nous des saints.
Par eux, ô saint archange, faites triompher l’Eglise dans la lutte qu’elle soutient contre l’enfer déchaîné et, par la vertu du Saint-Esprit, établissez le règne du Christ sur la France et dans le monde afin que la paix du ciel y demeure à jamais.
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Pont-à-Mousson : Journées d'histoire régionale "La Lorraine religieuse" les 9 et 10 avril 2011
Pour la 6ème année le Comité d’Histoire Régionale organise les Journées d’Histoire Régionale consacrées à « La Lorraine religieuse ».
Seule manifestation de ce type en France, elles rassembleront à Pont-à-Mousson 60 associations et organismes, venant de toute la région, qui œuvrent dans les domaines de l’histoire et du patrimoine. Le thème de cette édition, la Lorraine religieuse, sera décliné grâce à 45 expositions, des concerts et des conférences de vulgarisation.
Les Journées d'Histoire Régionale se dérouleront les samedi 9 et dimanche 10 avril de 14h à 18h à l'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson.
L'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville y présentera l'histoire de l'abbaye bénédictine Saint-Maur.
Journées ouvertes à tous les publics. Entrée gratuite.
>> Plus d'infos en cliquant sur ce lien : JER PAM 2011.pdf
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Deyvillers (Vosges) : inauguration de l'église restaurée
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Deux nouveaux chanoines installés à la cathédrale de Nancy
Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul, a installé officiellement lundi 21 mars deux nouveaux chanoines au chapitre cathédral de Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy.
Les abbés Daniel Boichot, curé de la cathédrale, et Etienne Moinier, aumônier à l'hopital de Brabois et des scouts et guides du Sacré-Coeur-Saint-Léon IX de Nancy, ont été faits chanoines de la cathédrale par Mgr Papin lors de la messe de 18h15 en présence de nombreux fidèles.
Dans son propos liminaire, Monseigneur l'évêque a rappelé le rôle des chanoines : il s'agit d'assurer la prière officielle de l'Eglise diocésaine au sein de l'église cathédrale. Les chanoines ont perdu leur rôle de conseillers de l'évêque depuis la réforme du droit canonique de 1983. Ce rôle est désormais dévolu au conseil presbytéral composé de curés de paroisses et de laïcs. Les chanoines assistent également leur évêque lors des cérémonies officielles de l'Eglise.
Après avoir renouvelé leur profession de foi en récitant le credo, les nouveaux chanoines ont reçu des mains de l'évêque et de leurs confrères la croix pectorale, symbole de l'appartenance au chapitre cathédral. Puis, chacun des prêtres présents leur donnèrent l'accolade.
Le chapitre de Nancy n'est pas le plus ancien créé en Lorraine, mais il est le premier à recevoir le privilège d'une croix pectorale en 1754. A la tête du chapitre de la primatiale, se trouvait un primat, qui avait tous les privilèges d'usages et vêtements du pontife (mître, crosse, anneau...).
Il s'agit des deux premiers chanoines nommés par Mgr Papin depuis son installation à la tête du diocèse de Nancy & de Toul en 1999.
A l'issue de la messe, un vin d'honneur fut servi à tous les fidèles et le clergé présent.
Pour en savoir plus sur le chapitre canonial de la cathédrale de Nancy, on peut lire avec profit l'ouvrage récent d'Etienne Martin, Les croix de chapitre à Nancy et à Toul, publié chez Histoire & Curiosités - Editions phaléristiques.
Remise de la croix pectorale à l'abbé Daniel Boichot
Remise de la croix pectorale à l'abbé Etienne Moinier
Les nouveaux chanoines entourant Mgr Papin lors de l'Eucharistie
[clichés H&PB]
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Cantonales 2011 à Monthureux : Alain Roussel (divers droite) réélu
ELECTIONS CANTONALES 2011 - CANTON DE MONTHUREUX-SUR-SAÔNE
Résultats 1er tour – 20 mars 2011
Nombre
% Inscrits
% Votants
Inscrits
2 034
Abstentions
668
32,84
Votants
1 366
67,16
Blancs ou nuls
35
1,72
2,56
Exprimés
1 331
65,44
97,44
Liste des candidats
Voix
% Inscrits
% Exprimés
Elu
M. Georges FAIVRE (FN)
114
5,60
8,56
M. Raynald MAGNIEN (MODEM)
312
15,33
23,44
M. Jean-Claude LACOUR (PCF)
27
1,32
2,03
M. Alain ROUSSEL (DVD)
878
43,16
65,97
REELU
Résultats 1er tour cantonales 2011 - BLEURVILLE
Nombre
% Inscrits
% Votants
Inscrits
305
Abstentions
120
39,34
Votants
185
60,66
Blancs ou nuls
3
0,98
1,62
Exprimés
182
59,67
98,38
Liste des candidats
Voix
% Exprimésésés
M. Georges FAIVRE (FN)
21
11,54
M. Raynald MAGNIEN (MODEM)
48
26,37
M. Jean-Claude LACOUR (PCF)
4
2,20
M. Alain ROUSSEL (DVD)
109
59,89
[Source : Préfecture des Vosges] -
Rambervillers (Vosges) : la tuilerie des Croix-Ferry
[Vosges Matin]
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Cantonales 2011 à Monthureux-sur-Saône : résultats du 20 mars à 21h00
[source : France 3 Lorraine]
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Les trésors cachés du musée de Toul
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Neufchâteau : le retour de la procession de Saint-Eloi ?
Les années passent mais la confrérie de Saint-Eloi de Neufchâteau, qui regroupe des professionnels qui travaillent les métaux, résiste au temps. Elle pourrait même renouer cette année avec sa traditionnelle procession.
[Vosges Matin]