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  • 5-6 novembre 2011 à Saint-Nicolas-de-Port : célébration du 150ème anniversaire de la naissance d'Emile Badel, le barde lorrain

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  • Sur les pas d'Emile Badel

    Numériser.jpgComment, vous êtes Lorrain et vous ne connaissez pas Emile Badel, le "barde lorrain" ? Et bien, il existe une association qui se propose de promouvoir l'oeuvre d'Emile Badel qui, rappelons-le, est né à Saint-Nicolas-de-Port en 1861, et fut un écrivain et un historien de la Lorraine. Il est décédé à Bayon le 6 décembre 1936, jour de la Saint-Nicolas.

    Après avoir été bibliothécaire à Nancy puis professeur de lettres et d'histoire à l'Ecole professionnelle de l'Est (actuel lycée Loritz), il devint en 1910 secrétaire de la rédaction de L'Est Républicain. Il collabora à de nombreux autres journaux et couvrit notamment en 1909 l'Exposition internationale de l'Est de la France à Nancy.

    Il consacra plus d'une centaine d'ouvrages à l'histoire de Saint-Nicolas et de la Lorraine à laquelle il était très attachée. Citons en particulier Les Grands Jours de Saint-Nicolas, ses dictionnaires des rues de Saint-Nicolas-de-Port et de Nancy, ses études sur les saints et édifices religieux de Lorraine, ses travaux sur Jeanne d'Arc, ses paysanneries...

    Bref, vous pouvez adhérer à l'association Sur les pas d'Emile Badel qui vous fera découvrir ce grand Lorrain grâce à la publication de deux bulletins annuels, des promenades commentées sur les pas de Badel et d'autres manifestations.

     

    ‡ Renseignements : Association Sur les pas d'Emile Badel, 35 rue Jolain, 54210 SAINT-NICOLAS-DE-PORT | Tél. : 03.83.48.51.20. | Mail : surlespasdemilebadel@yahoo.fr

  • Le Pays Lorrain est paru

    Le Pays Lorrain, revue trimestrielle publiée à Nancy depuis 1904 par la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain, publie des articles inédits consacrés à l'archéologie, l'histoire, la littérature, les arts, les traditions populaires et la vie contemporaine de la Lorraine.

     

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    Dans son numéro de juin, Le Pays Lorrain aborde plusieurs thèmes de la vie et de l'histoire lorraines : un dossier sur les juifs et la Lorraine (Juifs, Lorrains et pouvoir royal ; La communauté juive de Phalsbourg et la restauration du banc de circoncision de la synagogue ; Reconstitution d'une communauté meurtrie et diversité de la vie juive après la Shoah ; Sources de l'histoire des juifs de Lorraine conservées aux Archives municipales de Nancy), les stalles de l'église abbatiale de Moyenmoutier, Ecurey et les frère Vivaux : nouveaux éléments pour l'histoire du site, Louis Guingot peintre et inventeur, Jules Criqui une vie au service de l'architecture, le tableau de Notre-Dame des Vertus à Ligny-en-Barrois, un personnage au parcours hors du commun : Jean-Joseph Petitgenêt, la guerre de Trente Ans dans le Westrich. Et les traditionnelles rubriques (vie du musée, vie régionale, publications récentes...).

     

    >> Le Pays Lorrain, n° 2, juin 2009 (10 €). A commander à la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain, Palais ducal, 64 Grande-Rue, 54000 NANCY

    >> Plus d'infos sur www.museelorrain-payslorrain.org

  • Visite au Musée Lorrain : Jésus au Jardin des Oliviers

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    [source : Est Magazine]

  • Nancy : un Grand Rabbin au Musée Lorrain

    Gilles Bernheim a découvert la remarquable exposition consacrée à l’histoire des juifs en Lorraine à l’occasion de son inauguration au cœur du musée historique de la Lorraine.

     

     

    rabin.jpgGilles Bernheim sait que les collections juives du Musée lorrain, en font une étape privilégiée en France, la seconde après le Musée d'art et d'histoire du judaïsme à Paris. Alors il n'est pas venu seul. Joël Mergui président du Consistoire central de France est là également, comme les présidents de communautés israélites en Lorraine, le nancéien Etienne Heymann, ses homologues de Verdun, Remiremont, Metz, Lunéville ou Epinal, et bien sûr Daniel Dahan, Bruno Fiszon, grands rabbins de Nancy et Metz. « Nancy, jumelle de Kyriat Shmona, assume ses amitiés et ses engagements avec fierté. Lucide avec le passé, vigilante au présent. Nancy est solidaire des inquiétudes qui s'expriment au sein des communautés juives dans le contexte mondial actuel. Nancy est ville des Justes parmi les nations » explique le maire de Nancy.

     

    A Nancy, ville profondément républicaine et laïque (dixit le Dr Rossinot), la visite du Grand Rabbin de France, a résonné comme un symbole : « Le judaïsme, comme les autres religions du Livre, est porteur de valeurs utiles à la République. Dans leurs diversités. Je crois profondément aux valeurs citoyennes de chaque religion. Parmi elles, la générosité et la fraternité me semblent essentielles. Sans doute n'a-t-on pas assez travaillé sur le thème de la fraternité dans notre pays » confie Gilles Bernheim en longeant sur la place, la statue de Stanislas, protecteur des communautés juives, comme le fut plus tard un autre humaniste  - et chrétien - célèbre, l'abbé Henri Grégoire, militant de l'émancipation des juifs. Gilles Bernheim prône un dialogue interreligieux vigilant et respectueux des sensibilités. A Nancy, cité des Lumières et de la tolérance religieuse, le Grand Rabbin de France est venu en ami de toutes les autres confessions.

     

    [d’après l’Est Républicain | 12.06.09]

     

     

    >> Quelques clichés de la cérémonie d’inauguration et de l’exposition présentée au Musée Lorrain…

     

     

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  • Au Musée Lorrain à Nancy : les Juifs et la Lorraine

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    >> Le Musée Lorrain est ouvert tous les jours sauf le lundi, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h.

    >> Renseignements au 03.83.32.18.74.

  • Nancy : la résurrection du Palais ducal

    Sous un soleil radieux, la Grand-Rue devant le Palais ducal était l'objet, en début de semaine, d'un spectaculaire chantier. D'immenses grues déposaient le « parapluie » d'échafaudages à hauteur de la Porterie du Palais ducal.

     

    palais ducal.jpgLa toiture de cette partie Renaissance est en effet achevée. Il faut donc déposer toute la structure, ne garder que les échafaudages correspondant à la façade, où se trouve la Porterie encore en réfection, la galerie des Cerfs et l'arrière, côté cour. Normalement, à la fin de l'été, la partie la plus ancienne et la plus noble du Palais ducal sera dévoilée.

     

    Entre-temps, la restauration de l'aile Morey aura commencé grâce aux échafaudages en cours de translation. Cette partie, la quatrième tranche de rénovation du Palais ducal commence sur rue à hauteur de la porte d’entrée du Musée lorrain, fait l'angle de la rue Jacquot et donne sur la splendide grille XVIIIe fermant le jardin. Le côté cour sera traité également. Ce bâtiment, côté rue, est le pastiche réussi néo-Renaissance de l'aile XVIe. Prosper Morey n'a pas prolongé son goût pour le néo (il est également l’architecte de la basilique Saint-Epvre voisine), jusqu'à faire de même côté cour : son ordonnancement est XVIIe, avec un petit côté Empire, voire Restauration.

     

    Le Plan de relance gouvernemental permet de lancer dès le mois d'avril cette nouvelle tranche qui n'était prévue qu’en 2010. Il en est de même pour Saint-Epvre : les travaux repartiront début mai pour 18 mois. A noter que l'Etat finance la moitié de cette tranche au lieu de 35 % prévus, ce qui a évidemment incité la Ville à relancer le chantier au plus vite.

     

    [d’après l’Est Républicain | 08.04.09]

  • « A fleur de peau » : une exposition au Musée Lorrain à Nancy

    Des sculptures en passant par les peintures, les visiteurs du Musée Lorrain peuvent découvrir l'évolution de la mode, au fil des siècles et sous toutes ses formes.

     

    mode gallo-romaine.jpg« Les gens qui ne voient dans la mode que la mode sont bien sots » écrivait Balzac en son temps. A écouter Laëtitia Jaeger, enseignante en histoire de l'art, expliquer le sens caché des vêtements dans les représentations artistiques, on comprend mieux le point de vue de l'écrivain.

     

    « Au-delà de la simple apparence, les costumes et les accessoires que nous portons sont aussi le reflet de la place accordée à chacun dans la société. » Un constat que l’enseignante détaille devant trois statuettes de Vierges à l'Enfant, façonnées entre le XIIe et le XVe siècle. « Même si ce sont des représentations religieuses, elles portent le costume traditionnel des femmes de cette époque. » A savoir, une longue tunique, « pour cacher le corps », avec une cote et une surcote, et « des cheveux longs coiffés de façon à voiler le visage ».

     

    Vierge à l'Enfant abbaye St Mansuy Toul XIVe.jpgPour les hommes du Moyen-Âge, « le corps féminin est l'endroit où se cache le diable, donc il faut le cacher au maximum. ». Une vision très religieuse de la société qui s'estompe progressivement pour donner naissance, à la fin du XIVe siècle, à ce qu'on appelle aujourd'hui la mode. « On assiste à une modification dans la façon de se vêtir. Les femmes portent des vêtements plus ajustés. La taille est serrée, la poitrine est légèrement soulignée même s'il faut porter des bandes pour aplatir les seins. »

     

    Paradoxalement, même si les femmes ont toujours une place moindre par rapport aux hommes sur l'échelle sociale, c'est à cette période que naissent véritablement les premiers vêtements sexués. « Les femmes portaient par exemple d'amples paniers sous leur robe. Elles mettaient aussi des corsets et des souliers en soie. » Le résultat : des vêtements encombrants, pas du tout pratiques pour se déplacer et douloureux à porter. C'est d'ailleurs de cette période que date le fameux « il faut souffrir pour être belle »… « Les femmes ne pouvaient pas bouger avec ces vêtements, précise Laëtitia Jaeger, elles étaient donc obligées de rester à la maison ».

     

    Aujourd'hui, malgré l'évolution des mœurs, on revient toujours... en arrière. « Beaucoup de garçons portent des pantalons slims qui collent au corps, avec une chemise et une cravate fine. C'est une élégance nonchalante, une façon de brouiller les pistes. Comme les dandys des années 1830. » La mode, éternel recommencement ?

     

    [d’après l’Est Républicain | 06.03.09]

  • L’artisanat des tranchées au Musée Lorrain de Nancy

    Le Musée Lorrain expose, jusqu'au 9 mars 2009, les objets confectionnés par les Poilus pour tuer le temps dans les tranchées ou à l’arrière. D'émouvants souvenirs du premier conflit mondial.

     

    Douilles gravées 14-18 (1).jpgBeaucoup de Lorrains gardent en mémoire ces vases confectionnés dans des douilles d'obus qui trônaient sur le manteau de la cheminée de leurs grands-parents. Le Musée Lorrain en possède une impressionnante collection. Il conserve aussi de nombreux menus objets réalisés par les soldats français et allemands pour tuer le temps entre deux assauts. A l'occasion du 90ème anniversaire de l'Armistice de 1918, le Musée Lorrain présente, dans une salle du 2ème étage du Palais ducal, une exposition-dossier intitulée « L'art dans les tranchées ». La formule est parlante. Cependant, elle ne reflète pas la réalité, expliquent Eric Moinet, conservateur du musée et le professeur Alain-Julien Surdel, commissaire de cette exposition et spécialiste de la Grande Guerre. « Dans les tranchées, on ne faisait rien, même pas fumer, pour éviter de se signaler à l'ennemi. C'est en deuxième ligne que les soldats s'adonnaient à la réalisation d'objets, à partir de matériel de récupération. La Lorraine était une région de positions qu'il fallait tenir. Par exemple, dans les Vosges, les Allemands tenaient la Chapelotte et le Val-de-Lièvre. Souvent, ils sont restés du début jusqu'à la fin de la guerre. Théoriquement, les Français passaient une semaine en première ligne, une semaine en seconde ligne et bénéficiaient de trois jours de repos, sauf pendant les combats ».

     

    fabrication de bagues.jpgL'exposition se veut très didactique et montre les matériaux utilisés par les soldats : douilles d'obus et de balles, os de boucherie, cornes de vaches, outils provenant de la trousse réglementaire ou engins sommaires, comme cette enclumette allemande bricolée à partir d'un obus. Des photos tirées du journal L'Illustration de 1915 montrent les soldats à l'ouvrage. Une activité encouragée par la hiérarchie militaire. Le résultat figure dans les vitrines : des vases à décor floral et politique, dont certains sont de véritables œuvres d'art, inspirées de l'Art Nouveau. Une vitrine est consacrée à une étonnante collection de cannes, principalement allemandes.

     

    nénette et rintintin.jpgOn peut voir aussi des objets en aluminium : bagues et pendentifs pour les épouses, quarts gravés. Les Allemands ont beaucoup peint sur os et sculpté le bois. En témoignent deux remarquables crosses de fusils Lebel figurant un couple. Les soldats pensaient à leurs enfants et leur fabriquaient des jouets (dînettes et avions) et confectionnaient de nombreux coupe-papier, dans l'attente de courrier. Mais les deux pièces, sans doute les plus émouvantes, parce que les plus fragiles, sont deux poupées de laine « Nénette et Rintintin » fabriquées par les marraines de guerre et portées par les soldats dans leur vareuse, en guise de porte-bonheur.

     

    • Un film réalisé par Régis Caël, d'Ere Production, accompagne cette exposition. Des conférences guidées sont prévues tous les dimanches à 15 h.
    • Par ailleurs, le Musée Lorrain, qui souhaite enrichir sa collection d'objets de la Première Guerre mondiale, lance un appel aux donateurs. Contact courriel : museelorrain@mairie-nancy.fr

     

  • Le livre gourmand tient salon à Saint-Max

    236181171830f4f45f17da86d480c1ac.jpgLe salon lorrain du livre gourmand s'est tenu à Saint-Max durant le week-end des 18-19 novembre organisé par l'association "Mémoire des Lorrains" présidé par Jean-Marie Cuny. Il s'agissait de sa première édition qui accueillait plus de trente auteurs de livres ayant pour thème les arts culinaires en Lorraine, ainsi que des exposants et des conférenciers. Philippe Bajolet et ses illustrations, Alain Barot, Odile Mélinette et ses aquarelles, Francis Perignon avec « Aujourd'hui 1900 », Jacques Rivière et ses enluminures moyenâgeuses, le Cercle Généalogique de Nancy, le club philatélique de Saint-Max, les Amis de la faïence de Lunéville-Saint-Clément et les images anciennes et modernes de saint Nicolas étaient présents pour exposer différents produits et créations dérivés du savoir-faire culinaire lorrain.

    b2202536e1b165d8b28b302e7b90d7d3.jpgAu programme aussi des démonstrations et des dégustations proposées par Jean-François Adam, de la pâtisserie Saint-Epvre de Nancy, Hervé Coche, l'apiculteur de Laneuvelotte, et Catherine Holveck de Melun et ses productions à base de coquelicots, Roland Lelièvre et son vin gris de Toul et Robert Merlette, le chocolatier de Saint-Max. Plusieurs intervenants ont animé ces deux journées : la Confrérie des Macarons et Bergamotes, Gens de Lorraine et son « Orgue de barbarie » et la Ronde lorraine. Enfin, Claude Thouvenot, Anne-Lise Henry et Alain Barot ont donné des conférences sur les habitudes alimentaires en Lorraine et sur la bergamote, une spécialité des confiseurs lorrains.

    d912717f5b9deac35424e4ed5bd973c7.jpgLes nombreux visiteurs ont pu se faire dédicacer des ouvrages sur la cuisine et la gastronomie lorraines auprès des auteurs présents : Martine Dalger, Gérard Louis,  Claude Thouvenot, Marie-Françoise Michel, Daniel Lejaille, Martine et Daniel Bontemps, Benoît Taveneaux... Par ailleurs, La Revue Lorraine Populaire était représentée par quelques collaborateurs qui ont accueilli avec plaisir les abonnés et lecteurs assidus de cette revue régionaliste. La RLP fêtera d'ailleurs son 200e numéro en février 2008 !

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    « Selon le Larousse de la gastronomie, la Lorraine est un pays de haute gourmandise », expliquait Jean-Marie Cuny lors du discours d'ouverture du salon. Avec lui ont peu affirmer que la Lorraine est riche d'un savoir-faire culinaire et gastronomique que tous les participants et visiteurs ont sympathiquement célébré lors de ce premier Salon. A l'année prochaine... peut-être...

    [Vous retrouverez toutes les images du Salon dans un prochain numéro de La Revue Lorraine Populaire]

  • 1er Salon Lorrain du Livre Gourmand

    SAMEDI 17 ET DIMANCHE 18 NOVEMBRE 2007 A SAINT-MAX (54)

    La Revue Lorraine Populaire, l'association Mémoire des Lorrains et la Mairie de Saint-Max organise les 17 et 18 novembre prochain au Foyer culturel de Saint-Max (derrière l'église Saint-Livier et la mairie) :

    le premier Salon lorrain du livre gourmand

    Rendez-vous des Amis de La Revue Lorraine Populaire avec présence des auteurs

    Les expositions :

    - la Lorraine des quatre saisons, par Odile Mélinette

    - les bergamotes, le bombon et sa boîte, par Alain Barrot

    - le Grand Saint Nicolas des Lorrains, images anciennes et modernes

    - les dessins originaux de Philippe Bajolet, collaborateur de la RLP et auteur d'ouvrages

    - les enluminures de Jacques Rivière

    Les conférences :

    - les habitudes alimentaires en Lorraine, par Claude Thouvenot et Anne-Lise Henry

    - la bergamote, une spécialité des confiseurs lorrains, par Alain Barrot

    Participation de la Confrérie gourmande du macaron et de la bergamote, de La Revue Lorraine Populaire et de la Diffusion régionale du livre

    ENTREE LIBRE, OUVERT A TOUS !