Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lorraine - Page 85

  • Le canton de Vic-sur-Seille

    vic sur seille.jpgCe numéro de la collection Images du Patrimoine est le fruit de l'étude d'inventaire général du canton de Vic-sur-Seille (Moselle), menée entre 2000 et 2008. Alliant études de terrain et recherches en archives, l'ouvrage s'attache à la présentation et à la description du patrimoine architectural et du mobilier, de l'Antiquité aux années 1960.

    Ce territoire, d'une grande variété voit se côtoyer des vestiges les plus divers allant de l'exploitation du sel, pratiquée depuis l'âge du Bronze, à l'architecture urbaine en passant par les signes de la puissance temporelle des évêques de Metz (fortifications et édifices religieux majeurs) et maints témoignages plus modestes de l'activité agricole et de son évolution entre le XVIIIe et le XXe siècle.

    C'est donc un visage varié qu'offre ce territoire, dont le caractère doit une part de ses contrastes à son histoire riche en rebonds.

     

    ‡ Le canton de Vic-sur-Seille. Entre Seille et Sânon, collectif, Somogy éditions d'art, 2011, 160 p., ill. (30 €).

  • Bleurville : époustouflant trio Molto Vivo à l’abbaye Saint-Maur

    Les Amis de Saint-Maur de Bleurville ont ouvert avec brio la 37ème saison à l’ancienne abbatiale bénédictine avec l’ensemble Molto Vivo. Tout simplement époustouflant.

     

    Molto Vivo_03.07.11 042.jpgLe Amis de Saint-Maur ont été bien inspirés en invitant le trio romarimontain Molto Vivo à venir se produire sous les voûtes millénaires de l’abbatiale. Nelly Matchabeli, violoniste, Natalia Hurava, pianiste, et Pilip Hurau, ont indéniablement conquis le public par leur interprétation d’un programme incroyablement éclectique.

     

    Dans un silence à la fois respectueux et empreint d’une sorte de fascination, les mélomanes sont tombés sous le charme de notre trio venu de l’Est, puisque Nelly est originaire de Géorgie, Natalia et Pilip de Biélorussie.

     

    Dès l’ouverture de ce concert vespéral, la Chaconne de Lully donnait le ton de cette première partie consacrée au baroque français, mais aussi à la musique de compositeurs russe et tchèque du XIXe siècle, avec un Nocturne de Glinka et une sonatine pour violon et piano de Dvorak.

     

    lorraine,vosges,bleurville,abbaye saint maur,concert,molto vivoLa seconde partie, résolument enjouée et d’une grande fraîcheur musicale, a fait redécouvrir des compositeurs allemands du XIXe siècle et, en particulier, Brahms avec trois danses hongroises pour violon et piano, et Mandelssohn avec un Chant d’automne. Poursuivant notre voyage musical, la pianiste Natalia Hurava, dialoguant dans une grande complicité alternativement avec la violoniste et le basson, transporta le public vers des sonorités plus latines avec des œuvres de Villoldo où des réminiscences de tango argentin surgissent des instruments. Surprenant dans le chœur de l’ancienne abbatiale ! Et puis, c’est Astor Piazzola, célèbre bandonéoniste et compositeur argentin, qui s’invite au milieu du public décidemment conquis par l’interprétation et le jeu des instruments de notre trio de charme.

     

    Bref, un concert de belle tenue et de grande qualité donné en faveur de la restauration de l’abbaye. Il est même fort probable que les vieux murs de Saint-Maur entendent encore ces prochaines années cette formation musicale vosgienne talentueuse ; les applaudissements nourris réservés aux musiciens témoignent de la qualité et de la variété des œuvres interprétées. Et du moment de vrai bonheur partagé en cette fin d’après-midi estivale.

     

     

    ·       Prochaine manifestation à Saint-Maur : causerie-diaporama « A la découverte de l’Amérique du Sud » présentée par Michel Hennequin, dimanche 17 juillet à 15h00. Entrée libre.

  • Marguerite de la Force, une Lorraine martyre de la Révolution dans les Landes

    marguerite de la force,marguerite rutan,soeur de la charité,saint vincent de paul,landes,dax,lorraine,metzMarguerite de la Force. Nulle part, le lecteur trouvera Marguerite Rutan désignée sous ce nom. L'auteur a voulu à l'évidence montrer le lien fort qui existe entre Soeur Marguerite et l'héroïne des Dialogues des Carmélites de Bernanos qui apparaît sous le nom de Blanche de la Force.

    Marguerite Rutan est née à Metz en 1736 dans une famille nombreuse. Entrée en religion chez les Filles de la Charité à Paris, elle prit le chemin de l'obéissance qui la mena à Dax, dans les Landes, où elle fut la supérieure remarquée de l'hôpital Saint-Eutrope de 1779 à 1794. Femme d'entreprise et femme forte, elle traverse la tempête révolutionnaire en s'impliquant dans le service aux pauvres. Mais la Terreur la rattrape bien vite : elle en devient la victime innocente en montant sur la guillotine à l'âge de 58 ans, le 9 avril 1794. Un an après son sacrifice, le directoire du district de Dax lui rend un hommage posthume...

    Le 1er juillet 2010, le pape Benoît XVI a signé le décret reconnaissant son martyre ouvrant ainsi la voie à la béatification qui est intervenue le 19 juin 2011.

    Tout rapproche la Lorraine Marguerite Rutan de Blanche de la Force, le personnage de Bernanos dans ses Dialogues des Carmélites. Et tout particulièrement la splendeur du don absolu de soi.

    L'auteur, le Père Jean-Pierre Renouard, prêtre de la congrégation de la Mission, s'est spécialisé dans la spiritualité de Saint Vincent de Paul. Il anime des sessions de retraites et mène des travaux de recherche et de diffusion de la pensée du fondateur des Soeurs de la Charité.

     

    ‡ Marguerite de la Force. Vie, passion et mort de soeur Marguerite Rutan, Jean-Pierre Renouard, Nouvelle Cité éditions, 2011, 159 p. (17 €).

  • Soulosse-sous-Saint-Elophe : réunion de travail de Maisons Paysannes de Lorraine

    mpf.jpg

    [Vosges Matin]

  • Gaby Bigeard est décédée

    Gabrielle Bigeard, « le grand et seul amour » du général Marcel Bigeard, est décédée dans la soirée du 4 juillet à Toul à l'âge de 91 ans.

     

    gaby bigeard.jpgGabrielle Grandemange était née le 5 décembre 1919 à Toul et avait épousé Marcel Bigeard le 6 janvier 1942 à Nice. Le couple avait une fille, Marie-France. « Au revoir Gaby », écrit Nadine Morano, ministre de la formation professionnelle et députée de Meurthe-et-Moselle, dans un communiqué en rappelant que le couple Bigeard avait mené « une belle histoire d'amour et une vie de complicité commencée dès l'enfance ».

     

    « Gaby » et Marcel Bigeard étaient en effet nés tous deux à Toul. Ils s'étaient mariés pendant la guerre entre l'évasion de Marcel Bigeard d'Allemagne, alors sous-officier, et avant son départ pour être parachuté dans le maquis. Dans chacun de ses discours ou de ses livres, Marcel Bigeard citait régulièrement « Gaby, son grand et seul amour ».

     

    Le général Bigeard est décédé le 18 juin 2010 à son domicile de Toul à l'âge de 94 ans.

     

    Une fondation Général Bigeard, destinée à « perpétuer son œuvre et sa mémoire » avait été créée par sa veuve et sa fille en partenariat avec la Fondation de France. Le général Bigeard avait toujours souhaité la dispersion de ses cendres au dessus de Dien Bien Phu pour « rejoindre ses camarades tombés au combat » lors de la chute du camp retranché au Vietnam en mai 1954. Ses cendres sont toujours en attente au crématorium de Nancy, en raison des réticences des autorités vietnamiennes.

     

    RIP.

     

    [sources : Est Républicain / Le Figaro]

  • Bleurville : fête patronale de Saint-Pierre-aux-Liens les 9 &10 juillet

    Traditionnellement fêté le deuxième dimanche de juillet, le saint patron de Bleurville, saint Pierre aux Liens, présidera aux festivités de ce dimanche estival.

    bleurville fête patronale 11.07.10 010.jpgLa paroisse, la municipalité, le comité du jumelage Bleurville-Chichery et le comité des fêtes ont mis sur pied le programme de la fête patronale :

    - samedi 9 juillet : vide-grenier sur le stade municipal en semi-nocturne, à partir de 19h00. Restauration possible sur place.

    - dimanche 10 juillet : 10h30, messe en l'église paroissiale ; 11h45, inauguration de la fête sur la place des Ponceaux avec apéritif offert par la municipalité ; barbecue et animations pour petits et grands toute l'après-midi.

    ‡ Fête patronale de Saint-Pierre-aux-Liens, place des Ponceaux, 9 et 10 juillet 2011.

  • Disparition d'un grand Lorrain : l'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine est mort

    Fils de Charles Ier, dernier empereur d’Autriche, et de Zita de Bourbon-Parme, Otto de Habsbourg-Lorraine est mort ce lundi 4 juillet, à l’âge de 98 ans, en Bavière où il résidait depuis les années 1950, après une longue période d’exil, où son épouse était décédée l’an dernier.

    otto de habsbourg-lorraine.jpgLe chef de la maison de Habsbourg est désormais son fils aîné, Karl de Habsbourg-Lorraine. Européen convaincu, Otto de Habsbourg fut notamment député pendant vingt ans au parlement de Strasbourg.

    Très attaché à la Lorraine, terre de ses ancêtres, Otto se marie à Nancy, le 10 mai 1951, avec la princesse Regina de Saxe-Meiningen, puis s’installe en Bavière. À côté de ses activités de journaliste et de conférencier, il entame une carrière politique, en tant que vice-président puis président de l’Union paneuropéenne internationale. En 1979, il est élu en Allemagne, sur la liste démocrate chrétienne, député au Parlement européen, où il travaille activement en faveur de l’intégration des pays d’Europe centrale dans la Communauté économique européenne puis l’Union européenne.

    Le maire de Nancy, André Rossinot, a exprimé ce lundi sa « profonde émotion » après la disparition de l'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine. « L'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, dernier duc de Lorraine et de Bar, restera dans les mémoires comme un européen fondateur et un ardent militant de la liberté en Europe de l’Est », a commenté André Rossinot dans un communiqué.

    RIP.

    ‡ Une messe de requiem sera dite pour le repos de l'âme de SAIR Otto de Habsbourg-Lorraine à la chapelle des Cordeliers de Nancy (à côté du Palais ducal - Musée Lorrain) samedi 9 juillet 2011 à 11h00.

    Les funérailles de l'archiduc seront célébrées le 16 juillet à Vienne. Après la messe de requiem en la cathédrale de Vienne, il reposera dans la crypte des Capucins aux côtés de Régina, son épouse.

  • Châtillon-sur-Saône : Catherine Caquel expose au Grenier à Sel

    Le Grenier à Sel de la petite cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône accueille jusque fin juillet une exposition des oeuvres picturales de Catherine Caquel. Etonnantes.

    lorraine,chatillon sur saone,catherine caquel,grenier à sel,peintureDans son propos liminaire, le président de Saône Lorraine, Jean-François Michel, exprimait son plaisir d'accueillir pour la deuxième fois sur les cimaises du Grenier à Sel les peintures de la monthurolaise Catherine Caquel. En effet, Catherine reste une monthurolaise de coeur même si, aujourd'hui, elle vit et travaille dans la région nancéienne. Depuis sa prime jeunesse, Catherine peint pour son plaisir et pour celui de ses proches. Mais pas seulement puisqu'elle expose régulièrement dans les salons des environs de Nancy.

    Comment définir sa peinture ? C'est une peinture résolument moderne et contemporaine associant plusieurs matériaux : toile, papier, végétaux... Mais ce qui caractérise sûrement la peinture de Catherine c'est sa luminosité qui donne au ciel lorrain un air... méditerranéen. Sont-ce des réminiscences de sa naissance, dans le sud de la Lorraine, attiré qu'il est par les rivages méditerranéens vers lesquelles roule la Saône, la fiancée du Rhône ?

    Trêve de rêveries. Les tableaux de Catherine Caquel sont avant tout un hymne à la nature. Et à la nature de notre Saône Lorraine, puisque le visiteur appréciera tout particulièrement les paysages des environs de Monthureux ou de Bleurville, mais aussi de la vallée de la Saône vosgienne... Les tons chauds, lumineux, couleurs de feu, donnent un éclat particulier à ces paysages. Un vrai grand talent !

    A voir au Grenier à Sel jusqu'au 31 juillet.

  • Monthureux-sur-Saône : inauguration du Musée du Patrimoine local

    lorraine,vosges,monthureux sur saone,musée,patrimoine,marie madeleine boulianCe samedi 2 juillet, le petit monde de la culture de la Saône Lorraine inaugurait le nouveau musée du Patrimoine local installé dans l'ancien presbytère.

    Marie-Madeleine Boulian, la cheville ouvrière de cette opération, guidait ses invités dans les salles rénovées de l'ancien presbytère reconstruit par la famille du curé Gantois au début des années 1730. Ce conservatoire du patrimoine local rassemble tous les objets de la vie quotidienne et des métiers de nos ancêtres. Les collections sont sympathiquement mise en valeur dans les vastes pièces de l'ancienne demeure curiale, en particulier la reconstitution d'une chambre à coucher avec le nécessaire de toilette... et son vase de nuit !

    Le musée du Patrimoine local de Monthureux fut fondé dans les années 1970 avec le soutien du docteur Cayotte, alors maire de la localité et conseiller général, de Serge Beltrame, alors maire de Contrexéville et député des Vosges, des époux Michel, actifs animateurs de l'association Saône Lorraine, de M. Poirier, un monthurolais attaché à la sauvegarde du patrimoine de nos aïeux, ainsi que de nombreux donateurs du secteur. Le musée était alors installé dans le lavoir de la rue des Halles. Mais ce local était devenu trop exigu et, surtout, était régulièrement envahi par les caprices de la Saône toute proche...

    "Pour bâtir l'avenir, les générations doivent s'appuyer sur leur passé" rappelait Marie-Madeleine Boulian. Les animateurs du musée local se font fort d'appliquer ce principe de vie en poursuivant l'aménagement des salles d'exposition dont les vitrines proviennent du musée départemental d'Epinal.

    Une nouvelle vie désormais pour le vieux presbytère... Même si l'on peut regretter qu'il ne réponde plus à son usage premier : celui d'accueillir le curé de la paroisse.

    Quelques images de l'inauguration...

    lorraine,vosges,monthureux sur saone,musée, patrimoine,marie madeleine boulian

    lorraine,vosges,monthureux sur saone,musée, patrimoine,marie madeleine boulian

    lorraine,vosges,monthureux sur saone,musée, patrimoine,marie madeleine boulian

    [clichés © H&PB]

  • L'Amérique du Sud à l'abbaye Saint-Maur de Bleurville

    st maur.jpg

  • Bleurville : vif succès de la marche populaire

    vm.jpg

    [Vosges Matin]

  • Bleurville : entre Barrois mouvant et Lorraine, un village à la riche histoire

    visite bleurville.jpg

    [Vosges Matin]

  • Henriette de Lorraine, une princesse au coeur de l'Europe

    henriette.jpgPersonnage romanesque, type de la "femme forte" du XVIIe siècle, Henriette de Lorraine (ou de Phalsbourg) est la fille de François, comte de Vaudémont, fils du duc Charles III et de Claude de France, et de Christine, comtesse de Salm.

    Réputée pour son caractère trempé et son intelligence politique, elle est mariée à seize ans contre son gré et celui de sa famille, à Louis de Guise âgé de 33 ans. Ce mariage, resté sans enfant, fait de la princesse l'héritière d'un vaste domaine au décès de son époux en 1631. Henriette soutient son frère, le duc Charles IV, dans sa politique anti-française et franchement favorable aux Habsbourg.

    L'occupation de la Lorraine et du Barrois par les Français en 1633 contraint Henriette à fuire vers les Pays-Bas espagnols alliés à la Lorraine. Elle tentera d'organiser une coalition afin de libérer les duchés et faire reconnaître Charles IV comme l'unique souverain légitime. A Bruxelles et Anvers, elle fréquente de nombreux exilés et diplomates, forge des complots contre Richelieu. Alors que la princesse s'apprête à rejoindre la Lorraine, elle épouse en 1643 Charles de Guasco, gentilhomme italien au service de l'Espagne, qui meurt en 1650. A cours d'argent et malgré l'opposition de sa famille, elle se remarie en 1652 avec son banquier d'Anvers, le marquis François Joseph de Grimaldi, noble génois apparenté aux Grimaldi de Monaco. Après s'être rapprochée de Mazarin et de la régente Anne d'Autriche, la princesse négocie la neutralité de ses seigneuries et son retour en Lorraine. C'est un duché occupé et dévasté par la guerre de Trente Ans que découvre le couple en septembre 1653. Henriette et son jeune époux tentent de reconstruire leur domaine. Le couple séjourne à Neufchâteau où la princesse meurt le 16 novembre 1660, regrettée de ses sujets.

    L'auteur, Pascal Flaus, est historien, directeur des Archives municipales de Saint-Avold et président de la Société d'Histoire du Pays Naborien.

     

    ‡ Henriette de Lorraine. Une princesse au coeur de l'Europe (1605-1660), Pascal Flaus, co-édition Rotary Club - Ville de Saint-Avold - SHPN, 2011, 128 p., ill. (24 €).

  • Bleurville : concert de l'ensemble Molto Vivo le 3 juillet à l'abbaye Saint-Maur

    molto vivo.jpg

  • Découverte à Puzieux (Vosges) :La Belle Epoque et les grandes manoeuvres dans l'Est

    mirecourt.jpg

    [Vosges Matin]

  • Samedi 2 juillet 2011 : La Nuit des églises

    nuit des églises.jpg

     

    ‡ Plus d'infos sur www.narthex.fr

  • La Fête-Dieu célébrée en Lorraine

    Toutes les paroisses lorraines n'ont pas abandonné la traditionnelle procession de la Fête-Dieu. Dieu merci !

    Ainsi, à Nancy même, les fidèles de la chapelle du Sacré-Coeur ont participé à la procession du Saint-Sacrement dans les rues de la cité ducale en fin d'après-midi, grâce à la mobilisation de tous et, en particulier, de l'abbé John Brucciani, prêtre de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, prieur de la Maison Saint-Nicolas de Nancy et desservant de la chapelle du Sacré-Coeur.

    Quelques images de la procession...

    fête-dieu ncy 2011 02.JPG

    fête-dieu ncy 2011 01.JPG

    fête-dieu ncy 2011 03.JPG

    [clichés : courtoisie de Ph. M.]

  • Nancy : La Fondation du Patrimoine au chevet de l'église Sainte-Thérèse

    ste thérèse.jpg

    [Est Républicain]

  • Hennezel : Saône Lorraine en assemblée générale

     

    lorraine,vosges,saône lorraine,hennezel,jean françois michel,marie françoise michel,robert mougin

    [Vosges Matin]

  • Musées vivants estivaux en Saône Lorraine

    chatillon août.JPG

    ‡ Renseignements au 03.29.07.91.78.

  • L'Hôtel des Postes de Metz : 100 ans d'histoire

    metz.jpgLa présence de la Poste à Metz remonte à l'Antiquité et elle s'est considérablement développée au fil des siècles au gré des innovations qui ont marqué l'acheminement et la distribution du courrier.

    A la fin du XIXe siècle, l'accroissement considérable du trafic postal rend le bâtiment de la Poste principale inadapté. Un édifice fonctionnel, aux allures de forteresse est alors construit par l'administation de la Poste allemande au coeur du quartier impérial, dans le cadre du projet d'extension de la ville.

    Lorsque l'Hôtel des Postes de Metz ouvre ses portes en 1911, il accueille à la fois les services postaux, télégraphiques et téléphoniques. Un siècle s'est écoulé depuis cette époque durant laquelle il a été le témoin de son temps.

    Cet sympathique petit ouvrage invite le lecteur à partir à la découverte de l'histoire de ce vaste bâtiment au travers des principaux événements qui l'ont marquée. Et qui ont marqué Metz également.

     

    ‡ L'Hôtel des Postes de Metz. 100 ans d'histoire, Maryline Simler, éditions du Républicain Lorrain, collection Les Patrimoines, 2011, 51 p., ill. (7,90 €).

  • L'Echo des Trois Provinces : spécial tourisme été 2011

    La livraison estivale du magazine des Trois Provinces, L'Echo des Trois Provinces, est parue.

    echo 3 provinces.jpgLes habitants des confins des Vosges, de la Haute-Marne et de la Haute-Saône - et tous les amoureux de ce pays - y trouveront le programme des visites programmées et organisées par l'Association de l'ADP3P dans les villages et bourgs de ce secteur rural situé entre Lorraine, Champagne et Franche-Comté.

    Outre ce riche programme, le sommaire offre une diversité d'articles qui nous font découvrir l'histoire locale : la chronique de Dora, le château de Bougey (Haute-Saône), Laneuvelle, des ancêtres bleurvillois de Frédéric Chopin, Bourbonne-les-Bains : notre terroir mérite le voyage, l'exposition Alphonse-Xavier Monchablon au musée de Hennezel-Clairey, l'eau à Selle (Haute-Saône), le Journal de Pierre Légaré, un grand sculpteur à Chauvirey-le-Châtel, histoire de la cuisine... Et les info's des associations locales.

     

    ‡ Les numéros de L'Echo des Trois Provinces peuvent être commandés à : evelyne.relion@orange.fr

  • Bleurville : concert de l'ensemble Molto Vivo le 3 juillet

    Les Amis de Saint-Maur ouvrent la saison à l’ancienne abbaye bénédictine dimanche 3 juillet avec un concert d’une formation musicale de Remiremont : le trio Molto Vivo.

    lorraine,vosges,bleurville,moto vivo,concert,abbaye saint maurL’ensemble Molto Vivo a été créé en 2009 et se produit régulièrement dans les Vosges bien sûr, mais aussi dans les autres départements lorrains. Le trio est composé de Nelly Matchabeli, violoniste, premier prix du Conservatoire supérieur de Tbilisi (Géorgie). Co-soliste à l’opéra de Géorgie et soliste à l’orchestre symphonique de Saint-Dié-des-Vosges, elle se produit régulièrement comme artiste d’ensembles de musique baroque et de musique de chambre et a participé à ce titre à de nombreux festivals (Château de la Loire, Epinal, Neuf-Brisach, Haute-Savoie, Italie…). Elle enseigne la musique dans les Vosges.

     

    Natalia Hurava, pianiste, est premier prix du Conservatoire de Minsk (Biélorussie). Elle enseigne également la musique dans les Vosges et participe comme soliste dans plusieurs formations de musique de chambre (membre du groupe vosgien Alliance, accompagnatrice du chœur Marc-Boegner d’Epinal).

     

    Enfin, Pilip Hurau, basson, a été formé au Conservatoire municipal et régional de musique de Brest (Biélorussie) et au Conservatoire d’Epinal.

     

    L’exceptionnel trio Molto Vivo saura séduire les mélomanes avec un programme éclectique proposant des œuvres du XVIIe au XXe siècle. La formation, composé d’un piano, d’un violon et d’un basson, interprétera des œuvres baroques de Lully et Haendel, et de la période romantique avec Mendelson ou Brahms. Des œuvres contemporaines de Piazzola ou Villoldo enchanteront également l’auditoire.

     

    Une belle fin d’après-midi musicale en perspective sous les voûtes millénaires de l’abbatiale romane.

     

    ‡ Dimanche 3 juillet à 16h00, abbatiale Saint-Maur de Bleurville.

    Entrée libre au profit de la restauration de l’édifice.

     

  • Bleurville : préparation de la marche populaire du 26 juin

    club vosgien.jpg

    [Vosges Matin]

  • Nancy : ordinations presbytérales et diaconale à la cathédrale

    Ce dimanche 19 juin, c'est une nef comble qui a accueilli deux nouveaux prêtres et un diacre ordonnés pour le diocèse de Nancy & de Toul.

    lorraine,nancy,diocèse,église,catholique,ordinations,prêtre,diacre,évêque,jean louis papin,pierre demenois,jean louis coinsmann,david vaimbois,oratoire saint philippe nériLa cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy a accueilli pour la deuxième année consécutive la foule des fidèles pour l'ordination de deux prêtres et d'un diacre. Monseigneur Papin a procédé à l'ordination presbytérale de Jean-Louis Coinsmann et Pierre Demenois et à l'ordination diaconale de David Vaimbois, membre de la congrégation de l'Oratoire Saint-Philippe Néri de Nancy. Un grand nombre de prêtres, de séminaristes du séminaire inter-diocésain de Metz et du séminaire d'Ars, et des membres d'instituts religieux étaient présents au côté des futurs ordonnés. Fait notable : plusieurs dizaines d'enfants de choeur et de grands clercs du diocèse participaient également à cette cérémonie.

    Le père Bombardier, prêtre de l'Oratoire et curé de Notre-Dame de Bonsecours, conjointement avec le père Gonçalves, prévôt de l'Oratoire, ont présenté à l'assistance le futur diacre. Quant aux deux ordinands, ils ont été présentés par l'abbé Dukiel, supérieur du Grand séminaire de Lorraine.

    A l'issue de la messe d'ordination, Mgr Papin a envoyé les nouveaux prêtres et diacre en mission : le père Vaimbois poursuivra ses études théologiques et assurera un service diaconal auprès d'une paroisse nancéienne ; l'abbé Coinsmann est nommé prêtre coopérateur à la paroisse Notre-Dame de Bonne Nouvelle (cathédrale de Nancy) et référent de l'Institut Saint-Dominique et de l'ensemble scolaire Charles-de-Foucauld, et l'abbé Demenois est nommé sur les paroisses de Villers-lès-Nancy et Vandoeuvre-les-Nancy et sera également responsable des servants de messe pour le diocèse, fonction qui n'était plus assurée depuis de nombreuses années.

    Le verre de l'amitié a réuni fidèles et clergé dans une ambiance conviviale.

    Quelques images des ordinations...

     

    lorraine,nancy,diocèse,église,catholique,ordinations,prêtre,diacre,évêque,jean louis papin,pierre demenois,jean louis coinsmann,david vaimbois,oratoire saint philippe néri

    Les ordinands Jean-Louis Coinsmann et Pierre Demenois

    lorraine,nancy,diocèse,église,catholique,ordinations,prêtre,diacre,évêque,jean louis papin,pierre demenois,jean louis coinsmann,david vaimbois,oratoire saint philippe néri

    Avant l'ordination diaconale devant le maître-autel et Mgr l'évêque

    lorraine,nancy,diocèse,église,catholique,ordinations,prêtre,diacre,évêque,jean louis papin,pierre demenois,jean louis coinsmann,david vaimbois,oratoire saint philippe néri

    Avant les ordinations presbytérales

    lorraine,nancy,diocèse,église,catholique,ordinations,prêtre,diacre,évêque,jean louis papin,pierre demenois,jean louis coinsmann,david vaimbois,oratoire saint philippe néri

    Imposition des mains par les prêtres présents (au centre, l'abbé André Houot, ancien curé de Bleurville, impose les mains à l'abbé Coinsmann)

    lorraine,nancy,diocèse,église,catholique,ordinations,prêtre,diacre,évêque,jean louis papin,pierre demenois,jean louis coinsmann,david vaimbois,oratoire saint philippe néri

    Procession des offrandes avant l'offertoire

    [clichés H&PB]

  • Bleurville : "Faïence et faïenceries en Lorraine" s'exposent à l'abbaye Saint-Maur

    faience faienceries lorraine.jpg

  • Charles de Foucauld, pensées dérangeantes et incorrectes

    foucauld.jpgOfficier, explorateur, prêtre, missionnaire, ermite, le Lorrain Charles de Foucauld demeure l'une des figures les plus connues du XXe siècle. Il avait recherché l'abaissement et l'obscurité, mais aura marqué ses contemporains par son ascèse, sa curiosité, son dévouement auprès des peuples indigènes. Longtemps avant que l'Eglise ne le béatifie, la vox populi en avait fait un saint.

    Si nul n'ignore aujourd'hui les grandes lignes de sa vie, l'époque passe volontiers ses écrits sur l'islam et la colonisation. Ces écrits gênent. Car si son amour des peuples d'Afrique du Nord alla jusqu'au don de sa vie, le catholique et le Français qu'il était demeuraient attaché à la civilisation et à la culture européenne qui allait de pair avec la foi chrétienne.

    C'est cet aspect de sa pensée qui est remis en lumière dans ce petit ouvrage politiquement et religieusement "incorrect". Un livre à lire et à méditer en ces temps de pensée unique...

     

    ‡ Charles de Foucauld. Pensées intempestives, dérangeantes et incorrectes, Jacques de Guillebon (réunies par), L'Oeuvre éditions, 2011, 106 p. (14 €).

  • Lunéville : rencontres équestres autour du château

    luneville.jpg

    [Vosges Matin]

  • Saint Nicolas estivale à Saint-Nicolas-de-Port

    La paroisse de Saint-Nicolas-de-Port célèbre depuis des temps immémoriaux la translation des reliques à Bari, en Italie, en 1087.

    Pélé st-nicolas 2011 032.jpgEt c'est traditionnellement le lundi de Pentecôte que les Lorrains fêtent en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port cet événement. Après la célébration de la messe par l'abbé Munier, vicaire général du diocèse de Nancy et de Toul, concélébrée avec plusieurs prêtres, la procession a mené fidèles et clergé derrière bannières, statues et reliquaires dans les rues de la ville qui enserrent la célèbre basilique portoise.

    A la fin de la célébration, les fidèles ont reçu la "manne", huile odorante provenant du tombeau de saint Nicolas conservé à Bari. Il s'agit à la fois d'un geste de fidélité et une demande de protection adressée au saint patron des Lorrains.

    Rappelons qu'en 1087, alors que la région de Myre en Lycie venait de tomber aux mains des turcs, Dieu permit que les reliques miraculeuses de saint Nicolas fussent préservées et étendent leur bénédiction jusqu'en Occident grâce à des marins italiens qui transférèrent les restes saints de Myre à Bari.

    A Bari, le 9 mai, on commémore annuellement par de grandes manifestations cette fête de la translation des reliques de saint Nicolas. La Lorraine fait mémoire, chaque lundi de Pentecôte, de cet extraordinaire événement pour toute la Chrétienté.

    Pélé st-nicolas 2011 049.jpg

    De valeureux porteurs de reliques !

    [clichés H&PB]