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Loisirs et animations - Page 47

  • Exposition "Jean Prouvé" à Nancy : la face caché de son oeuvre

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    [La Semaine de Nancy]

  • Les expo's de l'été 2012 au château de Lunéville

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    ‡ Expo's pratique :

    > Château de Lunéville, espace d'exposition, escalier d'honneur nord

    > Tous les jours (sauf le mardi), 10h-12h / 14h-18h

    > Tarif entrée : 2 € / gratuit pour les moins de 26 ans

    > Renseignements : 03 83 76 04 75 ou www.chateauluneville.cg54.fr

  • Eglises de Meurthe-et-Moselle en quête de modernité (1945-1975)

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  • Eglise des Cordeliers des Petits-Thons (88) : le Choeur des Trois Abbayes en concert le 7 juillet

    Le Chœur des Trois Abbayes se produira en concert le samedi 7 juillet 2012 à 17 heures en l’église de l’ancien couvent des Cordeliers des Petits-Thons.

    choeur 3 abbayes.jpgInvité par l’association Saône Lorraine, le chœur d’hommes basé à Senones, ancienne capitale de la principauté de Salm, sera pour la première fois dans  ce secteur du sud-ouest du département.

    Outre son programme habituel de chants tirés des répertoires a cappella pour 4 voix d’hommes, basque, russes, italiens, et des pays de l’Est, le groupe  interprétera deux chants nouveaux  provenant de l’Ile de Beauté,  en plus de Dio Vi Sale Régina, l’hymne corse. Il s’agit de In monte Oliveti de Pietro-Battista Farinelli (1844-1915), père franciscain du couvent de San Bernardino Orte à Rome. Ce chant est extrait des polyphonies franciscaines  et évoque la scène du Christ au Mont des  Oliviers. Le second chant est le Tantum Ergo dans une version particulière puisque tirée d’un livre de la bibliothèque provinciale franciscaine de Bastia intitulé Manuale Choranicum, petit livre publié à Gênes en 1649.

    Une belle et riche soirée en perspective.

    >> l'ancienne église franciscaine des Petits-Thons se situe entre Monthureux-sur-Saône et Bourbonne-les-Bains.

     

    ‡ Plus d'info's ici Choeur des 3 abbayes_Petits-Thons_7 juillet.pdf

  • Val de Saône : les bons résultats du club de football

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    [Vosges Matin]

  • Xamontarupt (88) : découverte du village avec Maisons Paysannes des Vosges

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    Moulin de Xamontarupt.

    L'association Maisons Paysannes des Vosges organise un week-end de découverte du patrimoine de Xamontarupt (88) les 30 juin et 1er juillet prochains.

     

    ‡ Plus d'infos ici Xamontarupt_30 juin-1er juillet.pdf

  • La Compagnie L'Odysée en quête de boutons

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  • Journées de l'Archéologie : 22-24 juin 2012

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    ‡ Consultez le programme des animations proposées dans le cadre des Journées de l'Archéologie 2012 : Programme Journées Archéologie 2012.pdf

  • Blénod-lès-Toul (54) : promenade-découverte avec Maisons Paysannes de France

    La 15ème édition de la Journée du Patrimoine de Pays et des Moulins s'adresse à tous ceux qui veulent comprendre et connaître le patrimoine, les paysages et les savoir-faire traditionnels.

    lorraine,blenod les toul,hugues des hazards,maisons paysannes de france,meurthe et moselle,anthony koenigLa Délégation de Maisons Paysannes de France en Meurthe-et-Moselle et l'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Architectural et Culturel de Blénod-lès-Toul, s'installeront à Blénod-lès-Toul les 16 et 17 juin 2012 pour y accueillir curieux et passionnés qui pourront découvrir le patrimoine de ce village.

    Programme (toutes les visites sont gratuites) :

    Samedi 16 juin 2012
    - à 15H00 : promenade/découverte du village de Blénod-lès-Toul, ses fermes et ses maisons anciennes au-delà de l'enceinte épiscopale (départ : parvis de l'église)
    - à 17H30 : intervention/projection sur le patrimoine bâti de Blénod-lès-Toul (salle communale de la MJC dans l'ancien château en face de l'église)


    Dimanche 17 juin 2012
    - à 09H45 : présentation en l'église Saint-Médard des croix de chemin de Blénod par Robin Charuel et exposition par Nicole Simonin à partir des photographies d'Edmond Caure
    - à 10H00 : promenade autour de Blénod-lès-Toul pour apprécier les vues sur le village et son église tout en suivant les chemins aux multiples calvaires (départ : parvis de l'église)
    - à 15H00 et à 16H30 : visite de l'enclos épiscopal, de l'église Saint-Médard (et le tombeau de Hugues des Hazards, évêque de Toul) et des loges (départ : parvis de l'église à 15H00 et à 16H30)



    ‡ Renseignements : Anthony KOENIG, délégué Maisons Paysannes de France Meurthe-et-Moselle, tél. : 06 10 89 03 72  / Courriel : patrimoinesenlorraine@gmail.com  / Blog : http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com

  • Jules Méline ou les défis de la première mondialisation

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  • Visitez Gerbépal avec Maisons Paysannes des Vosges

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  • Lunéville : exposition « Charles-Alexandre de Lorraine, prince de l’Europe des Lumières »

    charles alexandre de lorraine.jpgDernier fils du duc Léopold et de son épouse Elisabeth-Charlotte d’Orléans, Charles-Alexandre de Lorraine connut une jeunesse heureuse à Lunéville, avant de voir son destin échapper aux frontières de sa Lorraine natale, pour atteindre une dimension internationale. C’est bien le rôle de prince de l’Europe des Lumières que l’exposition entend retracer.

     

    L’année 2012 sera marquée au château de Lunéville par la célébration du tricentenaire de la naissance, en ses murs, de Charles-Alexandre de Lorraine, prince à la destinée hors du commun. Cette exposition est réalisée en partenariat avec l’association des Amis du château de Lunéville et de son musée et bénéficie du soutien des musées de Tervuren et de Bruxelles (Belgique).

     

    Douzième enfant du duc Léopold de Lorraine et de son épouse Elisabeth-Charlotte d’Orléans, il passa des années heureuses au château de Lunéville, loin de l’exercice du pouvoir dont la perspective revenait à ses frères aînés. Ce temps d’insouciance fut marqué toutefois par une éducation soignée, qui devait faire du jeune prince une figure marquante de l’Europe des Lumières.

     

    En 1736, sa vie bascule, lorsque son aîné, le duc François III, renonce à la Lorraine pour accéder au trône impérial en épousant Marie-Thérèse de Habsbourg. Charles-Alexandre quitte alors Lunéville et rejoint la cour de Vienne. Il se met au service d’un pouvoir nouveau, qu’il sert tout d’abord par les armes, avant d’endosser un rôle qui lui convient mieux, celui d’administrateur efficace et généreux. En tant que gouverneur des Pays-Bas autrichiens, l’actuelle Belgique, Charles-Alexandre de Lorraine révèle en effet son tempérament de véritable prince éclairé, à la fois ami des arts, propagateur des évolutions techniques et, avant tout, garant du bien-être de ses peuples.

     

    Peut-on imaginer plus bel hommage que celui rendu par son ancien adversaire sur les champs de bataille, le roi Frédéric II de Prusse, qui déclara à la mort de Charles-Alexandre de Lorraine : « (…) il honorait l’humanité (…) peu de princes le remplaceront par la beauté de son âme ».

     

    ‡ Exposition internationale organisée par Alain Philippot (château de Lunéville), Thierry Franz (château de Lunéville, doctorant à l’Université de Lorraine, CRULH) et Catherine Guyon (présidente des Amis du Château de Lunéville et de son musée, MCF en histoire à l’Université de Lorraine, CRULH).

     

    ‡ Un catalogue illustré en couleur accompagne l’exposition.

     

    ‡ Du 9 juin au 16 septembre 2012 – Musée du Château de Lunéville.

  • La Route bleue, Raoul Dufy en pays de Langres

    langres,raoul dufy,la route bleue,champagne,bassigny,épinalEntre 1933 et 1936, Raoul Dufy, l'un des principaux peintres français de l'Entre-deux-guerres, a fréquenté Langres et le pays de Langres. Il a laissé quelques dizaines d'oeuvres picturales représentant la cité des Lingons et la campagne environnante. Raoul Dufy a peint des paysages ensoleillés, des scènes de moisson, des routes fleuries, des trains, des détails de la vieille cité épiscopale et, souvent, la silhouette des remparts ponctuée du dôme et autres clochers des églises langroises.

    Le musée d'art et d'histoire de Langres présente un ensemble d'oeuvres peintes lors des séjours de Dufy en pays langrois, des oeuvres caractéristiques de l'esprit des peintres de la période Art Déco, ce travail n'a encore jamais été présenté de cette manière.

    Le catalogue reproduit de nombreuses oeuvres parmi la quarantaine exposées prêtées par plusieurs musées français, étrangers et par des collectionneurs privés. Cette exposition s'inscrit dans la suite de Dufy tricolore (1914-1918) qui s'est déroulée au musée d'art ancien et contemporain d'Epinal en 2011.

    La Route bleue est le titre de l'une des toiles de Raoul Dufy ; il évoque cette sorte de "poésie lyrique" par la couleur et le mouvement, dont Dufy s'était fait une spécialité.

     

    ‡ La Route bleue. Raoul Dufy en pays de Langres, Christian Briend et Olivier Caumont, éditions Somogy, 2012, 104 p., ill. (25 €).

  • Val-et-Châtillon (54) : conférence "La faïencerie de Lunéville Keller & Guérin : entre industrie et atelier d'art"

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  • Un timbre pour les 600 ans de Jeanne d’Arc

    tp jeanne.jpgPour fêter le 6ème centenaire de la naissance de Jeanne d'Arc, La Poste a émis un timbre anniversaire, en partenariat avec la Cité du Vatican.

     

    Il est disponible dans les bureaux de poste dès ce lundi 14 mai. Il présente une valeur faciale de 0,77 €.

     

    Cette édition historique est illustrée avec la ‘Jeannette’ de Domremy en armure, réalisée d’après une enluminure du XVe siècle.

  • Domremy - 13 mai 2012 : fête de Sainte Jeanne d'Arc et de son 6ème centenaire

    Le 6ème centenaire de la naissance de Jeanne d’Arc sera célébré ce dimanche 13 mai à Domremy. Le point avec Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié.

     

    jehanne d'arc.jpg> Quel est le programme de ce dimanche 13 mai, solennité de sainte Jeanne d'Arc ?

     

    Ce sera une journée destinée à beaucoup de monde. Nous avons organisé un certain nombre de bus et surtout, nous aurons sur place plusieurs évêques, dont le cardinal André Vingt-Trois, l’archevêque de Paris, mais aussi l’archevêque de Besançon, l’évêque de Verdun… Ce sera un beau rassemblement diocésain et la présence du cardinal est quelque chose de marquant. Le matin, il y a une conférence avec Catherine Guyon, qui est médiéviste spécialisée de cette période où Jeanne a émergé.

     

    > C’est un événement qui touche de nombreux acteurs du département ?

     

    Oui, c’est un événement qui concerne les autorités, les communes, le Conseil général, l’université de Nancy, les écoles. Je voudrais donner un coup de chapeau d’ailleurs aux historiens qui ont fait un travail considérable pour resituer Jeanne d’Arc dans son temps.

     

    > Que représente Jeanne d’Arc pour vous ?

     

    Elle a vécu une expérience spirituelle très jeune. Un certain nombre d’axes sont intéressants pour nous dans la vie d’aujourd’hui. C’est un personnage autour duquel on a beaucoup brodé.

     

    Au XIXe siècle, elle a été redécouverte par l’Eglise. La reconnaissance par l’Eglise de Jeanne d’Arc comme une sainte a pris soixante ans. C’était en 1920.

     

    C’est une femme qui a quelque chose à nous dire. Elle a vécu pendant le Moyen Âge, la guerre de Cent Ans dans une région frontière. Une jeune fille qui voit les drames que provoque cette guerre interminable.

     

    Elle a appris la foi par sa mère et elle est sensible à la misère autour d’elle. Il y avait dans sa conscience chrétienne la certitude que Dieu ne pouvait pas laisser faire cela. Elle a été appelée à l’âge de 13 ans et ce qui est intéressant, c’est la maturation de sa vocation.

     

    > Vous avez insisté lors du lancement des festivités consacrées à Jeanne d’Arc sur le fait qu’elle n’avait jamais tué personne.

     

    Oui, au cours de son procès, elle dit qu’elle préfère porter l’étendard plutôt que l’épée et à plusieurs reprises, elle affirme n’avoir tué personne. Elle pleurait autant sur les victimes adverses que sur ses propres compagnons d’armes. Avant d’engager le combat, elle s’adressait d’abord à la partie adverse. Elle est conduite et aidée par Dieu.

     

    > Que pensez-vous de la récupération politique de Jeanne d’Arc ?

     

    Cela n’a pas été pire cette fois-ci que d’habitude. Au XIXe siècle, on cherchait une figure du patriotisme et Jeanne d’Arc pouvait très bien servir d’icône. Il ne faut pas passer sous silence tout l’intérêt de la littérature, de la poésie, même Outre-Rhin pour Jeanne. Ce qui montre que le visage de Jeanne intéresse. Tant pis pour la récupération, il ne faut pas s’y arrêter. Il faut revenir à l’essentiel.

     

    > L’essentiel, c’est quoi ?

     

    C’est que chaque être humain doit pouvoir prendre conscience qu’il a un rôle à jouer dans le monde. Ce qui peut nous amener à courir quelques risques.

     

    [d’après Vosges Matin]

     

     

     

    Le programme du 13 mai 2012 à Domremy

     

     

     

    jehanne.jpgA 11h00, il est proposé de s’associer à la manifestation officielle devant la maison natale à Domrémy.

     

    Après le déjeuner, dans la basilique, 4 propositions seront offertes à tous :

     

    - des rencontres autour des fiches de Carême spéciales « Jeanne d’Arc »

     

    - un diaporama de lumière et de couleurs sur les vitraux de l’église Jeanne d’Arc de Lunéville : 26 vitraux, près de 400 m2 de superficie, sur la vie de Jeanne d’Arc de Domrémy à sa béatification

     

    - la visite de la basilique. Un remarquable édifice du XIXe, de style plutôt néoroman, la basilique Sainte-Jeanne d’Arc de Domrémy alterne granit rose des Vosges et pierre blanche d’Euville. Elle est agrémentée d’impressionnantes mosaïques et de huit peintures remarquables représentant les grandes étapes de la vie de Sainte Jeanne d’Arc

     

    - un diaporama de toute beauté sur les statues de Jeanne d’Arc qui commémore la sainte dans les villes et villages de la région

     

    À 15h30, point d’orgue de la journée, sur le site de la basilique, une messe pontificale sera célébrée sous la présidence de Monsieur le Cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence des évêques de France.

     

  • Avec Maisons Paysannes des Vosges : visite de Gugney-aux-Aulx (Vosges)

    L'Association Maisons Paysannes des Vosges organise une conférence et une visite du village de Gugney-aux-Aulx les 12 et 13 mai 2012.

     

     

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    Le village de Gugney-aux-Aulx, village typique de la plaine des Vosges.

     

     

    Le samedi 12 mai à 20h30, conférence sur le village rural de Gugney-aux-Aulx dans l’ancienne salle de classe située à coté de la mairie, rue de l'église. Une exposition sur le patrimoine bâti rural y sera aussi présentée.

     

    Le dimanche 13 mai à partir 14h30, découverte du village et lecture des façades (départ devant la mairie).

     

    Gugney-aux-Aulx est situé entre Charmes et Mirecourt.

     

    Entrée libre.

  • Monthureux-Bleurville (88) : la fête du foot se prépare

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    [Vosges Matin]

  • Excursion dans le Toulois et le Sud meusien avec "Les Amis d'Alfred Renaudin"

    L'association Les Amis d'Alfred Renaudin organise une excursion à Toul et au château de Gombervaux le samedi 30 juin 2012.

     

    Programme prévisionnel de la journée :

     

    > 8h30 : départ de la salle des fêtes de Val-et-Châtillon – arrêt place de la salle des fêtes de Cirey-sur-Vezouze. Possibilité de rejoindre le groupe à Toul

    > 10h00 : arrivée au Musée d’Art et d’Histoire de Toul où sont exposés plusieurs tableaux de Renaudin. Visite du Musée avec des guides et rencontre avec le Docteur Michel Hachet, conservateur honoraire du Musée, qui a connu le peintre Renaudin

    > 12h30 : Repas au restaurant

    > 15h00 : Visite du Château de Gombervaux peint plusieurs fois par Renaudin

    > 17h00 : Retour à Val-et-Châtillon et passage avec courts arrêts à Vaucouleurs (Porte de France), Pagny-la-Blanche-Côte...

    > 18h30 : arrivée à Val et Châtillon

     

    Prix : environ 35-40 € (transport, visites et repas compris)

     

    ‡ Renseignements : bena_olivier@yahoo.fr

  • A découvrir : le musée du textile de Val-et-Châtillon (Meurthe-et-Moselle)

    Au pied du massif vosgien, dans un cadre de verdure, à 50 minutes de Nancy et Strasbourg, Val-et-Châtillon est une commune forestière qui développa ses activités grâce à ses ressources naturelles : l’eau et le bois. Un musée étonnant vous y attend.

     

    cotonnière.jpgLa première usine textile ouvre ses portes à Val-et-Châtillon dès 1850. Au milieu du XXe siècle, ce sont près de 1000 employés qui s’activent à la fabrication de tissus, velours, etc.

     

    Pour garder trace de cette mémoire et de ce savoir-faire, le bâtiment de la Société Cotonnière Lorraine accueille désormais le musée du textile.

     

    Continus, cannetière, bobinoir, poste de rentrage, métiers à tisser, plieuse, visiteuse... Les machines s’animeront sous vos yeux pour vous expliquer le temps d’une visite toutes les étapes de fabrication de la balle de coton au tissu final.

     

    musée.jpgPeigne à pas de chat, crochet de rentrage, quart de pouce, navette... Les outils d’autrefois des ouvriers du textile... Calicotier, fileur de coton, tissier, aiguiseur de cardes, peigneur, bobineuse, tisserand, ourdisseuse, leveuse... Autant de métiers et gestes disparus à redécouvrir.

     

     

    Pour visiter le musée du textile de Val-et-Châtillon :

     

    • Jours d’ouverture : de mai à octobre – les jeudis et dimanches de 13h30 à 18h00
    • Adresse : Avenue Veillon – 54480 Val-et-Châtillon
    • Téléphone : 03.83.42.59.13
    • Courriel : bena_olivier@yahoo.fr

     

    ‡ Plus d’info’s : http://val-et-chatillon.com/commune/musee

    ‡ Et plus de photos du musée : http://val-et-chatillon.com/photos/index.php?/category/8

     

  • Dolaincourt (88) : la commune fête sa source thermale le 20 mai

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  • Monthureux-sur-Saône (Vosges) : fête du foot

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  • Patrimoine et animations en Saône Lorraine

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    [Vosges Matin]

  • Guide des Archives départementales des Vosges

    ad88.jpgL'ouvrage constitue l'édition revue et augmentée du Guide des archives des Vosges publié sous la direction de Jean-Marie Dumont en 1970.

    En quatre décennies, le service des Archives départementales des Vosges a connu plusieurs métamorphoses, dont la dernière, en 2012, voit le bâtiment de La Voivre doubler sa capacité de stockage. Une mise à jour s'imposait donc.

    Ce guide rappelle au lecteur l'histoire de l'institution, décrit la diversité des sources de l'histoire des Vosges, donne des pistes pour s'orienter dans les fonds d'archives en constante évolution.

    A la fois pédagogique et synthétique, il se veut à la portée de tous : outil de découverte pour le grand public mais aussi outil d'investigation pour les chercheurs chevronnés.

    Au fil des pages, se dévoile la richesse des archives publiques et privées des Vosges : des archives anciennes, révolutionnaires, modernes et contemporaines, des sources manuscrites, imprimées ou figurées.

    Avec ce Guide vous avez les clés... pour entrer dans l'Histoire ! Alors, n'attendez pas pour pousser la porte...

     

    ‡ Guide des Archives départementales des Vosges, Conseil général des Vosges, 2011, 263 p., ill., cartes (18 €). A commander aux Archives départementales des Vosges à Epinal.

  • Visite de Germiny avec Maisons paysannes de Meurthe-et-Moselle

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  • Saône Lorraine : un été sous le signe de la culture et du divertissement

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    [Vosges Matin]

  • Val-et-Châtillon (54) : fête du 90ème anniversaire du Monument aux Morts

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    Une belle initiative mémorielle à laquelle vous êtes invités à participer nombreux !

  • Géo Condé : vers une exposition de ses oeuvres religieuses

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    [Est Républicain]

  • Monthureux-sur-Saône (88) : assemblée générale de Saône Lorraine

    C'est sous les couleurs du drapeau aux trois alérions que l'association de sauvegarde du patrimoine de la Saône Lorraine a tenu son assemblée générale annuelle ce dimanche 15 avril à la Maison pour Tous de Monthureux-sur-Saône. Occasion de faire le bilan de l'année écoulée dans la convivialité.

    vosges,monthureux sur saone,saône lorraine,presbytère,hennezel,chatillon sur saone,les thons,jean françois michelAprès l'ouverture des travaux par le président Jean-François Michel et l'observation d'une minute de silence à la mémoire des adhérents disparus, MM. Jacques Kempf et Paul Thanry, le maire de la commune, Raynald Magnien, a exprimé sa joie d'accueillir les adhérents de Saône Lorraine et son souci permanent d'être à l'écoute de tous ceux qui ont le souci de la promotion du patrimoine historique et architectural.

    Jean-François Michel a rappelé dans son rapport moral les grands moments qui ont marqué l'activité de l'association patrimoniale au cours de l'année 2011 : les animations au musée des activités anciennes de Hennezel-Clairey (marché de Pâques, expositions), les musées vivants de la petite cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône et les travaux engagés au couvent des Cordeliers des Petits-Thons.

    Les questions d'emplois ont également été présentées à l'assemblée et notamment la problématique du remplacement d'Elodie Granget au Grenier à Sel et l'embauche d'un nouveau guide pour le musée de Châtillon avec l'appui de Pôle Emploi.

    Le président Michel a aussi évoqué les voyages organisés par l'association et le succès qu'ils rencontrent. D'ailleurs, cette année, les adhérents pourront se rendre dans les états Baltes en mai et dans le Nivernais à l'automne.

    vosges,monthureux sur saone,saône lorraine,presbytère,hennezel,chatillon sur saone,les thons,jean françois michelLe bilan financier de Saône Lorraine a été présenté par la trésorière Nicole Hottier : chacun a pu se rendre compte de la situation financièrement saine de l'association, corroborée par la stabilité des adhésions, puisque ce sont 375 adhérents qui soutiennent les actions de Saône Lorraine à ce jour.

    Afin de remplacer Jacques Kempf au conseil d'administration, la candidature de Françoise Dorion, de Claudon, a été acceptée à l'unanimité.

    Lors des échanges entre l'assemblée et le bureau du conseil d'administration, Madeleine Courtial, de Saint-Julien, a évoqué l'état de délabrement que présente l'intérieur de l'église paroissiale de son village. L'église de Saint-Julien est en effet une des rares églises du secteur à être classée Monument historique... Ce qui ne facilite pas pour autant les travaux de restauration ! Cependant, il semblerait qu'il manque une réelle volonté de la part des élus locaux d'engager des travaux. Ceux-ci pourraient tout-à-fait faire l'objet d'une programmation sur plusieurs années afin de tenir compte des contraintes budgétaires de la commune. "L'église fait partie du patrimoine historique du village et il est de la responsabilité de son propriétaire - la commune - de l'entretenir", a rappelé le président Michel.

    A l'issue de l'assemblée générale, un sympathique repas a réuni les membres présents. La fin d'après-midi a été consacrée à une page d'histoire locale : Jean-François Michel a brièvement relaté quelques bribes de l'histoire du presbytère de Monthureux, pur produit du XVIIIe siècle. Puis, une visite du musée du patrimoine local installé dans l'ancienne maison curiale, a été effectuée sous la conduite de Marie-Madeleine Boulian.

    [cliché © H&PB]

  • Archéologie à Grand (88) : les enfants fouillent aussi !

    Jouer dans la terre, tous les gamins aiment ça. Surtout quand il s’agit d’y trouver des vestiges gallo-romains comme ce fut le cas récemment sur le site de Grand, avec de vrais archéologues.

     

    fabien-en-compagnie-de-thierry-dechezlepretre-a-decouvert-un-morceau-de-ceramique-(photos-eric.jpgAbrités sous une grande tente sur le site archéologique de Grand, les petits archéologues en herbe font tout comme les grands. Le carré de fouilles a été délimité et chacun des 17 enfants, entre sept et dix ans, passe la terre au crible avec attention. Avec parfois une bonne surprise ou la déception d’être tombé sur un vulgaire caillou.

     

    Thierry Dechezleprêtre, le conservateur du site gallo-romain, oriente les petits et leur donne des conseils. « Nous sommes victimes de notre succès puisque les trois sessions mises en place ont été prises d’assaut », sourit le conservateur. La preuve que l’archéologie fait toujours rêver. Noan, 12 ans, était déjà venu observer les fouilles sur le chantier. Aujourd’hui, c’est lui qui a la truelle en main. « Archéologue c’est un des deux métiers que je veux faire avec cuisinier. J’adore ça depuis tout petit et ici j’ai déjà trouvé deux fonds de céramique », se réjouit le gamin, les genoux dans la terre.

     

    Plus loin c’est l’un des benjamins du groupe, Fabien, 7 ans, qui vient de trouver un morceau de brique. « Wahou, la chance », s’exclame Baptiste à côté de lui, qui ne désespère pas à son tour de tomber sur un objet rare. « Parfois il arrive que les enfants trouvent même des jetons en os ou de la céramique », reprend Thierry Dechezleprêtre.

     

    Pour mener à bien leur mission, les archéologues doivent ensuite mesurer leur trouvaille à l’endroit de sa découverte et remplir une fiche. Ensuite, direction la salle de lavage pour nettoyer les objets et les analyser. Du vrai travail de pro.

     

    « Avant de commencer les fouilles, nous avons fait visiter la mosaïque aux enfants. Nous leur avons montré les techniques de fouilles anciennes et les nouvelles, les différentes branches de l’archéologie et il fallait aussi lutter contre une idée reçue : l’archéologie ne s’intéresse pas qu’à des époques très anciennes. Nous faisons aussi des découvertes qui datent de la première guerre mondiale », explique Thierry Dechezleprêtre.

     

    Pour sortir de terre un petit morceau d’histoire, les enfants y mettent de l’ardeur et de l’attention. Les mains sont aussi les bienvenues, quoique dans un style un peu moins académique. Et tant pis s’il faut sacrifier sa manucure pour dégager la terre de ce qui ne s’avérera être finalement qu’un caillou. On ne peut pas faire mouche à chaque fois.

     

    Camille, neuf ans, a en revanche trouvé un joli fossile en spirale qui finira avec les autres objets en salle de lavage pour être étudié de plus près.

     

    Face au succès grandissant des journées archéologie pour les enfants, Thierry Dechezleprêtre et son équipe envisagent l’année prochaine de mettre en place d’avantage de sessions. En attendant, il reste quelques places pour le mercredi 25 avril.

     

    [d’après Vosges Matin]