Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La vie en Lorraine - Page 50

  • Les activités printanières de Pèlerins de Lorraine

    L’association Pèlerins de Lorraine communique son programme pour ce printemps 2012 :

     

    Domremy_pélé ND Bermont_25.09.11 001.jpg> Dimanche 29 avril : journée johannique au château de Void-Vacon (Meuse) et conférence de Catherine Guyon, de l’université Nancy 2, sur l'iconographie de Jeanne d'Arc à travers les siècles

     

    > Dimanche 6 mai : journée familiale en compagnie des Europa Scouts de la IIIe Nancy et des guides de la IIe Nancy à Gévaux, près de Jouy-sous-les-Côtes (Meuse). Les amis sont les bienvenus

     

    > Dimanche 13 mai : 34ème pèlerinage annuel de Domremy-Vaucouleurs

     

    L’association Pèlerins de Lorraine a réalisé un livret spécial pour cette année avec historique de l’épopée johannique, commentaires et chants. A commander dès maintenant accompagné de votre règlement de 20 € à : Pèlerins de Lorraine, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE

     

    St Nicolas par J Callot.jpg> Samedi 26, dimanche 27 et lundi 28 mai : Pèlerinage de Pentecôte de Notre-Dame de Paris à Notre-Dame de Chartres. Les inscriptions sont ouvertes avec tarif préférentiel jusqu'au 29 avril. Renseignement auprès de Notre-Dame de Chrétienté : information@nd-chretiente.com

     

    > Lundi 28 mai : pèlerinage à Saint-Nicolas-de-Port pour ceux qui restent en Lorraine. Pélé’ de Laneuvelotte vers Saint-Nicolas-de-Port (25 km) avec participation à la cérémonie de la Saint Nicolas d'été à 15h00

  • Nancy : cure de jeunesse pour Jeanne d'Arc

    La statue équestre de Jeanne d'Arc, due au sculpteur Frémiet, installée rue Lafayette à Nancy, vient de prendre le chemin de l'atelier de restauration.

    Ncy_jeanne d'arc 2012 02.jpgSon état sanitaire général méritait en effet un sérieux coup de rajeunissement. D'ailleurs, les animateurs de l'association Mémoire des Lorrains avaient attiré l'attention de la mairie à l'automne dernier sur cet état de délabrement avancé...

    On doit saluer cette initiative en cette année du 6ème centenaire de la naissance de notre Jeannette. Jehanne devrait retrouver son piédestal pour sa fête, le 13 mai prochain.

    En attendant, Jeanne et son cheval ont quitté la placette à dos... de semi-remorque !

    Ncy_jeanne d'arc 2012 03.jpg

    [clichés : © H&PB]

  • Un Lorrain ordonné sous-diacre à Ecône (Suisse)

    sous diaconat.jpg

    Le groupe des sous-diacres ordonnés à Ecône (Suisse).

     

    Samedi 24 mars 2012, au séminaire international Saint-Pie X d'Ecône, Mgr Bernard Tissier de Mallerais, a conféré le sous-diaconat à sept séminaristes,  dont l'abbé Louis-Marie Berthe, originaire de Nancy, et à un moine capucin.

    L'abbé Berthe marche ainsi dans les pas de son frère, l'abbé Pierre-Marie Berthe, ordonné prêtre en 2009.

  • Schneider. Les enfants d'une oeuvre

    lorraine,charles schneider,verrier,art nouveau,art déco,epinay sur seine,nancy,sarregueminesAu début du XXe siècle, à Epinay-sur-Seine, en région parisienne, le Lorrain Charles Schneider (1881-1953) s'impose comme maître verrier après avoir fait son apprentissage chez le nancéien Daum. Issu de l'Ecole de Nancy, il s'affranchit de cette esthétique dont il maîtrise tous les aspects. Lors de l'Exposition de 1925, ses audacieuses créations deviennent rapidement un des symboles de l'Art Déco.

    Après la seconde guerre mondiale, avec ses deux fils, Charles Junior et Robert-Henri, naissent de nouvelles oeuvres, ouvrant la voie au Studio Glass.

    Par passion et amour de l'art, trois collectionneurs, Barlach Heuer, artiste et mécène, Laurence et Jean-Pierre Serre, antiquaires, unissent leurs trésors de verre signés "Schneider", "Le Verre Français", "Charder" pour les présenter dans l'exposition itinérante Schneider. Les enfants d'une oeuvre au musée de Sarreguemines (jusqu'au 28 mai), puis au musée de Conches. Le catalogue de l'exposition nous livre toute la richesse et la variété de la production de Charles Schneider et de ses fils.

    Barlach Heuer nous livre son testament d'artiste, à son image : sensible et éclairé, fragile et enflammé. Son fils Tomas Heuer, photographe, s'est laissé guider par ces oeuvres de verre et nous les fait redécouvrir à la source de leur inspiration originelle.

     

    ‡ Schneider. Les enfants d'une oeuvre, collectif, éditions Choses et Autres Choses, 2012, 190 p., ill. (48 €).

  • Val-et-Châtillon (54) : une association pour promouvoir l'oeuvre du peintre Alfred Renaudin

    alfred renaudin.JPG

    [Est Républicain]

  • Epinal : conférence sur l'organiste vosgien Gaston Litaize

    Gaston Litaize.jpgA l'occasion de la sortie du livre Fantaisie et fugue sur le nom de Gaston Litaize, souvenirs et témoignages, la Société d'émulation du département des Vosges propose une conférence d'Alain Litaize, auteur de la biographie et fils du célèbre organiste vosgien :

    samedi 31 mars à 16h30

    à l'amphithéâtre de la faculté de Droit à Epinal

    entrée libre - vente du livre sur place

    Loin d'être une biographie traditionnelle, l'ouvrage présente, sous la forme de souvenirs, un certain nombre d'épisodes de la vie de Gaston Litaize qui a affirmé sa vie durant que sa cécité avait été sa chance, que sans elle il n'aurait jamais fait de musique. De Santifontaine au Grand Prix de Rome, de la Résistance à la direction des émissions religieuses à la radio, de sa première prestation à 12 ans à ses tournées internationales on vit, de l'intérieur, l'extraordinaire trajectoire de notre illustre compatriote. Un CD d'oeuvres inédites s'ajoute aux 250 pages de ce témoignage de piété filiale et de fidélité en amitié.

     

    ‡ Fantaisie et fugue sur le nom de Gaston Litaize, souvenirs et témoignages, Alain Litaize, éditions Delatour France, 2012, 252 p., ill., CD inclus (28 €).

  • Nancy : le Cours Sainte-Philomène recherche une institutrice

     

    lorraine,nancy,cours sainte philomène,emploi,institutrice

     

    ‡ Contact : philomenelorraine@gmail.com

  • Grand (88) : les tablettes passent au numérique

    Extrêmement fragiles, les tablettes astrologiques trouvées à Grand dans les années 60 ont été scannées en 3D. Un double objectif à cela : historique et pédagogique.

     

    aucun-detail-des-inscriptions-et-de-l-etat-de-surface-n-echappe-au-scanner-haute-precision-(photo-c.jpgDes tablettes reliées à un ordinateur. Jusqu’ici, rien d’exceptionnel à l’heure des nouvelles technologies. Sauf que les tablettes du musée départemental d’art ancien et contemporain n’ont rien de commun avec celles des geeks d’aujourd’hui. Elles sont en ivoire et datent du IIe siècle de notre ère.

     

    « Archéo développement », une société suisse les a passés au scanner 3D. L’objectif : faciliter les études des historiens sur des pièces fragiles, à manipuler le moins possible. « Quand elles ont été découvertes en 1967-1968, ces tablettes étaient au fond d’un puits, en plus de 100 fragments », explique Thierry Dechezleprêtre, le conservateur du site de Grand, qui a assisté à la numérisation. « Leur séjour dans l’eau et le recollage des morceaux les ont fragilisées. Trop les toucher pourrait nous faire perdre des petits morceaux de matière». Grâce aux nouvelles technologies, les archéologues et les historiens pourront « nettoyer » l’image et recomposer numériquement les parties manquantes et la vision originale des trois diptyques et de leurs couvercles.

     

    « Nous avons pu analyser qu’il reste des pigments de couleurs dans ces tablettes qui parlent d’astrologie et du zodiaque. Avec le scanner 3D, peut-être pourrons-nous retrouver les coloris et les reconstituer à l’identique », détaille le conservateur, qui avance des tons « rouges, jaunes soutenus voire de la feuille d’or pour orner certains éléments ».

     

    Cette technique de numérisation haute précision, de l’ordre de 50 microns, a notamment été utilisée sur les pièces du Quai Branly, avant l’ouverture du musée des Arts premiers.

     

    Les tablettes désormais numérisées seront présentées au public lors d’une exposition, à partir du 12 mai à Grand. « Nous allons pouvoir mettre en perspective les trois états des pièces ; celui d’origine, celui de la découverte et l’état actuel », se réjouit Thierry Dechezleprêtre. Outre le fait qu’elles soient en ivoire, déjà difficilement trouvable au IIe siècle après Jésus-Christ, ces tablettes ont une valeur symbolique aux yeux des historiens puisqu’elles abordent l’astrologie et les signes du zodiaque avec des inscriptions « en grec, en égyptien et en copte. Cela montre la collusion entre les civilisations grecque, mésopotamienne et égyptienne. Il y a eu une volonté délibérée de les faire disparaître : on les a brisés et jeté dans un puits. Peut-être à cause d’une crise religieuse, on ne sait pas vraiment. En tout cas, c’étaient des objets rares dans la Gaule romaine ».

     

    Même si elles ont été beaucoup étudiées, les tablettes de Grand n’ont pas encore livré tous leurs mystères.

     

    [d'après Vosges Matin]

  • Saint-Dié-des-Vosges : retour du Christ à Notre-Dame de Galilée

    christ.jpg

    [Vosges Matin]

  • Portieux (88) : une arrivée saluée par la Providence

    La messe dominicale avait un petit goût bien particulier au couvent des Sœurs de la Providence de Portieux. Au milieu d’une assemblée inhabituellement nombreuse, se discernait une douzaine de nouvelles têtes, à la chevelure noir d’encre. Une centaine de religieuses des communautés limitrophes étaient en effet réunies pour accueillir les sœurs vietnamiennes arrivées tout récemment.

    vosges,portieux,congrégation,soeurs,providence,vietnamAgées entre 23 et 29 ans, ces jeunes nonnes s’apprêtent à passer au moins une année au couvent de la Providence de Portieux, une communauté religieuse fondée par le prêtre messin Jean-Martin Moyë au XVIIIe siècle.

    « C’est une grande aventure pour elles, confie Sœur Annick, chargée de la formation à la congrégation. Même si elles se sont préparées avant, elles ont tout à découvrir. » Ces douze Vietnamiennes, originaires essentiellement du centre et du sud du pays, ont en effet passé quatre mois en immersion dans des villages de la région des hauts plateaux du Kontum. En équipe de deux, elles se sont ainsi frottées à des habitants d’ethnies minoritaires ne parlant pas forcément leur langue et à la culture différente « On a pu voir comment elles se comportaient, et on a pu les aider à réfléchir. »

    Les nouvelles résidentes du couvent vont suivre des cours de français, en plus de leur indispensable apprentissage religieux qui leur permettra de découvrir la vie d’une missionnaire. Pour cela, elles pourront compter sur les sœurs de Portieux qui, par un système de jumelage, suivront leurs parcours. Des sœurs qui sont visiblement heureuses d’accueillir dans leurs rangs de nouvelles têtes et un peu de sang neuf, respectueuses en cela de leur vocation d’ouverture vers l’extérieur.

    Après leur formation, ces sœurs seront envoyées quelque part dans le monde, vraisemblablement dans un pays francophone, selon leurs profils. Avec comme mission principale « d’écouter la culture des autres pour faire comprendre et annoncer le message de l’Evangile ».

    Cette expérience en appelle de prochaines, puisqu’il n’est pas incertain qu’à l’avenir la même opération soit menée avec des sœurs sud-américaines ou cambodgiennes.

    Hasard du calendrier, ce dimanche d’arrivée coïncidait avec celui de la dernière messe célébrée à l’abbaye cistercienne d’Ubexy, où la douzaine de sœurs s’apprête à partir pour le Val-d’Igny, dans la Marne. Un office en guise d’adieu qui sonnait du coup aussi comme un passage de flambeau grâce à la présence de ces jeunes sœurs de la Providence. Les voies du Seigneur sont impénétrables…

    [d’après Vosges Matin]

     

  • Maron (54) : quelques images de la sortie des Europa-Scouts de Nancy

    Les Europa-Scouts de la IIème Nancy Bienheureuse Alix Le Clerc et de la IIIème Nancy Bienheureux Charles de Foucauld étaient de sortie ce dimanche 18 mars à Maron, village proche de Nancy.

    Après les activités ludiques en forêt (un peu humide !...) et un repas partagé autour du feu, l'abbé Stemler, l'aumônier des Europa-Scouts lorrains, a célébré la messe en l'église du village avec tous les scouts, louveteaux et louvettes, et parents présents.

    Quelques images de cette journée...

    Lucie_louvettes maron_18.03.12 002.jpg

    Lucie_louvettes maron_18.03.12 005.jpg

    Lucie_louvettes maron_18.03.12 010.jpg

    Lucie_louvettes maron_18.03.12 011.jpg

    [clichés © H&PB]

     

  • A Dieu à l’abbaye cistercienne d’Ubexy (Vosges)

    Il règne un calme assez inhabituel pour un déménagement. Même dans les cartons, l’abbaye Notre-Dame de Saint-Joseph, au cœur de la campagne vosgienne à Ubexy, semble plongée dans une douce torpeur, propice à la réflexion et au recueillement.

     

    les-soeurs-ne-sont-plus-que-douze-dans-des-batiments-devenus-trop-grands-pour-elles-et-trop-chers-a.jpgPourtant, au début des années 1960, 93 sœurs occupaient les sept hectares du domaine. Aujourd’hui, elles ne sont plus que douze. Perdues dans des bâtiments devenus trop grands pour leur petite communauté de cisterciennes, elles ont décidé de rejoindre le Val d’Igny, à une quarantaine de kilomètres de Reims, après 171 ans de présence dans les Vosges.

     

    L’abbaye d’Igny a entrepris des travaux d’agrandissement pour accueillir trois autres communautés, venues de Belval dans le Pas-de-Calais et de la Grâce-de-Dieu, dans le Doubs et surtout, elle dispose d’une maison médicalisée, ou les sœurs malades pourront finir leur vie. « Nous sommes comme une personne âgée confrontée au dilemme de rester chez soi ou d’aller en maison de retraite. Nous avons préféré anticiper », confie Mère Marie-Rose, supérieure par délégation de l’abbaye d’Igny, arrivée en novembre dernier à Ubexy.

     

    Fondée en 1841, la communauté vosgienne a connu des débuts difficiles. Installées dans l’ancien château construit au Moyen-Âge, dans des pièces qui ne comportaient parfois même pas de fenêtres, les sœurs ont tout construit de leurs mains, « fidèles aux préceptes de notre ordre, en vivant grâce à leur travail », appuie Mère Marie-Rose.

     

    Une fromagerie a vu le jour en 1876, première étape de l’industrialisation de l’abbaye, qui s’est ensuite tournée vers les pains d’autel, pour subvenir à ses besoins.

     

    Sœur Léontine a passé 33 ans à Ubexy. La responsable des hosties, c’est elle. Et à l’aune du départ, même si elle se dit « contente d’apprendre autre chose, de faire une sorte de reconversion professionnelle puisqu’Igny fabrique du chocolat », elle admet un pincement au cœur. « Quand je suis arrivée ici, je suis tombée sous le charme du lieu. En entrant dans les ordres, on choisit sa communauté, mais aussi un endroit. Ici, je n’avais pas l’impression de me sentir enfermée. On ne voyait pas les murs, au-delà du potager, à l’époque entièrement cultivé. » Désormais les légumes ont fait place à de la pelouse, les clapiers pour les 400 lapins sont vides. Plus de trace non plus des 300 poulets qui caquetaient auparavant dans l’une des cinq cours de l’établissement.

     

    bientot-la-porte-de-l-abbaye-se-refermera-sur-171-ans-de-presence-(photos-eric-thiebaut).jpgLes derniers camions qui emportaient les machines pour fabriquer les hosties ont pris la route mercredi. Elles seront réparties un peu partout en France, surtout vers le Sud. Sœur Léontine a essuyé les dernières traces de farine dans le bâtiment construit en 1997. « A l’époque, on ne pensait pas qu’on allait partir. Mais parfois la vie va très vite. » Au fil de ses 33 ans passés ici, elle a fait de la qualité de ses pains d’autel la première de ses préoccupations. Au point de travailler conjointement avec un minotier de Savigny, pour choisir les blés qui donneront les meilleures farines, qu’elle commandait par tonnes, trois à quatre par mois. Les sœurs avaient même équipé leur abbaye d’un silo, pour faciliter la livraison. Le passage obligé quand on est le premier fabricant d’hosties de France, avec des livraisons dans tout l’Hexagone mais aussi en Italie, en Afrique, sans oublier le Mexique et le Japon où la communauté cistercienne a ouvert une maison. Et une production maximum de 28 millions par an.

     

    Sœur Léontine en sourit. Pendant toutes ces années passées à produire des hosties, elle a presque vécu comme les cultivateurs. « J’attendais les récoltes. Je me demandais quel temps il allait faire à la moisson, comment seraient les blés. Je guettais les coups de froid ou les pluies. »

     

    Premier producteur de France de pains d’autel, l’abbaye d’Ubexy avec une production qui a atteint 28 millions d’hosties, a acquis une véritable expérience et une compétence certaine dans le domaine. « C’est un travail qui n’est jamais répétitif mais parfois rageant, nous voulions que tout soit parfait. Il est maintenant plus difficile d’obtenir de belles hosties blanches, la faute aux farines qui servent d’avantage pour faire du pain de mie ou du pain complet. »

     

    Sœur Léontine avait l’œil sur toutes les étapes de la fabrication : du tri à la cuisson avant l’humidification et le découpage. Jusqu’à 1 000 feuilles de farine sortaient de l’atelier d’Ubexy. Qu’il fallait ensuite faire sécher et conditionner avant l’expédition. Les déchets et les ratés étaient, eux, cédés aux agriculteurs du coin qui nourrissaient leurs bêtes avec. Un lien de plus entre l’abbaye et les habitants. Au Val d’Igny, les sœurs travaillent le chocolat. Sœur Léontine entamera là-bas sa première reconversion professionnelle. Avec envie mais aussi une pointe de tristesse après 33 ans passés à Ubexy.

     

    Les douze sœurs qui restent à Ubexy attendent la date de leur départ pour la Marne. En attendant, elles s’apprêtent à vendre tout ce qu’elles n’emmènent pas lors d’une grande brocante, les 28, 29 et 30 avril. Pour faire de la place dans les bagages, surtout pour laisser un petit souvenir aux habitants du village, habitués à venir à la messe depuis 171 ans, le dimanche, dans l’église de l’abbaye.

     

    D’ailleurs l’office du 19 mars, solennité de la fête de saint Joseph, aura un goût particulier, celui de l’adieu. Les sœurs invitent tous ceux qui le souhaitent à venir y assister, en présence de Mgr Mathieu, évêque de Saint-Dié.

     

    Le bâtiment, lui, a été proposé à un promoteur immobilier. « Nous n’avons pas de réponse sur son devenir pour l’instant. Celui de Belval a été repris par une association, « A la Gloire-de-Dieu », c’est une communauté nouvelle qui s’y est installée. » Dans la voix de Mère Marie-Rose transpire un souhait, que l’église de l’abbaye n’ait pas à être désacralisée dans quelques mois.

     

    Histoire que le clocher de Notre-Dame de Saint-Joseph chante encore longtemps la gloire de Dieu…

     

    [source : Vosges Matin]

  • Sarreguemines (57) : expo "Schneider, les maîtres du verre"

    exposition schneider.jpg

  • Enregistrement du livre d'orgue du toulois Jean-Baptiste Nôtre

    ER.jpeg

    [ER | 14.02.2012]

  • L'ossuaire de Douaumont profané

    C’est à un symbole mondialement connu de la Grande Guerre auquel on s’est attaqué dans la nuit du 7 au 8 mars.

    lorraine,meuse,douaumont,poilus,grande guerre,anciens combattants,profanation,ossuaireL’Ossuaire de Douaumont, qui abrite les restes d’environ 130 000 soldats majoritairement Français et Allemands, a été profané. En effet, quatre vitres carrées, situées au ras du sol à l’extérieur du bâtiment et permettant de voir les ossements des combattants, ont été forcées. Selon les premiers éléments, c’est avec un chalumeau que le ou les individus ont brûlé le joint de silicone de l’huisserie permettant ensuite, d’un coup de pied, de désolidariser le carreau du châssis.

     

    C’est à l’abri des regards, derrière les palissades du chantier de rénovation de l’Ossuaire dans l’optique du Centenaire de la Grande Guerre, que les faits se sont déroulés. C’est d’ailleurs les ouvriers de l’entreprise, en arrivant sur les lieux, qui ont découvert les dégâts. Des repérages semblent aussi avoir été effectués : des traces de frottement ont été découvertes sur les vitres, histoire d’essuyer la condensation pour estimer laquelle des alvéoles étaient la plus intéressante pour eux.

     

    lorraine,meuse,douaumont,poilus,grande guerre,anciens combattants,profanation,ossuaire,douaumontCes fenêtres donnent chacune dans un caveau recelant les ossements de combattants anonymes retrouvés dans des zones bien précises du champ de bataille. Les profanations concernent les secteurs de Froideterre, Fleury, Cote 304 et Samogneux. Même si la provenance des ossements ne semble pas avoir influencé le choix.

     

    Sur place, Yves Le Clair, procureur de la République de Verdun a confirmé que le ou les individus ont « pénétré à l’intérieur et ont dérobé une quantité non déterminée d’ossements » et en particulier des crânes. Quelques boîtes crâniennes semblent même avoir été « mises de côté » dans une alvéole. Peut-être pour les trier. Les malfaiteurs, qui ont visiblement agi avec des gants, ne recherchaient apparemment que des crânes en très bon état. En outre, lors de l’intrusion dans un caveau, un individu a dû s’enfoncer dans la masse d’ossements, créant une excavation dans les restes humains.

     

    Pour l’heure, aucune piste n’est écartée sur les motivations précises de cet acte : pari stupide, collectionneurs, satanistes, malveillance… L’enquête est confiée à la brigade des recherches de la gendarmerie de Verdun pour vols aggravés et profanation de sépulture. La cellule d’investigation criminelle de Bar-le-Duc a procédé à des prélèvements biologiques qui seront envoyés en urgence à Rosny-sous-Bois pour analyses ADN.

     

    Ce genre de profanations ne s’était pas produit depuis les années 1960. Les autorités civiles et militaires sont arrivées en masse sur les lieux. Le personnel de l’Ossuaire a été auditionné et les bandes de la vidéosurveillance vont être passées au crible.

     

    En fin d’après-midi, Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens Combattants, s’est rendu sur place. Il a ressenti « une très vive émotion » avant d’ajouter : « Laissons les combattants en paix, respectons-les ». Avant de condamner un « acte inacceptable » et d’évoquer « le délire d’un fou ».

     

     

    Un Numéro Vert est mis à disposition des éventuels témoins : 0800.007.862.

     

  • Nancy : sur les traces de la première place Stanislas

    ncy stan.jpg

    [Est Républicain]

  • Cathédrale de Nancy - 24 mars 2012 : Marie-Christine Barrault dit l'Annonciation

    annonciation1.jpg

    annonciation2.jpg

  • Le livre d'orgue du Toulois Jean-Baptiste Nôtre (1732-1807)

    orgue jb nôtre.jpg

    [Est Républican]

  • 12-13 mai 2012 : 34ème pèlerinage Domremy-Vaucouleurs

    pélé domremy vaucouleurs 2012.jpg

    34ème pèlerinage de Domremy à Vaucouleurs...

    600ème anniversaire de la naissance de Jehanne la Bonne Lorraine...

    "Tous les ans, aux environs du 13 mai a lieu le pèlerinage de Domremy (Vosges) à Vaucouleurs (Meuse) dans les pas de la Sainte de la Patrie. Cette marche de 22 km rappelle le tout premier départ de Jeanne d'Arc lorsqu'elle a été trouver le Sire de Baudricourt pour lui faire part de sa mission. Cela eut lieu en 1428 vers le moment de l'Ascension qui tombait cette année-là le 13 mai. Cette commémoration est importante dans sa signification, car sans Baudricourt et sans Vaucouleurs, la mission de Jeanne était impossible. Donc cette année encore, après la veillée du samedi à la chapelle de Notre-Dame de Beauregard, hauteur qui domine le pays de Domremy, le groupe partira dans le petit matin depuis la maison natale de Jeanne vers la porte de France à Vaucouleurs.

    Passant par les villages et sites pittoresques de cette région, faisant étape à Notre-Dame de Bermont où Jeanne aimait venir prier tous les samedis, la colonne des marcheurs lancera ses chants joyeux dans le ciel... Ave Maria ; Nous voulons Dieu ; Parle, commande, règne ; Catholique et Français toujours !, Reine de France ; Sainte Jeanne de Domremy, etc. Après l'ermitage de Bermont situé dans une clairière, voilà Goussaincourt puis Montbras où l'on s'arrête un temps devant la magnifique façade Renaissance de l'imposant château, Taillancourt et, enfin, Champougny, l'étape attendue à mi-chemin. La messe a lieu à midi dans une curieuse église fortifiée du XIIe siècle. Le repas tiré des sacs sera pris à l'ombre d'énormes châtaigniers et proches de la petite chapelle très bien entretenue qui renferme de belles statues rustiques.

    A quatorze heures, nouveau départ en chantant le chapelet, des méditations sont proposées au pied des calvaires par les responsables des différents groupes participants à ce pèlerinage.

    Voici Chalaines, puis l'on passe le pont sur la Meuse pour entrer dans Vaucouleurs en chantant haut "Nous voulons Dieu, c'est notre Père ; nous voulons Dieu, c'est notre Roi...".

    L'arrivée a lieu à la porte de France, dominant la célèbre "vallée des couleurs". C'est ici même que Jeanne d'Arc commença sa mission qui devait la conduire à Orléans, puis à Reims pour le couronnement du roi et se terminer de façon tragique pour la raison humaine, sur le bûcher de Rouen."

    Jean-Marie Cuny, organisateur du pèlerinage annuel Domremy-Vaucouleurs

     

    ‡ Contact et renseignements : Association Pèlerins de Lorraine, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE - Tél. : 03.83.20.67.22 (J.-M. Cuny).

  • A Bleurville, au coin de la cheminée vosgienne...

    lorraine,vosges,bleurville,cheminée,grès,vosgien,sebeler,tf1,13 heures,jean pierre pernautLes équipes du 13 Heures de Jean-Pierre Pernaut ont posé récemment leurs caméras et leurs micros à Bleurville. Le temps de se caler au coin du feu d'une cheminée vosgienne... et de faire la visite de la dernière exploitation de carrières de grès des Vosges : la société Sebeler à Bleurville.

    Bon, il y a les inévitables "clichés" sur les Vosges (c'est normal, les Vosges vues de Paris c'est le bout du monde !), le froid, la forêt omniprésente... mais vous découvrirez surtout, dans ce mini reportage, le savoir-faire de cette entreprise innovante, installée en milieu rural. Et qui fait la réputation de nos Vosges... et de Bleurville !

    [cliché : ©Musée Lorrain, Nancy]

     

    Découvrez le reportage de TF1 ici : http://videos.tf1.fr/jt-13h/au-coin-de-la-cheminee-en-gres-dans-les-vosges-6967007.html

  • Vers la création d'une association des Amis d'Alfred Renaudin

    alfred renaudin.jpg

    Alfred Renaudin (1866-1944), peintre lorrain.

     

    L'assemblée générale constitutive de l'association des Amis d'Alfred Renaudin aura lieu le samedi 17 mars 212 à 14h30 à la salle des fête de Val-et-Châtillon (Meurthe-et-Moselle)

     

    ‡ Consultez l'invitation ici Asso_Amis_Alfred_Renaudin.pdf

    ‡ Plus d'information et contact : bena_olivier@yahoo.fr

  • Scy-Chazelles (57) : un label pour la Maison de Robert Schuman

    maison schuman.jpg

    [La Semaine de Nancy]

  • Pour soutenir les Europa-Scouts nancéiens

    Europa-scouts_rentrée_24.09.11 025.jpg

    Guides et scouts de la IIe Nancy Bienheureuse Alix Le Clerc et Bienheureux Charles de Foucauld [archives © H&PB]

     

    Les unités Europa-Scoutes de Nancy seront présentes en l'église Saint-Pierre de Nancy pour la messe du dimanche 4 mars à 9h30.

    Les guides de la IIe Nancy vous proposeront une vente de gâteaux à l’issue de la messe pour financer leurs activités.

    Réservez-leur le meilleur accueil !

  • Des timbres pour valoriser la Lorraine

    timbres.jpg

    [La Semaine de Nancy]

  • Les éditions des Paraiges, le dernier-né des éditeurs lorrains

    Fondées en mars 2011 et basées à Metz, les « Éditions des Paraiges » ambitionnent une envergure régionale avec la publication d’ouvrages locaux consacrés aux domaines historique et patrimonial ou à la littérature. A sa tête, Sébastien Wagner, historien de formation, concrétise un projet longuement pensé depuis une décennie alors que l'activité commerciale du secteur s'avère assez risquée pour une petite structure. A l’ère du numérique, le jeune homme sort son épingle du jeu.

     

    paraiges.jpgDe nos jours, l’ambition ou les moyens financiers ne suffisent plus pour fonder sa propre maison d’édition, a fortiori régionale. Pour se lancer dans l’aventure, il faut ajouter une bonne dose de passion et un réel esprit de sacerdoce. Il n’y a qu’à constater les difficultés rencontrées par les éditeurs voire pour certains d’entre eux la disparition totale de leur activité.Car l’industrie du livre évolue dans un contexte économique morose, et le marché de la culture se porte assez mal depuis quelques années. Pourtant en mars dernier Sébastien Wagner a décidé de fonder les « Éditions des Paraiges ». « La position de monopole de certains éditeurs n’est pas bonne. Il faut diversifier l’offre et l’enrichir », explique l’intéressé qui précise que, si l’édition se trouve avec l'émergence du numérique à un tournant de son histoire, le livre n’a rien à craindre de la nouvelle technologie. « Quelqu’un qui aime la matière du support-papier, ne le délaissera pas pour un iPod », renchérit l'éditeur.

     

    Il faudra dix années pour que le projet mûrisse dans la tête de Sébastien Wagner, durant lesquelles il accumulera de l’expérience professionnelle. En l’an 2000, il travaille sur des productions messines pour les « Éditions Économica » situées à Paris. Puis en 2009, le jeune historien de formation publie « Le Dictionnaire historique des rues de Metz ». Pourtant, ce ne sera qu'en 2010 que surviendra le déclic, l’étincelle qui mettra le feu aux poudres. « Je me suis rendu compte que les ouvrages de référence en histoire locale n’existaient pas », déclare le jeune patron. Il se saisit alors d'un livre posé sur la table basse. « Vous en avez déjà vu d'aussi volumineux, 360 pages, édités par une maison régionale ? », demande-t-il en manipulant le premier ouvrage de son catalogue, « Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie » d’Alexandre Huguenin. « Nous sommes les premiers à le proposer. Comme les attentes des lecteurs ou des auteurs n’étaient pas comblées dans notre région, j’ai voulu créer quelque chose qui n’existait pas encore. »

    « Je souhaite en littérature aborder l’aspect contemporain,
    et mettre en valeur le patrimoine lorrain avec l’Histoire »

     

    Doté d'un statut d’auto-entrepreneur, afin de limiter les frais, et fort d'un capital d’environ 5 000 euros, Sébastien Wagner a l’ambition d’imprimer six ouvrages d'ici la fin de l'année et pratiquement une dizaine pour 2012. D'ores et déjà disponibles auprès des libraires lorrains, l'ouvrage historique sus-cité « Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie » d’Alexandre Huguenin, et un polard d’Alain Thon « Mort suspecte d'un franc-maçon », édités chacun à 700 exemplaires et presque épuisés à ce jour. La jeune société s'est donné trois axes d'édition bien précis, l’histoire, le patrimoine et la littérature. Mais également la réédition d’auteurs locaux tombés dans l’oubli. « Je souhaite en littérature aborder l’aspect contemporain et mettre en valeur le patrimoine lorrain avec l’histoire », affirme Sébastien Wagner qui s'est aperçu grâce à son métier, consultant auprès du musée de Gravelotte, que les Lorrains ne connaissaient pas vraiment leur passé.

     

    Aucun doute, Sébastien Wagner affectionne tout autant la littérature que l’histoire. Alors, lorsqu’il a la possibilité de nommer sa maison d’édition en faisant référence aux six grandes familles qui dirigeaient la ville de Metz, et formaient une oligarchie urbaine du Moyen Âge jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, il s’en donne à cœur joie. C'est ainsi que naissent les « Éditions des Paraiges ». Le contenu, l’esthétique et la mise en page des ouvrages revêtent pour ce jeune entrepreneur une importance particulière. De la réception des tapuscrits à la rencontre des auteurs, de la relecture à la conception des ouvrages, de l’impression à la distribution des livres, rien ne lui échappe. « Dans les structures locales, le directeur d’édition est multi-casquettes. Il doit maîtriser l’intégralité de la chaîne du livre », signale-t-il, avant de préciser : « A Paris, il y a un poste par personne, et le contact avec les auteurs n’est pas le même, c’est regrettable. » Le temps est précieux et le jeune homme n’ignore pas que son travail sera jugé sur la qualité et le nombre d’ouvrages figurant à son catalogue. Ainsi, il annonce déjà la prochaine parution d’un livre sur la visite des chefs d’État français à Metz, et d’un roman historique sur le siège de Metz en 1552. 

     

    Si la passion et l’envie de proposer des ouvrages de qualité sur des thématiques bien précises donnent des ailes et de l’ambition à Sébastien Wagner, celui-ci n’est pas pour autant dépourvu de réflexion, reconnaissant que le secteur du livre vit une période de lourdes difficultés économiques. Aussi édite-t-il de petites quantités sous la barre des 1 000 exemplaires, et il lance régulièrement des souscriptions avant la mise sous presse de certains de ces titres. Seuls les lecteurs et l’avenir donneront raison ou non au projet de ce jeune entrepreneur qui n’aura pas eu froid aux yeux. Et nous savons tous qu’il faut, surtout en ce moment,  un courage sans faille pour se lancer.

     

    [source : www.laplumeculturelle.com]

     

     

    ‡ Renseignements et catalogue : www.editions-des-paraiges.eu

  • La foire aux andouilles du Val d'Ajol : une tradition à préserver

    andouille.jpg« Je fais toujours l’andouille devant le public. C’est mon métier. Mais le faire avec une andouille entre les mains et surtout devant cette salle des fêtes où je me suis produit à plusieurs reprises, c’est bien la première fois. » Intronisé, hier midi lors de la 47 e édition de la célèbre fête ajolaise, troubadour enchanteur-dépendeur honoris causa, Claude Vanony n’a pas perdu une once de son célèbre humour. Il était chez lui au Val d’Ajol comme dans toutes les communes vosgiennes où il s’est un jour arrêté. « Je suis un amuseur. J’ai quand même un métier fantastique : celui de faire rire les gens. »

    Au moment de la prestation de serment, ses fans applaudissent, puis veulent poser pour une petite photo souvenir ou dédicacer un billet de l’Olympia où l’homme s’est produit il y a quelques semaines. Les visiteurs de cette foire ajolaise apprécient. Comme une vieille habitude.

    Claude Vanony savoure. A l’image de ces petits toasts proposés par trois jeunes ajolaises Lorine, Marie et Cloé. « Je l'ai dégusté souvent en casse-croûte. Il n’y a pas de moment particulier. Mais ce que je préfère, c’est la manger chaud avec des pommes de terre. C’est vraiment excellent ! ». Le comique vosgien ne compte plus les intronisations auxquelles il a participé. « L’une des premières, c’était à Rambervillers lors de la foire à la tête de veau », se souvient-il.

    Ce mets ou plutôt ces spécialités lui ressemblent, lui l’homme attaché au terroir vosgien, à ces terres qui l’ont vu naître voici 76 ans. « Cette fête comme les autres organisées partout dans les Vosges fait partie de notre identité et de nos traditions. On doit tout faire pour la préserver. C’est un folklore à préserver. »

    Heureux tout simplement d’être ce représentant vosgien dans la vie de tous les jours et sur scène. « Ce type de manifestation permet d’expliquer aux Parisiens que l’on sait bien vivre dans les Vosges et faire la fête comme il se doit », évoque-t-il encore sur le ton de l’humour.

    Comme un contre-pied à la caricature de la Déodatie proposée par l’humoriste parisien Laurent Gerra il y a quelques semaines sur l’antenne d’une radio nationale. D’où la proposition de Claude Vanony : « Je connais Laurent. Alors pourquoi ne pas l’introniser l’an prochain afin de lui montrer une partie de nos traditions. Ce serait une belle idée. » Celle-ci pourrait faire son bonhomme de chemin. « Mais attention, ici, les intronisés ne sont pas rémunérés. Ils viennent juste pour le plaisir. Il n’y a pas de star, juste les andouilles », prévient en souriant Jacques Racadot, grand dépendeur de la Confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux.

    [d'après Vosges Matin]

  • Le saint lorrain du mois : saint Gundelbert

    St_Gondelbert.jpgSaint Gundelbert fut évêque de Sens (Yonne). Après la mort de Clovis II (+657), il quitta son siége, vint au diocèse de Toul et s’y retira en un lieu fort désert, situé vers la source de la rivière de Meurthe.

    A cet endroit, secondé par les libéralités de Childéric II (+675), il bâtit une abbaye qu’il nomma Senones, du nom de la cité dont il avait été évêque et qui se dit en latin Senonœ (Sens).

    La tradition veut que, dans la suite, il ait quitté cette abbaye pour se retirer à Moyenvic (Moselle), près du tombeau des saints Pient, Agent et Colombe, où il mourut et où l’on pense qu’il est inhumé.

    L'Eglise le fête au calendrier liturgique en ce 21 février.

    [source : www.introibo.fr]

  • Nancy, 29 février : Conférence "Crise financière, crise économique, crise politique, crise morale"

    L'association Histoire & Culture nous prie d'insérer l'information suivante :

     

    L’Association Histoire & Culture

    vous invite

    à la conférence-débat

    avec

    Hilaire de Cremiers

    Directeur de Politique magazine, de La Nouvelle Revue Universelle,

    délégué général de La Restauration Nationale

    * * *

    « Crise financière, crise économique,

    crise politique, crise morale »

     

    Mercredi 29 février 2012

    Brasserie « Les Deux Palmiers »

    64 rue Stanislas à Nancy 

    19 h 00 : accueil

    19 h 45 : conférence

    21 h 00 : débat avec le conférencier autour d’un buffet froid. 

    * * *

    Participation aux frais : 12 € par personne hors boissons. 5 € pour étudiants.

  • Malzéville (54) : concert pour la sauvegarde de l'église Saint-Martin

    Concert Claude Gellee.JPG

  • Centenaire de la Grande Guerre : la Meuse s'y prépare

    14-18.jpg

    [L'Est Républicain]