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  • 97ème anniversaire de la mort du Colonel Driant

    Nancy a commémoré ce samedi 23 février le 97ème anniversaire de la mort du colonel Emile Driant, tué à l'ennemi à Verdun le 22 février 1916.

    Nancy_97e anniv colonel Driant_23.02.13 001.jpgOfficier de carrière, il était le gendre du général Boulanger. Il avait démissionné de l'armée à la suite du sectarisme des gouvernements de la IIIe République qui faisait la chasse aux militaires catholiques, puis avait entamé une carrière d'écrivain.

    Il fut élu député de Nancy avant de reprend le service au début de la Première Guerre mondiale. Il meurt à Verdun, au Bois des Caures, à la tête des 56e et 59e bataillons de chasseurs le 22 février 1916.

    Des gerbes ont été déposées au pied de la plaque commémorative apposé place Colonel-Driant à Nancy, à deux pas de la porte Saint-Georges, par les autorités civiles et militaires en présence des représentants des associations patriotiques et des porte-drapeaux.

    Préfigurant les commémorations et rétrospectives organisées pour le centenaire du début de la Première Guerre mondiale en 2014, une exposition temporaire d'objets et de documents en lien avec Driant et la Grande Guerre dans les environs de Nancy accompagne cette cérémonie dans les locaux des associations patriotiques, place Driant, jusqu'au 24 février inclus (entrée libre).

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    [clichés ©H&PB]

  • Nancy : cure de jeunesse pour Jeanne d'Arc

    La statue équestre de Jeanne d'Arc, due au sculpteur Frémiet, installée rue Lafayette à Nancy, vient de prendre le chemin de l'atelier de restauration.

    Ncy_jeanne d'arc 2012 02.jpgSon état sanitaire général méritait en effet un sérieux coup de rajeunissement. D'ailleurs, les animateurs de l'association Mémoire des Lorrains avaient attiré l'attention de la mairie à l'automne dernier sur cet état de délabrement avancé...

    On doit saluer cette initiative en cette année du 6ème centenaire de la naissance de notre Jeannette. Jehanne devrait retrouver son piédestal pour sa fête, le 13 mai prochain.

    En attendant, Jeanne et son cheval ont quitté la placette à dos... de semi-remorque !

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    [clichés : © H&PB]

  • Un jardin nancéien pour François Nourissier

    Jardin François Nourrissier_16.09.11 004.jpgLorrain de cœur et profondément attaché à Nancy, la ville de Nancy a souhaité rendre hommage à François Nourissier, disparu le 16 février 2011. A l’occasion du Livre sur la Place, le jardin de la bibliothèque municipale, bâtiment de l'ancienne université bâti au XVIIIème siècle par Stanislas, a été baptisé « Jardin François-Nourissier » samedi 17 septembre, en présence de sa famille et de plusieurs académiciens Goncourt.

     

    François Nourissier est né le 18 mai 1927 à Paris de Paul Nourissier, exploitant forestier, né en 1891 à Avocourt (Meuse), et de Renée Heens. Journaliste et écrivain, il fut pendant trente ans membre de l'Académie Goncourt.

     

    Elu à l'Académie Goncourt en 1977 au couvert de Raymond Queneau, il en devient le secrétaire général en 1983 et le président de 1996 à 2002. Il démissionne en 2008 pour des raisons de santé.

     

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    Dévoilement de la plaque à l'intérieur du jardin de la bibliothèque municipale.

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    La plaque dédiée à François Nourissier désormais installée à l'entrée du jardin de la bibliothèque municipale de Nancy.

     

    [cliché © H&PB]

  • Nancy il y a 100 ans

    Nancy.jpgL'album, sympathiquement nostalgique, présente quelque 330 cartes postales d'avant 1930.

    Les images de la cité ducale sont nombreuses : elles ont gravé pour la postérité les mille et un visages de la ville, de ses habitants et des activités urbaines du début du XXe siècle.

    Ces modestes "bouts de carton" offrent aujourd'hui un regard sensible de la ville et un irremplaçable témoignage de la vie d'autrefois.

    Toutes les cartes postales anciennes publiées dans cet attrayant album sont issues du fonds conservé aux archives municipales de Nancy.

    Cet album saura conquérir les nancéiens et tous les Lorrains qui se passionnent pour leur ville-capitale. Et comme le précise André Rossinot, le maire de Nancy, dans sa préface, "ces images concilient l'humain, l'urbain et la mémoire dans une vision vivante et attachante d'un passé récent qui [permettra] de comprendre le présent et d'apprécier l'avenir et les ambitions qui animent Nancy et son agglomération." 

     

    >> Nancy il y a 100 ans en cartes postales anciennes, Fabienne Texier, éditions Patrimoines et Médias, 2010, 164 p. (35 €).

  • Nancy : un Grand Rabbin au Musée Lorrain

    Gilles Bernheim a découvert la remarquable exposition consacrée à l’histoire des juifs en Lorraine à l’occasion de son inauguration au cœur du musée historique de la Lorraine.

     

     

    rabin.jpgGilles Bernheim sait que les collections juives du Musée lorrain, en font une étape privilégiée en France, la seconde après le Musée d'art et d'histoire du judaïsme à Paris. Alors il n'est pas venu seul. Joël Mergui président du Consistoire central de France est là également, comme les présidents de communautés israélites en Lorraine, le nancéien Etienne Heymann, ses homologues de Verdun, Remiremont, Metz, Lunéville ou Epinal, et bien sûr Daniel Dahan, Bruno Fiszon, grands rabbins de Nancy et Metz. « Nancy, jumelle de Kyriat Shmona, assume ses amitiés et ses engagements avec fierté. Lucide avec le passé, vigilante au présent. Nancy est solidaire des inquiétudes qui s'expriment au sein des communautés juives dans le contexte mondial actuel. Nancy est ville des Justes parmi les nations » explique le maire de Nancy.

     

    A Nancy, ville profondément républicaine et laïque (dixit le Dr Rossinot), la visite du Grand Rabbin de France, a résonné comme un symbole : « Le judaïsme, comme les autres religions du Livre, est porteur de valeurs utiles à la République. Dans leurs diversités. Je crois profondément aux valeurs citoyennes de chaque religion. Parmi elles, la générosité et la fraternité me semblent essentielles. Sans doute n'a-t-on pas assez travaillé sur le thème de la fraternité dans notre pays » confie Gilles Bernheim en longeant sur la place, la statue de Stanislas, protecteur des communautés juives, comme le fut plus tard un autre humaniste  - et chrétien - célèbre, l'abbé Henri Grégoire, militant de l'émancipation des juifs. Gilles Bernheim prône un dialogue interreligieux vigilant et respectueux des sensibilités. A Nancy, cité des Lumières et de la tolérance religieuse, le Grand Rabbin de France est venu en ami de toutes les autres confessions.

     

    [d’après l’Est Républicain | 12.06.09]

     

     

    >> Quelques clichés de la cérémonie d’inauguration et de l’exposition présentée au Musée Lorrain…

     

     

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  • Nancy perd la 4ème Brigade aéromobile

    Dernier bal du général gouverneur de la place de Nancy samedi 13 juin, place de la Carrière. En guise d'adieu...

     

    général jumelet.jpgLes hélicoptères militaires français sont presque partout, où la nécessité de déployer une opération extérieure demande la maîtrise de la troisième dimension. Mais ils ne seront plus commandés depuis Nancy : la 4ème Brigade aéromobile quitte la cité de Stanislas, pour rejoindre le Commandement des forces terrestres à Lille. Ce n'est pas vraiment une surprise, même si l'été dernier au moment où Hervé Morin créait le concept de base de défense, le maire de Nancy se voulait encore rassurant. La 4ème BAM n'avait plus à Nancy que son état-major au quartier Kléber et en ville un général-gouverneur, comme il sied aux grandes garnisons. Ce que Nancy, rivale de Metz, n'a jamais vraiment été très longtemps. La « BAM », comme l'appellent les militaires, fait donc les frais de la vague de restructurations militaires, et laisse en Lorraine le 1er régiment d'hélicoptères de combat de Phalsbourg et son homologue d'Etain-Rouvres, le 3ème RHC, à 20 km de Verdun. La 4ème Brigade aéromobile commande aussi pour emploi le 5ème régiment d'hélicoptères de combat de Pau, équipé peu à peu du Tigre.

     

    La perte de la BAM est plus un coup dur pour le prestige militaire de Nancy, que pour le nombre de personnels concernés. En perdant sa Brigade aéromobile, Nancy gardera-t-elle son général et son bal de garnison qui venaient émailler d'étoiles quelques manifestations patriotiques officielles ? Rien n'est moins sûr. D'ailleurs le général Olivier Jumelet a pris les devants en organisant samedi 13 juin, ce qui sera probablement le dernier bal de garnison, dans le prestigieux Palais du gouvernement de Nancy, place de la Carrière.

     

     

     

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    Le palais du Gouverneur à Nancy

     

     

     

    L'aviation légère de l'Armée de terre (ALAT), dont dépend la 4ème BAM est l'arme de la troisième dimension, intégrant à l'espace de manœuvre des troupes au sol, le volume aérien, la lutte anti-char, l'attaque et la destruction dans la profondeur, l'appui feu, le transport de commandos, le renseignement et l'évacuation sanitaire. Les hommes et femmes de la « BAM » de Nancy sont déployés au Tchad, en Afghanistan, au Kosovo, au Gabon... Au cours du dernier bal samedi, quelques tableaux historiques rappelleront les moments valeureux de la Brigade. Devant le Palais du gouvernement, deux hélicoptères Gazelle seront au centre d'un parterre de fleurs aux armes de la Lorraine. Pas une couronne mortuaire géante. Non, juste des adieux dignes. Comme savent les faire les militaires.

     

    [d’après l’Est Républicain | 10.06.09]

  • La Saint Nicolas fêtée chez le Président de la République

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    Un Saint Nicolas en chocolat offert au président de la République par les chocolatiers lorrains

    Avec son colis lorrain gourmand, André Rossinot, le maire de Nancy, n'a pas surpris Nicolas Sarkozy qui recevait en privé la Lorraine à l'Elysée le 5 décembre pour la fête de Saint-Nicolas.

    otto de habsbourg-lorraine.jpgPréparée par un ami lorrain de Nicolas Sarkozy, la rencontre amicale s'est déroulée sous le regard d'Otto de Habsbourg-Lorraine, descendant du dernier duc de Lorraine François III, qui entretient une vraie complicité avec Nicolas Sarkozy. « Otto de Habsbourg est toujours aussi écouté, il incarne à merveille la légitimité de la Lorraine ducale », confie André Rossinot, qu'accompagnait entre autres le nancéien Bernard Guerrier de Dumast. Celui-ci était venu avec un bel ouvrage consacré à Saint-Nicolas-des-Lorrains à Rome, doublé d'une médaille.

     

    A cette occasion, Otto de Habsbourg-Lorraine a appris qu’il était élevé au rang de Grand Croix dans l’Ordre de la Légion d’Honneur. Toutes nos félicitations au nouveau et prestigieux promu, ami de la Lorraine.

     

     

    [clichés syndicat des chocolatiers et Wikipédia]

     

    En savoir plus : http://www.republicain-lorrain.fr/fr/permalien/article.html?iurweb=254120

  • le Prix Stanislas pour la 30ème édition du Livre sur la Place à Nancy

    IL SERA REMIS A NANCY LORS DU 30ème LIVRE SUR LA PLACE LE 21 SEPTEMBRE 2008

    prix stanislas.jpgLe Prix Stanislas est spécialement créé afin de récompenser le meilleur ouvrage français des trente dernières années.

    Après plusieurs semaines de vote du public, le meilleur livre français se verra décerner le Prix Stanislas créé par la Ville de Nancy à l'occasion du 30ème Livre sur la Place qui a lieu traditionnellement en septembre, désormais sur la Place Carrière.

    De nombreux auteurs sont déjà en lice : Le Clézio, Duras, Quéffelec, Nourrissier, Modiano, Claudel, Pennac. Le Prix sera remis par l'invité d'honneur Luc Ferry, philosophe et ancien ministre de l'Education nationale. Et c'est Daniel Pennac qui présidera le Livre sur la Place 2008.

    L'organisation du Prix Stanislas repose sur une sélection conjointe de la Ville de Nancy, du magazine Lire, de l'Est Républicain et de libraires. Les partenaires disposeront des urnes dans lesquelles tout un chacun pourra glisser sa sélection.

    On pourra également voter sur Internet via le site www.lelivresurlaplace.nancy.fr

    Quelle récompense pour les gagnants ? Parmi l'ensemble des participants ayant plébiscité le livre ayant obtenu le Prix Stanislas, il sera procédé au tirage au sort de 30 gagnants. Week-ends à Nancy en TGV, rencontres avec des écrivains, pass-musées sont à gagner.

    A quoi ressemblera le fameux Prix Stanislas ? C'est encore un secret bien gardé... Peut-être le portrait royal du bon roi Stanislas ?

     

    • du 10 juillet au 10 septembre, votez pour le "Prix Stanislas" soit dans L'Est Républicain, soit sur www.lelivresurlaplace.nancy.fr, soit auprès des libraires et partenaires (SNCF, France Bleu, France 3 Lorraine)