Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

séminaire

  • Saint-Sulpice et les séminaires sulpiciens entre 1657 et 1700

    On ne dira jamais assez combien le clergé catholique, en France et au Canada notamment, aura été marqué par la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice à travers la formation dispensée dans les séminaires.

    Fondée par Jean-Jacques Olier (1608-1657), grande figure de l’École française de spiritualité, cette Compagnie entendait travailler ainsi à une réforme de l’Église en profondeur, dans le sillage du concile de Trente. Mais qu’en fut-il durant les années qui suivirent la disparition du fondateur ?

    L'abbé Bernard Pitaud décrit avec précision toute cette histoire et comment, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, la « petite Compagnie », selon le mot même d’Olier, a pris peu à peu la forme d’une institution, avec ses règles, ses coutumes et son esprit. Le mot « esprit » est ici essentiel. Les règles et coutumes ne se sont établies, du moins selon la volonté des successeurs d’Olier, que dans la mesure où elles étaient en conformité avec l’esprit que Monsieur Olier avait voulu insuffler à la Société. 

     

    ‡ Saint-Sulpice et les séminaires sulpiciens entre 1657 et 1700, Bernard Pitaud, éditions Salvator, 2018, 446 p., 24 €.

  • Un Lorrain ordonné sous-diacre à Ecône (Suisse)

    sous diaconat.jpg

    Le groupe des sous-diacres ordonnés à Ecône (Suisse).

     

    Samedi 24 mars 2012, au séminaire international Saint-Pie X d'Ecône, Mgr Bernard Tissier de Mallerais, a conféré le sous-diaconat à sept séminaristes,  dont l'abbé Louis-Marie Berthe, originaire de Nancy, et à un moine capucin.

    L'abbé Berthe marche ainsi dans les pas de son frère, l'abbé Pierre-Marie Berthe, ordonné prêtre en 2009.

  • Un Lorrain ordonné prêtre en Australie

    L’abbé Rémi Picot est ordonné prêtre ce samedi 19 décembre à Goulburn, en Australie.

     

    abbé rémi picot.jpgRémi Picot, né le 20 juin 1982 à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), quatrième enfant de la famille, fut baptisé à Bainville-aux-Miroirs par l’abbé Emmanuel Son, curé de Gripport, près d'Haroué, dans le Saintois. Ce prêtre, fidèle à la doctrine traditionnelle de l’Eglise catholique, eut le jour du baptême de Rémi ce jeu de mots que la famille n’a pas oublié : « Il sera peut-être un Dom Rémi ! »… Formule prémonitoire s’il en est, puisque notre jeune lorrain est appelé, quelques années plus tard, à recevoir le sacrement de l'ordination.

     

    De Lorraine, la famille Picot s'expatria en Anjou où elle demeura cinq ans, le temps de s’agrandir de trois enfants. L’aîné ayant atteint l’âge d’entrer en secondaire, le papa obtint en 1988 sa mutation à Bitche (Moselle). Rémi profita de deux ans d’école à la maison puis entra en classe de Cours Moyen dans une école privée de la région. C’était le début d’une dizaine d’années passées dans cet établissement où il fut un élève discret et appliqué.

     

    Après son baccalauréat, il obtint un DEUG en Histoire et rentra au séminaire. Pendant les vacances, il participa en tant que séminariste à quelques camps de la Croisade Eucharistique en Belgique.

     

    L’abbé Picot sera donc ordonné prêtre au séminaire de la Sainte-Croix à Goulburn, en Australie, ce samedi 19 décembre 2009.