Un ouvrage de Colette Méchin en souscription consacré à la biographie de "Georges Chenet, de l'Argonne à la Syrie, itinéraire d'un archéologue"...
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Un ouvrage de Colette Méchin en souscription consacré à la biographie de "Georges Chenet, de l'Argonne à la Syrie, itinéraire d'un archéologue"...
Le 192ème numéro de L'Echo des Trois Provinces est paru !
Vous y lirez avec intérêt de bons articles sur l'histoire de notre pays d'entre Lorraine, Franche-Comté et Champagne ainsi que des anecdotes et la chronique de la vie dans la région.
Ainsi, vous découvrirez à Fontenoy-le-Château, Nicolas Gilbert le poète malheureux, l'histoire des Suédois lors de la guerre de Trente Ans au Pays des 3 Provinces, châtillon-sur-Saône labellisé "beau village lorrain", les Cahiers de Melle Marchal de Lamarche, Claude François Ducharnoy un médecin d'avant-garde à Vauvillers, le général Marcot de Vauvillers, l'histoire de la cuisine, petites histoires de nos amies les bêtes, le bilan des visites estivales, une taque de cheminée aux armes des ducs de Lorraine, Haute-Marne - Vosges : les résistants du train fantôme, etc.
Nouveau numéro et nouvelle périodicité pour La Nouvelle revue lorraine à compter de ce début d'année : désormais, votre revue préférée paraîtra tous les trimestres (au lieu d'une périodicité bimestrielle), à chaque nouvelle saison : le 25 janvier, le 25 avril, le 25 juillet et le 25 octobre. Et avec plus de pages en couleurs !
Dans le dernier opus, vous découvrirez un riche sommaire (la revue passe à 66 pages en couleurs !) : vous y lirez notamment des articles et anecdotes sur les œuvres statuaires à Pont-à-Mousson, quand le presbytère ferme ses volets, la commanderie Saint-Jean-du-Vieil-Aître à la fin de l'Ancien Régime, le faubourg Saint-Pierre de Nancy, la canicule du Léon, mort d'un prêtre en déportation, le général Antoine Drouot, des contes pour la veillée, René II le duc qui défia le puissant duc de Bourgogne...
‡ Commande et abonnement sur www.nouvelle-revue-lorraine.fr
Plus d'infos et souscription en ligne sur www.societe-histoire-lorraine.com
La fête de la Présentation de Jésus au Temple ou fête de la Purification de la Vierge Marie est célébrée le 2 février, quarante jours après la Nativité de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Cette fête correspond à la présentation de Jésus au Temple (Luc 2, 22-38) : « Et lorsque furent accomplis les jours pour leur purification, selon la loi de Moïse, ils l'emmenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur ».
On célèbre traditionnellement la Chandeleur ce jour-là.
‡ Ce feu qui me dévore, Paul Couturiau, éditions Presses de la Cité, 2018, 380 p., 20 €.
De 1911 à 1975, un acteur lia sa vie au Théâtre du Peuple de Bussang, théâtre familial bâti dans les Vosges et qui, sous l'impulsion de Maurice Pottecher, connut un essor prodigieux. Cet acteur, c'est Pierre Richard-Willm, un artiste complet au destin prodigieux.
Devenu dans les années 1930 une immense vedette du cinéma, il renonça complètement au 7ème art pour succéder à Maurice Pottecher. Cet ouvrage met en lumière la part de l'acteur, metteur en scène, décorateur et costumier dans l'évolution de ce théâtre unique qui ouvrit la voie au TNP de Jean Vilar. L'auteur restitue cet étonnant parcours artistique à partir des archives mêmes du Théâtre du Peuple.
‡ Le théâtre de Bussang au temps de Pierre Richard-Willm. Itinéraire d'un enfant du Théâtre du Peuple, Claire Strohm, éditions L'Harmattan, 2018, 282 p., 28 €.
Vue de la protection en cours d'aménagement sur le site de la villa gallo-romaine de Bulgnéville [cl. J.-M. Lejuste].
Jean-Marc Lejuste nous communique :
"Le projet de couverture de la galerie de façade de la villa gallo-romaine de Bulgnéville (88) prend forme peu à peu et bientôt viendra le moment de gérer sa restauration, sa mise en valeur au sein d'un projet plus vaste qui inclue l'aménagement paysager du site, la mise en valeur (et la couverture) du praefurnium des bains (avec notamment les 2 bassins) et la sauvegarde des objets qui seront dévolus à la commune et bien-sûr l'animation de l'ensemble.
La commune de Bulgnéville ne souhaite pas porter cette phase du projet (elle a déjà financé la couverture de la galerie) et ce n'est pas sa mission, même si elle est prête à nous aider. Depuis fin 2015, l'idée d'une association végétait, mais à présent il faut passer à l'action car des projets à très courts termes nécessitent d'avoir un statut propre, un compte bancaire et des personnes prêtes à s'engager dans l'aventure.
Avant la fin de février 2018, l'association pour gérer le site des Longues-Royes, devra exister afin de montrer à la commune de Bulgnéville qu'elle peut compter sur une association pour faire vivre le site et pour engager la suite. Elle pourrait s'appeler "Association du Domaine de Bulineus" (tiré d'un des noms les plus anciens de Bulgnéville romanisé).
Je consulte actuellement toutes les personnes qui ont témoigné de l'intérêt pour ce site et c'est pourquoi, je me tourne naturellement vers vous pour savoir si certains sont intéressés pour consacrer un peu de temps à ce domaine et, pourquoi pas, au sein du conseil d'administration ou simplement en devenir membre.
Je reste à votre disposition pour recueillir vos impressions et éventuelles propositions. Karine Boulanger, de l'Inrap, nous accompagne déjà dans ce projet et nous aidera à rendre ce site pédagogique et compréhensible. Une assemblée générale constitutive sera prochainement organisée à Bulgnéville.
Un grand merci d'avance à ceux qui m'accompagneront dans la mise en valeur d'une partie d'un domaine gallo-romain qui était voué à la destruction totale. C'est une belle aventure que de transmettre une page d'histoire."
A l'occasion de la fête liturgique de la Purification de la Très Sainte Vierge Marie le 2 février 2018, il y aura bénédiction des cierges et messe en l'église Marie-Immaculée à Nancy (33 avenue Général Leclerc) à 18h30 selon le rite extraordinaire de l'Eglise.
Après plusieurs jours d'intenses recherches et sondages de la Saône pour retrouver Denis Granget, un septuagénaire domicilié à Attigny, disparu lundi 22 janvier, la famille a décidé de lancer des avis de recherche sur le secteur.
Les gendarmes et bénévoles qui ont patrouillé le secteur de Darney-Attigny durant plusieurs jours afin de retrouver les traces de Denis Granget n'ont pas donné lieu à des résultats probants.
Les membres de la famille ont décidé de distribuer des avis de recherche dans les sociétés de chasse et de pêche dans un rayon de 20 km autour d'Attigny. Les commerces afficheront également un signalement du disparu.
Toute personne en mesure d'apporter des renseignements sur cette disparition peut le signaler à la gendarmerie la plus proche.
Reliquaire de saint Sigisbert, chapelle des Cordeliers, Nancy [cl. ©H&PB].
Nancy fête son saint patron, saint Sigisbert, roi d'Austrasie, ce dimanche 28 janvier.
La messe sera célébrée en l'église Marie-Immaculée, 33 avenue Général Leclerc, ce 28 janvier à 10h30 selon la forme extraordinaire de l'Eglise catholique.
Saint Sigisbert, priez pour les Nancéiens !
Le bulletin municipal de Bleurville pour 2017 est sorti.
Au sommaire :
- l'éditorial du maire
- l'état civil de la commune
- le départ à la retrait de Françoise Roussel, la secrétaire de mairie
- les travaux communaux
- la gestion de l'eau
- Bleurville en 1901
- le repas des anciens
- les 20 ans du marché bio'
- la vie des associations
- l'été à Saint-Maur
- les activités des écoles
- les "oubliés" de la Grande Guerre
- la vie du village
- focus sur la pyrale du buis
- les oiseaux de nos campagnes vosgiennes
- les relevés météorologiques 2017 à Bleurville
‡ Le bulletin municipal 2017 est disponible en mairie de Bleurville.
Les combats d’octobre et décembre 1916 ont permis de reprendre les forts de Douaumont et de Vaux, mais sur la rive gauche de la Meuse, les Allemands disposent encore des excellents observatoires que constituent la cote 304 et le Mort-Homme.
Lorsque le général Pétain, devenu commandant en chef des armées françaises en mai 1917, s’efforce de redresser le moral de l’armée française, il prépare des offensives à objectifs limités qui doivent permettre d’offrir des victoires symboliques. Quoi de plus symbolique que de remporter une victoire éclatante sur le champ de bataille de Verdun ? Psychologiquement, il s’agira d’une double victoire : un succès destiné à restaurer le moral de la troupe, qui verra qu’avec des attaques méticuleusement préparées, elle peur renouer avec des victoires qui, pour la première fois depuis le début de la guerre, seront peu coûteuses en vies humaines ; et aussi, un succès humiliant pour l’armée allemande, qui perdra ainsi les derniers gains si chèrement obtenus en 1916.
L’offensive française est lancée le 20 août 1917, de part et d’autre de la Meuse, avec quatre corps d’armée soutenus par une très puissante artillerie. Dès le premier jour, presque tous les objectifs sont conquis, même si le succès est parfois coûteux. Seule la cote 304 résiste, mais elle tombe dès le 24 août. Il s’agit de la première grande victoire française depuis les échecs du Chemin des Dames et son retentissement est énorme, aussi bien pour la population française que pour l’armée, qui reprend confiance en sa valeur, en son armement, en ses chefs.
‡ Tranchées, Hors-série 13, Verdun 1917. La reconquête. A commander sur http://www.tranchees.fr
La bataille de Metz, qui se déroule de septembre à début décembre 1944, reste relativement méconnue du grand public. Pourtant, pendant trois mois, des forces allemandes très inférieures en nombre et en armement retiennent le XXe US Army Corps.
Souvent éclipsée dans les livres par la bataille de Dompaire ou la prise de Nancy, la libération de Metz a pourtant eu un grand impact sur l’histoire militaire américaine. En témoignent les études faites sur le franchissement de la Moselle et la reconquête du fort Driant, durant lesquels l’armée américaine a particulièrement souffert et dont les enseignements ont été longtemps transmis aux élèves officiers américains, en particulier à West Point.
À travers des cartes et de nombreuses photos d'époque, cet ouvrage retrace la progression américaine depuis la traversée de la Moselle jusqu’à la capitulation du dernier fort, en s’attachant principalement au déroulement des événements, mais aussi aux erreurs et succès de chaque camp.
‡ La Bataille de Metz 1944, Yoann Marlière, Ysec éditions, 2017, 166 p., ill. et cartes, 24,50 €.
Le conflit mondial de 1914-1918 ouvre tragiquement le XXe siècle.
Sondant les mentalités, l'action des chefs comme des humbles, des civils comme des militaires, interrogeant les attitudes de ceux qui décident, autant que de ceux qui vivent la guerre dans le froid des usines ou dans la boue des tranchées, François Cochet, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Lorraine, englobe toutes les dimensions de ce conflit total.
Synthèse d'ampleur refusant de céder à une lecture partisane et exclusivement hexagonale, l'ouvrage répond ainsi à toutes les questions sur cet affrontement dantesque.
Ce livre demeure la meilleure synthèse disponible sur ce qui fut la première hyperguerre. Menée selon une démarche d'historien, elle permet de comprendre cette période charnière.
‡ La Grande Guerre, François Cochet, éditions Perrin, coll. Tempus, 2018, 576 p., 11 €.
Le dernier numéro du Pays Lorrain pour 2017 présente un riche sommaire autour de l'histoire de la Lorraine et de son patrimoine :
- la lance d'apparat de Cutry, future œuvre-phare du Musée lorrain ?
- jean de Vouthon, l'oncle de Jeanne d'Arc
- le château de Saint-Baslemont au XVIIIe siècle : entre sommeil et mutations
- l'académie de Lunéville, miroir des relations diplomatiques entre la Lorraine et la Grande-Bretagne (1715-1737)
- commerce et commerçants à Toul à la veille de la Révolution
- d'une châsse à l'autre, les tribulations de saint Sigisbert, patron de la ville de Nancy
- la constitution de la première liste de monuments historiques (1840) dans les départements de la Meuse, de la Moselle et des Vosges
- à Nancy, legs et héritages des hydro systèmes de défense et actuels projets de ville
‡ Le Pays Lorrain est disponible sur abonnement (43 €, 4 numéros) en adressant son règlement à : Le Pays Lorrain, Palais des Ducs de Lorraine - Musée lorrain, 64 Grande-Rue, 54000 Nancy.
Émergeant de la brume, des silhouettes casquées et grisâtres franchissent l'Ailette et s'emparent des crêtes du Chemin des Dames, sévèrement bombardées les heures précédentes. Trois jours plus tard, les Allemands atteignent la Marne et menacent Paris, comme à l'été 1914.
Surpris, le commandement français doit improviser pour endiguer coûte que coûte la déferlante que personne n'attendait sur cette portion du front. La bataille se raidit sur l'aile droite de l'offensive allemande et Soissons devient rapidement une charnière pouvant ouvrir la route vers Paris. Stationnée à Saint-Dié dans les Vosges, la 170e division d'infanterie est en manœuvre dans la forêt de Compiègne lors de ces événements. La « p'tite dernière » de l'armée française est aussitôt jetée dans la fournaise à Soissons…
Avec "La dernière division", l'auteur, s'appuyant sur les archives officielles et les écrits inédits laissés par les protagonistes dont il a retrouvé les familles à l'issue de longues recherches, vous fait revivre heure par heure un épisode méconnu de l'histoire qui aurait pu modifier le cours de la guerre, à un moment où les Allemands bénéficiaient de la supériorité numérique, juste avant que les Américains n'entrent en lice. Vous découvrirez comment l'un des secteurs les plus emblématiques du Chemin des Dames a si facilement été reconquis, puis vous suivrez la 170e division dans la Cité du vase et sur les rives de l'Aisne, tout en faisant connaissance avec des hommes dont l'histoire avait déjà retenu les noms, comme l'aspirant Louis Jaurès, fils du parlementaire socialiste Jean Jaurès assassiné le 31 juillet 1914, ou le lieutenant Léon Forzinetti dont le père fut le tout premier défenseur du capitaine Dreyfus.
« Sacrifiée », la 170e division a payé le prix fort avec la perte de plus du tiers de ses effectifs et une ingratitude du commandement qui releva ses chefs parce qu'elle avait été contrainte de reculer sans pour autant concéder la victoire à l'adversaire. Or, cette résistance opposée jour et nuit durant une semaine a sans doute permis au général Foch de s'organiser et de rassembler les forces nécessaires pour lancer une contre-attaque victorieuse, celle qui débouchera sur l'armistice quelques semaines plus tard…
‡ La dernière Division. Sacrifiée à Soissons pour sauver Paris (27 mai - 5 juin 1918), Patrick-Charles Renaud, éditions Grancher, 2018, 250 p., ill., 20 €.
Pour le Meusien Michel Bernard, dans Le Bon Cœur, l'histoire de Jeanne d'Arc commence par une gifle ; celle que le sire de Baudricourt, excédé, qui tient encore un minuscule territoire en bord de Meuse dans une France presque entièrement occupée par les Anglais, donne à la jeune paysanne... Elle vient pour la deuxième fois lui demander des soldats afin de rétablir le roi sur le trône. Jeanne n'est pas folle, ce serait trop simple et le sire de Baudricourt le sait. Mais il sait aussi que cette époque de troubles est propice aux illuminés et aux faux prophètes. Pourtant, il finira par céder, comme tant d'autres après lui, à la volonté de cette étrange jeune fille "grande, carrée d'épaules, bien campée sur ses jambes, le visage ouvert, les yeux vifs, le regard profond".
Michel Bernard, en Barisien, avait quelques raisons de s'intéresser à la figure la plus célèbre des personnages historiques français. Jeanne concentre les grands thèmes de son œuvre littéraire, elle incarne "le corps de la France", un corps que l'on croit détruit qui ressuscite sans cesse.
Le Bon Cœur n'apportera pas de révélations scandaleuses ou d'hypothèses hasardeuses sur Jeanne d'Arc. L'ambition romanesque de l'auteur est ailleurs : tout son talent est de nous faire revivre cette histoire que l'on connaît ou que l'on croit connaître, tel un chroniqueur du XVe siècle. Il chante à merveille les paysages traversés avec un lyrisme discret et les batailles gagnées ou perdues avec une manière d'étonnement calme pour que Jeanne nous apparaisse comme elle est apparue à ses contemporains : évidente et insaisissable.
Le Bon Cœur est un roman d'une voix, celle d'une paysanne du Barrois de 17 ans qui retint le royaume de France sur le bord de l'abîme, le sauva et en mourut. Elle changea le cours de l'histoire en réveillant dans le cœur usé des hommes la force de croire et d'aimer.
‡ Le Bon Cœur, Michel Bernard, éditions La Table Ronde, 2018, 240 p., cartes, 20 €.
Messe pour le repos de l’âme du roi Louis XVI
Dimanche 21 janvier 2018 à 10h30
Eglise Marie-Immaculée
33 avenue du général Leclerc à Nancy
(messe selon le rite extraordinaire de l'Eglise catholique)
Au soir du 5 janvier, en la vigile de l'Epiphanie, les Lorrains ont commémoré le 541ème anniversaire de la Bataille de Nancy (1477-2018) au pied de la Croix-de-Bourgogne à Nancy, sur les lieux mêmes où fut retrouvé le corps de Charles le Téméraire le lendemain de la bataille.
Après la harangue prononcée par Jean-Marie Cuny, initiateur du renouveau de la fête nationale des Lorrains en 1977, un feu d'artifice fut tiré, et le vin chaud et le pain d'épices furent joyeusement partagés.
Vive la Lorraine !
Nicolas Blandin est journaliste dans un quotidien parisien. Sa direction l’envoie en Meuse au début de septembre 1915. Il doit rédiger des chroniques hebdomadaires sur les combats qui se déroulent dans ce département et sur la situation des populations qui subissent les affres de la guerre. A cet effet, Nicolas Blandin parcourra la Meuse non occupée pendant plus d’un an, interrogera des militaires, gradés et soldats, des responsables civils… Il découvrira parfois des personnalités étonnantes, des dévouements émouvants mais aussi, le plus souvent, des hommes et des femmes sublimes dans la simplicité de leur quotidien. Le stoïcisme de ceux-ci doublé d’une abnégation hors du commun ressemble à de l’héroïsme. Les Meusiens rencontrés en ville et à la campagne et les soldats rencontrés au front ou à l’arrière attirent l’admiration du journaliste. Il ne cessera durant ces cinquante et une chroniques de leur rendre un vibrant hommage.
Multipliant recherches et documentation, l’auteur s’est passionné pour le personnage fictif de Nicolas Blandin, né de son imagination et de la volonté du Conseil départemental de la Meuse commémorant les années du centenaire de la Grande Guerre.
‡ Les Chroniques de Nicolas Blandin, Xavier Pierson, Dacres éditions, 2017, 170 p., 12 €.