Notre histoire - Page 109
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Nancy offre une place au duc Charles III
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8 mai 2011 à Paris : hommage national à Sainte Jeanne d'Arc
‡ Plus d'info sur www.civitas-institut.com
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Epinal : colloque "Vosges, terre de tourisme" aux ADV les 10 et 11 mai
>> Inscrivez-vous en renvoyant ce bon : inscription colloque ADV.pdf
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Sur les traces de Charles de Foucauld en Lorraine
Ce sympathique livret est le fruit du travail d'un groupe de Lorrains qui ont voulu en savoir plus sur un de leurs compatriotes et mieux le faire connaître. Nous voulons parler du Père Charles de Foucauld.
Les auteurs nous convient à un parcours "initiatique" sur les pas de Charles de Foucauld. Avec lui, le lecteur refait le voyage en Lorraine, visite les lieux où l'ermite de l'Atlas a vécu sa prime jeunesse puis son adolescence. De Mirecourt à Pont-à-Mousson en passant par Nancy, Lunéville, Plombières-les-Bains, Gérardmer et Saint-Dié, nous suivons pas à pas le Père de Foucauld dans sa famille et chez ses amis.
Cette brochure présente plusieurs photos d'époque, des extraits d'écrits et des prières attribués à Charles de Foucauld. Elle aidera chacun à découvrir sa personnalité complexe : adolescent doué très attaché à sa famille, jeune officier souffrant du désaveu de celle-là même qui l'a mis sous tutelle, missionnaire cherchant moins à convertir qu'à aimer, fondateur d'une famille spirituelle qui n'a vu aucun disciple de son vivant et, enfin, géographe, linguiste et ethnologue reconnu.
Un vrai pèlerinage pour guider nos pas dans un itinéraire humain et spirituel étonnant.
‡ Sur les traces de Charles de Foucauld en Lorraine, collectif, 2011, ill. (5 €).
‡ Pour commander le livret, utilisez le bon de commande ici : commande charles de foucauld en lorraine.pdf
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Joyeuses et saintes fêtes de Pâques !
Resurrection, Fra Angelico (XVe s.)
Resurréxi, et adhuc tecum sum, allelúia : posuísti super me manum tuam, allelúia : mirábilis facta est sciéntia tua, allelúia, allelúia.
[Introït de la messe du dimanche de Pâques]
[Je suis ressuscité, et je suis encore avec Vous, Alléluia !
Vous avez posé votre main sur moi, alléluia !
Votre sagesse a fait des merveilles, alléluia, alléluia !]
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Domremy : restauration du monument de la basilique du Bois-Chenu
Depuis 1894, un monument sculpté en marbre et bronze représentant Jeanne d’Arc écoutant ses voix s’élève sur l’esplanade de la basilique du Bois-Chenu. Œuvre du sculpteur André Allar, il avait été commandé par le diocèse de Saint-Dié pour marquer la première étape de l’ambitieux chantier de construction de la basilique, qui devait durer 45 ans.
Exposé aux intempéries et à la pollution, le monument a gravement souffert : avec d’importantes dégradations des matériaux, des déplacements successifs et des modifications de son agencement, il a aujourd’hui perdu son sens et sa puissance originelle. Un important chantier de restauration engagé au printemps en 2011 devrait permettre de préserver les vestiges de l’œuvre d’origine et restituer la lisibilité du monument.
En parallèle aux travaux de nettoyage et restauration conduits sur place par l’atelier de restauration Anne-Cécile, une exposition-dossier au Centre Visages de Jehanne à Domremy rappelle l’histoire de l’œuvre et présente les enjeux de sa restauration.
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La sorcière de la Vologne
Ce livre n'est pas une oeuvre d'imagination. C'est l'histoire d'une femme qui recherchait le bien de ses semblables à une époque où guerres et épidémies répandaient leur cortège de malheurs, où le fantastique imprégnait les réalités quotidiennes, où les savoir-faire féminins tuaient souvent aussi.
Claudette Clauchepied est mort brûlée vive sur un bûcher à Bruyères, dans les Vosges, le 4 avril 1601. Elle allait avoir 66 ans.
Construit une base archivistique solide, ce récit ouvre au lecteur le monde des campagnes lorraines. Il dévoile des comportements et des façons de penser authentiques. Le parler est réellement celui des gens du XVIe siècle et non un discours contemporain remanié en fonction d'hypothèses. Préservée des clichés et des déformations folkloriques, la vie de Claudette Clauchepied révèle les racines d'une violence qui a longtemps secoué les communautés rurales. Son procès le montre amplement. Il peut d'ailleurs être consulté aux archives départementales de Meurthe-et-Moselle à Nancy.
>> La sorcière de la Vologne. Le destin d'une guérisseuse du XVIe siècle, Jean-Claude Diedler, Les éditions de Paris/Max Chaleil, 304 p. (20 €).
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A la découverte du Centre de la préhistoire de Darney (Vosges)
[Vosges Matin]
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Combat pour la sauvegarde de l'institution Saint-Joseph de Laxou
[Vosges Matin]
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Clairlieu, empreinte d'une abbaye
L'auteur, le Père Paul-Christian Grégoire, propose à ses lecteurs une agréable monographie sur l'histoire de l'abbaye cistercienne de Clairlieu.
Etablie sur le territoire de Chaligny, à une quinzaine de kilomètres au sud de Nancy, depuis 1151, les moines cisterciens de l'abbaye comtoise de Bithaine, huitième fille de Morimond, seront invités en 1159 par le duc Mathieu Ier de Lorraine à construire sur son fief de Villers-lès-Nancy au lieu-dit Amelum une abbaye qui prit le nom de Clairlieu. De moyenne importance, ce monastère est tombée en commende pendant une soixantaine d'années à la fin du XVIe siècle. Mais, dès le début du siècle suivant, la fondation religieuse eu la bonne fortune d'être gouverné par dom Jean Martin, un abbé exceptionnel fort estimé dans l'Ordre.
Le champenois Jean Savine, à l'invitation de l'abbé Martin, installa une imprimerie à Clairlieu. L'abbé disparu, l'abbaye a été entraînée dans les hostilités entre la France et la Lorraine, et elle connut des heures dramatiques. La Révolution l'a définitivement effacée du paysage religieux lorrain.
Quelques restes du monastère ont été dégagés et mis en valeur dans un parc archéologique à proximité du lotissement moderne qui perpétue désormais depuis 1970 le souvenir de cette vieille abbaye cistercienne lorraine.
‡ Clairlieu. Empreinte d'une abbaye, Paul-Christian Grégoire, éditions Serpenoise, 2011, 115 p., ill. (12 €).
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Révélations sur l'histoire de la station thermale de Vittel
CAUSERIE DU CERCLE D'ÉTUDES DE VITTEL
JEUDI 21 AVRIL 2011 - 20h30
SALLE DE L'ALHAMBRA – VITTEL
ENTRÉE GRATUITE
1850 – 1860 NAISSANCE DE LA STATION THERMALE DE VITTEL
Par Gilou SALVINI,
Président du Cercle d’études locales de Contrexéville
Ce n'est pas à une énième présentation de l'historique de la station thermale à laquelle vous invite Gilou Salvini ; il vous propose de véritables révélations et des détails inédits.
On croyait qu’une grande partie des documents se rapportant aux origines de la station thermale avait été égarés ou détruits. Or, Gilou Salvini a mis la main aux Archives départementales des Vosges sur plusieurs dossiers qui n'ont pas tous été exploités. Ils ont permis de documenter et d'éclairer de nombreux points importants de cette histoire comme, par exemple : Bouloumié, est venu en cure à Contrexéville pour la première fois en 1850, et non en 1852, qui fut l'année de sa troisième cure ; en 1852, le mirecurtien Charles Pommier, analysait l'eau de la source Gérémoy de Vittel, pour une thèse soutenue en 1853 et publiée en janvier 1854 ; Bouloumié a acheté deux sources en 1854, l'une le 13 décembre à Vittel, l'autre le 24 décembre à Mandres-sur-Vair ; comment lui est venue cette idée d'acheter des sources d'eau minérale pour les exploiter ; qui était Charles Rifflard, et pourquoi a t-il vendu le terrain de Vittel avec la source ; les fiches de police concernant Bouloumié et les mentions de sa présence à Contrexéville ; Bouloumié a inventé un ingénieux système destiné à embouteiller l'eau minérale ; la généalogie des Bouloumié, due à Guy de la Motte-Bouloumié, déposée aux ADV, etc.
‡ Plus d'infos : Vittel_Conf.pdf
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Georges Claude, un génie vosgien oublié
[L'Abeille]
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Fête des Rameaux
Bénédiction des rameaux lors de la messe à la paroisse Notre-Dame de la Saône
(cliché © H&PB, 2011).
Occúrrunt turbæ cum flóribus et palmis Redemptóri óbviam : et victóri triumphánti digna dant obséquia : Fílium Dei ore gentes prǽdicant : et in laudem Christi voces tonant per núbila : Hosánna.
[Antienne de la procession des Rameaux]
Des foules viennent au-devant du Rédempteur avec des fleurs et des palmes ; elles rendent un digne hommage à ce vainqueur triomphant. Les gentils publient la grandeur du Fils de Dieu et l’air retentit d’acclamations à la gloire du Christ : Hosanna !
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Grand (Vosges) : réouverture du site gallo-romain
[L'Abeille]
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Au musée d'Hennezel (Vosges) : Exposition "Xavier-Alphonse Monchablon, peintre d'histoire et portraitiste"
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Notule historique : les filles de saint Pierre Fourier à Châtel-sur-Moselle
Saint Pierre Fourrier
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33ème pèlerinage Domremy-Vaucouleurs : 14 et 15 mai 2011
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Xavier-Alphonse Monchablon au musée d'Hennezel-Clairey
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Sur les pas d'Emile Badel
Comment, vous êtes Lorrain et vous ne connaissez pas Emile Badel, le "barde lorrain" ? Et bien, il existe une association qui se propose de promouvoir l'oeuvre d'Emile Badel qui, rappelons-le, est né à Saint-Nicolas-de-Port en 1861, et fut un écrivain et un historien de la Lorraine. Il est décédé à Bayon le 6 décembre 1936, jour de la Saint-Nicolas.
Après avoir été bibliothécaire à Nancy puis professeur de lettres et d'histoire à l'Ecole professionnelle de l'Est (actuel lycée Loritz), il devint en 1910 secrétaire de la rédaction de L'Est Républicain. Il collabora à de nombreux autres journaux et couvrit notamment en 1909 l'Exposition internationale de l'Est de la France à Nancy.
Il consacra plus d'une centaine d'ouvrages à l'histoire de Saint-Nicolas et de la Lorraine à laquelle il était très attachée. Citons en particulier Les Grands Jours de Saint-Nicolas, ses dictionnaires des rues de Saint-Nicolas-de-Port et de Nancy, ses études sur les saints et édifices religieux de Lorraine, ses travaux sur Jeanne d'Arc, ses paysanneries...
Bref, vous pouvez adhérer à l'association Sur les pas d'Emile Badel qui vous fera découvrir ce grand Lorrain grâce à la publication de deux bulletins annuels, des promenades commentées sur les pas de Badel et d'autres manifestations.
‡ Renseignements : Association Sur les pas d'Emile Badel, 35 rue Jolain, 54210 SAINT-NICOLAS-DE-PORT | Tél. : 03.83.48.51.20. | Mail : surlespasdemilebadel@yahoo.fr
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Domrémy : journée d'études "Représenter et dire sa foi : images et identités religieuses"
Sous l'égide du Conseil général des Vosges et du Site de Domrémy et du Centre départemental de documentation pédagogique des Vosges, une journée d'études dirigée par Laurent Jalabert, de l'Université de Nancy 2, et Philippe Martin, de l'Université de Lyon 2, est organisée dans le cadre des Mercredis du patrimoine le :
mercredi 20 avril 2011
de 10h00 à 18h00
au Centre Visages de Jehanne
à Domremy-la-Pucelle
Des communications seront présentées par Magali Delavenne, Claude Faltrauer, Fabienne Henryot, Laurent Jalabert, Fabienne Jagou, Philippe Martin et Stefano Simiz.
Consultez le programme de la journée d'étude ici : programme _Images et identités religieuses.pdf
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Les rendez-vous 2011 de Saône Lorraine
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Pont-à-Mousson : Journées d'histoire régionale "La Lorraine religieuse"
L'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson accueillait les 9 et 10 avril les 6èmes Journées d'histoire régionales sur le thème de "La Lorraine religieuse".
Organisées par le Comité d'histoire régionale, ces Journées rassemblaient une soixantaine d'acteurs associatifs qui contribuent tout au long de l'année à populariser l'histoire de la Lorraine auprès du grand public.
Durant ce week-end, les associations lorraines ont dévoilé les multiples facettes des rites religieux qui ont marqué - ou qui marquent encore de nos jours - l'espace public lorrain, notamment par l'édification de nombreux sanctuaires comme les cathédrales, églises, chapelles, temples ou synagogues jusqu'aux monuments plus modestes comme l'art funéraire, la statuaire...
Accueillie amicalement sur le stand des associations Mémoire des Lorrains - Pèlerins de Lorraine animées par Jean-Marie Cuny, l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville a présenté le site de l'ancienne abbatiale bénédictine du village ainsi que le musée de la piété populaire et ses activités aux nombreux visiteurs de ces deux journées.
Ces Journées furent inaugurées par Thibaut Villemin, vice-président du Conseil régional de Lorraine chargé de la culture, Henri Lemoine, maire de Pont-à-Mousson, et Jean-Luc Demandre, animateur du Comité d'histoire régionale.
Rappelons que l'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson a été édifiée dès 1705. D'inspiration classique, c'est l'architecte Thomas Mordillac qui en posa la première pierre et elle fut achevée par Nicolas Pierson. Elle laisse un bel exemple de style baroque d'une sobriété très marquée. L'abbaye présente des éléments architecturaux remarquables : trois escaliers rond, carré et ovale, un cloître ceint de trois galeries sur lesquelles s'ouvrent les salles historiques dont l'intéressante salle du Chauffoir avec ses voûtes en anse de panier.
L'abbaye Saint-Maur de Bleurville... entre drapeau lorrain et bannière de Sainte Jeanne d'Arc.
[clichés H&PB]
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Vandoeuvre-lès-Nancy : une église va devenir… un temple du commerce
L’église Saint-François d’Assise de Vandoeuvre-lès-Nancy, construite dans les années 60, va être vendue à un promoteur immobilier qui veut en faire un centre commercial.
L'économe du diocèse de Nancy & de Toul, Michel Petitdemange, explique : "Nous avons mise en vente cette église Saint-François d'Assise en 2007, car il y a eu une évolution de la pratique religieuse et du quartier : aujourd'hui, seule une petite centaine de fidèles s'y rendent, alors qu'elle peut accueillir plus de 700 personnes".
Ni la commune, ni la communauté urbaine du Grand Nancy ne souhaitant reprendre l'édifice, un promoteur a acheté l'ensemble pour 1,3 M€. Le diocèse s'est assuré que le projet commercial ne concernait "ni un bar, ni une salle de jeux, ni un commerce illicite du corps ou de l'esprit", a souligné l'économe.
Les fidèles de Saint-François d'Assise pourront toutefois continuer à se rendre dans la chapelle attenante au bâtiment pendant quelques mois, l'ensemble n'étant pas encore désacralisé.
Une autre église du diocèse, à Mont-Saint-Martin, est également à vendre.
[source : La Croix]
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Des Darnéens célèbres
[Vosges Matin]
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Le saint lorrain du mois : saint Don (ou Donat)
Les bords de la Meurthe, sur le territoire de Dombasle, au delà de Saint-Nicolas-de-Port, furent encore troublés du sang d’un martyr, à l’époque de l’irruption des Vandales, dans les Gaules, c’est-à-dire, vers l’an 406.
Ce martyr est saint Don ou Donat dont les Actes sont perdus. Quelques particularités seulement, concernant l’état, les miracles et le culte de ce bienheureux, se retrouvent dans un titre qu’Henri de Lorraine, évêque de Toul, expédia au profit de l’abbaye touloise de Saint-Mansuy. D’après ce document rédigé sur d’anciennes traditions : pervenit ad notitiam nostram, Donat était ermite, d’une éclatante vertu. Appréhendé par une troupe de Vandales, en présence desquels il confessa courageusement sa foi, ces cruels païens le percèrent d’une grêle de traits, tout près du grand chemin où son corps reçut la sépulture. Les miracles qui s’opérèrent au tombeau du saint martyr y attirèrent une foule de pèlerins. Il est surtout fait mention d’une femme aveugle depuis plusieurs années, laquelle y ayant recouvré la vue, fit élever une petite chapelle qui subsista jusqu’au temps de Thierry de Dombasle. Ce seigneur la rétablit dans un état plus décent et la fit consacrer par Pibon, évêque de Toul, vers l’an 1170.
Un autre seigneur de Dombasle, nommé Vidric, avait déjà fondé le prieuré de Saint-Don que Thierry fit accepter à l’abbé de Saint-Mansuy, alors nommé Théodoric. Les guerres qui désolèrent la Lorraine, obligèrent les successeurs de cet abbé, à transférer dans leur abbaye les reliques de saint Donat. Le prieuré élevé en son honneur, était déjà détruit en 1710 : une simple croix marquait remplacement qu’il avait occupé.
La fête liturgique de saint Don est célébrée le 7 avril.
[source : http://www.introibo.fr/Saint-Don-martyr]
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Archéologie et détecteurs de métaux : halte au pillage !
Le patrimoine national connaît une menace sans précédent dans son histoire. Même si cela sonne comme une évidence, il faut rappeler que les données archéologiques représentent une ressource finie qui n’est donc pas inépuisable et que la recherche des objets archéologiques en tant que telle n’est pas une fin en soi.
Il est urgent de renforcer la vigilance à tous les niveaux pour préserver ce qui peut l’être encore. Comme dans d’autres pays du monde, la lutte contre la détection illégale représente en France un enjeu majeur pour la préservation du patrimoine archéologique et historique.
Le Conseil national de la recherche archéologique vient de rendre son rapport sur les liens entre l'utilisation des détecteurs de métaux et le pillage des sites archéologiques. Il préconise notamment l'immatriculation et l'enregistrement des détecteurs de métaux, un renforcement de la législation destinée à protéger les sites archéologiques connus et non connus et l'élaboration d'une recommandation européenne sur la problèmatique du pillage des sites archéologiques.
>> Accès au rapport du CNRA en cliquant sur ce lien : cnra_rapport_ddm_2011.pdf
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La place de l'Arsenal à Nancy
[Vivre Nancy | 26 mars-8 avril 2011]
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Haute-Marne 1900 vue par ses photographes
Pour le plaisir des yeux, Bruno et Jean-Michel Théveny proposent un nouveau voyage au début du XXe siècle avec les plus beaux clichés des meilleurs photographes haut-marnais.
Ils sont nombreux à nous avoir laissé de remarquables témoignages photographique : de Lucien Merger à Hortes, auquel un important chapitre est consacré ici, à Abel Maugras de Bourbonne-les-Bains, en passant par les éditeurs Alexandre Gauthier à Saint-Dizier, Alphonse Pourtoy à Chaumont, ou Paul Mongin à Langres. Beaucoup faisaient aussi de la photo par passion comme Léon Fyot à Farincourt ou Léon Aubry à Aubepierre-sur-Aube. Quand à Louis Guillemin, il assista à l'atterrissage du Zepplin L49 à Serqueux, à quelques kilomètres de Bourbonne, en 1917. N'oublions pas les nombreux prêtres qui saisissaient leurs fidèles ou les cérémonies religieuses sur papier photo : l'abbé Lassalle à Genevrières, l'abbé Chaumette à Malroy, ou encore l'abbé Haquin à Illoud qui immortalisa les célèbres Tantaloches du Bassigny, mi-bohémiens, mi-vanniers.
Avec près de 350 clichés, cartes postales et documents anciens, l'ouvrage invite le lecteur à redécouvrir cette Haute-Marne à la Belle Epoque... et le Bassigny si proche de la Lorraine historique.
>> Haute-Marne 1900 vue par ses photographes, Bruno et Jean-Michel Théveny, éditions Dominique Guéniot, 2011, 255 p., ill. (34 €).
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Félix Maréchal (1798-1871), médecin et maire de Metz
Félix Maréchal meurt d'épuisement le 29 mars 1871, quelques mois après le blocus prussien, et alors que Metz s'apprête à passer sous souveraineté allemande. Mais cette grande figure de la bourgeoisie messine laisse derrière elle un héritage considérable.
Médecin du privé comme du public, l'homme s'implique dans la vie associative et devient un notable. Ce statut et son engagement aux côtés des républicains libéraux de 1830 lui ouvrent les portes de la politique. Conseiller municipal de Metz sous la monarchie de Juillet, il siège au conseil général de la Moselle, qu'il préside pendant plusieurs années sous la Seconde République et, surtout, il est nommé à l'hôtel de ville sous le Second Empire.
Maire de 1854 à 1871, avec un mélange de savoir-faire, d'opportunisme et de pragmatisme, il s'efforce de moderniser et de développer Metz. Par son parcours et son action, il s'identifie à cette ville où son empreinte est toujours bien réelle.
Un personnage et une passion messine que Bernard Desmars nous fait découvrir dans cet ouvrage.
L'auteur, Bernard Desmars, est maître de conférences en histoire contemporaine à l'Université de Metz et spécialiste de l'histoire sociale du XIXe siècle.
>> Félix Maréchal (1798-1871). Médecin et maire de Metz, Bernard Desmars, éditions Serpenoise, 2011, 263 p. (20 €).
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La fontaine Stanislas à Plombières-les-Bains
[Vosges Matin]