Notre histoire - Page 112
-
Le clergé vosgien pendant la Révolution
-
Saint-Nicolas-de-Port : samedi 4 décembre, 765ème procession en l'honneur de Saint Nicolas
Saint Nicolas (XVIIIe s.), basilique de Saint-Nicolas-de-Port (54).
Samedi 4 décembre 2010
à 20h30
en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port
765ème procession ancestrale en l'honneur de Saint Nicolas, patron des Lorrains
Un grand moment de ferveur populaire à ne pas manquer !
-
Sampigny (Meuse) : 350ème anniversaire de la disparition d’Henriette de Lorraine
Dimanche 21 novembre, le bourg meusien de Sampigny commémorait le 350ème anniversaire du décès de la princesse Henriette de Lorraine. Au fait, qui était cette princesse ?
Henriette de Lorraine (1605-1660) était la fille de François, comte de Vaudémont, troisième fils du duc Charles III et de Claude de France. Elle fut d'abord appelée Henriette de Vaudémont, et devint la princesse Henriette de Lorraine lorsque son père puis son frère devinrent les ducs de Lorraine François II et Charles IV.
Le duc Henri II désirait marier sa fille et héritière Nicole à son favori, Louis de Guise, baron d'Ancerville, bâtard du feu cardinal de Lorraine. La famille ducale et la noblesse lorraine étant scandalisées par une telle perspective, il fut décidé que Nicole épouserait son cousin Charles, fils aîné du comte de Vaudémont, et que le favori épouserait Henriette.
En 1621, Henriette de Vaudémont, âgée de 16 ans, épousa ainsi Louis de Guise, baron d'Ancerville, qui en avait 33, tandis que son frère Charles épousait l'héritière des duchés de Lorraine et de Bar. Henri II mourut trois ans plus tard et Nicole monta avec Charles sur le trône, avant d'être évincée par son mari en 1625.
Devenu seul duc, Charles IV réunit en 1629, pour Louis et Henriette, les villes de Phalsbourg et Lixheim aux confins des Vosges du nord en une principauté. Ils furent connus dès lors comme prince et princesse de Phalsbourg. Ils n'en firent pas moins reconstruire un château à Sampigny dans le Barrois.
Après la mort de Louis de Guise en 1631, Henriette séjourna dans sa principauté de Lixheim. L'occupation de la Lorraine et du Barrois par les Français en 1633 contraignit Henriette, jeune veuve sans enfants, à une fuite assez romanesque. Pendant son exil, elle épousa en 1644 un gentilhomme espagnol, don Carlos de Guasco, marquis de Sallario, général d’artillerie, qui mourut peu après. Elle convola ensuite avec Christophe de Moura, qui également succomba peu après. A court d'argent, la princesse se remaria une quatrième fois en 1649, à 44 ans, avec son créancier principal, le marquis François Grimaldi, noble génois apparenté aux prince de Monaco qui ne dédaignait pas « trafiquer » dans la banque à Anvers. Comme ses époux précédents, il reçut à son tour le titre de prince de Phalsbourg et Lixheim.
Avec ce dernier époux, Henriette revint enfin en Lorraine, avant même la relative pacification qui, par le traité de Vic-sur-Seille (1661) suivit le traité des Pyrénées (1659).
Le château de Sampigny ayant été dévasté par les années de guerre, Henriette et son époux durent entreprendre de le remettre en état grâce à la fortune du marquis; ils séjournèrent alors à Neufchâteau dont Henriette possédait la seigneurie. Elle y mourut en 1660. Elle fut inhumée dans le caveau de l’église Sainte-Lucie de Sampigny auprès de son premier mari. Henriette possédait également la terre de Saint-Avold où elle fonda un monastère de bénédictines. On trouve dans le château de cette ville, devenue mairie, un portrait de la princesse peint par Van Dyck.
Henriette de Lorraine n’ayant pas d'héritiers directs, ses terres firent retour au domaine ducal par un arrêt de la Chambre des comptes de Lorraine de 1661, hormis la principauté de Lixheim et le château de Sampigny dont François Grimaldi conserva la jouissance sa vie durant. Le prince fut également enterré à l'église de Sampigny après sa mort en 1693.
Le château de Sampigny fut bombardé durant la Première Guerre mondiale. Propriété de l’Armée, le domaine fut démembré et vendu. Désormais ruiné, le château d’Henriette de Lorraine connaît une campagne de sauvetage menée par l’association des Amis et Fidèles du Château Henriette de Lorraine.
Lors de la journée commémorative du 21 novembre, une messe a été dite à la mémoire d'Henriette de Lorraine en l'église Saint-Pierre de Sampigny, puis une plaque a été dévoilée et bénite au cimetière en présence des élus municipaux et départementaux ainsi que des membres des associations historiques de Lixheim et Phalsbourg. De nombreux Lorrains avaient tenu à participer à cette commémoration historique.
Pascal Flaus, archiviste de la Ville de Saint-Avold (Moselle), travaille actuellement à la rédaction d'un ouvrage sur Henriette de Lorraine ; ses travaux l'ont conduit à exploiter des fonds d'archives en France mais aussi en Belgique, en Allemagne et en Espagne. Le livre devrait paraître courant 2011.
>> Contact : Association des Amis et Fidèles du Château Henriette de Lorraine, 9 rue Raymond-Poincaré, 55300 SAMPIGNY – Tél. : 03.29.90.02.97.
-
"Vosges, terre de tourisme. De Montaigne à nos jours"
>> Une exposition, trois sites. A découvrir du 18 novembre 2010 au 19 février 2011.
-
Aux origines vosgiennes de Frédéric Chopin
[Vosges Matin]
-
La sainte lorraine du mois : sainte Marguerite de Lorraine
Marguerite de Lorraine, fille de Yolande d’Anjou et du dernier comte de Vaudémont Ferri, était la sœur du duc René II, le "tombeur" de Charles le Téméraire le 5 janvier 1477.
Cette pieuse princesse est malheureusement bien méconnue des Lorrains. Elle a toutefois sa place dans la chapelle des âmes du purgatoire de l’église Saint-Epvre de Nancy et sa statue surmonte l’autel. Une autre statue, grandeur nature, se trouve curieusement placée dans un arbre creux sur la colline de Sion, sur le chemin menant à la basilique.
La vie de Marguerite de Lorraine est en tous points admirable. Marguerite naquit en 1463. Elle vécu un temps de son enfance auprès du bon roi René, en Provence. A la mort du roi René, elle revint en Lorraine et en 1488, son frère, le duc de Lorraine, René II, lui fit épouser le duc René d’Alençon (fils du célèbre compagnon de Jeanne d’Arc). Elle suivait les conseils et les exemples de sa belle-sœur la vénérable Philippe de Gueldre, duchesse de Lorraine, qui elle aussi entra par la suite chez les Clarisses.
Un fils aîné, nommé Charles, et deux filles, Françoise et Anne, naquirent en l’espace de quatre ans. Hélas, René d’Alençon mourut en 1492 en la fête de la Toussaint. Marguerite pris en main efficacement les affaires du duché de son mari. Elle fut également une éducatrice incomparable pour ses enfants et la bienfaitrice de tous les pauvres. Surnommée la "sainte duchesse", après 22 ans de règne, Marguerite de Lorraine laissa le duché à son fils et se retira chez les clarisses d’Argentan. Elle mourut au lendemain de la Toussaint 1521.
Son corps exposé répandait une odeur suave et merveilleuse, tandis que son visage rayonnait d’une ravissante beauté. Il y eu de nombreux miracles autour de son cercueil où la foule venait se recueillir.
Son cœur et son corps demeurèrent intacts durant plus de deux siècles. En ouvrant le tombeau en 1793, les révolutionnaires profanèrent ses restes et le jetèrent dans une fosse commune. Mais le souvenir de Marguerite de Lorraine ne s’était pas effacé de la mémoire des peuples qui vouaient à la pieuse duchesse et clarisse un culte fervent. Elle fut déclarée bienheureuse par le pape Benoît XV le 20 mars 1921. Elle est la protectrice des familles et la patronne des dentellières, car on doit à cette duchesse la création du point d’Alençon dont le couvent des Clarisses de cette ville conserve deux superbes pièces de broderie de sa main.
Le souvenir de Marguerite de Lorraine ne saurait être séparé de celui de sa belle-sœur, Philippe de Gueldre, femme de René II, qui connut, elle aussi, un long veuvage, éleva une nombreuse famille et finit ses jours chez les clarisses de Pont-à-Mousson, laissant la réputation d’une authentique sainteté.
[source : http://www.introibo.fr / cliché H&PB]
-
2 novembre : commémoraison des fidèles défunts
Réquiem ætérnam dona eis, Dómine : et lux perpetua lúceat eis.
[Introït de la messe du jour]
[Donnez-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière sans fin brille pour eux.]
-
1er novembre, fête de la Toussaint
La communion des saints.
Gaudeamus omnes in Domino, diem festum celebrantes sub honore Sanctorum omnium : de quorum solemnitate gaudent Angeli, et collaudant Filium Dei. Exsultate, justi, in Domino : rectos decet collaudatio.
(Introït de la messe de la Toussaint)
[Réjouissons-nous tous dans le Seigneur, en célébrant ce jour de fête en l'honneur de tous les Saints : de leur solennité se réjouissent les Anges, et ils en louent le Fils de Dieu. Réjouissez-vous justes, dans le Seigneur : aux hommes droits sied la louange.]
-
Soulosse-sous-Saint-Elophe fête le premier martyr chrétien vosgien
-
La Seconde guerre mondiale dans la "Vallée des larmes" vosgiennes
[Vosges Matin]
-
Domrémy : "Jeanne parmi ses contemporains", conférence le 31 octobre
-
Grand célèbre sainte Libaire
-
Le saint lorrain d'octobre : saint Elophe
Dans le bulletin paroissial de l'église Saint-Pierre de Nancy d'octobre, la Barrette de Saint-Pierre des Latins rapporte le récit de la vie de saint Elophe donné par notre historien régional Jean-Marie Cuny.
Premier martyr lorrain au IVe siècle, Elophe est un des plus anciens personnages connus de l'implantation du christianisme dans notre province. Fils d'une noble famille de Grand (Vosges), intrépide homme de foi, Elophe proclamait l'évangile à Grand et à Soulosse, l'ancienne Solimariaca gallo-romaine. Il est à l'origine de nombreuses conversions dans la région. Ayant détruit des idoles païennes, il est jeté en prison et comparaît devant l'empereur Julien l'Apostat. Celui-ci ne pouvant lui faire abjurer sa foi chrétienne, il le condamne à la décapitation.
Au bord du ruisseau du Vair, en présence d'une grande foule, Elophe a la tête tranchée d'un coup d'épée. Le martyr se relève alors et, saisissant son chef à deux mains, remonte la côte jusqu'au lieu de sa sépulture située à quelque mille pas. Ce lieu devint aussitôt un centre de culte chrétien et le théâtre de nombreux miracles.
Les souvenirs de ces débuts de la christianisation de la Lorraine sont encore importants dans les environs de Soulosse : l'église paroissiale est d'ailleurs surmontée d'une monumentale statue de saint Elophe qui domine la charmante vallée du Vair.
Saint Elophe est fêté au martyrologe romain le 16 octobre.
-
Lamarche (Vosges) : hommage à Antoinette Lix, postière et résistante au XIXe siècle
[Vosges Matin]
-
En mémoire de Marie-Antoinette
Dernière communion de Marie-Antoinette à la prison du Temple avant son exécution
Samedi 16 octobre 2010 à 18h30
Une messe sera célébrée en la chapelle du Sacré-Coeur,
65 rue Maréchal Oudinot à Nancy,
à la mémoire de Marie-Antoinette, reine de France, épouse de Louis XVI
Marie-Antoinette de Lorraine-Habsbourg était la fille du dernier duc héréditaire de Lorraine, François II et de Marie-Thérèse d'Autriche.
Elle fut guillotinée à Paris le 16 octobre 1793.
-
Colloque "De la gloire de Dieu à la gloire du prince" à Lunéville
À l’occasion de la fin des travaux de reconstruction de la chapelle du château de Lunéville et de sa réouverture au public en septembre 2010, les archives départementales de Meurthe-et-Moselle, le château de Lunéville et le Service régional de l’Inventaire organisent des journées d’étude sur le thème des chapelles princières.
L’histoire de ces chapelles, dans une acceptation large incluant les chapelles palatiales, les saintes chapelles, les chapelles privées ou encore les chapelles patronales du XIXe siècle, a fourni matière à de nombreux travaux de recherche en France et dans le reste de l’Europe. Les journées d’étude de Lunéville offrent aux chercheurs l’opportunité d’échanger dans ce domaine pluriel qui associe à l’histoire de l’art et de l’architecture des approches d’histoire politique, religieuse et sociale.
Ces journées souligneront l’importance de la réouverture de la chapelle du château de Lunéville en proposant aux participants de découvrir ou de redécouvrir son intérêt historique, artistique et esthétique. Elles mettront également en exergue la tradition et le savoir-faire des artisans mobilisés sur ce chantier exceptionnel qui a su redonner à la chapelle du château son éclat d’origine tout en préservant son identité.
L’accès aux séances et aux manifestations proposées en marge des journées d’études se fera exclusivement sur inscription.
>> Colloque « De la gloire de Dieu à la gloire du prince »
>> Du jeudi 18 novembre à 13h00 au samedi 20 novembre à 17h00 à la chapelle du château de Lunéville
>> Contact : colloque-luneville@cg54.fr ou 03.83.30.90.91
>> Inscription à envoyer avant le 29 octobre 2010
-
Ambacourt à la recherche des racines de Chopin
Chacun sait - ou devrait savoir ! - que le pays de Charmes, dans les Vosges, est le berceau des ancêtres de Frédéric Chopin. Mais, ce que l'on sait peut-être moins - voire pas du tout -, c'est que Chopin a aussi des ancêtres en Saône Lorraine et, plus précisemment, à Bleurville. Nous y reviendrons.
[Vosges Matin]
-
L'histoire de la Résistance dans la plaine des Vosges
-
Neufchâteau (Vosges) : présence paléolithique
Les archéologues amateurs du Cercle d'études locales de Contrexéville poursuivent inlassablement leur quête historique... et préhistorique. Celle-ci les a menés du côté de Neufchâteau, dans l'Ouest vosgien.
Ils ont eu la bonne surprise de découvrir une pointe taillée 'Levallois' en silex, de l'époque paléolithique.
L'endroit de cette découverte se situe sur une terrasse qui domine la vallée circulaire du Mouzon, à l'abri d'une falaise qui lui fait face.
D'autres artéfacts lithiques avaient déjà été mis au jour dans la région.
[cliché et informations : courtoisie du Cercle d'études locales de Contrexéville, remerciements à Gilou Salvini]
-
Voyage en principauté de Salm
[Vosges Matin]
-
La Piquante Pierre, haut lieu de la résistance vosgienne
[Vosges Matin]
-
Bar-le-Duc : 38ème Journées d'études meusiennes les 2 et 3 octobre 2010
>> Plus d'infos sur www.societedeslettres-barleduc.fr
-
La Bure avant la christianisation des Vosges
[Vosges Matin]
-
Lunéville : hommage aux restaurateurs de la chapelle du château
Réception officielle ce jeudi 16 septembre à Lunéville de la chapelle restaurée du château, ravagé par un incendie il y a sept ans. Ce joyau architectural est désormais rouvert au public. La réception a mis à l'honneur les compagnons de cette restauration en tressant de vibrants hommages à la Lorraine.
L’un des premiers à pénétrer dans la chapelle du château, hier, était un Meusien, Michel Marchand, venu en famille admirer l’œuvre de son petit-fils Julien, charpentier pour les établissements Le Bras. Du magnifique ouvrage en chêne des compagnons, ce fier grand-père ne verra malheureusement rien, puisque la charpente a depuis été recouverte de plâtre. « J’aurais quand même bien envie d’y monter, tant pis, ce n’est pas possible, mais aujourd’hui, je pense surtout à tous ceux, qui ont construit cette chapelle il y a 300 ans. »
Durant tout l’après-midi, les compagnons et ouvriers ayant œuvré sur le chantier étaient les invités privilégiés du château. Certains venaient juste de quitter leur bleu de travail pour passer une tenue de ville davantage en adéquation avec la cérémonie, qui allait commencer quelques heures plus tard.
Tous étaient visiblement fiers et heureux de faire partager leur travail à leur famille, et c’est très logiquement, que Pierre-Yves Caillault, architecte en chef des Monuments historiques, les a accueillis sous les voûtes toutes blanches de la chapelle. Pour leur rappeler notamment, que le parti pris de restauration fut de conserver les techniques et savoir-faire d’autrefois, « dont vous êtes les détenteurs ».
En fin de soirée, ils étaient des centaines de Lunévillois à affluer vers la cour d’honneur tendue d’un tapis rouge, la bonne idée du jour étant l’installation d’écrans géants qui permirent à tous, même les plus éloignés de la chapelle, de participer à une cérémonie se voulant avant tout un hommage aux hommes et entreprises.
Très symboliquement, et dans un silence presque oppressant ponctué des applaudissements de la foule, se déployaient bientôt quatre banderoles sur la façade du château. Quatre kakémonos descendus en varappe tandis qu’un funambule cheminait lentement sur son fil reliant l’aile nord à l’aile sud.
Tous les compagnons et ouvriers ayant travaillé sur le chantier de la chapelle ont désormais leurs noms inscrits sur cette longue bande de tissu. Un cylindre gravé contenant les mêmes noms a aussi été remis au président du Conseil général.
Avant que les Lunévillois ne s’engouffrent dans l’espace désormais rouvert au public, la délégation officielle pénétrait dans la salle des Gardes, poursuivant son chemin vers la salle de la Livrée et la chapelle, où l’accueillaient trois chanteurs du Gradus ad Musicam. Clin d’œil à la future destination d’un lieu.
Dommage que l'esprit laïciste préside à ces manifestations occultant ainsi les origines cultuelles de cet édifice construit pour la plus grande gloire de Dieu… et du prince.
-
Vrécourt (Vosges) : conférence sur l'offensive de la 2e DB dans l'Ouest vosgien en septembre 1944
-
Luxeuil-les-Bains : "Aux origines du monachisme colombanien" le 18 septembre
>> Plus d'infos sur http://www.amisaintcolomban.net
-
Le saint vosgien du mois : saint Adelphe
Evangélisateur du VIIe siècle, Adelphe a reçu toute sa formation au monastère de Luxeuil (Haute-Saône actuelle), puis il entra à l'abbaye vosgienne de Remiremont qu'avait fondée son oncle, saint Romaric.
Il se retira à l'abbaye colombanienne de Luxeuil après avoir gouverné l'abbaye de Remiremont dont il fut le troisième abbé. Il contribua à l’évangélisation de la montagne vosgienne avec les autres disciples de Colomban, saint Amé et saint Romaric.
Adelphe est décédé vers 675 au monastère de Luxeuil.
Le 13 novembre 1049, le pape lorrain Léon IX, ancien évêque de Toul, canonisa le corps saint d'Adelphe par la translation de ses reliques.
Dans le calendrier liturgique de Saint Pie V, la naissance au Ciel d'Adelphe et de ses compagnons est fêté le 9 septembre.
-
Donon mystique et historique
[Vosges Matin]
-
L'eau de Plombières coule de source
[Vosges Matin]
-
Nos ancêtres préhistoriques à Darney