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Nancy : retour du petit train "Paris-Méditerranée" pour la Saint Nicolas
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Nancy restaure la statue du général d'Empire Antoine Drouot
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Le faubourg Saint-Pierre à Nancy
A l'occasion des 20 ans de la MJC Pichon implantée dans le quartier, ses animateurs ont rédigé une belle monographie de ce secteur péricentral de Nancy : le quartier Saint-Pierre - René II - Bonsecours.
Le faubourg Saint-Pierre d'hier a grandi au rythme de l'histoire de la cité ducale. Sa situation géographique, au sud du noyau urbain de Nancy et des ses remparts, sur un replat en rive gauche de la Meurthe, lui assure les caractéristiques qui ont compté dans les étapes de son évolution.
Faubourg campagnard jusqu'au XIXe siècle, il participera pleinement à l'essor économique de la ville avec le tracé du canal de la Marne au Rhin et la création de la voie ferrée. Il accueillera le pôle hospitalo-universitaire et une multitude d'activités industrielles, en partie créées par les Alsaciens-Mosellans après 1871.
A la fin des Trente Glorieuses, avec le départ de la laiterie Saint-Hubert et Ferembal, le quartier connaît une profonde métamorphose, transformant les friches industrielles en quartiers résidentiels.
Le lecteur découvre un quartier héritier d'une longue histoire dont il conserve quelques traces patrimoniales révélés dans cet ouvrage.
‡ Le faubourg Saint-Pierre. La MJC Pichon dans l'histoire de son quartier, Mary Maire et Pascal Duhem, éditions MJC Pichon, 2017, 168 p., ill. (17 €). Disponible auprès de la MJC Pichon, 7 boulevard du Recteur Senn, 54000 Nancy.
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La truffe de Lorraine par Jacques Cuny, patron de l'Arsenal à Nancy
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Vente de livres à la Bibliothèque diocésaine de Nancy les 28-29 octobre 2017
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La Nouvelle revue lorraine n° 46 : honneur au 1er régiment de chasseurs de Thierville
Encore un riche sommaire pour ce 47ème numéro de La Nouvelle revue lorraine qui occupera vos soirées automnales...
Jean-Marie Cuny nous propose dans ce numéro bimestriel :
- un imagier de pierre
- le 1er régiment de chasseurs de Thierville-sur-Meuse
- une jeunesse dans la tourmente
- une cultivatrice très courageuse
- la grande aventure du train sur rails : 1852 - Nancy-Lunéville
- Wala, l'évêque messin qui défia les Vikings
- le prieuré de Parey-sous-Montfort
- à propos de la maison "gothique" de Robécourt
- nostalgie scolaire
- des célébrités et des plaques dans les rues de Nancy
- les recettes du chef de l'Arsenal
- la bataille de Bar du 15 novembre 1037
‡ Le numéro 47 de La Nouvelle revue lorraine est disponible dans les bonnes librairies lorraines (elles sont peu nombreuses !) et sur le site Internet www.nouvelle-revue-lorraine.fr/
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Nancy : hommage à Jean-Pierre Coffe au marché central
La Ville de Nancy vient de baptiser récemment la halle principale du marché centrale de la cité ducale "Cour Jean-Pierre Coffe".
L'animateur de télévision et critique gastronomique Jean-Pierre Coffe (1938-2016) était originaire de Lunéville et sa mère d'origine vosgienne. Très jeune, il découvrit le monde du maraîchage et fut initié à la cuisine régionale par ses grands-parents lorrains.
Attaché à Nancy et à son marché central, il fut le grand pourfendeur devant l'Eternel de la "malbouffe" et un authentique promoteur des produits de qualité. C'était aussi un amoureux du véritable cochon traditionnel !
Désormais, l'allée principale du marché nancéien rappelera le souvenir de ce truculent défenseur de la gastronomie française.
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L'histoire tragique et véridique du Sieur Simon de Calvy (1715-1747)
Marie-France de Palacio, dans cet époustouflant roman historique, nous conte la courte vie de Jacques Xavier Simon de Calvy, un jeune militaire bourguignon attaché aux gardes du corps de Stanislas. Individu sans scrupules et amoral, séducteur de filles de bonnes familles et bigame. Mais surtout victime d'un père mesquin et sournois...
Formidable roman remarquablement bien ficelé rédigé à partir de sources archivistiques inédites, il restitue la chronologie des faits de cette saga familiale et dépeint magnifiquement de beaux portraits psychologiques des différents acteurs de cette affaire au dénouement inattendu qui a pour cadre principal la Lorraine de cette première moitié du XVIIIe siècle.
Cette tragédie fondée sur des faits réels, doublée d'une intrigue judiciaro-policière, est relatée pour la première fois. Elle vous tiendra en haleine jusqu'à sa dernière page !
‡ Entre Bourgogne, Lorraine et Languedoc. L'histoire tragique et véridique du Sieur Simon de Calvy (1715-1747), Marie-France de Palacio, éditions de la Fenestrelle, 2017, 257 p. (20 €).
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Nancy (54) : "La Rébellion" à l'affiche du ciné-club de la paroisse Notre-Dame de Lourdes
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Aux Deux Hirondelles
Paris 1953. Pauline Delaumont et Anne, sa sœur jumelle, décevant les vues de leur père, notable de Nancy, sont chanteuses dans un cabaret de la Butte Montmartre. Leur spectacle fait recette mais pas assez aux yeux de leur propriétaire qui, pour mieux rançonner la clientèle, exige qu’elles le pimentent de numéros de strip-tease...
Elles décident alors d’ouvrir leur propre établissement : ce sera le cabaret "Aux deux hirondelles" à Saint-Germain des Prés. Elles peuvent compter sur le soutien amical des artistes les plus en vue du moment : Mouloudji, Catherine Sauvage, Cora Vaucaire, Stéphane Grapelli…
Tout se présenterait au mieux pour les jumelles sans la menace que fait peser sur elles une abominable campagne de calomnies. Qui, dans l’ombre, les poursuit de sa haine ? Quand les masques tomberont, il n’y aura pas assez de l’amour de leur nombreuse famille nancéienne pour panser les blessures et réparer les destins brisés…
Fidèle à sa Lorraine, Elise Fischer nous invite à partager la vie pleine de rebondissements - et sentiments forts aussi - de nos deux Nancéiennes installées à Paris dans les années 1950.
‡ Aux Deux Hirondelles, Elise Fischer, éditions Calmann Lévy, 2017, 320 p. (20,50 €).
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Nancy (54) : Pèlerinage sur les reliques de la Bienheureuse Alix Le Clerc avec les Europa Scouts
Pèlerinage de rentrée de la IIème Nancy Europa-Scouts afin de demander l'intercession de la bienheureuse Alix Le Clerc
Samedi 26 août 2017
De l'église Marie Immaculée (33 avenue du général Leclerc à Nancy) à la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy.
Au programme :
- 10h45 : messe votive à Bhse Alix Le Clerc à Marie Immaculée (forme extraordinaire du rite romain)
- pèlerinage à la cathédrale sur la châsse d'Alix Le Clerc
- repas tiré du sac à la PépinièreLe groupe de la IIème Nancy Europa Scouts ayant besoin de cheftaines supplémentaires, nous nous en remettons à sa Sainte Patronne, la Bhse Alix Le Clerc.
Toutes les louvettes, guides et guides aînées ainsi que leurs parents sont invités à se joindre à ce pèlerinage. Ce pèlerinage est bien sûr ouvert à tous ceux qui le désirent !
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Echanges, passages et transferts à la cour du duc Léopold (1698-1729)
L'ouvrage s'inscrit dans le renouveau historiographique consacré aux milieux curiaux, qui met en évidence le rôle des cours dans la transmission des modèles politique et culturel, à travers la circulation des élites.
Parce qu'elle appartient à un Etat frontalier situé entre France et Empire, la cour de Lunéville offre un observatoire privilégié pour étudier les phénomènes migratoires ainsi que les échanges entre les différents espaces auliques.
Le règne de Léopold fait figure d'exception dans l'histoire politique de la Lorraine car il est synonyme d'une renaissance des duchés après les ondes de choc qu'a subi ce territoire des confins au XVIIe siècle. Après la vacance du trône durant près d'un demi-siècle, tout est à reconstruire et à réinventer. Par sa position limitrophe, la Lorraine ducale est depuis toujours prédisposée à accueillir les étrangers, mais la cour atteint encore un autre degré d'ouverture avec le nouveau souverain, élevé à la cour des Habsbourg à Vienne et désireux de rendre sa cour attractive, dès son arrivée à Nancy en 1698. Elle devient alors un espace de circulation intenses et un lieu de dialogue entre différentes nationalités.
Cet ouvrage étudie ainsi le retentissement des pratiques culturelles et curiales des grands Etats dans une principauté ouverte sur l'Europe, montrant le rôle précurseur de la cour de Léopold, bien moins connue que celle de Stanislas, dans la diffusion des premières innovations politiques, sociales, économiques et religieuses à l'est du royaume de France.
‡ Echanges, passages et transferts à la cour du duc Léopold (1698-1729), Anne Motta (dir.), PUR, 2017, 292 p., ill. (23 €).
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Emile Gallé, artiste engagé
La révolution industrielle du XIXe siècle a apporté de profonds changements touchant, de proche en proche, toutes les activités humaines : l'industrie, le commerce, les transports, l'urbanisme, la médecine, la culture, les loisirs... Les découvertes scientifiques laissèrent croire à un progrès continu et profitable à tous. En libérant les énergies créatrices, un grand mouvement international de renouveau artistique toucha tous les domaines de l'Art et apporta aux arts décoratifs, jusque-là arts mineurs, une place prépondérante.
La vie du Lorrain Emile Gallé s'intègre entièrement dans cette période effervescente. S'impliquant successivement dans la céramique, la verrerie, l'ébénisterie, il fit preuve d'une originalité novatrice, puisant son inspiration dans la nature. Il s'attacha tout au long de sa vie à définir ses propres critères de représentation, à donner sens à ses œuvres et valeur symbolique. Participant aux grandes Expositions universelles de Paris et autres monstrances nationales et internationales, il fut reconnu comme un des acteurs majeurs de l'Art Nouveau. Accueilli dans les milieux littéraires et artistiques de la fin du XIXe siècle, il n'hésita pas, avec générosité, à utiliser sa notoriété pour mener combat contre les injustices et violences de son temps.
A la fois industriel, savant botaniste, artiste, poète, initiateur d'un renouveau artistique enfantant à profusion vie et beauté, ce Nancéien laisse une œuvre unique présente dans tous les grands musées du monde.
Une belle biographie qui renouvelle l'approche de l'œuvre laissée par Gallé.
‡ Emile Gallé, artiste engagé. L'Art nouveau sublimé, Hélène Sicard Lenattier, éditions L'Harmattan, 2017, 396 p., ill. (39 €).
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Le Pays lorrain : autour de l'épée de grand écuyer et la musique à la cour de Lorraine
Le numéro estival 2017 du Pays lorrain est paru ! Il propose un dossier sur la nouvelle acquisition du Musée lorrain : l'épée de grand écuyer du duc Léopold de Lorraine, ainsi que plusieurs études autour du thème de la musique à la cour de Lorraine au XVIIIe siècle.
Au sommaire :
- L'épée de grand écuyer du duc Léopold, insigne témoignage de la souveraineté ducale
- L'hôtel de Beauvau à Nancy : une toiture en tuiles glaçurées, témoin d'une construction d'exception
- La construction de la politique de la conservation des Monuments historiques en Lorraine
- Dossier autour de la vie musicale à la cour des derniers ducs de Lorraine :
La messe de Stanislas et le modèle versaillais,
Deux projets de salles de spectacle pour le duc de Lorraine au XVIIIe siècle,
La musique instrumentale sous le règne de Stanislas : entre tradition et modernité,
La Comédie : le Spectacle de Nancy (1755-1792) : une programmation de musique française et germanique‡ Le Pays lorrain est disponible à l'accueil du Musée lorrain ou sur abonnement (39 €, 4 numéros). Coordonnées postales et règlement à envoyer à : LE PAYS LORRAIN, PALAIS DUCAL, 64 GRANDE-RUE, 54000 NANCY.
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14-Juillet à Nancy : vive l'armée française quand même !
Lors du défilé du 14-Juillet sur la place de la Carrière à Nancy [cl. H&PB].
Présence modeste de troupes squelettiques... pour un public tout aussi clairsemé... C'est la nouvelle France macroniste.
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Le dernier vélo de Marie Marvingt s'exposera en l'Allemagne
Ce vélo est l’un des rarissimes objets conservés de la Nancéienne Marie Marvingt, emblématique pionnière de l’aviation et aventurière de tous les horizons. Sauvé par miracle, il prend la route pour… l’Allemagne !
Il ne ressemble à rien si ce n’est à un vieux biclou hors d’âge.
Mais une plaque encore déchiffrable sous le guidon en révèle toute la valeur historique. Il y est mentionné « 8 place Carrière », lieu de résidence de sa propriétaire. Dont le nom figure lui aussi en lettres gravées : Marie Marvingt.
L’objet qu’abrite Serge Claude dans son domicile de Dombasle n’est ni plus ni moins que le dernier vélo de la célèbre Lorraine dont on ne sait plus comment la qualifier tant ses prouesses défient l’entendement : pionnière de l’aéronautique, détentrice de 4 brevets de pilote (avion, ballon, hydravion, hélicoptère), férue d’alpinisme pour lequel elle a d’ailleurs inventé la jupe-culotte, détentrice de pas moins de 17 records sportifs et 34 décorations…
N’en jetez plus. Ah, si, il faut lui ajouter ses périples à vélo ! « Dont elle a toujours dit qu’il était sa plus grande passion », souligne Serge Claude, membre de l’association internationale des Amis de Marie Marvingt qui en défend âprement la mémoire. En 1908, malgré l’interdiction qui lui était faite d’y participer, La Marie (comme le public a fini par l’appeler affectueusement en bord de route) a pris la roue des coureurs du tour de France. « La première femme à le boucler. Ils n’ont été que 36 sur 114 (plus une !) à l’achever cette année, dont Marie la Nancéienne. »
Marie posséda 4 vélos dans sa vie, dont ce petit dernier, baptisé "Reine", cadeau de ses amis à une époque où elle était réduite à la misère. C’est avec lui qu’en 1961, à l’âge de 86 ans, elle a fait le voyage Nancy-Paris où elle a pu tester le premier hélico à turbine. Et c’est lui encore qui figure parmi les très rares objets rescapés pouvant témoigner de sa vie. « À sa mort, comme elle ne payait plus le loyer depuis longtemps, ses maigres biens ont été jetés sur le trottoir. Excepté ce vélo oublié dans un garage rue des Ecuries. » Où il a été récupéré, pour être gardé au lycée Marvingt de Tomblaine, avant, en grand nomade, d’atterrir au musée d’Amnéville qui, en 2015, à sa fermeture, a un peu renâclé à le rendre à l’association des amis.
Mais c’est chose faite, et le vélo peut prendre le départ pour de nouvelles aventures. Dont la prochaine aura lieu… en Allemagne, à Dresde, au musée de l’histoire militaire, dont la future exposition s’intéressera aux femmes combattantes. « Or, Marie, infirmière, est montée au front de la Grande Guerre déguisée en homme, y a vu l’horreur incommensurable. Et participé au développement de l’aviation sanitaire. » Dans des conditions évidemment rocambolesques. Nul ne s’étonnera donc de la savoir entrée dans la postérité sous le titre de « la fiancée du danger » !
[d'après ER]
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A la gloire du duc de Lorraine !
Le Musée lorrain à Nancy a fait l’acquisition d’une pièce d’un intérêt patrimonial majeur : l’épée de grand écuyer de Lorraine ayant appartenu à Marc de Beauvau (1679-1754). Cette pièce est destinée à occuper une place centrale dans le futur parcours historique du musée rénové.
Symbole du pouvoir militaire, politique et judiciaire, l’épée était l’un des quatre attributs de souveraineté du duc, avec la couronne, la main de justice et le sceptre. Elle était utilisée lors des sacres et des pompes funèbres ducales et confiée au grand écuyer. Cette épée, composée d’une lame ancienne montée sur une garde en vermeil décorée aux armes de Lorraine, fut commandée à l’orfèvre parisien Simon Gallien par le marquis de Bissy à la mort du duc Léopold en 1729. Elle fut portée par le prince de Beauvau-Craon lors des funérailles ducales du 7 juin 1729. L’épée devait permettre symboliquement de désigner le nouveau souverain lors de la cérémonie, selon un rituel repris de la pompe funèbre de Charles III en 1608.
Seul objet de pouvoir de la Lorraine ducale connu à ce jour, l’épée a été considérée comme un Trésor national par l’État.
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Festival d'orgue en juillet à la cathédrale de Nancy
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Bleurville (88) l'heure spirituelle grégorienne a enchanté le public
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Nancy : festival d'orgue été 2017 à la cathédrale
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Solennité de la Fête-Dieu
Fête-Dieu à la chapellenie Bhx Charles de Lorraine-Habsbourg à Nancy [cl. archives ©H&PB].
Fac nos, quǽsumus, Dómine, divinitátis tuæ sempitérna fruitióne repléri : quam pretiósi Corporis et Sanguinis tui temporalis percéptio præfigúrat.
[prière de la postcommunion de la messe de la solennité de la Fête-Dieu]
Nous vous en supplions, Seigneur, faites que nous soyons rassasiés par la jouissance éternelle de votre divinité : jouissance dont la réception dans le temps, de votre précieux Corps et de votre Sang, nous est une figure à l’avance.
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Nancy : la salle cachée de l'ancien hospice Saint-Stanislas
L'ancien hospice des enfants trouvés Saint-Stanislas, rue Saint-Dizier, à Nancy - situé à côté de la porte Saint-Nicolas - est en cours de réhabilitation.
Cet ancien hospice est situé dans le prolongement de la façade de l'ancienne église du noviciat des Jésuites ; noviciat fondé en 1602 par Antoine de Lenoncourt. Un collège y a été installé à l'expulsion des Jésuites en 1768, collège dirigé par l'abbé Lionnois entre 1768 et 1776.
Selon le voeu du roi Stanislas, l'hospice des enfants trouvés - dit "Hospice Saint-Stanislas" - s'y installera ensuite. Aujourd'hui le bâtiment entre style classique et style Renaissance, est en cours de réaménagement. Rue des Fabriques, à la faveur des travaux de maçonnerie, on peut remarquer, au niveau du rez-de-chaussée, l'existence d'une vaste salle voutée. Le mystère plane sur l'usage de cette pièce...
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Bleurville (88) : concert du Choeur grégorien de Nancy & Toul à l'abbaye Saint-Maur le 25 juin
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Bleurville (88) : concert du Choeur grégorien de Nancy & Toul à l'abbaye Saint-Maur le 25 juin
Dimanche 25 juin 2017
à 16h00
Concert du Chœur grégorien de Nancy & Toul
Abbatiale Saint-Maur de Bleurville
(Vosges, entre Darney et Monthureux-sur-Saône)
Au programme : pièces de la Messe de Saint Joseph
sous la direction de Gérard Charrier
Entrée libre.
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Centenaire de l'escadrille SPA 102 de Nancy-Ochey
L’escadrille 102 a fêté son centième anniversaire en 2014. Elle tire ses origines de l’Escadrille VB-2, équipée de Voisin LA de bombardement, formée en novembre 1914. Devenue Escadrille 102 en 1915, elle change de rôle un peu plus tard en passant sur Nieuport et c’est sur SPAD qu’elle termine la guerre, figeant ainsi son identité. Dans les années 1920, elle prend l’insigne de la SPA75 dissoute en 1919. En 1939, les hommes de l’Escadrille décident, s’apercevant de cette confusion, de faire perdurer les traditions de la SPA75...
En 1992, ses traditions sont réactivées pour intégrer l’Escadron de Chasse 2/3 Champagne. C’est ainsi que le « Soleil de Rhodes » a orné les dérives de Mirage 2000Nk2 puis, depuis 1996, celles de Mirage 2000D.
Le tome 1 de l’historique de la 102 couvre donc la première partie de cette histoire, de la Première Guerre mondiale au début de la Seconde et permet de se plonger avec précision dans le quotidien d’une unité de bombardement puis de chasse. Les découvertes sont nombreuses, comme ces premiers vols de nuit, mais aussi, chose étonnante et peu connue, la présence d’aviateurs japonais au sein de l’unité.
Fruit du travail acharné de Jean-François Hurreau, chef navigateur du 2/3 Champagne, bien épaulé par son collègue Nicolas Sauvage, ce livre va bien au-delà de ce qu’on peut attendre d’une plaquette historique d’escadron comme il y en a tant, et c’est bien à un beau travail d’historien que nous avons affaire. Parfaitement illustré, mis en page avec soin.
Dans le tome 2, les auteurs retracent les actions de l’escadrilledans ses nombreux engagements entre 1992 et 2014 : que ce soit dans les Balkans de 1994 à 1999 où l’équipage Chiffot-Souvignet fut abattu et interné plusieurs mois avant d’être libéré en 1995, en Afghanistan de 2002 à 2012, au-dessus de la Libye en 2011, au Mali dès 2013 et à partir de 2014, année de son centenaire, les Mirage 2000D frappés aux couleurs de la SPA 102 opèrent aussi au-dessus de l’Irak à partir de la Jordanie.
Un bel ouvrage pour accompagner les équipages des prémices de l'aviation militaire aux appareils les plus modernes. Pour être au plus prêt de ces hommes de l'air lorrains qui oeuvrent depuis 100 ans sans relâche pour garantir la sécurité et la défense de la patrie et la paix dans le monde.
‡ 100 ans de la SPA 102, 2 tomes, 1914-1939 / 1992-2014, Jean-François Hurreau et Nicolas Sauvage, Association Soleil de Rhodes, 2014, ill. (tome 1, 130 p. : 19 € / tome 2, 168 p. : 29 €).
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BA 133 de Nancy Ochey : 100 ans d'avions de chasse
Philippe Bajolet est enseignant et, surtout, un ancien des Beaux-Arts de Nancy. Auteur d’une quinzaine d’ouvrages de littérature jeunesse autant qu’adulte, illustrés de sa main, il publie « BA 133 de Nancy Ochey : 100 ans d’avions de chasse ».
Pour sa conception, il s'est rapproché de trois spécialistes de l’aviation : Pierre Couillot, chef de cabinet du commandant de la base de Nancy-Ochey, Jeff, un navigateur, et Yves Collignon, membre de l’association des Anciens de la 11e Escadre de chasse de Toul-Rosières. Ils l'ont conseillé sur l’évolution technologique des avions mise en parallèle avec l’histoire de la base aérienne Nancy-Ochey.
Peu de textes dans cet album. Mais beaucoup d’illustrations avec un traitement graphique réaliste, à la ligne claire qui fait l'originalité des créations de Bajolet. Ce « champion du trait » s'est beaucoup documenté pour concevoir cette BD ; 18 mois de travail ont été nécessaires pour "accoucher" de son œuvre ! Ce bouquin plaisant est aussi un bon moyen pour vulgariser une thématique plutôt technique.
‡ BA 133 de Nancy Ochey. 100 ans d'avions de chasse, texte et illustrations de Philippe Bajolet, autoédition, 2017, 79 p. (12 €).
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Une plaque en hommage à Pierre Cortellezzi, organiste de la cathédrale de Nancy
Le père Lescanne accompagné de Mme Cortellezzi dévoile la plaque en hommage à Me Cortellezzi sur les grandes orgues de la cathédrale de Nancy [cl. ©H&PB].
Samedi 13 mai 2017, une plaque en hommage à l'organiste Pierre Cortellezzi, apposée sur le grand orgue de la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy, a été dévoilée par l'abbé Guy Lescanne, curé de la cathédrale, et Bernadette Cortellezzi, épouse du maître.
Pierre Cortellezzi (1926-2015) fut organiste à l'église de Pont-Saint-Vincent avant d'être nommé titulaire des grandes orgues de la cathédrale de Nancy en 1950. Il le restera jusqu'à son décès survenu en 2015.
En 1998, il a été nommé Chevalier de l’Ordre équestre de Saint-Grégoire-le-Grand. La même année, il est fait Chevalier des Arts & Lettres. En 2011, il est élevé au grade de Commandeur de l’Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand, insigne remis par Mgr Papin, évêque de Nancy et de Toul.
Il était également titulaire de la médaille du Mérite diocésain et de la médaille de la Reconnaissance diocésaine. Il fut enfin distingué par la Ville de Nancy.
La cérémonie de dévoilement de la plaque hommage a été suivie d'un concert d'orgue donné par Dominique Dantand, titulaire des orgues de Vézelise.
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Société de tir de nancy 1866-2016
A l'occasion du 150ème anniversaire de la Société de tir de Nancy, Françoise Ribert, membre du comité de la STN, a publié un ouvrage sur l'histoire de la plus vieille association sportive de la cité ducale...
A partir des archives conservées à la Bibliothèque et aux Archives municipales de Nancy, l'auteur a pu reconstituer la riche histoire de la Société de tir qui est l'héritière du Serment de la Butte et de son tir annuel au papegai, apparu en 1506.
La Société de tir nancéienne, créée en 1866, servira de modèle à de nombreuses associations en France mais aussi en Algérie française et à l'étranger (Pologne...) qui seront fondées entre le dernier quart du XIXe siècle et l'entre-deux-guerres ; après la guerre de 1870-1871, la Lorraine connaîtra d'ailleurs un fort développement des société de gymnastique et de tir, notamment dans le milieu scolaire. Il fallait préparer les jeunes générations à la Revanche !
L'ouvrage redonne vie au stand Saint-Georges, à celui du Grémillon ainsi qu'à l'actuel stand de la rue de Tomblaine. Il retrace l'évolution des compétitions et des disciplines jusqu'à nos jours. Il présente également les trophées et coupes dont certains furent réalisés par des artistes lorrains connus comme Emile Gallé.
‡ Société de tir de nancy 1866-2016. 150e anniversaire, Françoise Ribert, autoédition, 2016, 104 p., ill. (29 €).
Disponible à l'accueil de la Société de tir de Nancy, 41 rue de Tomblaine, 54000 Nancy. -
Nancy : la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation s'anime pour la Nuit des cathédrales
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Nancy : un îlot de mémoire sur le site de l'ancienne prison Charles-III