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génocide

  • La grande histoire des guerres de Vendée

    Qui mieux que l'auteur de La Cause du peuple et directeur de la chaîne Histoire pouvait mettre en mots et en images la guerre emblématique de la Contre-Révolution ? Patrick Buisson, avec une belle préface de Philippe de Villiers, a réalisé de bout en bout ce superbe album qui comprend quelque 150 illustrations, dont de nombreuses méconnues ou inédites : tableaux, gravures, drapeaux, vitraux, emblèmes, armes et objets éclairent un texte original et enlevé qui fait une large place à des mémoires et témoignages contemporains.

    Appuyé sur une masse de documents issus de l'historiographie des guerres de Vendée, cette remarquable synthèse illustrée de ces guerres de l'Ouest se double d'une analyse qui met un point final aux deux "écoles" historiques qui s'opposèrent sur les causes et les conséquences de cette guerre civile. Le génocide perpétré par les républicains est définitivement établi.

    Un album de la mémoire qui n'oublie pas le rôle joué par le Lorrain Jean-Nicolas Stofflet, général de l'armée catholique et royale, l'enfant de Bathelémont.

     

    ‡ La grande histoire des guerres de Vendée, Patrick Buisson, éditions Perrin, 2017, 270 p., ill., préface de Philippe de Villiers (29 €).

     

  • Nancy (54) : "La Rébellion" à l'affiche du ciné-club de la paroisse Notre-Dame de Lourdes

  • Nancy : inauguration d'un monument à la mémoire des victimes du Génocide arménien de 1915

    Installation du monument du souvenir du Génocide arménien de 1915 devant la basilique N.-D. de Lourdes à Nancy le 25 avril 2015 [cl. ER].

     

    Samedi 16 mai 2015 à 11h00 sur le parvis de la basilique Notre-Dame de Lourdes, avenue Général Leclerc à Nancy,

    Sous le haut patronage de M. Laurent Hénart, maire de Nancy,

    et de Monseigneur Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et Toul,

    inauguration d’un monument commémoratif

    à la mémoire des victimes du Génocide Arménien de 1915,

    en présence de Monseigneur Vahan Hovhannisian,

    primat du diocèse de France de l’Eglise arménienne apostolique.

  • Histoire des guerres de Vendée (1793-1832)

     

    Des causes - la Constitution civile du clergé, la levée en masse décrétée par la Convention, l'exécution du roi Louis XVI et la Terreur - à l'ultime révolte conduite sous l'égide de la duchesse de Berry au début de la Monarchie de Juillet, la grande et la petite histoire des guerre de Vendée nous est racontée par un maître.

    Emile Gabory est en effet l'auteur d'une monumentale histoire des guerres de Vendée parue en sept volumes, synthétisée ici en un seul afin de rendre cette vaste étude très accessible au grand public.

    Un ouvrage à lire afin de se souvenir du plus grand génocide franco-français jamais reconnu par la république.

     

    ‡ Histoire des guerres de Vendée 1793-1832, Emile Gabory, éditions Perrin, 2015, 305 p. (21 €).

  • Nancy : conférence de Raynald Secher sur les guerres de Vendée le 13 mars

    vendée.JPG

    Le Lorrain Jean-Nicolas Stofflet durant les guerres de Vendée.

     

    CONFÉRENCE

    par Raynald Seicher

     Les guerres de Vendée : Génocide ? Mémoricide ?

     

     Mercredi 13 mars 2013 à 20h30

     au Lycée Saint-Sigisbert à Nancy

    (entrée rue Hermite, parking dans la cour)

     

    Reynald Secher est historien, universitaire et auteur de « La Vendée-Vengé : le génocide franco-français », Presses universitaires de France, 1986 et « Vendée : du génocide au mémoricide : Mécanique d’un crime légal contre l’humanité », Éditions du Cerf, 2011.

    Les guerres de Vendée et l’extermination des Vendéens (1793-1794) ne sont pas seulement un délicat objet de connaissance historique mais aussi et surtout un grave enjeu de mémoires qui dure depuis plus de deux siècles.


    Participation financière : 5 €

    Gratuit pour les adhérents, les lycéens et les étudiants

  • Vendée, du génocide au mémoricide

    vendée.jpgVingt-cinq ans après la publication de son livre Le Génocide franco-français : la Vendée-Vengé, Reynald Secher, grâce à la découverte aux Archives nationales de documents totalement inédits, démontre, preuves à l'appui, que le génocide de la Vendée a bien été conçu, voté et mis en oeuvre personnellement par les membres du Comité de salut public et par la Convention, et que l'armée et l'administration n'ont fait qu'exécuter les ordres.

    Afin d'échapper à leurs responsabilités et de masquer la logique idéologique et politique qui menait inéluctablement la République jacobine au génocide, ces criminels et leurs héritiers politiques (communistes, nazis) ont nié les faits, imposé à la nation leur auto-amnistie et une impunité générale. Ils ont ainsi perpétré un second crime, celui de mémoricide, qui, par un renversement pervers, a désigné les victimes vendéennes comme bourreaux et transformé les bourreaux jacobins en victimes.

    A ce premier scandale s'en est ajouté un second. ces bourreaux ont bénéficié de toutes les faveurs et des honneurs de l'Etat, tandis que les victimes et leurs descendants, traumatisés, ont été réduits au silence et en permanence persécutés, se retrouvant ainsi exclus d'une citoyenneté qui leur revenait de droit.

    Raynald Secher, docteur ès Lettres, écrivain, scénariste, est l'auteur du concept de mémoricide, quatrième crime de génocide.

     

    ‡ Vendée, du génocide au mémoricide, Reynald Secher, éditions du Cerf, 2011, 444 p., ill. (24 €).

  • Nicolas Haxo, un général vosgien en Vendée

    haxo.jpgDoit-on se réjouir qu'un vosgien ait participé au génocide vendéen durant la Révolution ? Telle est la question qui habite l'esprit à la lecture de l'ouvrage sur le général Nicolas Haxo. Au-delà de cette interrogation et des excès de la Révolution de 1789, le livre de Yannick Guillou brosse un intéressant portrait de Nicolas Haxo.

    Né en 1749 à Etival, à quelques lieues de Saint-Dié, Haxo s'engage à 18 ans dans le régiment de Touraine-Infanterie. A son retour à la vie civile, il obtient une charge au bailliage de Saint-Dié. Pendant la Révolution, il renonce à une carrière politique et s'engage à nouveau dans l'armée du Rhin à la tête des volontaires du 3ème bataillon des Vosges avec lequel il participe au terrible siège de Mayence, gagnant à cette occasion en 1793 son grade de général.

    Envoyé en Vendée pour combattre l'armée catholique et royale, en novembre 1793, Haxo reçoit l'ordre de battre le chevalier de Charette, l'un des chefs de l'armée vendéenne. Sans relâche, Haxo harcèlera les insurgés. Mais son acharnement lui sera fatal : Haxo perd la vie en mars 1794 dans le combat des Clouzeaux, près de La Roche-sur-Yon. Sa fin est entourée d'incertitudes : s'est-il suicidé face à ses assaillants, quelle est la date exacte de sa mort, où est-il inhumé ? L'ouvrage de Yannick Guillou lève le voile sur toutes ces questions. L'auteur a bénéficié des archives de la famille mis à la disposition par les descendants du général Haxo actuellement installés aux Etats-Unis.

     

    >> Nicolas Haxo, un général vosgien en Vendée à la poursuite de Charette, Yannick Guillou, Edhisto éditions, 2009, 290 p., ill. (21 €).

    >> Plus d'infos et commande possible sur le site des éditions Edhisto : www.edhisto.eu