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  • Châtillon-sur-Saône (88) : bilan des Musées vivants estivaux

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    [Vosges Matin]

  • Le patrimoine du Grand Nancy

    grand nancy.jpg"Le patrimoine constitue plus que jamais un enjeu fort du rayonnement d'un territoire. L'essor du tourisme, le développement économique, la qualité des paysages urbains, l'émergence de nouveaux quartiers ou de pôles universitaires d'excellence, mais aussi l'exigence partagée d'un urbanisme et d'une architecture qui soient respectueuses des lieux, puisent leur source dans une inscription patrimoniale garante des valeurs humaines, de culture, de tradition et de cohésion sociale." Ainsi s'exprime André Rossinot, maire de Nancy, dans son avant-propos.

    La notion de patrimoine, en effet, ne cesse de s'enrichir. L'héritage des villes ne se limite plus aujourd'hui à la somme des bâtiments que l'histoire additionne. Désormais, ce legs patrimonial apparaît comme le produit d'une "ambiance urbaine".

    C'est ainsi qu'à Nancy le patrimoine des dépliants touristiques est loin de rendre compte de la richesse de l'agglomération. C'est cette richesse que nous fait découvrir l'auteur qui explore dans cet ouvrage mille ans d'histoire nancéienne, occasion pour le visiteur - mais aussi pour l'habitant et les Lorrains amenés à "transiter" par la capitale ducale - d'appréhender la variété de ce patrimoine singulier et de s'interroger sur son devenir.

    Le livre bénéficie d'une exceptionnelle iconographie due au photographe Olivier Dancy.

     

    ‡ Le patrimoine du Grand Nancy, Pierre Gras, éditions du Patrimoine, 2012, 180 p., ill. (35 €).

  • Le visage de Jeanne d'Arc

    jeanne d'arc,visage,monnaies,médailles,statuettesJeanne d'Arc, où est ton visage ? Eternelle question, éternelle quête de tous les historiens, de tous les johannistes de tous les temps... Est-il dans enfoui dans les archives du Vatican qui rassemblent tout ce qui a trait à la vie de cette fille venue des marches de Lorraine ? Est-il représenté dans les milliers de bijoux, sculptures, gravures, statuettes équestres, en pied, ou petits objets personnels éclectiques qui ont exalté à l'époque de la béatification et de la canonisation toute cette génération du début du XXe siècle ?

    Nul doute que la conformation du portrait de Jeanne est là, même si les traits du visage demeurent évidemment inperceptibles. A chacun de le découvrir, et de le faire s'épanouir en considérant, avant tout, qu'il doit s'intégrer dans le style et le contexte de cette première moitié du XVe siècle français. Au-delà, admirons la créativité et le talent de ces artistes qui ont rêvé de celle qui est devenue l'héroïne nationale et la sainte universelle, patronne de la France.

    Claude Jacqueline publie dans cet étonnant catalogue sa collection personnelle de statuettes, de médailles et d'objets donnant à voir le visage de Jeanne d'Arc. On y découvrira également avec intérêt la série monétaire en circulation avant et pendant l'épopée Johannique. Avec des illustrations en couleurs !

    Six cents ans après sa naissance, le visage de Jeanne reste toujours un mystère malgré ses innombrables représentations.

     

    ‡ Le visage de Jeanne d'Arc, Claude Jacqueline, éditions Errance, 2012, 111 p., ill. (39 €).

  • Des couronnes de l'Avent avec les Europa-Scouts de Nancy

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    Les EUROPA-SCOUTS de Nancy proposent comme les années précédentes la vente de couronnes de l’Avent ou de "bienvenue".

    Elles sont réalisées par le Groupe Bienheureuse Alix Le Clerc au profit de chaque unité : meute féminine, éclaireuses et guides aînées.
     
    Les tarifs :

    > couronne de bienvenue : 14 €
    > couronne de l’Avent : 17 €
     
    Elles seront livrées le DIMANCHE 2 DECEMBRE 2012 (1er dimanche de l’Avent).
     

    ‡ Pour toute information complémentaire, contactez :

    Sabine Rouquet, cheftaine de Groupe Europa-Scouts
    tél. : 06.75.34.69.14
    courriel : serge.rouquet@orange.fr 
     
  • Le saint lorrain du mois : saint Vanne

    saint_vanne.jpgSaint Vanne fut évêque de Verdun au début du VIe siècle (510).

    Les hagiographes reconnaissaient, dès le début du Xe siècle, ne plus pouvoir se référer à la Vie de Saint Vanne. Les documents le concernant furent en effet détruits dans l’incendie de la cathédrale de Verdun. On sait seulement que saint Vanne fut évêque de Verdun pendant 26 ans.

    Dès le VIIe siècle, saint Vanne fut joint aux patrons primitifs de la ville, et très vite il éclipsa la mémoire de ses prédécesseurs.

    En 951, l’évêque Bérenger fonda une abbaye bénédictine, pour remplacer les chanoines gardiens de la basilique nécropole des évêques. L’abbaye prit de nom de Saint Vanne.

    En 1598, Dom Didier de La Cour entreprit de réformer cette abbaye, puis celle de Moyenmoutier. En 1604 le pape Clément VIII érigea une nouvelle congrégation monastique sous le titre de Saint-Vanne et de Saint-Hydulphe. Elle compta bientôt plus de cinquante monastères en Lorraine et dans l’Est de la France. Cette congrégation, comme les autres, disparut à la Révolution.

    Lorsque Dom Guéranger instaura, en 1837, la congrégation de France, celle-ci fut déclarée l’héritière des congrégations bénédictines de Cluny, de Saint-Maur et de Saint-Vanne et de Saint-Hydulphe.

    L'Eglise fête saint Vanne le 14 novembre.

    [source : www.introibo.fr]

  • La céramique funéraire mérovingienne conservée au Musée Lorrain à Nancy

    céramique funéraire.jpgLa Lorraine a tenu une part non négligeable dans le développement de l'archéologie mérovingienne en France, avec les travaux des érudits du XIXe siècle, à qui l'on doit une part importante des collections conservées dans les musées de Lorraine. Parmi celles-ci, encore en grande partie inédite, l'importante série de vases du Musée Lorrain tient la première place au niveau régional, avec plus de 250 exemplaires. Elle fut enrichie en 1955 grâce aux legs de son ancien conservateur, Georges Goury, préhistorien mais aussi grand collectionneur, qui récolta des pièces issues principalement de nécropoles champenoises.

    La collection du Musée Lorrain concerne presque exclusivement du matériel d'origine funéraire, attribuable, dans sa grande majorité, aux VIe et VIIe siècles de notre ère. Il traduit l'usage de déposer un ou plusieurs vases dans la sépulture, le plus souvent aux pieds du défunt, inhumé avec ses accessoires vestimentaires et son armement ou sa parure pour les femmes. Le vaisselier d'époque mérovingienne, moins diversifié qu'à l'époque gallo-romaine, hérite en partie des traditions antiques, peu à peu supplantées par des formes et des techniques importées lors des grandes migrations. Les vases sont le plus souvent à profil anguleux et sont parfois pourvus d'un décor poinçonné ou bien obtenu à l'aide d'une molette à motifs géométriques prédominants.

    L'étude de cette production céramique , proposée par cet ouvrage, longtemps délaissée, est un instrument de connaissance non négligeable de la société mérovingienne à travers ses pratiques funéraires mais aussi les courants commerciaux et les échanges qui ont présidé une économie beaucoup moins fermée qu'il n'y paraît.

    Les auteurs : Sébastien Brunella est professeur d'histoire-géographie, Jacques Guillaume est ingénieur d'études au CNRS et Rachel Prouteau est doctorante en archéologique à l'Inrap.

     

    ‡ La céramique funéraire mérovingienne conservées au Musée Lorrain à Nancy, Sébastien Brunella, Jacques Guillaume et Rachel Prouteau, PUN - éditions universitaires de Lorraine, 2012, 127 p., ill. (15 €).

  • Quand les Romains débarquaient en Lorraine méridionale... Un nouveau livre de Roger Poinsot

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    ‡ Contact : roger.poinsot@wanadoo.fr   

  • Le musée départemental d'Art Ancien et Contemporain d'Epinal

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    [Vosges Matin]

  • Bleurville (88) : hommage à tous les soldats "Morts pour la France"

    A l’invitation de la municipalité, les Bleurvillois ont commémoré le 94ème anniversaire de l’Armistice 1918. Moment de communion en mémoire des militaires de tous les conflits tombés pour la Patrie.

    Bleurville_11-nov 2012 007.jpgDès 9 heures, à l’appel des cloches de l’église paroissiale, élus et population se sont rassemblés à l’entrée du cimetière communal sous la conduite du maître de cérémonie, Denis Bisval, adjoint au maire. Tous ont rejoint le monument aux morts derrière la fanfare cantonale qui rehaussa, par l'interprétation des sonneries réglementaires, cette cérémonie patriotique.

    Désormais, le 11 novembre célèbre à la fois l'anniversaire de l'Armistice de 1918, la commémoration de la Victoire et de la Paix et l'hommage à tous les morts pour la France. Après l’appel des soldats « Morts pour la France » et le dépôt de gerbe par un jeune garçon du village, accompagné du maire André Granget, ce dernier rappela, en écho au message du secrétaire d’Etat à la Défense chargé des Anciens Combattants, qu’ « il y a tout juste 90 ans, pour commémorer l'anniversaire de l'Armistice de 1918, la journée du 11 novembre fut instituée par la loi du 24 octobre 1922 ‘journée nationale pour la commémoration de la Victoire et de la paix’. La loi du 28 février 2012 élargit la portée à l'ensemble des morts pour la France. C'est donc la reconnaissance du pays tout entier à l'égard de l'ensemble des Morts pour la France tombés pendant et depuis la Grande Guerre qui s'exprime aujourd'hui, particulièrement envers les derniers d'entre eux, ceux qui ont laissé leur vie en Afghanistan. » Cette évolution s'inscrit dans une démarche commémorative qui vise à transmettre la mémoire, à favoriser la compréhension de notre histoire nationale commune et son appropriation par les jeunes générations.

    Bleurville_11-nov 2012 004.jpgA l’occasion de cette cérémonie, Albert Granget, ancien d’AFN et membre des « Diables Bleus », faisait ses premiers pas comme porte-drapeau AFN de Bleurville, aux côtés d’André Beaugrand, porte-drapeau des Anciens combattants 1914-1918 et 1939-1945.

    Avant de clore la commémoration, la fanfare donna une aubade en l’honneur de toutes les victimes militaires des guerres du XXe siècle. Un vin d’honneur était ensuite servi à la salle des associations de la mairie. Une messe à la mémoire des victimes des conflits était célébrée par l’abbé Ayéméné en l’église de Monthureux-sur-Saône.

  • La Gestapo en Moselle

    Gestapo.jpgFigure d'épouvante dans la mémoire collective, personnification de la terreur arbitraire pour le grand public, la Gestapo est pourtant l'un des acteurs de la répression les moins connus de la France des années d'occupation.

    Acune publication ne s'est intéressée à son fonctionnement quotidien, à ses effectifs, au parcours de son personnel, à leurs motivations, à leurs méthodes. Cédric Neveu, jeune historien spécialiste de la répression et des polices du parti national-socialiste, propose la première étude jamais publiée en France. sur un service régional de la Gestapo, qui plus est, dans une région annexée au Reich entre 1940 et 1945 constituant un enjeu centrale pour l'Europe allemande voulue par Hitler. A partir d'archives allemandes, anglaises et françaises, pour la plupart totalement inédites, il retrace l'histoire de ce service, son organisation, l'itinéraire de ses cadres et leurs techniques de lutte au service de la nazification de la Lorraine. Il révèle également toute la complexité de cette police, sa place dans le dispositif répressif nazi, ses relations avec les autres acteurs allemands, les complicités dans la population locale.

    Dressant le bilan de quatre années de répression, il évoque aussi l'après-guerre clémente que beaucoup de ces hommes connaissent dans une Allemagne en reconstruction.

     

    ‡ La Gestapo en Moselle. Une police au coeur de la répression nazie, Cédric Neveu, éditions Serpenoise, 2012, 303 p., ill. (24 €).

  • "Mariage pour tous" : réaction des évêque de l'Est de la France

    Communiqué des évêques de l'Est de la France

    à l'occasion du projet de loi sur « le mariage pour tous »


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    Le 31 octobre prochain, le Conseil des ministres va se saisir du projet de loi visant à ouvrir le mariage aux couples de même sexe. L'adoption de ce projet transformerait une institution structurant la société depuis des siècles; ce qui ne peut laisser indifférent aucun citoyen. Des membres d'autres confessions chrétiennes, d'autres religions, mais aussi des groupes de réflexion et des personnalités compétentes s'interrogent.

    Est-il possible de prendre une telle décision sans qu'un débat n'ait lieu à l'échelon national ? Les arguments qui veulent légitimer le mariage des couples de même sexe reposent en général sur deux points : l'amour et la non-discrimination.

    Concernant la question de l'amour, nous comprenons que des personnes du même sexe puissent s'aimer. Mais alors faut-il institutionnaliser une forme particulière d’amour dans la société ? Si le mariage a été institué, c’est pour garantir la stabilité sociale et la filiation.

    Concernant le second point, celui de la non-discrimination, il faut rappeler que le mariage a toujours été compris comme l'union d'un homme et d'une femme (cf. article 12 de la Convention européenne des  droits de l'homme). Permettre le mariage de personnes du même sexe, c'est donc changer la définition du mariage lui-même.

    Une des conséquences concrètes, déjà prévue dans le projet de loi, que nous ne mesurons peut-être pas encore, c'est le remplacement de la notion de « père » et de « mère » dans l'état civil, au profit des notions artificielles et finalement discriminatoires de « parent 1 » et de « parent 2 ».

    Dans une société déjà déstabilisée, en quête de repères, avons-nous besoin de porter atteinte à la famille, cellule structurante de la société, et au rôle fondamental du père et de la mère ? Le grand oublié de ce projet n'est-il pas l'enfant ? En voulant donner le « droit à l'enfant » à certains, n'en vient-on pas à nier les droits de l'enfant lui-même ?

    Nous renouvelons notre appel aux responsables politiques du pays, afin qu'un large débat ouvert et serein puisse avoir lieu sur ce sujet fondamental. Nous encourageons toutes les initiatives constructives de nos concitoyens en ce sens. Nous appelons les membres de nos communautés à apporter leur contribution à ce débat.

     

    Besançon, le 17 octobre 2012

     

    Mgr André Lacrampe, archevêque de Besançon

    Mgr Jean-Pierre Grallet, archevêque de Strasbourg

    Mgr Vincent Jordy, évêque de Saint-Claude

    Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié

    Mgr François Maupu, évêque de Verdun

    Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy

    Mgr Pierre Raffin, évêque de Metz

    Mgr Claude Schockert, évêque de Belfort-Montbéliard

    Mgr Vincent Dollmann, évêque auxiliaire de Strasbourg

    Mgr Christian Kratz, évêque auxiliaire de Strasbourg

  • Deux sites lorrains d'exception à vendre

    Deux sites d'exception sont à vendre en Lorraine :
     
    > Le château de Jaulny (Meurthe-et-Moselle, entre Pont-à-Mousson et Metz)
     

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    > L'abbaye de Brieulles-sur-Meuse (entre Verdun et Dun-sur-Meuse)
     

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  • Le curé de Dombasle-sur-Meurthe (54) agressé à son domicile

    abbé geoffroy.jpgL’abbé François Geoffroy a été victime d’un mystérieuse agression jeudi 8 novembre vers 22h30, alors qu’il regagnait son domicile après une réunion.

    Le curé de Dombasle-sur-Meurthe venait de garer sa voiture dans le garage quand un homme, dont le visage était dissimulé par une cagoule, lui a sauté dessus.

    « Apparemment, il m’attendait », confie l’abbé Geoffroy. « Il m’a jeté plusieurs fois à terre, je me suis relevé à chaque fois et je me suis défendu ». Les motivations de l’agresseur sont obscures : rien n’a été volé. « Il n’a pas prononcé une seule parole : on dirait qu’il avait peur d’être identifié. Je crois avoir ma petite idée… ». Durant la rixe, l’agresseur a perdu sa montre. Elle permettra peut-être de le démasquer.

    Souffrant de douleurs costales et d’une estafilade au visage, le prêtre, âgé de 75 ans, a été conduit à l’hôpital où il a passé la nuit. Plainte contre X a été déposée.

    [source : Est Républicain]

  • Saint-Nicolas-de-Port (54) : inauguration de la rue "Charles François Saint-Mihiel, médecin (1711-1784)" et conférence de Jean-Marc Lejuste

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  • Halte au pillage du patrimoine lorrain !

    cheminée toul.jpgCe n'est pas nouveau, mais malheureusement le phénomène s'accélère avec la crise et l'absence de culture patrimoniale chez nos contemporains, nos maisons lorraines sont pillées par des propriétaires sans état d'âme et sans scrupules.
     
    Ce phénomène a une importance considérable dans notre région, notamment dans des zones rurales comme la Meuse ou les Vosges de l'Ouest où les richesses architecturales traditionnelles sont encore très nombreuses mais se réduisent avec une certaine paupérisation qui n'alerte que trop peu...
     
    Exemple parmi d'autres, dans une ville où seule la Ville Haute voit ses intérieurs protégés par un secteur sauvegardé alors que la Ville Basse mériterait largement ces mêmes protections, Bar-le-Duc voit certains de ses éléments vendus sur internet. Ou encore à Toul, qui bénéficie pourtant d'un secteur sauvegardé, comme en témoigne le cliché de cette cheminée XVIIe qui est mise en vente sur internet.

    [source : Anthony Koenig, patrimoinesenlorraine@gmail.com]

  • Epinal fête les 150 ans de la loge "La Fraternité Vosgienne"

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    [Est Magazine | 16.09.2012]

  • Epinal : la Tour chinoise primée

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    [Vosges Matin]

  • Saône Lorraine : entre bilan et projets

    La saison touristique en Saône Lorraine a été officiellement close lors de la réunion du conseil d'administration de l'association éponyme. Occasion de dresser un bilan et de se projeter dans l'avenir.

    vosges,saone lorraine,chatillon sur saone,thons,hennezel,bleurville,communauté de communes pays saone vosgienne,jean françois michel,renaissanceLe président Michel a dressé un bilan assez satisfaisant de l'activité touristique dans les trois sites gérés et animés par l'association Saône Lorraine : la cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône, l'église des Cordeliers des Thons et le musée des activités anciennes et de la Résistance de Hennezel-Clairey. Si le nombre des visiteurs individuels reste stable, en revanche le président déplore le manque de groupes. Plusieurs pistes ont été explorées afin de démarcher les structures potentiellement concernées.

    Les Musées vivants de Châtillon ont encore connu un beau succès et seront par conséquent reconduits en 2013. Le calendrier des Musées vivants 2013 a été défini : ils auront lieu les 5 mai, 6 juillet en soirée, 4 août avec un musée vivant  "médiéval et renaissance" et 8 septembre.

    Par ailleurs, au musée de Hennezel-Clairey, l'exposition sur les opalines et verreries moulées est reconduite la prochaine saison. La réouverture du musée coïncidera avec le marché de Pâques prévu le 24 mars 2013.

    vosges,saone lorraine,chatillon sur saone,thons,hennezel,bleurville,communauté de communes pays saone vosgienne,jean françois michel,renaissanceL'actualité de Saône Lorraine se concentre surtout sur les importants travaux engagés sur le bâtiment conventuel des Thons, propriété de l'association. Depuis quelques jours, un vaste échaffaudage enserre l'ancien logement des frères franciscains. La première tranche, prévue pour une durée de 8 mois, consiste à reprendre complètement la toiture. Ces travaux sont placés sous l'autorité de Pierre Bortolussi, architecte en chef des Monuments historiques.

    Les agents du chantier d'insertion de la Communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne seront sollicités afin d'effectuer la pose de tomettes dans les salles du couvent ainsi que des marches d'escaliers à Châtillon-sur-Saône, derrière la Grosse Tour.

    Enfin, une réflexion a été engagée sur la question du renouvellement du flèchage touristique à Châtillon et, plus largement, dans le périmètre du Pays de la Saône vosgienne, en lien avec l'ouverture à Châtillon-sur-Saône même de la "Maison de Marie", lieu d'information touristique de la Communauté de communes.

    [clichés : musée vivant à Châtillon, 2012 | vue aérienne du couvent des Cordeliers des Thons, années 1960]

  • 11 Novembre : une messe pour la France à Paris

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    Cérémonie du 11 Novembre à Bleurville (archives 2010, © H&PB]

  • Général Bigeard : ses cendres déposées à Fréjus le 20 novembre

    Plus de deux ans après sa mort, les cendres de Marcel Bigeard, qui n’ont pas pu aller aux Invalides, ni être dispersées au-dessus de Dien Bien Phu, seront déposées au mémorial des guerres d’Indochine à Fréjus.

    bigeard.jpgLa famille du général Bigeard, comme la fondation qui porte son nom, se disent « soulagées ». « Les cendres de mon père se trouvent au crématorium de Nancy depuis deux ans et demi. C'est long », soupire sa fille Marie-France, qui avait envisagé, faute de mieux, une stèle au cimetière de Toul, sa ville natale.

    « Au mémorial des guerres d'Indochine, à Fréjus, le général rejoindra ses compagnons d'armes. Il était temps de trouver à un soldat de cette envergure une résidence éternelle », ajoute Anne-Marie Quenette, présidente de la fondation Bigeard.

    Le transfert des cendres aura lieu le 20 novembre, au cours d'une cérémonie en présence du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Ce dernier « a bien connu mon père quand il était secrétaire d'État à la défense puis parlementaire. Il avait de l'admiration pour lui », assure Marie-France Bigeard. La date choisie pour cet hommage lui paraît idéale : le 20 novembre correspond à l'opération Castor menée à Dien Bien Phu en 1953, par son père.

    Le général Bigeard était tellement attaché à cette phase de son histoire qu'il avait émis le souhait que ses cendres soient dispersées au-dessus de Dien Bien Phu pour « rejoindre ses camarades tombés au combat » en mai 1954. Le gouvernement vietnamien a catégoriquement refusé « malgré toutes nos démarches », raconte Anne-Marie Quenette. Gérard Longuet, ministre de la Défense, avait ensuite proposé, en novembre dernier, le transfert des cendres du général aux Invalides, lieu de repos des grands noms de l'armée française. Cette éventualité avait engendré une polémique, un collectif demandant au gouvernement de« renoncer à cette initiative historiquement infondée, politiquement dangereuse et humainement scandaleuse ».

    Les élections et une nouvelle équipe en place ont eu raison de ce débat.

    Le général Bigeard, mort à 94 ans, aura donc sa stèle à Fréjus, dans le jardin du souvenir du mémorial. À la grande joie des associations patriotiques locales et régionales. « Bigeard, c'est un personnage emblématique. C'est un honneur de l'avoir ici », s'exclame Christian Tafforin, président de l'association des anciens d'Indochine. « C'était un grand monsieur et un grand soldat », renchérit Pierre Monjal, président régional des anciens prisonniers et déportés d'Indochine. Il avait 20 ans à Dien Bien Phu. Et il n'est pas près d'oublier.

    Quant aux critiques essuyées par le général Bigeard, considéré comme un meneur d'hommes aux méthodes jugées parfois musclées, cet ancien combattant les balaye d'un revers de la main. « La guerre ne se fait pas avec des enfants de chœur », conclut-il.

    [Var Matin | 04.11.2012 - cliché Vosges Matin]

  • Abbayes des Vosges, quinze siècles d'histoire

    lorraine,alsace,franche comté,couvents,abbayes,vosges,monastères,église catholique,dom calmet,bénédictins,cisterciens,prémontrés,dominicains,damien parmentierEn 590, le moine irlandais Colomban a fondé le premier monastère des Vosges, à Luxeuil. Dans son sillage, et tout au long du Moyen Âge, le massif vosgien s'est couvert d'un "blanc manteau d'abbayes, de couvents et de monastères", constituant un véritable mont Athos d'Occident.

    A la fois centres spirituels et lieux du pouvoir seigneurial, les abbayes vosgiennes régnaient sur de vastes territoires, possédant des villages entiers et dirigeant la vie de milliers de personnes. Les moines et les moniales défrichaient et géraient la forêt, cultivaient les champs et les vignes, élevaient des troupeaux, exploitaient des mines et commerçaient avec toute l'Europe. Il y avait les bénédictins, les dominicains, les prémontrés et les cisterciens, de langue germanique ou romane, composant un réseau actif et complexe, en essor presque constant malgré les vicissitudes de l'histoire, jusqu'à l'arrêt brutal provoqué par la Révolution.

    Lieux de prière immergés au coeur de la montagne, les abbayes des Vosges furent aussi des centres d'érudition et d'art rayonnants, produisant dans leurs scriptoria des manuscrits liturgiques de toute beauté, conservant dans leurs immenses bibliothèques les savoirs du monde entier et créant des trésors d'architecture, de sculpture et de peinture.

    Après les destructions de la funeste Révolution et la dispersion des moines, nombre de bâtiments servirent au XIXe siècle de carrières de pierre ou furent utilisés par l'industrie textile naissante, comme à Munster ou Senones. Plus lentement, après un déclin généralisé, plusieurs centres spirituels réapparurent (Mont Saint-Odile, Lepuix-Gy, Trois-Epis). D'autres sites servent aujourd'hui de support culturel de renom, comme les dominicains de Guebwiller ou les trois abbayes de Senones, Moyenmoutier et Etival, en valorisant le patrimoine culturel et touristique d'un massif placé aux marges des trois régions Alsace, Lorraine et Franche-Comté.

    Grâce au remarquable travail de synthèse de Damien Parmentier, cet ouvrage rend aux trente-huit monastères du massif vosgien l'incomparable éclat qui les a fait briller pendant plus d'un millénaire.

     

    ‡ Abbayes des Vosges. Quinze siècles d'histoire, Damien Parmentier, La Nuée Bleue - Editions Serpenoise, 2012, 255 p., ill. (25 €).

  • Martigny-les-Bains (88) : inauguration de la place "Nicolas-Jacquin dit Philibert" le 11 novembre

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    [Vosges Matin]

  • Toiles de la crypte de la basilique de Domremy : le projet de restauration est lancé

    Domremy_basilique_08.09.12 03.jpgLa crypte de la Basilique du Bois Chenu construite à la fin du 19ème siècle a été dédiée à Notre-Dame des Armées. De chaque côté de l’autel se trouvaient deux toiles (chacune d’environ 3 m x 3 m) réalisées en 1897 par le peintre vosgien Alphonse Monchablon, « Le sacrifice de l’armée de terre et de la marine pendant la guerre de 1870 », destinées à commémorer la guerre de 1870.

    L’une est consacrée à l’armée de terre et a été offerte par le baron et la baronne Charles de Ravinel, l’autre à la « Royale », offerte par le Révérend Père Joseph, ancien aumônier militaire et fondateur de l’Œuvre des prières et des tombes. Certains visages de ces toiles sont des personnages connus, le général de cavalerie de Benoist, le capitaine Pernot, le baron Pierre de Ravinel, le capitaine Paul de Rozières, le colonel Baudot et le sergent Aubry de Mirecourt pour l’armée de terre, l’amiral de La Jaille, le R. P. Joseph, et le baron Charles de Ravinel pour la marine. La présence de la marine dans une composition en l'honneur de la guerre de 1870 peut paraître incongrue (aucune bataille ne fut en effet livrée sur mer durant ce conflit). Et pourtant, des troupes d'infanterie de marine participèrent au siège de Sedan et, lors du siège de Paris, plusieurs amiraux commandèrent des forts de la ceinture parisienne. L'hommage était donc mérité !

    Ces toiles furent déposées au début des années 1960 et on les croyait à jamais disparues.

    lorraine,vosges,domremy,alphonse monchablon,basilique,sainte jeanne d'arc,veilles maisons françaises,saône lorraine,fondation du patrimoineRappelons qu'Alphonse Monchablon est né à Avillers, dans le canton de Mirecourt, en 1835 et mort à Paris en 1907. Premier prix de Rome en 1863, il commence une brillante carrière parsemée de nombreuses récompenses. Portraitiste, il travaille surtout les vastes compositions à thème religieux dans un style académique. Il s'illustrera en particulier au début de la IIIe République, durant la période dite de "l'ordre moral". Les critiques d'art le catalogueront un peu vite comme peintre "pompier". Depuis, fort heureusement, notre peintre a été réhabilité !

    En 2011, l’association Saône Lorraine, à l’initiative de Jean-François et Marie-Françoise Michel, a organisé une exposition sur l’œuvre du peintre Alphonse Monchablon au musée du verre, du fer et du bois de Hennezel-Clairey qui abrite déjà une grande fresque de ce peintre, propriété du diocèse de Saint-Dié. Ils cherchent à dresser un inventaire aussi exhaustif que possible de son œuvre.

    lorraine,vosges,domremy,alphonse monchablon,basilique,sainte jeanne d'arc,veilles maisons françaises,saône lorraine,fondation du patrimoineA cette occasion, des passionnés de patrimoine vosgien (au nombre desquels on peut citer Christine  Le Maréchal-de Rozières et les époux Michel) se sont mis à la recherche des fameuses toiles égarées. L’abbé Michel Lambert, recteur de la basilique et curé de Domremy, les a retrouvées roulées dans les greniers de la maison des chapelains. Elles sont dans un piètre état mais peuvent tout à fait se prêter à une restauration. Le diocèse de Saint-Dié est favorable à leur remise en place dans la crypte sous réserve que les frais ne soient pas à sa charge.

    lorraine,vosges,domremy,alphonse monchablon,basilique,sainte jeanne d'arc,veilles maisons françaises,saône lorraine,fondation du patrimoineDimanche 4 novembre, une assemblée constitutive s'est réunie à la basilique Sainte-Jeanne d'Arc de Domremy, en présence de l'abbé Lambert, afin de délibérer sur l'opportunité et les conditions de réalisation du projet. Claude Faltrauer, chargé du patrimoine à la Commission d’Art sacré du diocèse de Saint-Dié, a présenté les modalités de la restauration ainsi que les devis. Quant à Jean-François Michel, président de l’Association Saône Lorraine et délégué VMF Lorraine, il a replacé l'oeuvre de la crypte de Domremy dans les productions de Monchablon. Enfin, Jacky Frémont, délégué pour les Vosges de la Fondation du Patrimoine, a présenté les possibilités de financement de l'opération.

    Une large discussion s'est ouverte durant laquelle il a été décidé de lancer une souscription via la Fondation du Patrimoine. Il a également été proposé que Vieilles Maisons Françaises Vosges assure la représentation juridique auprès des instances (diocèse de Saint-Dié propriétaire des toiles, Fondation du Patrimoine, collectivités locales) ainsi que la coordination de la souscription et le pilotage de la restauration.

    Une réunion annuelle fera le point sur l'avancement du projet qui devrait aboutir d'ici deux ans.

     

    ‡ Plus d’info’s auprès de Jean-François Michel, délégué VMF Lorraine : jean-f.michel@wanadoo.fr

    ou auprès de Christine Le Maréchal-de Rozières : lesmarechaux.bourmont@orange.fr

  • 21ème Fête du livre de Renaissance Catholique

    On nous prie d’annoncer :

     

    renaissance catholique.jpgLa 21e Fête du livre de Renaissance Catholique aura lieu dimanche 25 novembre 2012 de 12h à 18h à Grand'Maisons, à Villepreux (Yvelines).

     

    Plus de 110 auteurs sont attendus à partir de 14 h pour dédicacer leurs ouvrages. Une librairie générale présentera les nouveautés de la rentrée. Nombreux livres pour la jeunesse. Grande librairie d'occasion.

     

    Vente de produits du terroir de France par des producteurs amis (champagne, vins de Bourgogne, foie gras et produits du sud-ouest, huile d’olive de Provence...).

     

    La réunion se déroule dans les salons de Grand'Maisons à Villepreux (20 km à l'ouest de Paris ; 10mn de Versailles ; grand parking gratuit et gardé). Les personnes sans voiture peuvent utiliser un service de car gratuit mis en place par Renaissance Catholique à proximité de la gare Versailles-Rive Gauche : départs à 10 h 20, 13 h 30 et 14 h 45 (horaires à confirmer) et deux retours assurés depuis Villepreux vers Versailles.

     

    Venez en famille passer la journée à Grand’Maisons :

     

    * messe chantée célébrée par le père Argouarc'h à 11 h aux intentions de la France

    * restauration rapide et buvette à partir de 12 h. Garderie d’enfants à 14 h

    * conférences à partir de 14 h de Philippe de Villiers (Le roman de Charette) et Charles Guilhamon (Sur les traces des chrétiens oubliés : carnet de route de deux amis pèlerins)

     

    Participation aux frais : 7 € - 4 € adhérents et chômeurs.

     

    Organisation : Renaissance Catholique 23 bis, rue Edouard-Nieuport, 92150 Suresnes

     

    rcatholique@wanadoo.fr

     

    www.renaissancecatholique.org

     

    LES AUTEURS PRESENTS

     

    1. Joëlle d’Abbadie

    2. Yves-Marie Adeline

    3. Jean-Marie Albert

    4. Bernard Antony

    5. Antoine Assaf

    6. Vincent Badré

    7. Abbé Claude Barthe

    8. Florence de Baudus

    9. Francine Bay

    10. Gérard Bedel

    11. Francis Bergeron

    12. Pascal Bernardin

    13. Grégoire Boucher

    14. Thierry Bouclier

    15. Bernadette Bourbon

    16. Alain Bournazel

    17. Anne Brassié

    18. François Brunatto

    19. Judith Cabaud

    20. Arnaud de Cacqueray

    21. Christophe Carichon

    22. Bruno de Cessole

    23. Louis Chagnon

    24. Inès de Chanterac

    25. Jean-Luc Cherrier

    26. François Chevalier

    27. Gerges Clément

    28. Philippe Conrad

    29. Tanguy de Courtrai

    30. Custos

    31. Michel De Jaeghere

    32. Patrick Delon

    33. Pierre Descaves

    34. Alain Didier

    35. Georges Dillinger

    36. Xavier Dor

    37. Renaud Dozoul

    38. Véronique Duchâteau

    39. Christophe Dutrône

    40. Alain Escada

    41. Claude Faisandier

    42. Louis Fontaine

    43. Rémi Fontaine

    44. Yves Formet

    45. Pascal Gauchon

    46. Henri-Christian Giraud

    47. Laurent Glauzy

    48. Thierry Gobet

    49. Charles Guilhamon

    50. Richard Haddad

    51. Jean-Louis Harouel

    52. Marie-France Helaers

    53. Lydwine Helly

    54. Philippe d’Hugues

    55. Ignace

    56. Jean-Marie Keroas

    57. Aude de Kerros

    58. Arnaud de Lassus

    59. Isabelle Laurent

    60. Bruno Le Roux

    61. Henry de Lesquen

    62. Xavier Martin

    63. David Mascré

    64. Roberto de Mattei

    65. Thierry Maucour

    66. Jean-Pierre Maugendre

    67. Paul-André Maur

    68. Philippe Maxence

    69. Claude Meunier-Berthelot

    70. David Miège

    71. Alain Mius

    72. Jean Monneret

    73. François Montgiscard

    74. Minh Dung Louis Nghiem

    75. Dominique Paladilhe

    76. Dominique Paoli

    77. Alain Paucard

    78. Martin Peltier

    79. Philippe Pichot-Bravard

    80. Hervé Pinoteau

    81. Pierre de Place

    82. Louis Pozzo di Borgo

    83. Philippe Prévost

    84. Arnaud Raffard de Brienne

    85. Philippe Raggi

    86. Louis-Hubert Remy

    87. Christophe Réveillard

    88. Jean Rolland

    89. Michel Rouche

    90. Claude Rousseau

    91. Catherine Rouvir

    92. Gaétan de Salvatore

    93. Alain Sanders

    94. Thierry Sarmant

    95. Reynald Secher

    96. Jean Sévillia

    97. Xavier Soleil

    98. Franck Tabaali

    99. Nicolas Tandler

    100. Abbé Guillaume de Tanoüarn

    101. Yves Tissier

    102. Jean-Pierre Turbergue

    103. Mauricette Vial-Andru

    104. Jean de Viguerie

    105. Philippe Vilgier

    106. Philippe de Villiers

    107. Jean-Louis Voisin

    108. Henri de Wailly

    109. Laurent Wetzel

    110. Guillaume Zeller

    111. Charles Zorgbibe

     

     

     

     

     

  • La Lorraine d'antan à travers la carte postale ancienne

    lorraine jmc.jpgPays de la mirabelle et du vin gris, La Lorraine est une région riche d’une histoire qui a façonné son identité.

     

    Plus de 400 cartes postales anciennes relatent la vie et le quotidien des Lorrains il y a un peu plus d’un siècle.

     

    En Lorraine, la Belle Époque prend des allures singulières : annexée en partie en 1871, les villes de garnison sont nombreuses. La région est encore majoritairement rurale et forestière : paysans, schlitteurs, bûcherons et vignerons se partagent le vaste territoire. Les années 1880-1900 sont aussi un tournant pour l’industrie : forges et hauts-fourneaux, verreries, cristalleries, mines et carrières, artisanat et petits métiers s’imposent dans le paysage lorrain. Le Pays-Haut meurthe-et-mosellan a même été surnommé le « Texas français » ! Les moyens de transport se diversifient ; une des premières lignes de chemin de fer en France passe par la région. Les cités s’agrandissent et se modernisent. Mais la Lorraine à la Belle Époque, c’est encore les prémices du tourisme à Gérardmer, les joies des sports d’hiver, le début de l’aéronautique et le thermalisme.

     

    Regroupant près de 400 cartes postales anciennes, La Lorraine d’antan invite le lecteur à redécouvrir la lorraine au tournant des XIXe et XXe siècles. L’ouvrage s’articule autour de huit thématiques : La vie rurale ; De l’atelier à l’usine ; L’évolution des transports ; Les grandes cités ; La frontière ; La vie au village, au fil des saisons ; Les traditions et le folklore lorrains ; Les loisirs et l’essor du tourisme.

     

    Partez à la découverte d’une Lorraine encore pétrie de traditions rurales mais qui s’ouvre au progrès et à la modernité.

     

     

    ‡ La Lorraine d’antan à travers la carte postale ancienne, Jean-Marie Cuny, HC éditions, 2012, 160 p., 400 cartes postales anciennes (28,90 €).

  • L’église Saint-Martin de Malzéville

    lorraine,malzéville,église,saint martin,fresquesLes peintures murales du XVe siècle de l'église Saint-Martin ont été intégralement restaurées pendant l'année 2012.

     

    A l'occasion de leur inauguration, une monographie édité dans la collection « Itinéraire du patrimoine » retraçant l’histoire de l’église Saint-Martin et décrivant le patrimoine mobilier de l’édifice sera mise en vente le 10 novembre prochain.

     

    La brochure s'organise en trois chapitres abordant l'histoire et l'architecture du bâtiment, les peintures murales (cycle de la Passion, tableaux représentant des saints) et leur toute récente restauration, et, enfin, le patrimoine mobilier de l'église et les éléments remarquables (ornements liturgiques, linges, etc.) conservés à la sacristie.

     

    malzeville fresque eglise.jpgUn plan métré, spécialement réalisé pour cette édition, figure aussi dans l'ouvrage.

     

    La publication est réalisée par Ilona Hans-Collas, docteur en histoire de l'art spécialiste des peintures murales, Laurence Blondaux, conservatrice-restauratrice du chantier, et Etienne Martin docteur en géographie historique.

     

    Le document de 40 pages est imprimé entièrement en couleurs avec plus d’une cinquantaine d’illustrations. Il est vendu au prix de 4,50 € (+ 2 € de frais d'envoi).

     

     

     

    ‡ Commande à adresser à : Association pour la Sauvegarde du Patrimoine de l'église Saint-Martin, 2 rue du Lion d’Or, 54220 MALZÉVILLE

     

    Tél. : 03 83 29 92 30 / Courriel : aspe@gmail.com