Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

homosexuels

  • Manif' pour Tous à Paris le 2 février 2014

    manif.jpg

    >> Plus d'infos sur www.lamanifpourtous.fr 

  • Et la France se réveilla

    france.jpgCe devait être une loi festive et consensuelle... Une formalité. Elle a, et pour longtemps, fracturé la France en deux. En l'espace de trois grandes manifestations, la contestation de la loi sur le mariage et l'adoption pour les couples homosexuels a mobilisé des millions de Français. Même votée, promulguée, cette loi continue de diviser le pays et ils sont nombreux, aujourd'hui encore, à la combattre.

    Voici le premier livre qui retrace l'histoire secrète de la Manif pour Tous, la met en perspective avec le quinquennat de Nicolas Sarkozy, évalue les conséquences profondes qu'elle peut avoir sur la vie politique, l'Eglise et toute la société.

    Dès l'origine, les auteurs ont suivi, jour après jour, ce mouvement. Ils ont rencontré les organisateurs, les manifestants, les hommes et les femmes politiques qui y ont pris part ou l'ont combattue. Ils ont assisté à l'émergence du phénomène Frigide Barjot, à l'apparition d'une nouvelle génération militante, à la naissance des Veilleurs. Ils ont analysé le rôle de l'Eglise et l'influence des réseaux sociaux militants. Ils ont relevé, en détail, les brimades policières aux ordres du pouvoir socialiste, les mensonges politiques et les condamnations judiciaires iniques.

    De la ligne Buisson au succès de la Droite forte, des hésitations de François Hollande aux provocations de l'homosexualiste Pierre Bergé, des joutes homériques à l'Assemblée nationale au harcèlement des membres du gouvernement, des silences de Marine Le Pen à l'engagement de sa nièce la députée Marion Le Pen-Maréchal, ils racontent aussi les coulisses d'une année politique où la loi Taubira a tracé, au-delà des partis, de nouveaux clivages. Où s'est esquissée, dans la rue, une recomposition de la droite.

    Ils montrent enfin comment la Manif pour Tous a amorcé un véritable retournement culturel : une révolution des valeurs. Un combat contre le nihilisme soixante-huitard.

     

    ‡ Et la France se réveilla. Enquête sur la révolution des valeurs, Vincent Trémolet de Villers et Raphaël Stainville, Editions du Toucan, 2013, 280 p. (18 €).

  • Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie

    eglise,catholique,assomption,vierge,marie,priere universelle,homosexuels,famille,enfants

    L'Assomption de la Vierge Marie, enluminure, manuscrit XVIe s.

     

    Omnípotens sempitérne Deus, qui Immaculátam Vírginem Maríam, Fílii tui genitrícem, córpore et ánima ad cæléstem glóriam assumpsísti : concéde, quǽsumus ; ut, ad superna semper inténti, ipsíus glóriæ mereámur esse consórtes.

    [Collecte de la messe de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie]

     

    Dieu éternel et tout-puissant, vous avez élevé, en son corps et en son âme, à la gloire du ciel, Marie, la Vierge immaculée, mère de votre Fils : faites, nous vous en prions, que, sans cesse tendus vers les choses d’en-haut, nous méritions d’avoir part à sa gloire.

     

  • Un million de manifestants contre la "loi Taubira"

    manif 26 mai 2013.jpg

    C'est encore un million de manifestants - dont de nombreux Lorrains - qui ont battu le pavé parisien ce dimanche 26 juin afin de dire leur opposition au "mariage pour tous".

    On ne lâche rien !  La mobilisation continue.

  • Nancy : les opposants au "mariage pour tous" bâillonnent Jeanne d'Arc

    Ncy_LMPT.jpg

  • Nancy : "les Veilleurs" défendent la famille

    veilleurs nancy_09.05.13 002.jpg

    Deux fois par semaine, les lundis et jeudis, de 21 heures à 23 heures, les Veilleurs occupent pacifiquement la place Stanislas afin de défendre le droit des enfants à avoir un père et une mère. Et cela jusqu'au 26 mai prochain.

    De nombreux passants s'arrêtent afin de demander des explications sur ce rassemblement paisible et ouvert à tous.

    Consultez la présentation de l'action des Veilleurs ici : Veilleurs Nancy.pdf

    Les quatre-vingts Veilleurs de ce jeudi 9 mai...

    veilleurs nancy_09.05.13 001.jpg

    veilleurs nancy_09.05.13 003.jpg

    [clichés H&PB]

  • Contre l'adoption-PMA-GPA pour tous : manif' le 26 mai à Paris

    manif pour tous.jpg

  • « Mariage homo' » : il est encore temps de signer la pétition citoyenne

    mariage,homosexuels,manif pour tous,frigide barjot,cese,pétition citoyenne

     

    Pour être entendu des autorités du pays, les citoyens français opposés au projet de loi dit « mariage pour tous » peuvent saisir le Conseil économique, social et environnemental (CESE), troisième assemblée constitutionnelle de la République et haut lieu du « dialogue et du rassemblement ».

    « C’est le débat public qu’il faut restaurer »… Le CESE est ce « lieu rare et peut-être unique où la culture du dialogue permet de n’exclure personne » (Jean-Paul Delevoye, Président du CESE).

    En effet, la loi constitutionnelle de 2008 a ouvert la possibilité pour les citoyens de saisir le CESE par voie de pétition.

    Pour que ce débat démocratique ait lieu, 500 000 pétitions doivent être réunies.

    C’est pourquoi « La Manif Pour Tous » fait appel à vous : si vous souhaitez, avec elle, que le CESE intervienne dans le processus en cours, envoyez dès aujourd’hui votre pétition citoyenne et invitez votre entourage à le faire aussi.


    >> Pétition citoyenne ci-dessous à imprimer et à renvoyer sous pli affranchi au tarif en vigueur à : La Manif Pour Tous, 15 rue Pottier, 78150 LE CHESNAY.

    >> Imprimez (ou recopier), complétez et envoyez la pétition Pétition citoyenne CESE.pdf

    mariage,homosexuels,manif pour tous,frigide barjot,cese,pétition citoyenne


  • "Manif' Pour Tous" à Nancy : "Touche pas à ma famille !"

    Ce samedi 2 février après-midi, près d'un millier personnes, toutes générations confondues, ont manifesté dans une ambiance bon enfant devant la préfecture de Meurthe-et-Moselle contre le projet de loi sur le "mariage" pour tous en cours de discussion devant l'Assemblée nationale.

    Rendez-vous pour une nouvelle manif' historique nationale le 24 mars à Paris !

    Continuons la mobilisation contre ce projet funeste pour notre civilisation !

    Nancy_Manif' pour tous_02.02.13 006.jpg

    [cliché : ©H&PB]

    lorraine,nancy,manif pour tous,mariage pour tous,homosexuels,assemblée nationale,hollande,mariage,sacrement,église catholique,frigide barjot

    [cliché : Le Salon Beige]

  • Aux âmes Citoyens !

    lorraine,france,prière,jeûne,famille,mariage,homosexuels,église,catholique,chrétiens

     

    ‡ Plus d'info' sur www.tousenpriere.com 

     

    participer-tous-en-priere.jpg


  • Prière pour la famille

    sainte famille.jpg

    La Sainte Famille, manuscrit, XVe s. (Bibliothèque Mazarine).

     

    prière famille.jpg

  • De la tyranie de l’homofolie

    « (…) Dès les années 90, les gays se sont servi du Sida pour revendiquer l’« égalité des droits », ensuite, ils ont souhaité et réussi à criminaliser toute critique jugée « homophobe », puis, allant toujours plus loin dans la déraison, l’homofolie justement, ils ont fini par exiger le « droit » au mariage et à l’adoption. Disons-le nettement, ce ne sera pas tout. Ils n’ont aucune raison de s’arrêter là.

    famille.jpgOn a déjà entendu ces dernières semaines, chez les plus militants d’entre eux - mais ils sont en général l’avant-garde du mouvement -, l’idée d’une discrimination positive gay, d’une parité hétéro-homo dans les partis politiques. Ce week-end même, la Ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, au grand rendez-vous Europe 1/Aujourd’hui en France et iTélé, confirmant que le gouvernement ne cèdera pas, a cru bon de préciser qu’à terme, à travers les discussions parlementaires qui se tiendront jusqu’en janvier, émergera clairement la procréation médicalement assistée (PMA) aux homosexuels et la possibilité de l‘adoption. Interrogée en effet sur l’absence de prise en compte dans ce projet de la procréation médicale assistée (PMA), elle a souligné que le gouvernement a prévu, en réalité, plusieurs textes de loi sur le sujet.

    On a souvent évoqué le lobby de militants gays hystériques. Il existe et il exerce son emprise sur les gays eux-mêmes souvent opposés au mariage (Hervé Villard). Il est, par exemple curieux que, puisqu’il est question d’égalité, le cas de l’égalité des bisexuels n’est même pas été évoqué chez des gens pourtant aussi tolérants ! Dans la peau de chagrin du mariage où ils veulent tous nous chiffonner, ils ne resteraient que « les gays et les lesbiennes » et à la limite quelques trans ! Dans quelle trappe passerait donc celui qui, par exemple, bisexuel, souhaiterait épouser en même temps un homme et une femme ? Certes, je ne vais pas faire le naïf, je sais bien que les bisexuels sont fractionnés en de nombreuses sous-catégories et qu’une de ces sous-catégories est, dirons-nous, bisexuelle par alternance, et que donc, elle pourrait vaguement se satisfaire du droit au mariage. Mais ce serait oublié pourtant que théoriquement, le mariage, contrairement au pacs, est un engagement à vie et que dès lors, s’engager dans les liens d’un mariage monogame la priverait donc en théorie, si le bisexuel respectait la « fidélité » inscrite dans l’article 212 du Code civil, de l’une des branches de sa bisexualité ! Drôle de manière de concevoir l’égalité des droits !

    Il y a, sur le rapport au pacs, une question et un sérieux malentendu qui, dans le débat de ces dernières semaines, n’a jamais été abordé. Comme on le sait, le pacs, a connu un succès inespéré depuis sa création en 1999 (preuve d’ailleurs qu’il n’est pas un « sous-mariage » comme le prétendent les lobbyistes LGBT). Le pacs actuellement devrait logiquement dépasser annuellement le nombre des mariages, grâce aux améliorations qui lui ont été successivement apportées. N’est-il pas alors à craindre que le « droit au mariage gay» une fois établi, le législateur, non seulement mette fin à toute amélioration du pacs, mais supprime même certains des avantages chèrement obtenus ? Lequel me direz-vous ? Mais bien évidemment, en pleine récession, la déclaration fiscale commune dès la première année ? N’est-il pas à craindre que des employeurs qui ont accordé les mêmes avantages aux pacsés qu’aux mariés au nom de la non-discrimination, considèrent désormais que seuls les mariés auront droit à des avantages coûteux ? Les gays alors seraient contraints de se marier pour échapper à l’impôt ! Je n’extrapole pas du tout. Cela s’est passé ainsi dans l’État de New York en juin 2011. Et c’est là qu’on voit aussi que, pour le milieu homo, la revendication du mariage gay n’est qu’une vaste escroquerie, sachant que la plupart des gays ne veulent pas du tout se marier et qu’en plus, le divorce par définition coûte cher !

    Beaucoup de jeunes, aujourd’hui, n’ont pas connu de modèle paternel pour se construire, l’autorité d’un cadre familial rassurant et aimant. Le nombre des familles monoparentales est en augmentation constante. Elles touchent la plupart du temps des femmes seules, élevant seules leurs garçons. De plus en plus, garçons ou filles, à l’âge où on se cherche, sur les réseaux sociaux, dans des soirées ou ailleurs, s’abreuvent de films pornographiques et l’on sent dans la société juvénile comme une résignation à « être homosexuel » une fois passé à l’acte. Tous les feuilletons télé font d’ailleurs le panégyrique d’un adolescent homosexuel. Une maison d’édition de la jeunesse aux titres insipides  comme L’Ecole des loisirs, largement relayée par les bibliothèques scolaires, n’arrête pas de scénariser des amours homosexuels adolescents.  C’est cela l’homofolie : le fatalisme militant des homosexuels « normalisé » par la loi et la sous-culture qui prétendent interdire de dire à ces jeunes qu’ils demeurent libres de choisir ce qui est bon et juste pour eux. L’autorité parentale qui fait défaut, la souffrance de ne pas connaître ses origines, la tyrannie du désir promue par la société de consommation et qui enferme sur soi, le tout à l’Ego, le narcissisme homoérotique de la publicité, les jeux vidéos qui entraînent directement la violence croissante des jeunes, leur fuite du réel, l’incapacité à devenir adulte et à se projeter dans l’avenir.

    C’est donc maintenant l’opposition à la transgression qu’on prétend nous imposer de force, l’ultime défense de la raison et du bien commun contre l’utopie individualiste, qui est devenue criminelle. C’est plus qu’un dérapage ou une erreur, c’est une faute et un instrument de persécution. La mécanique de la lutte contre l’homophobie est la même que pour le soi-disant antiracisme. On passe subrepticement du respect dû à la personne (qui impose de ne pas faire du mal à un étranger parce qu’il est étranger ; de ne pas faire du mal à un homosexuel parce qu’il a cette tendance), à rendre obligatoire une préférence étrangère ou homosexuelle, et à interdire toute réaction négative à un comportement critiquable d’une personne ou d’un groupe ainsi protégés. 

    Il suffit de parler de la surcontamination des homosexuels dans les saunas ou les backrooms parisiens ou des effets négatifs constatés chez des enfants qui ont grandi auprès d’un parent homosexuel pour se voir aussitôt taxé d’intolérance, de haine et d’homophobie. La menace que font peser les lois anti-homophobes en France sur l’expression libre de la vérité sont déjà réelles, comme le savent les responsables de journaux et de radios. Cette menace se traduit déjà, dans de nombreux pays, par des pertes de liberté et des persécutions effectives. 

    En Grande-Bretagne, une amende de 4 000 livres a été infligée en Angleterre à un couple chrétien qui avait refusé d’accueillir un couple gay dans son Bed and Breakfast familial. Il ne faut donc pas se leurrer pour demain : tout propos mettant l’homophilie en cause, que ce soit à l’école ou dans le cadre religieux, finira par tomber sous le coup de la loi. C’est en cela que l’affaire nous concerne tous. C’est en cela que nous aurons retenu aussi une chose dans le microcosme politique : la lâcheté sans nom de Jean-François Copé, appelant à la télévision, à un rassemblement contre le mariage gay et se gardant bien le jour venu de défiler ! »

    [source : Metamag | 28 nov. 2012]

  • "Manif' pour tous" à Nancy le 8 décembre

    Manif-pour-tous.jpg


    APPEL AUX CITOYENS ! 

    Pour le mariage civil Homme - Femme

    Pour la filiation Père-Mère-Enfant

    Contre le projet de loi de

    « mariage pour tous »

     

    Manifestation à Nancy 

    Samedi 8 décembre 2012

    à 14h00 place Carnot

  • "Mariage pour tous" : réaction des évêque de l'Est de la France

    Communiqué des évêques de l'Est de la France

    à l'occasion du projet de loi sur « le mariage pour tous »


    eveques-groupe Lourdes.jpg


    Le 31 octobre prochain, le Conseil des ministres va se saisir du projet de loi visant à ouvrir le mariage aux couples de même sexe. L'adoption de ce projet transformerait une institution structurant la société depuis des siècles; ce qui ne peut laisser indifférent aucun citoyen. Des membres d'autres confessions chrétiennes, d'autres religions, mais aussi des groupes de réflexion et des personnalités compétentes s'interrogent.

    Est-il possible de prendre une telle décision sans qu'un débat n'ait lieu à l'échelon national ? Les arguments qui veulent légitimer le mariage des couples de même sexe reposent en général sur deux points : l'amour et la non-discrimination.

    Concernant la question de l'amour, nous comprenons que des personnes du même sexe puissent s'aimer. Mais alors faut-il institutionnaliser une forme particulière d’amour dans la société ? Si le mariage a été institué, c’est pour garantir la stabilité sociale et la filiation.

    Concernant le second point, celui de la non-discrimination, il faut rappeler que le mariage a toujours été compris comme l'union d'un homme et d'une femme (cf. article 12 de la Convention européenne des  droits de l'homme). Permettre le mariage de personnes du même sexe, c'est donc changer la définition du mariage lui-même.

    Une des conséquences concrètes, déjà prévue dans le projet de loi, que nous ne mesurons peut-être pas encore, c'est le remplacement de la notion de « père » et de « mère » dans l'état civil, au profit des notions artificielles et finalement discriminatoires de « parent 1 » et de « parent 2 ».

    Dans une société déjà déstabilisée, en quête de repères, avons-nous besoin de porter atteinte à la famille, cellule structurante de la société, et au rôle fondamental du père et de la mère ? Le grand oublié de ce projet n'est-il pas l'enfant ? En voulant donner le « droit à l'enfant » à certains, n'en vient-on pas à nier les droits de l'enfant lui-même ?

    Nous renouvelons notre appel aux responsables politiques du pays, afin qu'un large débat ouvert et serein puisse avoir lieu sur ce sujet fondamental. Nous encourageons toutes les initiatives constructives de nos concitoyens en ce sens. Nous appelons les membres de nos communautés à apporter leur contribution à ce débat.

     

    Besançon, le 17 octobre 2012

     

    Mgr André Lacrampe, archevêque de Besançon

    Mgr Jean-Pierre Grallet, archevêque de Strasbourg

    Mgr Vincent Jordy, évêque de Saint-Claude

    Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié

    Mgr François Maupu, évêque de Verdun

    Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy

    Mgr Pierre Raffin, évêque de Metz

    Mgr Claude Schockert, évêque de Belfort-Montbéliard

    Mgr Vincent Dollmann, évêque auxiliaire de Strasbourg

    Mgr Christian Kratz, évêque auxiliaire de Strasbourg