Le pôle d'excellence rural "Tourisme de mémoire 1914-1918", obtenu conjointement par les agences de développement touristique vosgienne et alsacienne, vient d'être présenté.
[Vosges Matin]
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Le pôle d'excellence rural "Tourisme de mémoire 1914-1918", obtenu conjointement par les agences de développement touristique vosgienne et alsacienne, vient d'être présenté.
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Le Cercle d'études de Vittel et de sa région propose une conférence
Le 19 mai 2011 à L’Alhambra de Vittel
130 ans de chemin de fer à Vittel : le Train des Eaux
Présentée par M. Didier Leroy, collaborateur des éditions de La Vie du Rail
La vie des Vittellois a changé radicalement avec l’arrivée du chemin de fer en 1881. Le train a servi à tous à un moment de son existence ; la gare est un lieu mythique, fait d’arrivées et de départs, opérés grâce à la discipline des employés de la Compagnie de l’Est, incarnée par leur bel uniforme aux broderies de feuilles de chêne d’Amérique.
Vittel, avec le développement du thermalisme, va amplement profiter des trains qui arrivent du Nord par Nancy et du Sud par Chalindrey, et surtout des liaisons directes de et pour Paris, avec le célèbre « Train des Eaux » et son wagon-restaurant de la Compagnie Internationale des Wagons-Lits. Vittel va se doter en 1927 d’une nouvelle gare hors du commun. Le développement des eaux minérales va accroître, dans les années cinquante, le trafic des marchandises.
Didier Leroy fera revivre cette longue et riche histoire du chemin de fer à Vittel et dans ses environs. Spécialiste de l’histoire ferroviaire, il a déjà publié avec un Vittellois, Paul-Henri Bellot, plusieurs ouvrages sur le sujet.
‡ Conférence de M. Didier Leroy, jeudi 19 mai 2011 à 20h30 au Centre culturel de l’Alhambra de Vittel.
‡ Entrée libre et ouverte à tous.
[Cliché : le Train des Eaux en 1955 avec voitures directes Mirecourt-Vittel-Contrexéville-Paris-Est, © E. Brulé/LVDR]
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Regard sur un artiste-poète-jardinier en Saône Lorraine.
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Dans le cadre des Journées de l’Archéologie, la Société d’études et de sauvegarde des anciennes mines du Thillot présente :
Ø une conférence vendredi 20 mai, à 20h00 par Francis Pierre sur « Mineurs du Thillot et de Château-Lambert : un 17ème siècle difficile » ou les traces archéologiques d’une histoire mouvementée sur et sous la frontière de la Tête du Midi, entre Lorraine et Comté
Ø des ateliers d’initiation à la fouille archéologique pour enfants à partir de 8 ans : samedi 21 mai, à partir de 14h00 (durée d’un atelier : 1h30) par le personnel du site minier des Hautes Mynes
Plus d'infos ici : affiche programme le thillot.pdf et ici conference le thillot.pdf
A 9h15 au cimetière du village, le conseil municipal et les habitants précédés des porte-drapeaux et de la batterie-fanfare du canton de Monthureux ont rendu hommage aux soldats tombés lors du second conflit mondial.
Après les sonneries réglementaires, la montée des couleurs, le dépôt de gerbe et l’appel des Morts pour la France, André Granget, maire de Bleurville, a lu le message de Gérard Longuet, Ministre de la Défense et des Anciens Combattants, pour les commémorations du 8 mai 1945 :
« En ce 8 mai 2011, nous commémorons le 66ème anniversaire de la capitulation sans conditions de l'Allemagne nazie face aux Alliés.
Il y a 66 ans, le 8 mai 1945, les armes se taisaient enfin en Europe, mettant un terme à cinq années de cauchemar et de barbarie, cinq années parmi les plus cruelles de l'histoire de l'humanité.
Encaissant sur son territoire, avec les seuls soutiens de la Grande-Bretagne, de la Belgique et des Pays-Bas, le choc de l'offensive de l'Allemagne nazie, au printemps 1940, la France a payé un lourd tribut. Défaits militairement par les armes du IIIe Reich, les Français ont, durant plus de quatre ans, subi le poids de l'occupation : l'angoisse pour leur million et demi de prisonniers, les privations de toute nature, l'annexion dans le système nazi pour les uns, l'oppression politique, le pillage économique, les persécutions raciales, la répression pour tous. Dès le 18 juin 1940, pourtant, en visionnaire autant qu'en homme d'honneur, le Général de Gaulle traçait les conditions d'une victoire qu'il estimait certaine.
Au courage des étudiants parisiens du 11 novembre 1940 répondait l'engagement des Français libres qui multiplièrent leur présence sur tous les fronts, au fur et à mesure de la mondialisation du conflit : des terres africaines, à Koufra, en Libye, avec l'épopée de la colonne Leclerc au front de l'Est, en Russie, avec le groupe de chasse « Normandie-Niemen ». Du Pacifique à l'Afrique du Nord, sur terre comme sur mer et dans les airs, les combattants de la liberté furent sans cesse plus nombreux.
Depuis les déserts d'Afrique jusqu'en Italie et en Provence, des Vosges jusqu'à Berchtesgaden, ils prirent ainsi une part décisive aux combats libérateurs.
En France même, des hommes et des femmes qui n'acceptaient pas la soumission s'étaient levés, dans l'ombre, pour intégrer la Résistance. Organisés et fédérés par l'ancien préfet Jean Moulin, ils allaient, au péril de leur vie, malgré la traque, la répression et la torture, consacrer leur quotidien à harceler et à combattre l'ennemi.
Pendant toutes ces années, l'honneur de la France a été porté par une minorité toujours plus nombreuse. Si notre pays avait perdu une bataille, ceux qui ont cru construire sur la défaite, plus qu'une erreur, ont commis une faute contre la patrie.
Notre pays n'a pas perdu son honneur. Seule nation, avec l'Angleterre à déclarer la guerre à l'Allemagne à la suite de l'agression de la Pologne, quand d'autres se taisaient ou pactisaient, elle a eu le courage d'aller au conflit pour faire valoir ses valeurs, au rendez-vous de sa parole donnée.
A l'engagement militaire s'est doublé l'héroïsme des résistants et la générosité des Justes qui ont, par leur bravoure personnelle, et au nom d'une France qu'ils estimaient éternelle, sauvé l'image de notre pays. Ce sont ces Français, résistants sur le territoire national ou Français libres engagés hors de nos frontières, qui ont permis à la France d'être présente lors de la reddition allemande à Reims. Ce sont ces Français qui donnent aujourd'hui tout son sens à la commémoration de ce 8 mai 1945, jour de la capitulation définitive de l'Allemagne nazie, au terme de près de cinq années de conflit.
Ces événements se sont passés il y a 66 ans. Chaque année, nous commémorons ce souvenir. Chaque année, l'émotion est intacte. A tous ceux qui ne se sont jamais résignés, qui n'ont jamais abdiqué, qui espéraient la liberté ; aux hommes qui se sont battus, à ceux qui sont tombés, aux autres qui ont enduré tant d'épreuves, combattu avec tant d'abnégation, nourri tant d'espoir; à toutes celles et ceux grâce auxquels l'humanité a pu de nouveau croire en son destin, nous rendons, aujourd'hui, l'hommage qu'ils méritent. »
A l'issue de la cérémonie, la messe à la mémoire des victimes des guerres a été célébrée par l'abbé Ayéméné en l'église de Monthureux.
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Pèlerins de Domremy-Vaucouleurs en 2010 [cliché ©H&PB]
L'association Pèlerins de Lorraine organise le week-end des 14-15 mai prochains le traditionnel pélerinage Domremy-Vaucouleurs sur les pas de Jehanne la Bonne Lorraine, selon le programme suivant :
> samedi 14 mai : veillée au bivouac à la chapelle Notre-Dame de Beauregard, à Maxey-sur-Meuse, avec les Europa-Scouts
> dimanche 15 mai : départ à 8h30 précises devant la maison natale de Jeanne d'Arc ; à 12h00, messe selon le rite extraordinaire en l'église de Champougny suivie du repas tiré des sacs ; nouveau départ à 14h30 et arrivée des pèlerins à Vaucouleurs vers 17h00
‡ Renseignements auprès de Jean-Marie Cuny au 03.83.20.67.22.
La saison estivale 2011 au Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône sera marquée par des manifestations du plus grand intérêt. Outre deux expositions de peinture (en août et septembre), une grande rétrospective sur le Châtillon de la Belle époque sera présentée au public de mai à juillet.
Il y a quelque temps, Yann Prouillet, éditeur et cheville ouvrière de la Société Philomatique vosgienne de Saint-Dié-des-Vosges, avait acheté sur une brocante un vieil album de plus d'une centaine de photographies énigmatiques. Une concertation avec Jean-François Michel, président de l'association Saône Lorraine permit de déduire que ces clichés avaient pour sujet le village historique de Châtillon-sur-Saône.
Habillement, manifestations (l'arrivée des militaires, le marché...) et vie quotidienne (le travail des carriers, les rues animées...) respiraient le début du XXe siècle. Un document représentant la toute jeune stèle érigée en hommage au peintre Jan Monchablon apportait une précision supplémentaire : les photos, prises par un "résident secondaire" inconnu, ne pouvaient l'avoir été qu'entre 1909 et 1914.
De l'album confié à Saône Lorraine, 60 agrandissements du plus haut intérêt ont été reproduits et seront, avec les commentaires appropriés, présentés au public tous les week-ends de mai à juin et tous les après-midi de juillet à octobre, sauf le mardi, au Grenier à sel de Châtillon.
L'inauguration aura lieu le dimanche 8 mai à 17h00.
Un régiment entrant à Châtillon-sur-Saône (début XXe s.)
‡ Exposition temporaire Châtillon-sur-Saône il y a un siècle au Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône (entre Monthureux-sur-Saône et Bourbonne-les-Bains), du 1er mai au 31 octobre.
Pour la deuxième fois en quelques mois, l’association des Amis de Saint-Maur déplore des dégradations commises sur le site de l’abbaye Saint-Maur.
Le président des Amis de Saint-Maur Alain Beaugrand, accompagné du vice-président Roger Persin, se sont rendus sur les lieux afin de constater les dégradations commises récemment : une colonne de la crypte située sur les fouilles archéologiques de l’ancien bas-côté nord a été renversée et brisée en plusieurs morceaux. Par ailleurs, une partie du mur extérieur nord de l’ancienne abbatiale a été démontée et les pierres éparpillées.
« Ces actes de vandalisme gratuits sont inadmissibles et intolérables » s’insurge le président Beaugrand. « Plutôt que de dépenser de l’énergie pour casser, ces individus feraient mieux de la mettre au service d’une œuvre pérenne et constructive, ou de venir tout simplement faire du bénévolat dans nos associations patrimoniales » insiste-t-il.
Ces actes "d’incivilités" - comme l'on dit aujourd'hui pudiquement - font écho à de nombreux autres commis ces temps derniers dans le village : vitres de la fenêtre de la sacristie de l’église paroissiale cassées à coups de cailloux, canettes brisées et détritus divers abandonnés dans le grand escalier qui mène à l’église, vandalisme sur les jeunes arbres plantés à l’occasion des naissances, dégradations sur l’aire de jeux…
Les responsables de l’association des Amis de Saint-Maur rappellent aux parents que leur responsabilité est engagée pour les actes de malveillance commis par leurs enfants et les invitent à une plus grande vigilance. L’association décline toute responsabilité en cas d’accident survenu dans le périmètre de l’ancienne abbaye. Le président rappelle que, s’agissant d’une propriété privée, il est formellement interdit de pénétrer sur le site de l’abbaye sans y avoir été préalablement autorisé par un membre du bureau.
L’association envisage de déposer plainte pour dégradations sur objets archéologiques protégés au titre de la loi sur les Monuments Historiques.
>> Inscrivez-vous en renvoyant ce bon : inscription colloque ADV.pdf
Pâques, renouveau, résurrection ! Sous un soleil éclatant, la solennité de Pâques a été fêté dans les jardins tout d'abord, avec la traditionnelle chasse aux oeufs, puis en l'église paroissiale.
La messe du jour de Pâques a été célébrée en l'église Saint-Pierre-aux-Liens par l'abbé Claude Durupt, vicaire général du diocèse de Saint-Dié, devant une nef comble.
Après la procession d'entrée, le célébrant a aspergé les fidèles de l'eau lustrale bénie durant la veillée pascale en l'église de Monthureux, en signe de renouvellement du baptême. La Sainte Messe était animée par la chorale de la grande paroisse Notre-Dame de la Saône.
Ce dimanche était aussi la journée du souvenir des déportés. Plusieurs porte-drapeaux du canton étaient présents dans le choeur de l'église durant la messe.
[cliché ©H&PB]
Depuis 1894, un monument sculpté en marbre et bronze représentant Jeanne d’Arc écoutant ses voix s’élève sur l’esplanade de la basilique du Bois-Chenu. Œuvre du sculpteur André Allar, il avait été commandé par le diocèse de Saint-Dié pour marquer la première étape de l’ambitieux chantier de construction de la basilique, qui devait durer 45 ans.
Exposé aux intempéries et à la pollution, le monument a gravement souffert : avec d’importantes dégradations des matériaux, des déplacements successifs et des modifications de son agencement, il a aujourd’hui perdu son sens et sa puissance originelle. Un important chantier de restauration engagé au printemps en 2011 devrait permettre de préserver les vestiges de l’œuvre d’origine et restituer la lisibilité du monument.
En parallèle aux travaux de nettoyage et restauration conduits sur place par l’atelier de restauration Anne-Cécile, une exposition-dossier au Centre Visages de Jehanne à Domremy rappelle l’histoire de l’œuvre et présente les enjeux de sa restauration.
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CAUSERIE DU CERCLE D'ÉTUDES DE VITTEL
JEUDI 21 AVRIL 2011 - 20h30
SALLE DE L'ALHAMBRA – VITTEL
ENTRÉE GRATUITE
1850 – 1860 NAISSANCE DE LA STATION THERMALE DE VITTEL
Par Gilou SALVINI,
Président du Cercle d’études locales de Contrexéville
Ce n'est pas à une énième présentation de l'historique de la station thermale à laquelle vous invite Gilou Salvini ; il vous propose de véritables révélations et des détails inédits.
On croyait qu’une grande partie des documents se rapportant aux origines de la station thermale avait été égarés ou détruits. Or, Gilou Salvini a mis la main aux Archives départementales des Vosges sur plusieurs dossiers qui n'ont pas tous été exploités. Ils ont permis de documenter et d'éclairer de nombreux points importants de cette histoire comme, par exemple : Bouloumié, est venu en cure à Contrexéville pour la première fois en 1850, et non en 1852, qui fut l'année de sa troisième cure ; en 1852, le mirecurtien Charles Pommier, analysait l'eau de la source Gérémoy de Vittel, pour une thèse soutenue en 1853 et publiée en janvier 1854 ; Bouloumié a acheté deux sources en 1854, l'une le 13 décembre à Vittel, l'autre le 24 décembre à Mandres-sur-Vair ; comment lui est venue cette idée d'acheter des sources d'eau minérale pour les exploiter ; qui était Charles Rifflard, et pourquoi a t-il vendu le terrain de Vittel avec la source ; les fiches de police concernant Bouloumié et les mentions de sa présence à Contrexéville ; Bouloumié a inventé un ingénieux système destiné à embouteiller l'eau minérale ; la généalogie des Bouloumié, due à Guy de la Motte-Bouloumié, déposée aux ADV, etc.
‡ Plus d'infos : Vittel_Conf.pdf
[L'Abeille]
Saint Pierre Fourrier
Sous l'égide du Conseil général des Vosges et du Site de Domrémy et du Centre départemental de documentation pédagogique des Vosges, une journée d'études dirigée par Laurent Jalabert, de l'Université de Nancy 2, et Philippe Martin, de l'Université de Lyon 2, est organisée dans le cadre des Mercredis du patrimoine le :
mercredi 20 avril 2011
de 10h00 à 18h00
au Centre Visages de Jehanne
à Domremy-la-Pucelle
Des communications seront présentées par Magali Delavenne, Claude Faltrauer, Fabienne Henryot, Laurent Jalabert, Fabienne Jagou, Philippe Martin et Stefano Simiz.
Consultez le programme de la journée d'étude ici : programme _Images et identités religieuses.pdf
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