Notre patrimoine - Page 4
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Bulgnéville (88) : les substructions de la villa gallo-romaine protégées
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Martigny-les-Bains (88) : quel avenir pour l'Hôtel international ?
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Bleurville (88) : "Des énergies positives à Saint-Maur au compteur Linky : les ondes en question"
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Bleurville (88) : balade-découverte du village le 11 août
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Bulgnéville (88) : les vestiges de la villa gallo-romaine protégés
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La forêt des Vosges : construction d'une filière industrielle au XIXe siècle
A partir des années 1850-1860, le département des Vosges, l’un des plus boisés de France, connaît d’importantes mutations pour ses activités de transformation du bois. Progressivement, un réseau dense d’entreprises se constitue pour former une véritable filière industrielle : scieries, menuiseries, charpentiers, luthiers et papeteries. En tout, 800 entreprises mettent en valeur les ressources en sapin, épicéa de la montagne, hêtre ou encore chêne dans la plaine vosgienne.
Dans quel contexte la filière bois s’est-elle développée ? Quels entraves, quelles mutations a-t-elle connu ?
Mobilisant 10 000 Vosgiens, cette filière marque de son empreinte le département, et constitue un bel exemple du rôle moteur de la petite industrie dans l’essor économique de certains territoires. A la veille de la Grande Guerre, les forêts vosgiennes sont entrées dans l'ère industrielle.
‡ La forêt des Vosges. Construction d'une filière industrielle XIXe siècle, Eric Tisserand, PUFR-PUR, 2018, 486 p., ill., cartes, 24 €.
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Eglise des Cordeliers de Nancy : "Nancy, capitale des ducs de Lorraine"
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Nancy : un taureau dans la ville
Un taureau géant de 3 m de long pesant près de 900 kg et aux lignes épurées a pris place sur le parvis du Centre des Congrès Jean-Prouvé à Nancy, à deux pas de la gare.
En écho aux armoiries de Stanislas Leszczynski (qui portaient une tête de buffle), cet animal cornu rayonne fièrement sur la ville.
Cette sculpture en bronze, due au nancéien Gé Pellini, a été fondue par la fonderie vosgienne de Rambervillers.
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Inventaire des oeuvres du peintre Alfred Renaudin : vers un catalogue raisonné
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Le Pays lorrain, juin 2018 : Les forges d'Abainville sous le pinceau de François Bonhommé (1839)
Le Pays lorrain, numéro de juin 2018, est paru.
Au sommaire :
- Les Gaulois sacrifiés de Marsal (Moselle) : nouveaux regards sur l'esclavage dans la société celtique
- L'hôtel de Gellenoncourt à Nancy : quand les archives notariales racontent une autre histoire
- Une représentation théâtrale à Rosières-aux-Salines en 1599
- Les forges d'Abainville (Meuse) sous le pinceau de François Bonhommé (1839) : redécouverte d'un chef-d'oeuvre disparu
- La construction de la politique de conservation des Monuments historiques en Lorraine
- Jean Lanher : à l'écoute du message d'une vie consacrée à la Lorraine
- Journée doctorale de la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain : plusieurs communications autour de la justice à Nancy sous les ducs, les corporations de métiers à Mirecourt, la Grande Guerre en Meuse, la Lorraine gaumaise et l'urbanisme du Grand Nancy‡ Le Pays lorrain est disponible à l'accueil du Musée lorrain ou sur abonnement (43 €, 4 numéros). Règlement par chèque à adresser à : Le Pays lorrain, Palais des ducs de Lorraine - Musée lorrain, 64 Grande-Rue, 54000 Nancy.
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Les véhicules militaires du Débarquement de juin 1944 au défilé du 14-Juillet à Nancy
Les collectionneurs de véhicules militaires anciens étaient également du défilé militaire qui s'est déroulé le 14 juillet sur la place de la Carrière à Nancy.
Les Lorrains ont pu revoir avec nostalgie les magnifiques véhicules - essentiellement américains - qui ont contribué à la libération de la France.
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Les Hautes-Mynes du Thillot (88) : contes et légendes de la mine nuitantré...
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Médonville (88) : la croix du pont restaurée et bénie
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Châtillon-sur-Saône (88) : "Les Beaux villages lorrains" en visite au village
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Fontenoy-le-Château (88) : les travaux de restauration du donjon médiéval se poursuivent
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Bleurville (88) : l'huilerie s'est dévoilée aux visiteurs
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Nancy, ville royale & secrète
L'un est photographe, ou plutôt, c'est un artiste de la lumière et des courbes doté de cet inusable enthousiasme qui illumine les regards curieux. L'autre est journaliste, historien et amoureux de Nancy, dont il se plaît toujours à exalter la beauté. L'un ne connaissait pas Nancy, alors que l'autre l'aime depuis longtemps. Le destin les a réunis dans une splendide promenade. Au-delà des clichés, au-delà de son bâti classé au patrimoine mondial de l'Unesco, Chanel Koehl et Jérôme Estrada de Tourniel ont voulu montrer la magie de cette ville chacun à sa façon. Grâce à leurs regards croisés, Nancy imprime, au fil des pages, sa personnalité, ses mystères et ses trésors, depuis les rives nonchalantes de la Meurthe jusqu'au sommet des tours de la cathédrale. On flâne dans un ensemble patrimonial impressionnant, depuis la place Stanislas, l'arc de triomphe, la place de la Carrière, jusqu'aux ombres médiévales de la Porte de la Craffe. On reconnaît tour à tour une ville de Nancy ducale, royale, Art nouveau, moderne, ou encore le Nancy littéraire qui a inspiré Victor Hugo ou Maurice Barrès. Assurément, une rayonnante invitation à redécouvrir une ville d'exception.
Voyageur impénitent, c'est autour du cou que Chanel Koehl accroche sa palette de couleurs, saisissant l'indicible lumière, capturant au fil des plans toutes les émotions de l'instantanéité. Irradiant la matière de ses sujets, ce généreux passeur d'images sait puiser dans ses ressources pour en extraire des perspectives très inattendues. Jérôme Estrada de Tourniel est journaliste à L'Est Républicain où il s'occupe des hors-séries. Il est le collaborateur de nombreux journaux. Titulaire d'un doctorat d'histoire, il a obtenu le prix de l'Académie de Metz. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages historiques sur la Lorraine et de collections sur les deux guerres mondiales.
‡ Nancy ville royale & secrète, Chanel Koehl et Jérôme Estrada de Tourniel, éditions Sutton, 2018, 208 p., ill., 25,90 €.
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Ceffonds (52) : journée d'étude autour de la mise au tombeau restaurée
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La France vue du Grand Siècle - Dessins d'Israël Silvestre (1621-1691)
Né en 1621 à Nancy, dans une famille d’artistes, recueilli après la peste à Paris par son oncle et parrain, le graveur Israël Henriet, également éditeur de Jacques Callot, Israël Silvestre est formé à la gravure dans le milieu de ce dernier.
Très tôt, il se consacre à la représentation de paysages urbains. Ses premières « vues », pittoresques et de petit format, illustrent aussi bien Nancy que les villes traversées de Paris à Rome, où il effectue plusieurs voyages entre 1638 et le début des années 1650.
Les œuvres de la maturité offrent, au contraire, de vastes panoramas, montrant la capitale, ses fêtes royales (carrousel de 1662 et bals au Louvre et à Fontainebleau) et ses transformations, mais aussi le profil des villes conquises par Louis XIV en Lorraine et dans les Ardennes. En 1665 et 1667, Silvestre se rend en effet dans l’Est de la France à la demande de Colbert pour relever les villes fortifiées - Toul, Metz, Jametz, Verdun, Charleville... - et réaliser des gravures de dimensions exceptionnelles qui clament la grandeur du règne de Louis XIV par l’image.
Enfin, ses vues en série des beaux châteaux d’Île-de-France – Vaux-le-Vicomte, Meudon, Montmorency, Versailles – renouvellent le regard sur l’architecture et les jardins.
Un ouvrage pour découvrir un ensemble exceptionnel de dessins d'Israël Silvestre, présenté pour la première fois ; car si ses gravures ont été largement diffusées, ses dessins demeurent méconnus.
‡ La France vue du Grand Siècle. Dessins d'Israël Silvestre (1621-1691), Bénédicte Gady et Juliette Trey, Louvre éditions - Lienart, 2018, 207 p., ill., 29 €.
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Viviers-le-Gras (88) : la commune vend sa chapelle
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Nancy (54) : le Musée lorrain investit la chapelle des Cordeliers
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Epinal (88) : renouveau de la procession des corporations
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Châtillon-sur-Saône sacré "beau village lorrain"
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Monthureux-sur-Saône (88) : au temps où l'église des Tiercelins avait un clocher...
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Martigny-les-Bains (88) : l'âge d'or du "petit Versailles" thermal vosgien
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Saône lorraine à l'Elysée pour le lancement du loto du patrimoine
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Festival d'orgue estival à la cathédrale de Nancy
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Des toiles de Renaudin vendus chez Sotheby's
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Noms de lieux du département de la Meuse
La Lorraine est une terre de passage. Les routes qui la sillonnent du nord au sud et d’est en ouest nous enseignent l’histoire. La Meuse est particulièrement intéressante par sa variété toponymique. Dans le département de la Meuse certains noms de lieux sont plus évocateurs que d’autres : Bar-le-Duc, Douaumont, Varennes-en-Argonne ou Verdun, ont un passé lourd d’histoire. D’autres, plus discrets, comme les Islettes, ou plus curieux comme Venise, Azannes-et-Soumazannes nous intriguent. Mais tous en appellent à notre curiosité et nous aimerions savoir ce qu’ils cachent. Mais tous les noms de lieux, villages, lieux-dits, montagnes, rivières et étangs ne sont pas aussi aisés à interpréter. Ce livre tente donc de leur donner un sens et cherche des réponses à partir des attestations anciennes en proposant le plus souvent différentes hypothèses.
Au-delà de la recherche étymologique, l’ouvrage se présente aussi comme une promenade passionnante au milieu des hommes qui ont nommé ces lieux à différentes époques à travers leurs activités, leurs croyances, les paysages, les coutumes. La deuxième partie aborde un aspect historique que la toponymie met en lumière : les différentes époques de peuplement avec leurs habitudes de langage, de l’antiquité à l’époque moderne. C’est tout un pan particulièrement fragile du patrimoine meusien que ce livre met en valeur, en espérant apporter aux habitants comme aux touristes une meilleure connaissance de ce patrimoine omniprésent et pourtant si méconnu.
‡ Noms de lieux du département de la Meuse, Michèle Benoit et Claude Michel, éditions des Régionalismes, 2018, 184 p., ill., 19,50 €.
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Noms de lieux du département de la Meurthe-et-Moselle
La Lorraine est une terre de passage. Les routes qui la sillonnent du nord au sud et d’est en ouest nous enseignent l’histoire. La Meurthe-et-Moselle est particulièrement intéressante par sa variété toponymique. Qui n’a jamais entendu parler de Nancy, Toul, Pont-à-Mousson, Lunéville, Longwy ou Villerupt ? Tous ces noms évoquent l’histoire, l’art ou l’industrie ; ils ont permis de porter jusqu’à l’autre bout du monde la renommée de la Meurthe-et-Moselle. Ces noms anciens ont évoqué pour nos ancêtres, qui ont baptisé ces localités, autre chose que les connotations que nous leur attribuons, relativement récentes par rapport à l’âge de ces lieux. Mais tous les noms de lieux, villages, lieux-dits, montagnes, rivières et étangs ne sont pas aussi aisés à interpréter. Ce livre tente donc de leur donner un sens et cherche des réponses à partir des attestations anciennes en proposant le plus souvent différentes hypothèses.
Au-delà de la recherche étymologique, l’ouvrage se présente aussi comme une promenade passionnante au milieu des hommes qui ont nommé ces lieux à différentes époques à travers leurs activités, leurs croyances, les paysages, les coutumes. La deuxième partie aborde un aspect historique que la toponymie met en lumière : les différentes époques de peuplement avec leurs habitudes de langage, de l’antiquité à l’époque moderne. C’est tout un pan particulièrement fragile du patrimoine lorrain que ce livre met en valeur, en espérant apporter aux Lorrains comme aux touristes une meilleure connaissance de ce patrimoine omniprésent et pourtant si méconnu.
‡ Noms de lieux du département de la Meurthe-et-Moselle, Michèle Benoit et Claude Michel, éditions des Régionalismes, 2018, 164 p., ill., 17,50 €.