vosges - Page 12
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Chapelle des Hospitaliers de Saint-Jean d'Epinal : dernière visite avant disparition
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Mgr Berthet à la rencontre des paroissiens de Notre-Dame de la Saône
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Fontenoy-le-Château (88) : Vianney Huguenot débusque le patrimoine local
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Bleurville (88) : les rencontres du jumelage en préparation
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Epinal (88) : exit la chapelle des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem
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Claudon (88) : DOP poursuit l'oeuvre de Jean-Pierre Huguet
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Les Thons (88) : musiques de Balkans en l'église des Cordeliers le 27 mai
Samedi 27 mai sera donné un grand concert en l’église des Cordeliers des Petits-Thons. Organisé par l’association Saône lorraine, propriétaire des lieux depuis 2006, il sera dédié à la mémoire de Jean-Pierre Huguet qui a tant donné de son temps et de son énergie au patrimoine de notre sud-ouest vosgien.
Le groupe Zam-Zam ravira les mélomanes avec un répertoire et des instruments en vogue dans les Balkans : des dan...ses de Bulgarie, des airs traditionnels de Roumanie (de Bacau, en Moldavie), des chansons macédoniennes, de la musique Klezmer, feront vibrer les voûtes de la vieille église du XVe siècle. Le temps d’un concert, la Saône s’unira avec Sofia, Bucarest et le bas-Danube.
Venu de la région lyonnaise, ce groupe instrumental est dirigé par Dominique Spehner, qui a quelques attaches dans notre région. Par ailleurs, ce concert permettra au public de découvrir les récents travaux de restauration menés au réfectoire d’été du couvent par le chantier d’insertion Acti’Sov : les maçons ont en effet redonné volume, authenticité et beauté à cette pièce essentielle de l’ancien monastère franciscain.
‡ Groupe Zam-Zam en concert, couvent des Cordeliers des Petits-Thons (entre Monthureux-sur-Saône et Bourbonne-les-Bains), samedi 27 mai à 16h00. Libre participation aux frais.
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Un lorrain célèbre : Martin de Briey (1882-1955)
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Bleurville (88) : hommage aux victimes des guerres à l'occasion du 72e anniversaire du 8 mai 1945
A l'occasion du 72ème anniversaire de la capitulation allemande du 8 mai 1945, élus municipaux et habitants se sont souvenus de toutes les victimes militaires et civiles des dernières guerres autour du monument aux morts au cimetière paroissial.
La cérémonie du 8-Mai était rehaussée par la présence des porte-drapeaux des Anciens Combattants 14-18 et 39-45, et des AFN, ainsi que de la fanfare locale qui interpréta les sonneries réglementaires. Après le dépôt de gerbe par Denis Bisval, maire, accompagné de deux enfants, ce fut l'appel des soldats morts pour la France des deux guerres mondiales. Denis Bisval lut ensuite le message du secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et victimes de guerre. Pour clore la cérémonie, les enfants des écoles, soutenus par les parents, ont chanté la Marseillaise.
Un vin d'honneur a rassemblé les participants à la mairie. A l'issue, la messe à la mémoire des victimes des guerres a été célébrée en l'église de Monthureux-sur-Saône par l'abbé Durupt, vicaire général.
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Mgr Berthet en visite à la paroisse Notre-Dame de la Saône
Monseigneur Didier Berthet, nouvel évêque de Saint-Dié, poursuit ses visites pastorales dans les paroisses de son diocèse.
Pour le dimanche du Bon Pasteur, il était accueilli par la grande paroisse Notre-Dame de la Saône rassemblée pour la messe dominicale en l'église Saint-Michel de Monthureux-sur-Saône.
Après quelques paroles de bienvenue adressées par un membre du conseil pastoral de la paroisse où furent brièvement présentées la genèse et la vie de cette grande paroisse rurale portée sur les fonts baptismaux en 2000 par les abbés Maillard et Villaume, Monseigneur l'évêque concélébra la sainte messe avec l'abbé Ayéméné, curé de N.-D. de la Saône, devant une nef comble de fidèles attentifs aux paroles d'encouragement et de foi de Mgr Berthet. "Le rôle de l'évêque et des ministres ordonnés dans l'Eglise, c'est d'être des pasteurs du troupeau des baptisés et de les rassembler au nom du Christ sauveur" a t-il rappelé dans son homélie. Il insista encore sur les nécessaires vocations presbytérales afin d'accompagner les croyants dans leur vie sacramentelle.
A l'issue de la messe, le verre de l'amitié a réuni les fidèles autour de Mgr Berthet à la maison paroissiale, en présence de plusieurs maires du secteur.
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Marine Le Pen élue... à Bleurville !
Commune de Bleurville
Elections présidentielles
Résultats du 2ème tour - 7 mai 2017
Liste des candidats Voix % Inscrits % Exprimés Marine LE PEN 100 33,78 54,35 Emmanuel MACRON 84 28,38 45,65 -
Robécourt (88) : la fonderie de cloches vous accueille
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Châtillon-sur-Saône (88) : les animations estivale au village Renaissance
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Mgr Didier Berthet, évêque de Saint-Dié, à Notre-Dame de la Saône le 7 mai 2017
Mgr Berthet lors de la rencontre des nouveaux évêques avec SS. le pape François [cl. ©Osservatore romano].
Mgr Didier Berthet, évêque de Saint-Dié, sera en visite pastorale dans la grande paroisse Notre-Dame de la Saône ce dimanche 7 mai 2017.
Il concélébrera la messe dominicale à 10h30 en l'église Saint-Michel de Monthureux-sur-Saône, avec le curé de la paroisse, l'abbé Clément Ayéméné.
La messe sera suivie d'un vin d'honneur.
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Romain-aux-Bois (88) : le château et ses liens avec l'abbaye de Morimond
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Saône Lorraine sur les pas des cisterciens d'Allemagne
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Les topographies médicales vosgiennes de 1776 à 1826
Durant le dernier quart du XVIIIe siècle, la Société royale de médecine a encouragé ses correspondants de province à produire des topographies médicales, dans le cadre d'une "géographie médicale de la France".
Huit praticiens vosgiens, établis à Bruyères, Saint-Dié, Neufchâteau, Epinal, Remiremont, Plombières et Waldersbach, ont décrit méthodiquement les variations atmosphériques, la qualité des eaux, la nature du sol et ses productions, l'état physique et moral des habitants du massif vosgien et de la plaine, en tentant d'établir une relation causale entre ces données écologico-sociales et les maladies endémiques et épidémiques qu'ils devaient soigner.
Entre 1776 et 1806, les dix-neuf topographies médicales vosgiennes ainsi produites font du département le plus étudié de France, et des médecins Gabriel-Charles Didelot et Félix Poma les champions nationaux du genre topographique !
Cet ouvrage étudie de façon inédite ce "cercle vosgien d'émulation médicale", en présentant les acteurs de ce réseau, leur formation, leurs relations, leur production, et l'intérêt historique que ces topographies médicales, donc cinq sont ici éditées ou rééditées pour la première fois, gardent aujourd'hui.
‡ Les topographies médicales vosgiennes de 1776 à 1826, Pascal Joudrier, FSSV, coll. Mémoires et documents sur l'histoire des Vosges, 2016, 400 p., ill. (20 €).
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Campagne du Denier de l'Eglise dans le diocèse de Saint-Dié
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Bleurville (88) : une 43ème saison animée à l'abbaye Saint-Maur
Le bureau de l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville s'est réuni afin de préparer la 43ème saison estivale à l'ancienne abbaye bénédictine du village.
Adhérents. - L'association est forte d'une soixantaine d'adhérents. Le trésorier Jacques Durupt rappelle qu'une quinzaine de membres n'a pas encore réglé sa cotisation pour 2017.
Travaux. - Après la révision des toitures réalisée à l'automne dernier, ce printemps verra la réalisation de travaux d'assainissement et d'aménagement des accès devant l'entrée de l'église. Ces travaux seront réalisés en juin par Acti'Sov, le chantier d'insertion de l'ex-communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne.
Animations. - L'exposition « Paysages & Portraits », aquarelles de la spinalienne Marie-Claude Papkoff, illuminera la nef de l'abbatiale en juillet et août. Le 25 juin, l'abbatiale accueillera le Choeur grégorien de Nancy et Toul sous la direction de Gérard Charrier. Le Quatuor de saxophones Artex se produira le 16 juillet et le 13 août, Bernard Pieters, ingénieur belge, donnera une conférence sur « les énergies positives, fondement des édifices sacrés : l'exemple de l'abbaye de Bleurville et de quelques sites vosgiens ». Le 3 septembre, l'ensemble de mandolines et guitares Claude Gellée de Jarville-la-Malgrange clôturera la saison culturelle. Enfin, l'abbaye sera ouverte le 17 septembre dans le cadre des Journées européennes du Patrimoine.
Vie de l'association. - Le bureau a décidé d'attribué le titre de membre d'honneur à Claude et Lucienne Thomas pour leurs 40 années de dévouement au service de l'ancienne abbaye Saint-Maur et de l'association patrimoniale ; Lucienne fut en effet la secrétaire-trésorière sous la présidence de l'abbé Pierrat puis de Alain Beaugrand et assura longtemps les visites chaque été. Quant à Claude, il assurait l'intendance en préparant notamment les repas des Amis de Saint-Maur. Le président Alain Beaugrand a remercié également Bernard et Colette Bisval, de Bleurville, ainsi que Jean-Marc Lejuste, directeur du Centre d'animation de la préhistoire de Darney, pour le don d'un téléviseur qui servira à diffuser l'historique du monastère. Remerciements encore à la commune de Bleurville pour sa subvention annuelle et au député Christian Franqueville pour l'attribution d'une aide pour les travaux engagés cette année à Saint-Maur.
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Bénédiction des rameaux à la paroisse Notre-Dame de la Saône
Bénédiction des rameaux de buis avant la messe des Rameaux - commémorant l'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem avant sa Passion - célébrée par l'abbé Ayéméné en l'église Saint-Michel de Monthureux-sur-Saône pour la grande paroisse Notre-Dame de la Saône.
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Les trains des stations thermales de l'Est
Dès le milieu du XIXe siècle en France, les cures thermales attirent une clientèle aisée – aristocratie, grande bourgeoisie – qui part « prendre les eaux » chaque année, utilisant pour cela le chemin de fer qui irrigue progressivement le territoire. Après la Première Guerre mondiale, l’accès aux soins thermaux est élargi, permettant aux villes concernées de prendre leur essor. Les trains directs mis en place par les compagnies ferroviaires offrent un confort et des repas de qualité, tandis que les gares sont dotées d’un style architectural et d’un standing en accord avec les villes desservies. Traction vapeur, puis diesel, puis électrique… Quel que soit le mode de traction utilisé, les « trains des eaux » emmènent année après année leurs passagers au coeur de paysages bucoliques, gages d’un séjour revitalisant, par exemple, dans le Grand Est ou en Auvergne.
En France, dès le Second Empire, le développement des villes thermales est rapide et important, grâce à la fréquentation d’une clientèle aristocratique et de la grande bourgeoisie. De 1850 à 1870, le nombre des visiteurs des stations thermales triple, passant de 100 000 à 300 000 visiteurs. Un flux qui enrichit les régions et provoque des transformations locales d’aménagement et de modes de vie, auxquelles l’arrivée du chemin de fer n’est évidemment pas étrangère. L’essor des villes d’eaux s’accentuera par la suite, après la Première Guerre mondiale, grâce à une démocratisation de ces soins prodigués dans les villes d’eaux : on boit de l’eau, on s’en asperge, on s’y baigne sur prescription médicale… Les compagnies de chemin de fer vont très tôt s’intéresser à ces voyageurs saisonniers en leur garantissant, pour le voyage qui dure souvent plusieurs heures, des dessertes de qualité et un confort à la hauteur de leurs attentes. Des trains directs au départ de Paris sont assortis d’une restauration raffinée, les gares affichent une architecture et un standing en accord avec les villes desservies.
Les cheminots, qu’ils travaillent à bord des trains ou dans les gares, assurent l’organisation de ce trafic régulier, répété d’une année sur l’autre. Partant de la capitale, les « trains des eaux » emmènent leurs passagers vers des paysages bucoliques. Ces curistes, libérés de leurs contraintes habituelles le temps de leur séjour, ont la garantie d’un séjour bénéfique, effectué au calme, dans un cadre verdoyant et offrant des loisirs distrayants : concerts, opéra, opéracomique, théâtre, casino, golf, tennis, polo… Après la Seconde Guerre mondiale, la toute neuve Sécurité sociale prend en charge des cures thermales : le thermalisme s’ouvre alors au plus grand nombre, une nouvelle clientèle apparaît. La traction vapeur, utilisée dans un premier temps pour faire circuler ces trains, cédera la place au diesel au milieu des années 1960, lui-même étant remplacé plus tard par l’électrique.
Le Train des eaux a circulé jusqu’en 1970, puis les liaisons ferroviaires accélérées et le TGV doté de bonnes correspondances ont permis le développement de nombre de stations thermales. Dans leur nouvel ouvrage, Paul-Henri Bellot et Didier Leroy décrivent le rôle décisif du chemin de fer dans le développement et la promotion des villes thermales de l’est (Bourbonne-les-Bains, Contrexéville, Vittel, Luxeuil-les-Bains, Plombières-les-Bains, Bains-les-Bains, Martigny-les-Bains, Gérardmer, Bussang) et de l’Auvergne.
Attention au départ ! Et n'oubliez pas ce beau livre qui vous fera revivre la belle épopée des trains des villes thermales de notre région !
‡ Les trains des stations thermales - Est et Auvergne, Paul-Henri Bellot et Didier Leroy, La Vie du Rail éditeur, 2017, 175 p., ill. (49 €).
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Fête des Rameaux
Bénédiction des rameaux par Mgr Mathieu, évêque de Saint-Dié, paroisse de Bleurville [cl. archives H&PB].
Hosanna au fils de David !
Béni celui qui vient au nom du Seigneur.
O Roi d’Israël !
Hosanna au plus haut des cieux !
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Lamarche (88) : 37ème assemblée générale de Saône lorraine
Les adhérents de l'association de défense et de promotion du patrimoine historique et architectural du sud-ouest vosgien se sont réunis dernièrement à la salle des fêtes de Lamarche sous la présidence de Jean-François Michel.
Après avoir été accueillis par le maire de la commune, les participants ont entendu le rapport moral présenté par Jean-François Michel.
Le rapport financier a été présenté par la comptable, Nicole Hottier.
Un point a été effectué par Jacky Frémont, délégué de la Fondation du patrimoine Vosges sur les souscriptions en faveur des projets de restauration d'édifices dans le département.
Enfin, Robert Mougin, vice-président de Saône lorraine, a présenté les travaux actuellement en cours dans le réfectoire d'été du couvent des Cordeliers des Thons.
Le président Michel a remercié Geneviève Martin, d'Epinal, pour sa fidélité de 30 ans à l'association et lui a offert une composition florale au nom de Saône lorraine.
A l'issue, les participants ont partagé le repas dans une grande convivialité avant de se retrouver pour la visite de l'église paroissiale d'Isches qui a connu, voici quelques années, une restauration intérieure exemplaire.
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L'Echo des 3 Provinces printanier est paru...
Pour plus d'info et pour se procurer L'Echo des 3 Provinces, le magazine du Pays des Trois Provinces (Champagne, Franche-Comté et Lorraine), visitez le site http://www.adp3p.com
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Hennezel-Clairey (88) : marché de Pâques le 9 avril 2017
Un rendez-vous incontournable pour tous les amateurs d’authenticité…
Tout au long de cette journée festive, artistes et artisans dévoileront leurs collections liées au thème pascal et au printemps : céramique d’art, dentelle de Mirecourt et de Luxeuil-les-Bains, création couture, artisanat traditionnel russe, ukrainien mosaïque, tournage sur bois, œufs décorés, verrerie
“Le fil du tisserin” vous proposera ses fantaisies sur vannerie, ‟l’Effeuilly” ses ornements floraux et ‟Le Jardin du cuivre” ses accessoires décoratifs pour plantes.
Les gourmands ne seront pas oubliés : une grande démonstration de moulages en chocolat est prévue tout au long de la journée. Petits gâteaux de Pâques et gaufres seront aussi de la partie.
Avec la participation de l’Association Saône Lorraine et de l’association des Lutins d’Hennezel.
NOMBREUSES DÉMONSTRATIONS
TOMBOLA GRATUITE
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Tignécourt (88) : 11ème festival Natur'images
>> Plus d'info sur http://festival-naturimages.com
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La région de Rambervillers, l'authentique
Blottie au cœur d’un cercle passant par Nancy, Épinal, Lunéville et Saint-Dié, la région de Rambervillers semble veiller sur le massif des Vosges dont elle occupe le piémont.
Dans cette terre Lorraine, un passé foisonnant a laissé de profondes empreintes. Ainsi, le patrimoine hérité des évêques de Metz voisine-t-il avec les traces de la Grande Guerre et celui légué par la foi de nos ancêtres. Mais cet héritage, aussi varié et original soit-il, ne saurait à lui seul résumer l’esprit d’une région dont les paysages naturels sont l’un des grands atouts. Des hauteurs de la Chipotte aux rives de la Mortagne, les photographes Denis Jacquot et Bernard Pierre ont entrepris de révéler toutes les saveurs d’un territoire attachant dans lequel l’Histoire, la nature et l’art de vivre ne font qu’un.
Au regard des photographes répondent les témoignages de ceux, écrivains, historiens ou voyageurs qui, au fil des siècles, ont visité la région de Rambervillers, l’ont appréciée et ont pris la plume pour la raconter.
Ce superbe album, qui n’oublie aucune commune ni aucun site remarquable du pays de Rambervillers, invite son lecteur à pousser la porte d’une région aux charmes multiples.
‡ La région de Rambervillers. L'authentique, collectif, éditions Anovi-Brumaire, 2017, 200 p., photographies de Bernard Pierre et Denis Jacquot (27 €).
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Queulot le loup
Dans les Vosges, au cours du "grand hiver" de 1709, Louis, un jeune garçon découvre un louveteau à l'entrée de la ferme familiale. Il le confie alors à Catherine, une jeune fille du voisinage qui l'éduque et s'y attache profondément...
Le temps passe. Catherine et le louveteau grandissent, les sentiments se dévoilent... et les problèmes surgissent !
Entre une horde de loups menaçante, son amour pour Louis et l'inquiétude des villageois, comment agira la jeune fille ?
Dans le contexte de l'histoire de cette époque, après les malheurs de la guerre de Trente Ans et la reconstruction de la Lorraine engagée par le duc Léopold, Bernard Mathieu, en remarquable conteur vosgien, offre à ses lecteurs une nouvelle bien ficelée et plaisante avec de nombreux rebondissements.
Un bon ouvrage pour nos jeunes lecteurs.
‡ Queulot le loup, Bernard Mathieu, éditions Amalthée, 2017, 80 p. (11 €).
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Les charmes du Val-d'Ajol
Le Val-d'Ajol, commune au vaste territoire des Vosges méridionales, est un incroyable écran de verdure qui recèle maints trésors. L'auteur, tombé amoureux de ce bourg grâce à son épouse, nous les fait découvrir avec humour.
Qui soupçonnerait que Napoléon III tomba sous le charme du Val-d'Ajol ? Que c'est aussi le pays de l'épinette et la capitale de l'andouille et du gandoyau qu'on célèbre chaque fin d'hiver avant Carême...
Avec enthousiasme, Laurent Bayart s'est mis dans les pas de l'ancien et regretté maître d'école Jacques Gérard, l'historien du pays, et débusque ce havre de paix à deux pas de la cité thermale de Plombières-les-Bains, proche également de la Cité des Images d'Epinal et du renommé Théâtre du Peuple de Bussang. Le lecteur succombera à ses lieux de légendes et d'histoire, à ses itinéraires bucoliques, à ses belles figures de Vosgiens, vrais et hauts en couleur, aux joies du terroir et à cette vie sereine qui s'écoule au fil de la Combeauté...
En offrant ses coups de cœur pour ce pays des Vosges méridionales, l'auteur sculpte un instant d'éternité. Alors, n'hésitez pas à tomber amoureux du Val-d'Ajol en venant le découvrir avec ce petit bouquin en poche comme guide !
‡ Les charmes du Val-d'Ajol, Laurent Bayart, Andersen éditions, 2017, 75 p., ill. (8 €).
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Eugène de Mirecourt, un auteur vosgien bien oublié