Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vosges - Page 9

  • Isches (88) : les nouveaux propriétaires du château récompensés

  • Domremy (88) : pèlerinage à Sainte Jeanne d'Arc

    Dimanche 1er octobre aura lieu le pèlerinage traditionnel à Domremy sous l'égide de la maison de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X de Nancy, en l'honneur de Sainte Jeanne d'Arc.

    Programme :

    9h30 : départ de la basilique du Bois-Chenu puis pique-nique
    15h50 : arrivée à la basilique Sainte-Jeanne d'Arc
    16h00 : messe solennelle (rite extraordinaire de l'Eglise catholique)

  • Epinal (88) : L'aviation dans les Vosges s'expose aux Archives départementales

    Une exposition à découvrir aux Archives départementales des Vosges à Epinal sur l'histoire de l'aviation dans le département : "De l'air ! De l'air ! L'aviation dans les Vosges", du 15 septembre 2017 au 16 mars 2018.

     

    ‡ Plus d'infos sur www.archives.vosges.fr

  • Bleurville (88) : clôture de la 43ème saison à l'abbaye Saint-Maur

  • Bleurville (88) : des américains en quête de leurs origines

  • Un parfum de fleur d'oranger

    A ceux qu'il rencontre sur sa route depuis son Italie natale, le tailleur de pierre Valturno Palazzi aime à dire qu'il veut, de ses mains, « créer du beau et du bon dans ce monde ». La Lorraine sera sa terre d'élection. La belle Malou, libre et convoitée depuis l'assassinat mystérieux de son mari, sera sa dame de coeur. Lui, l'exilé, fonde avec elle une nouvelle famille. Il fait aussi le vœu de lancer une entreprise de taille de pierre et de construction. De l'amour, de l'ambition, des rêves humanistes, Valturno en a tant ! Mais, en ces temps troublés, on n'apprécie guère la réussite d'un étranger.

    Et, tandis que l'assassinat trouve peu à peu sa résolution, surgit dans la vie de Valturno un petit Victor, dix ans, qui ravivera le souvenir brûlant d'une femme tant aimée, là-bas, « vers son Sud », une femme au doux parfum de fleur d'oranger...

    De 1883 à 1945, un roman de passion et de transmission, ancré dans l'Histoire. Histoire également de ces hommes venus d'ailleurs qui ont bâti des bribes de notre histoire lorraine...

     

    ‡ Un parfum de fleur d'oranger, Gilles Laporte, Presses de la Cité, 2017, 444 p. (19,50 €).

  • Les Petits-Thons (88) : le calvaire restauré et béni

    Le calvaire situé à proximité de l'ancien couvent des Cordeliers des Petits-Thons, entre Monthureux-sur-Saône et Châtillon-sur-Saône, vient de faire l'objet d'une restauration de qualité.

    Edifié en 1546, il a fait l'objet d'une transformation au tournant des XVIIIe-XIXe siècles.

    Il a été béni récemment par le curé de la paroisse à l'issue de la messe dominicale.

  • Bleurville (88) : mandolines et guitares en guise de clôture de la saison à l'abbaye Saint-Maur

    Douces mélodies et rythmes hispaniques ont habité l'abbatiale bénédictine le temps d'un concert donné par l'Ensemble de mandolines & guitares Claude Gellée.

    L'ancienne abbatiale romane clôturait sa 43ème saison avec un concert donné par l'Ensemble de mandolines & guitares Claude Gellée de Jarville-la-Malgrange.

    Marie-Laure Privet-Makovic, chef d'orchestre et guitariste, a dirigé ses dix-sept instrumentistes d'une main de maître : ses trois groupes d'instruments – mandolines, mandoles et guitares ainsi que le contre-bassiste – ont donné le meilleur d'eux-mêmes en interprétant plusieurs pièces alliant à la fois des sonorités classiques, orientales, hispaniques et sud-américaines.

    Le répertoire interprété cette année par cette formation instrumentale de qualité est centré sur des pièces composées par des Québécois. Nos musiciens, venus des quatre départements lorrains, partagent leur passion avec une formation allemande de Karlsruhe avec laquelle ils sont jumelés.

    « C'est par l'entremise de Marie-Thérèse Luc-Chanel, artiste peintre spinalienne et membre des Amis de Saint-Maur, que nous avons pu accueillir cette exceptionnelle formation musicale » rappela le président des Amis de Saint-Maur. « Marie-Thérèse, a t-il ajouté, est tombée amoureuse de Saint-Maur en venant exposer ses toiles durant l'été 2016 et elle a souhaité faire partager ce coup de cœur à ses amis de l'ensemble Claude Gellée ». Et c'est tout le public de mélomanes qui a aussi grandement apprécié cette belle prestation qui vient clore la saison à l'abbaye qui fut particulièrement riche.

    L'abbaye Saint-Maur ouvrira encore ses portes le 17 septembre, de 14h à 18h, pour les Journées européennes du patrimoine.

  • Monthureux-sur-Saône (88) : les actes des JEV 2016 présentés officiellement

  • Les Thons (88) : "Résonances" en concert en l'église des Cordeliers

    Dimanche 17 septembre à 16h, le groupe d'instruments à cordes Résonances se produira en l’église Notre-Dame des Anges de l'ancien couvent des Cordeliers des Petits-Thons.

    Ce groupe instrumental franc-comtois, dirigé par Michèle Wintherlig, interprétera un riche programme d'œuvres de musique de chambre de Corelli, Fauré, Rachmaninoff, Anton Dvorak et Telemann.

    Par ailleurs, dans le cadre des Journées européennes du patrimoine, les amateurs pourront profiter de ce concert pour visiter les pièces récemment rénovées du couvent franciscain et découvrir les éléments architecturaux de l'église qui vont être l’objet de travaux de restauration à compter du printemps 2018.

     

    > Concert de l'ensemble Résonances, église des Cordeliers des Petits-Thons, dimanche 17 septembre à 16h.

  • Bleurville (88) : les potimarrons font le mur !

    A Bleurville, rue Saint-Pierre, un plant de potimarrons - un pépin oublié par les  gallinacés habitant les lieux probablement - a pris ses quartiers dans l'enclos des poules... Et, malgré la sècheresse de cet été, il s'est majestueusement développé, au point de descendre le long du mur et courir sur le trottoir !

    La nature est vraiment plus forte que tout.

  • De l'Ourche à la Saône, entre Clairey et Monthureux

    Fruit des 18èmes Journées d'études vosgiennes tenues à Monthureux-sur-Saône en octobre 2016, ce recueil des contributions d'universitaires, historiens, archéologues et acteurs du développement local, enrichit considérablement l'historiographie de ce territoire hyper rural situé à la frontière de la Lorraine et de l'ancienne Comté de Bourgogne.

    Loin d'être un constat passéiste, ces communications portent un regard actif qui s'attache à créer le lien entre les temps anciens et la volonté d'inventer l'avenir. C'est aussi une belle contribution à la fierté de vivre dans un pays où chacun partage la connaissance des temps heureux et celle des temps d'incertitude et de déclin, et celle des projets porteurs de développement.

    L'ouvrage balaie l'histoire de ce pays entre Ourche et Saône à travers six thématiques : le territoire et son histoire, les populations à l'époque moderne, la vie politique et religieuse et les industries locales (verre, bois, fer).

    Des actes indispensables pour redécouvrir ce secteur trop souvent oublié des historiens eux-mêmes, des décideurs... et des touristes.

     

    ‡ De l'Ourche à la Saône entre Clairey et Monthureux, Jean-Paul Rothiot, Jean-Pierre Husson et Pierre Labrude (dir.), FSSV - DOP - Saône lorraine, 2017, 510 p., ill., cartes (29 €).

  • Monthureux-sur-Saône (88) : présentation des actes des JEV 2016

    Les actes des 18ème Journées d'études vosgiennes tenues à Monthureux-sur-Saône en octobre 2016 ont été officiellement présentés en mairie de Monthureux en présence des contributeurs, universitaires, historiens et érudits locaux.

    Ces Journées d'études étaient co-organisées par la Fédération des Sociétés savantes des Vosges, l'association Droiteval-Ourche-Patrimoine et Saône lorraine.

     

    ‡ L'ouvrage peut être commandé sur le site de la Fédération des Société savantes des Vosges : www.fssv.org 

  • Les Thons (88) : l'ancien réfectoire des Cordeliers réhabilité

    L'ancien réfectoire d'été des frères franciscains du couvent des Cordeliers des Petits-Thons vient de faire l'objet de belle réhabilitation.

    Laissé dans un abandon total et complétement transformé au cours des siècles, l'association Saône lorraine - propriétaire des lieux - a confié la restauration de cette vaste pièce au chantier d'insertion Acti'Sov. Les travaux ont consisté à remettre en valeur les encadrements des fenêtres XVe siècle et reprendre dans son intégralité le plafond en stuc mouluré du XVIIIe.

    La restauration est du plus bel effet !

    Le réfectoire d'été a été inauguré jeudi 24 août lors du conseil d'administration de la Fédération des Sociétés savantes des Vosges.

  • Les Petits-Thons (88) : concert de l'ensemble Résonnances en l'église des Cordeliers

  • Les rendez-vous d'automne de Saône lorraine

  • La Vosgienne, coeur et fierté du massif

    L'ouvrage est plus qu'une ode à cette belle vache rustique si typique de notre montagne vosgienne. C'est aussi un hommage aux irréductibles paysans vosgiens et alsaciens qui, convaincus par ses qualités, ont multiplié leurs efforts pour relancer l'élevage de cette Vosgienne qui allait disparaître.

    Ce beau livre abondamment illustré, notamment avec les dessins d'Olivier Claudon - le dessinateur "officiel" de la Vosgienne ! -, nous convie à une promenade découverte de l'histoire de cette vache "avec de la neige sur le dos" qui contribue à la beauté du massif.

    La Vosgienne est plus qu'un simple bovin. Elle incarne nos Vosges, elle entretient les pâtures et, surtout, elle nous offre un fromage de fabrication traditionnelle symbole de notre montagne : le munster-géromé !

    Un ouvrage qui vous bercera aussi au son de la jolie mélodie des clarines de nos Vosgiennes... Parce que, désormais, notre vache Vosgienne est bien vivante !

     

    ‡ La Vosgienne, cœur et fierté du massif, Martine Huot-Marchand, éditions Gérard Louis, 2017, 152 p., ill. (25 €).

  • Monthureux-sur-Saône (88) : présentation des actes des JEV 2016 ce jeudi 24 août

  • Bleurville (88) : arrachage des pommes de terre

    C'était la journée d'arrachage des pommes de terre dans nos Vosges.

    l'ancienne chenevière, convertie en champs de tubercules chers à Parmentier, accueillait la famille pour l'arrachage des pommes de terre.

    Et la récolte fut excellente !

  • Bleurville (88) : concert de mandolines & guitares à l'abbaye Saint-Maur le 3 septembre

  • Damia à Darney... Naissance et reconnaissance

    Contrairement à ce qui est écrit dans l'article de Vosges Matin, la mère de Damia n'était pas originaire de Bleurville, mais de Darney (Marie Joséphine Louise CLAUDE née le 28 avril 1858).

    Quant à son père, Nicolas DAMIEN, il n'est pas sûr qu'il soit né à Nonville : l'état-civil de l'année 1854, date déduite de l'acte de naissance de Damia (archives de la Ville de Paris 13e), ne donne rien pour la commune de Nonville. Cependant, il est vrai que plusieurs naissances d'enfants Damien sont enregistrées à Nonville dans les années 1840-1850... et à Darney aussi ! Des recherches généalogiques complémentaires s'avèrent donc nécessaires.

    Rappelons que la vérification des sources est un principe fondamental en matière de journalisme...

  • Vioménil (88) : la source de la Saône a disparu

    En ce mois d'août 2017, la source de la Saône à Vioménil est complétement asséchée...

  • Monthureux-sur-Saône (88) : présentation des actes des Journées d'études vosgiennes 2016

    Monthureux-sur-Saône, la rue du couvent et le couvent des tiercelins, XVIIe s. [cl. ©Gilbert Salvini].

    Jeudi 24 août prochain, Monthureux et sa région seront à l’honneur. Les actes du colloque qui s’est tenu fin octobre 2016 dans la cité des bords de Saône, et qui a attiré un nombre considérable d’auditeurs, seront officiellement présentés lors d'une cérémonie qui aura lieu en mairie à 17h00. L'ouvrage pourra être acquis sur place.

    Rappelons que cette publication est une nouvelle preuve du riche passé politique, industriel, agricole et architectural de ce bassin des sources de la Saône. Si le présent n’est plus à la hauteur, l’avenir est un peu tracé par les dernières communications de ces actes qui projettent quelques rayons d’espoir… Les voies romaines, les fouilles de Martinvelle, le rayonnement de Droiteval, le verre pionnier, la métallurgie omniprésente, le sillon ferroviaire, tous ces articles rédigés par les conférenciers habituels et érudits locaux, rendent vivante et attrayante une véritable somme rehaussée d’illustrations souvent inédites. Monthureux constitue une référence et un pôle : ses hommes politiques, son agronome méconnu (Jean-Joseph Grangé), son château médiéval, son industrie plurielle du XIXe siècle, tout est passé au peigne fin. Mais la vallée de l’Ourche, si chère au regretté Jean-Pierre Huguet, est aussi sur le devant de la scène : les Jacquinot, les Irroy, l’arboretum, le COSOR, et bien d’autres points forts dont peut s’enorgueillir cet étonnant affluent de la Saône. Sans oublier aussi la verrerie de Clairey et l’aventure verrière qui a tant marqué l’identité de la région 

    Rappelons aussi que la Fédération des sociétés savantes des Vosges (FSSV) regroupe, sous l’autorité bienveillante de Jean-Paul Rothiot, les associations engagées dans la sauvegarde, la connaissance et la promotion des richesses patrimoniales de notre département. Le terme « savantes » peut faire fuir ou sourire, mais ce n’est ni prétention ni repli sur des concepts archaïques. C’est un carrefour de bonnes volontés, une aide à toutes les associations qui se sentent seules et démunies face à l’ampleur de leurs engagements et aux difficultés des temps présents.

    Indiquons enfin que le livre est disponible au prix de souscription jusqu’au 30 août prochain : il suffit de le commander sur le site internet de la FSSV et d'adresser un chèque à l'ordre de « FSSV » de 29,50 € franco à ADV, 4 avenue Pierre Blanck, 88000 Epinal. Mais la meilleure des solutions est encore de se rendre à la présentation en mairie de Monthureux le 24 août à 17h. L’entrée est libre.

  • Greux (88) : l'Assomption fêtée à Notre-Dame de Bermont

    Jour de fête à l'ermitage johannique de Notre-Dame de Bermont le 15 août puisqu'y a été solennellement célébrée la solennité de la fête de l'Assomption de la Vierge Marie.

    Niché au milieu des bois, sur le territoire de la commune de Greux et à un tir d'arbalète de Domremy, cet ermitage fondé au XIe siècle fut assiduement fréquenté par Jeanne d'Arc au temps de sa prime jeunesse. Elle y venait en effet presque tous les samedis avec ses amies afin de se recueillir devant la statue de la Vierge de Bermont et y déposer des cierges.

    La messe de l'Assomption a été célébrée dans une grande dignité et avec ferveur devant une nef comble, par le chanoine Pierre Dumain, jeune prêtre de l'Institut italien du Christ Roi Souverain Prêtre, avec, comme diacre et sous-diacre, les abbés Alexandre Thomassin et Jacques Olivier, prêtres diocésains.

    Après un pique-nique partagé dans une salle de l'ermitage en raison de la météo orageuse, fidèles et clergé sont partis en procession jusqu'au reposoir dressé à l'orée de la forêt où fut lue la déclaration du pape Pie XII rédigée lors de la proclamation du dogme de l'Assomption en 1950, ainsi qu'une prière en faveur de la défense de la vie devant la statue de Jeanne d'Arc.

    Cette fête liturgique de l'Assomption s'est clôturée par un Salut du Saint-Sacrement dans la chapelle du XVe siècle.

  • Bleurville (88) : l'abbaye Saint-Maur haut lieu d'énergies vibratoires

    Les Amis de Saint-Maur recevaient ce dimanche à l'abbatiale bénédictine Bernard Pieters, ingénieur belge spécialiste des pollutions électromagnétiques, pour une conférence passionnante.

    « L'abbaye de Bleurville à la croisée des chemins d'énergies est à la fois un sujet de conférence en lien avec l'histoire de la région mais aussi avec des problématiques plus générales qui se posent à notre époque post-moderne » précisait d'emblée notre conférencier belge.

    Depuis 15 ans, Bernard Pieters étudie la géobiologie de l'ancienne abbatiale romane et d'autres lieux des environs. Cette influence des éléments terrestres sur le vivant est omniprésente dans ce lieu sacré : il a détecté en particulier des perturbations géologiques qui traversent l'église, des courants d'eau ainsi que des rayonnements cosmo-telluriques et des vortex descendants (spirales d'énergie). Ces manifestations géobiologiques génèrent des énergies positives bénéfiques pour le bien-être et la santé des personnes qui fréquentent ces lieux. Au centre du choeur, à l'emplacement de l'ancien maître-autel où se célébrait la sainte liturgie, se croisent par exemple deux courants, et des cheminées d'énergies au niveau du choeur et des absidioles latérales ont été observées. Sur une même ligne d'énergie, Saint-Maur est également reliée à l'église paroissiale, la croix centrale du cimetière et la Grande-Croix. Leur combinaisons font de Saint-Maur un haut lieu vibratoire, source d'énergies positives.

    Toutes ces manifestations naturelles et spirituelles étaient perçues par les anciennes civilisations mégalithiques et celtiques dont ont profité les maîtres maçons qui oeuvraient à la construction des édifices sacrés jusqu'au XVe siècle. Combinant à la fois les apports de la géobiologie et de la géométrie sacrée, nos bâtisseurs édifiaient les églises sur des lieux d'énergies telluriques, associant la terre et le cosmos. La construction ne réservait rien au hasard : ainsi s'explique l'orientation des églises et la position du maître-autel où étaient consacrés le pain et le vin, éléments du corps christique chargés d'énergies positives.

    Notre société occidentale moderne a complétement perdu la connaissance de ces éléments et a développé de nombreux perturbateurs qui ont des influences néfastes sur notre santé. Notre conférencier intervient par exemple chez les particuliers afin de détecter et de mesurer les vibrations négatives générant souvent des pathologies graves (sommeil perturbé, développement de cancers...). Et de mettre en cause en particulier les ondes électromagnétiques qui saturent notre environnement...

    « Un bon conseil : abandonnez vos smartphones et réseau Wi-Fi et venez vous rechargez en énergies positives à l'abbaye Saint-Maur ! » conclut, non sans humour, Bernard Pieters en scientifique du XXIe siècle largement ouvert aux connaissances et à la sagesse de nos ancêtres.

  • Bleurville (88) : "Les énergies positives fondements des édifices sacrés" thème d'une conférence à Saint-Maur

  • Châtillon-sur-Saône (88): fête Renaissance le 13 août 2017

  • L'Echo des Trois Provinces d'août-septembre 2017 est paru

    Le numéro d'août-septembre 2017 de L'Echo des Trois Provinces est paru !

    Pour le découvrir ou vous abonner, plus d'info sur : http://www.adp3p.com

    Lire la suite

  • Monthureux-sur-Saône (88) : des bénévoles rénovent le dernier lavoir public

  • Darney (88) : un pôle ludique en projet au Centre d'animation de la préhistoire

    Vue aérienne du Centre d'animation de la préhistoire de Darney [cl. G. Salvini].

    Dans les cartons du directeur Jean-Marc Lejuste depuis plusieurs années, le projet d’agrandissement du Centre d’animation de la Préhistoire est désormais acté. Un chantier qui devrait permettre au centre d’attirer un panel de visiteurs plus large.

    C’est l’aboutissement d’un projet vieux d’une dizaine d’années. Jean-Marc Lejuste, directeur du centre d’animation de la Préhistoire de Darney, vient de présenter le projet d’agrandissement de son enceinte. « C’est un projet que j’ai pour relancer le centre. On a un excellent retour sur les scolaires et centres aérés. Mais il nous manque une vitrine pour attirer les touristes ».

    Le plan consiste en la transformation d’une parcelle annexe à l’actuel centre, donnée par la commune en février dernier, en parc préhistorique. Ce dernier sera axé autour d’une butte centrale autour duquel un parcours amènera les visiteurs vers des activités diverses. Une zone de tir pour la chasse préhistorique ainsi qu’une initiation à la fouille sont notamment prévues. La volonté générale est de créer la dernière reconquête post-glaciation, c’est-à-dire une époque qui remonte 10 000 à 20 000 ans en arrière.

    Pour agrémenter l’espace, Jean-Marc Lejuste prévoit de placer six animaux en cire. Un bison, un mégalocéros, un rhinocéros laineux, un renne, un bison des steppes, mais aussi un mammouth d’une hauteur de 5,60 m qui sera placé en haut de la butte centrale.

    « L’idée est, en plus du pôle muséographique et du pôle animation, d’avoir un troisième pôle divertissement dont l’accès sera ouvert aux handicapés », précise le directeur. Le tout pour un budget compris entre 80 000 et 100 000 euros.

    [d'après VM]