lorraine - Page 41
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Eglise des Cordeliers des Thons (88) : chorale d'homme "Wilhelmina" le 12 septembre
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Centenaire de la bataille de Flirey (54)
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Bleurville (88) : Vosgiens et Icaunais fêtent leur jumelage
[Vosges Matin]
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Villey-Saint-Etienne (54) célèbre le Centenaire de 1914
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L’Alsace au cœur de la bataille d’août 1870
La charge de Reichshoffen.
Vendredi 5 septembre à 20h00 au Centre d'Interprétation et de Documentation de la Menelle à Pierre-Percée (Vosges)
Nicolas Vignos,
animateur de l'abri-mémoire d'Uffoltz et auteur d'un ouvrage sur ce même sujet,
présentera une conférence :
« L’Alsace au cœur de la bataille d’août 1870 »
Qui n’a pas entendu parler de la charge des cuirassiers de Reichshoffen, des défaites de Wissembourg, de Woerth et des sièges de Strasbourg et Belfort ? Six mois de combats et de restrictions ont été nécessaires pour que l’Alsace soit prise par les armes. Nicolas Vignos, animateur de l’abri-mémoire d’Uffotz, passionné de l’histoire de 1870, nous apporte sa vision de ces événements graves de conséquences. La connaissance de cette triste période est un élément essentiel pour comprendre la période qui va conduire à la catastrophe de la Grande guerre.
Entrée libre.
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L'ambulance du Sacré-Coeur de Nancy : de la fleur au fusil à la grâce de Dieu
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Nancy : conférence sur la bataille du Grand Couronné le 10 septembre
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Histoire de la Lorraine racontée aux jeunes
On déplore trop souvent que les jeunes générations ne s'intéressent plus à l'histoire... Ou ne serait-ce pas plutôt que l'Education qui se veut "nationale" ne l'enseigne plus ?... Kévin Goeuriot, en enseignant soucieux de transmettre ses connaissances - et sa passion - sur l'histoire de la Lorraine aux jeunes d'aujourd'hui, nous propose un voyage étonnant à travers le temps, à travers l'histoire qui a fait notre Lorraine.
Avec une iconographie à la fois riche et originale, un style vif et concis, l'ouvrage apporte au jeune lecteur un condensé d'histoire régionale qui saura parler aux plus jeunes d'entre ses lecteurs et qui devrait également ravir les plus grands. L'auteur aborde, sans caricature ni simplification, les grandes étapes de la construction de la Lorraine, des temps les plus anciens à la période contemporaine.
Un livre à offrir à vos adolescents et jeunes adultes pour qu'ils sachent que le pays où ils vivent à des racines profondes et une véritable identité. L'ouvrage est enrichi d'utiles repères chronologiques ainsi que de la liste des souverains ayant régné sur la Lorraine.
‡ Histoire de la Lorraine racontée aux jeunes, Kévin Goeuriot, éditions du Quotidien, 2014, 126 p., ill., cartes (15 €).
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Robert Degrange, le déodation de la Libération
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Les Journées européennes du Patrimoine 2014 à Bleurville (Vosges)
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Château lorrain à vendre
Château de Goin (Moselle).
A moins de 20 minutes de Metz et non loin de la gare Lorraine-TGV et de l'aéroport Metz-Nancy-Lorraine se trouve le village de Goin et son château méconnu, malgré sa qualité architecturale.
Ne faisant l'objet d'aucune protection au titre des Monuments Historiques, il est depuis longtemps un sujet de préoccupations des associations patrimoniales lorraines (Vieilles Maisons Françaises notamment).
Ce château est à vendre pour la somme de 1 059 000 € : http://www.leboncoin.fr/ventes_immobilieres/660321418.htm?ca=15_s
Il s'agit d'un vrai joyau du patrimoine régional, typique de la ceinture de châteaux qui cernait Metz au XVIIIe siècle, même si celui-ci trouve ses origines au Moyen Âge et contient aussi des apports Renaissance. Sa façade assez sophistiquée sur jardin comme la plupart de ce qui subsiste de ses intérieurs est classique du Siècle dit « des Lumières » et offre un ensemble immobilier de qualité qui mérite un vrai projet de restauration.
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Saint-Laurent (88) : l'architecture paysanne révélée par Maisons paysannes des Vosges
[Vosges Matin]
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JDP 2014 à Val-et-Châtillon : histoire et patrimoine religieux
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La nouvelle église de Flirey
[ER]
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6ème Salon du livre Vosges-Lorraine à La Bresse le 7 septembre
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Claude Gaillard, la liberté en destin
Rien ne prédestinait cet ingénieur de formation à tomber dans l'univers cru et sans fioritures de la politique. Et pourtant, le parcours du nancéien d'adoption - il est né en Haute-Savoie - Claude Gaillard dans les arcanes du pouvoir n'est pas à la portée du premier venu.
Elu simple conseiller municipal de Nancy en 1977 au côté du giscardien Claude Coulais, il va vite entrer dans la cour des grands et terminera sa carrière à Matignon comme conseiller spécial de François Fillon, alors Premier ministre de Nicolas Sarkozy. Entre-temps, il sera conseiller général de Meurthe-et-Moselle, conseiller régional, député, entre autre. Il lui aura fallu affronter les étouffantes baronnies de Nancy. Quitte à agacer.
Libéral souriant, Claude Gaillard fait figure d'iconoclaste, tant il a défendu sa liberté de penser et d'agir au cours de sa carrière et survécu à tous les prédateurs.
A 70 ans, désormais sorti de la politique, l'homme revisite ses longues années de sa vie publique. Sans langue de bois.
Dans son entretien avec le journaliste Philippe Rivet, il parle de tout et de tous, d'André Rossinot à Jean-Pierre Masseret, en passant par Gérard Longuet ou Philippe Seguin et encore beaucoup d'autres. Rien n'échappe à sa sagacité.
‡ Claude Gaillard. La liberté en destin, Philippe Rivet, éditions du Quotidien, 2014, 99 p. (10 €).
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Les XVIe Journées d'études vosgiennes à Charmes les 24-25 et 26 octobre 2014
‡ Consultez le programme des 16èmes JEV ici http://www.histoire-patrimoine-vosges.org
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La Saône, de Vioménil à Lyon
En plein milieu de Vioménil, dans les Vosges, surgit la source de la Saône. Un faible débit d’eau s’engage alors vers un long périple de quelque 480 km avant de se jeter dans le Rhône. Une naissance bucolique et en toute discrétion.
Le calme et la sérénité prédominent dans la petite commune de Vioménil, bien loin du tapage urbain. Sur la petite place de la mairie apparaît une plaque qui rappelle le passage durant deux ans à l’école du village du célèbre écrivain Hervé Bazin. A 50 m en aval, surgit la ruisselante célébrité locale au pied des Monts Faucilles. Quelques touristes, français et étrangers, visitent ainsi la source de la Saône et le village, par la même occasion. Des gîtes sont là pour permettre à ceux qui veulent approfondir leur visite de séjourner une ou deux nuits supplémentaires.
Car l’émergence de la Saône à Vioménil s’associe à un ensemble géologique et patrimonial sur une zone de partage des eaux spécifique à l’endroit. Un kilomètre plus loin, au beau milieu de la forêt de la Vôge, une seconde source apporte son obole à la curiosité géographique. Le Madon prend donc son départ en direction de la Meurthe, qui se jettera plus tard dans le Rhin. La ligne de partage des eaux entre Méditerranée et Mer du Nord apparaît en plein jour avec deux sources presque côte à côte. Un constat stupéfiant en pleine nature qui mérite bien un petit détour. Durant son périple vosgien de 40 km, elle est grossie de ses premiers affluents, l'Ourche et le Gras, traverse les bourgs de Darney et Monthureux, passe sous le charmant pont en dos d'âne d'Attigny, salue de loin Bleurville campé devant ses forêts, fait un clin d'œil au monastère de Godoncourt et au couvent des Cordeliers des Thons, puis, avant de répondre à l'appel du sud, prend congés de la Lorraine à Châtillon... sur Saône !
Des roulottes en location à Fontenoy-le-Château, des vaillants marcheurs, des cyclistes n’hésitent pas à faire le déplacement en s’oxygénant à plein poumon. Les petits ruisseaux font les grandes rivières, le dicton s’adapte parfaitement à l’histoire de la Saône. La richesse géographique et historique qu’inspire cette rivière est immense. « Les trois mousquetaires de la famille Du Houx, de Vioménil, ont connu bien des heures de gloire à la fin du XVIIIe siècle dans le corps expéditionnaire français envoyé de l’autre côté de l’Atlantique pour aider les Américains à conquérir leur liberté » , racontait récemment l’historien local André Poirot, démontrant ainsi que des personnages célèbres ont habité près de la source. Navigable à partir de Corre, la rivière devient ensuite la « grande Saône » après l’apport du confluent du Doubs dont le débit est légèrement supérieur. La Saône termine ainsi son périple dans le Rhône, à la Mulatière, commune limitrophe de Lyon.
[d'après Vosges Matin]
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Nancy : coup de jeune pour "Les crimes de la guerre"
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Commémoration de la Bataille de Morhange
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Musée vivant à Châtillon-sur-Saône (88) : le marié n'était pas à la noce...
Avec un peu de retard, retour en images sur le grand musée vivant du 3 août qui s'est déroulé à Châtillon-sur-Saône.
Le vieux village Renaissance a servi de cadre aux péripéties qui ont suivi l'étonnant mariage « façon XVIe siècle » – « célébré » durant l'été 2013 – entre un vieux barbon et une jouvencelle châtillonnaise. Au détour des ruelles bordées d’hôtels aux façades richement décorées et des maisons d’artisans aux enseignes sculptées, Châtillon s'est une nouvelle fois tourné vers son passé avec panache et s'est mis en harmonie avec l'histoire de cette petite cité fortifiée, aux portes de la Lorraine méridionale. Les bénévoles de Saône Lorraine, en costumes d’époque, évoluèrent dans une vingtaine d'espaces, de l’atelier du cordonnier à la cuisine du berger, en passant par l’écolage, la cave vigneronne, le cabinet du chirurgien... pour le plus grand plaisir des touristes.
[clichés © P. Hannelle]
Combats de rue façon Renaissance...
Encore des combats...
Les affres du vieux barbons et de la jeune mariée...
Les bénévoles costumés de Saône Lorraine.
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19-20 août 1914 : la bataille de Morhange
La bataille de Morhange qui a débuté le 19 août n’est guère présente dans la mémoire collective, en comparaison des taxis de la Marne ou de Verdun. L’état-major, suivi par le gouvernement Viviani, souhaite plus que tout reprendre l’Alsace et la Lorraine. Selon le plan XVII, l’effort doit être mis sur cette zone annexée en 1871 par l’Empire allemand.
Le plan Schlieffen est venu contrecarrer cette belle stratégie et, après deux semaines de combat, les Français sont, en ce 20 août, dans l’expectative. Pour plusieurs raisons.
La nuit du 19 au 20 a été très agitée pour de nombreuses unités qui ont fait face au harcèlement incessant de l’ennemi : des tirs nourris mais aussi précis, en raison de certains projecteurs.
Au matin du 20 août, le général Édouard de Castelnau, commandant la IIe armée, doit retarder l’attaque des 15e et 16e corps d’armée, car il attend le résultat des dernières reconnaissances aériennes. Or, la brume matinale a gêné l’observation des avions français. Le général de Castelnau a bien ordonné, vers 6 h 30, au général Foch, commandant le 20e corps d’armée, de rester sur ses positions, car il a besoin de lui comme unité de réserve et surtout de contre-attaque. Mais l’ordre arrive trop tard. Ferdinand Foch est certain que les circonstances lui font un devoir de passer à l’attaque. Il est convaincu qu’un vigoureux effort de ses magnifiques troupes suffira pour enfoncer le front adverse. Il les a déjà lancées à l’assaut d’un ennemi qui souhaite en découdre. Il le fait avec d’autant plus d’enthousiasme que les ordres de la veille ne lui prescrivaient pas impérativement de rester sur la défensive.
Sur de nombreux fronts, en particulier à Morhange, la situation tourne vite à l’avantage des Allemands dont la poussée est aussi violente qu’efficace. Les « boches » surgissent des bois, se glissent dans les blés qui seraient bons à faucher. Ils s’avancent, tirent sans relâche. Ils sont à 200, 150 puis 100 et 50 mètres de nos lignes. À 8 heures, la retraite d’une partie de nos troupes se dessine sur Château-Salins. Les coloniaux (3e division d’infanterie coloniale notamment) se sacrifient presque pour contenir l’assaut ennemi. Les éléments du 20e corps d’armée commandé par le général Foch viennent se heurter au bastion de Morhange.
Le général de Castelnau se résigne à ordonner la retraite. Il prescrit, à 16 h 30, au 20e corps d’armée de Foch, de se maintenir le plus longtemps possible sur la tête de pont de Château-Salins.
Dans le même temps, les 85e et 95e régiments d’infanterie française perdent la position de Bühl Hof, à laquelle ils s’étaient accrochés. La retraite dans un ordre impeccable se poursuit dans la nuit jusqu’à Xouaxange. Mais la mauvaise coordination des unités aura coûté très cher : plus de 5.000 morts côté français.
[source : Boulevard Voltaire]
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L’Assomption de la chapelle de la Manufacture de Bains-les-Bains restaurée
La toile consacrée à l’Assomption de la Vierge Marie va prochainement retrouver sa place dans la chapelle de la Manufacture Royale de Bains-les-Bains, dans les Vosges.
Une présentation de l’œuvre restaurée par Igor Kozac a été proposée à la Fondation du patrimoine délégation vosgienne en avant première.
Depuis plus d'un an maintenant, l'imposant tableau de l'Assomption qui trônait sur le mur central du choeur de la chapelle de la Manufacture Royale, a laissé place à un grand cadre vide. Et pour cause. Cette toile datant du XVIIIe siècle, pour laquelle une souscription publique a été ouverte en partenariat avec la Fondation du patrimoine de Lorraine en avril 2013, est partie en restauration dans l'atelier d'Igor Kozac, spécialiste de la conservation et restauration de tableaux, à Lavincourt, en Meuse.
Il aura fallu à l'artiste plus de 200 heures de travail pour remettre en état le tableau et accomplir un tel miracle. En effet, les vicissitudes du temps avaient fini par estomper quasi intégralement l'oeuvre.
Sa restauration aujourd’hui terminée, la toile sera inaugurée officiellement lors des Journées européennes du Patrimoine, le dimanche 21 septembre, dans la chapelle de la Manufacture Royale.
[source et clichés : Fondation du Patrimoine]
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Fête de La Mothe le 24 août 2014
Le monument de La Mothe.
La fête de l’ancienne cité fortifiée du Bassigny lorrain, organisée par l'association Pour La Mothe, aura lieu dimanche 24 août 2014 sur le site de l'ancienne citadelle détruite en 1645
(entre Lamarche et Neufchâteau, ouest vosgien).
Au programme :
visites du site, animations et reconstitutions historiques, expositions généalogiques…
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Val-et-Châtillon dans la Grande Guerre
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Bleurville (88) : clôture de la 40ème saison à Saint-Maur avec Isabelle Frizac
Isabelle Frizac était l'hôte des Amis de Saint-Maur pour la seconde année consécutive. Pour un concert Renaissance enchanteur !
Pour la clôture de la 40ème saison culturelle à l'ancienne abbaye bénédictine, les Amis de Saint-Maur avait convié Isabelle Frizac à se produire devant le public fidèle de Saint-Maur. Notre musicienne, professeur de musique spécialiste des pièces pour instruments à cordes des XVIe-XVIIe siècles, et diplômée du Conservatoire national d’Ile-de-France, a replongé la vénérable abbatiale dans le « beau XVIe siècle », celui de la renaissance des arts et de la musique.
Isabelle enseigne la guitare classique dans une école de musique du Val d’Oise et elle est membre de la Société française du luth ; elle donne régulièrement des concerts de musique ancienne en région parisienne. Très attachée au patrimoine historique de notre région, au point de posséder une demeure chargée d'histoire dans la charmante cité de caractère de Bourmont, elle a su captiver les mélomanes en interprétant un large programme de pièces musicales de la Renaissance hispanique et anglaise sur une vihuela, un instrument à cordes pincées popularisé en Espagne au XVIe siècle, et sur un luth Renaissance, instrument créé par les arabes mais modernisé par les espagnols après la Reconquête. Elle joua notamment des œuvres des compositeurs ibériques Enrique de Valderrabano (vers 1500-1557), Alfonso Mudarra (vers 1510-1580), Luys de Narvàez (vers 1500-1555), et anglais John Dowland (1563-1626), Robert Johnson (1583-1633) et Francis Cutting (1550-1596) ; des compositions éclectiques où l'amour, la mort et les chants en l'honneur de la Vierge Marie sont mis en musique pour le plus grand bonheur de nos contemporains, mais qui ravissaient déjà les grands des cours européennes de la Renaissance et, notamment, celle de l'empereur Charles Quint de Habsbourg qui appréciait particulièrement les œuvres de l'espagnol Luys de Narvàez.
Isabelle Frizac, en bonne pédagogue, a pris soin de décrire, avec un brin d'humour et par le détail, les instruments sur lesquels elle interpréta les pièces, créant ainsi une sympathique connivence avec le public qui a salué sa prestation par des applaudissements nourris.
‡ L'abbaye Saint-Maur est ouverte au public jusqu'au 31 août, du jeudi au dimanche, de 14h à 18h.
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Alfred Renaudin s'expose au château de Lunéville
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Les Joli-fous d'Augny
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Cirey-sur-Vezouze pendant la Grande Guerre