Vosges - Page 7
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L'association Saône lorraine recrute un jeune volontaire en service civique
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Soutenez le projet de restauration du choeur de l'église des Cordeliers des Thons (88)
La Fondation du patrimoine Lorraine soutient le projet de restauration du choeur de l'ancienne église conventuelle des Cordeliers des Thons.
L’association Saône Lorraine (Découverte et Sauvegarde du patrimoine du Sud-Ouest des Vosges) a été créée en 1980 pour alerter sur l’état critique de l’église de l’ancien couvent des Cordeliers des Petits-Thons qui, bien qu’inscrite à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1945, menaçait ruine.
Fondés en 1453, le couvent et son église ont été vendus à la Révolution puis divisés en trois lots convertis pour un usage agricole. Malgré des mutations, des altérations et le peu d’entretien, le couvent est parvenu jusqu’en ce début du XXIe siècle comme l’ensemble monastique se réclamant de Saint François le mieux conservé de tout l’Est de la France.
Grâce à une campagne de mobilisation sans précédent en 1983-84, la Région Lorraine et le Département des Vosges ont contribué pour 98 % à la réfection totale de la toiture assurant le sauvetage de l’église.
En 2006, 20 ans après, l’association peut enfin se rendre acquéreur de l’église et du tiers oriental (aile Est) du bâtiment conventuel la jouxtant avec pour but de les restaurer. En 2013, une première campagne de travaux a permis la reprise totale de la charpente et de la toiture de l’aile Est du bâtiment conventuel ainsi que l’enduit de façade Est.
En 2018, la poursuite de la restauration vise désormais l’église, chef d’oeuvre du gothique flamboyant, voûtée de 6 travées à nef unique dont un collatéral est flanqué de deux anciennes chapelles funéraires des seigneurs du lieu et dont les armoiries figurent sur toutes les clés de voûte.
La deuxième campagne de travaux envisagés doit permettre la restauration complète, intérieure et extérieure, du choeur avec reprise des maçonneries, des enduits, des contreforts et des remplages des 6 baies gothiques avec pose de vitraux.
Les travaux prévus s’inscrivent dans la continuité de l’action de l’association dans l’optique d’une utilisation à des fins culturelles (concerts, expositions, visites, colloques…).
L’édifice est un pôle patrimonial majeur dans une région rurale où le tourisme est devenu un enjeu primordial (abbaye bénédictine de Bleurville, cité Renaissance de Châtillon, église romane de Relanges, église gothique de Saint-Julien...). Des événements sont d’ores et déjà organisés sur le site participant ainsi à la dynamisation du territoire pour lequel l’association continue d’oeuvrer, notamment à la restauration du village Renaissance de Châtillon-sur-Saône.
‡ Soutenez le projet en effectuant un don défiscalisé sur https://www.fondation-patrimoine.org
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Monthureux-sur-Saône (88) : 37ème AG de Saône lorraine le 15 avril 2018
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Vioménil (88) : conférence sur les recherches archéologiques à Vioménil
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Liffol-le-Grand (88) : le calvaire de 1927 restauré
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Domremy (88) : Une souscription pour sauvegarder la basilique Sainte-Jeanne d’Arc
727 655,82 €. Tel est le montant de la première tranche des travaux qui débuteront courant mars en la basilique Sainte-Jeanne d’Arc à Domrémy-la-Pucelle.
Des travaux dits d’urgence qui concernent le dôme, le chœur, la nef, les versants Est et Ouest du transept de l’édifice, ainsi que la réfection de l’installation électrique intérieure et le joug des cloches. « Le bâtiment est malade. Nous avons notamment constaté des fuites d’eau au niveau du dôme », souligne Jackie Frémont, délégué départemental de la Fondation du patrimoine Vosges.
Le projet est soutenu à hauteur de 30 % par la Région Grand Est et 40 % par la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles). Pour boucler le budget, le diocèse de Saint-Dié, propriétaire de l’édifice, compte sur le soutien des particuliers. Un appel au mécénat populaire vient en effet officiellement de démarrer, initié par la Fondation du patrimoine. « Cette basilique est un lieu unique. Pour l’Église, mais aussi pour la France car elle est chargée d’Histoire », note Mgr Didier Berthet, évêque de Saint-Dié, qui a fait le déplacement pour le lancement de la souscription.
Cette première tranche de travaux est prévue pour durer plusieurs mois. D’autres suivront au cours des années à venir, avec un montant total estimé entre 5 à 6 millions d’euros. « Nous démarrons par le plus urgent car la basilique est en danger si des travaux ne sont pas effectués », ajoute Jackie Frémont, qui ne doute pas que les donateurs seront au rendez-vous : « Les particuliers - et les croyants - sont attachés à leurs églises. » D’autant que le lieu est chargé de symboles, spirituels - Jeanne n'est-elle pas la plus grande sainte chrétienne ? -, mais aussi culturels avec, par exemple, le festival Jeanne d’Arc.
À noter qu’une souscription avait déjà été lancée il y a trois ans pour la restauration d’une toile de Montchablon, qui se trouvait à l’origine dans la crypte de la basilique. Très dégradée, elle est en cours de rénovation dans un atelier alsacien. Elle devrait faire son retour en avril.
‡ Don défiscalisé possible sur le site internet www.fondation-patrimoine.org
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Mirecourt et son histoire par les Amis du Vieux Mirecourt-Regain
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Le théâtre de Bussang au temps de Pierre Richard-Willm
De 1911 à 1975, un acteur lia sa vie au Théâtre du Peuple de Bussang, théâtre familial bâti dans les Vosges et qui, sous l'impulsion de Maurice Pottecher, connut un essor prodigieux. Cet acteur, c'est Pierre Richard-Willm, un artiste complet au destin prodigieux.
Devenu dans les années 1930 une immense vedette du cinéma, il renonça complètement au 7ème art pour succéder à Maurice Pottecher. Cet ouvrage met en lumière la part de l'acteur, metteur en scène, décorateur et costumier dans l'évolution de ce théâtre unique qui ouvrit la voie au TNP de Jean Vilar. L'auteur restitue cet étonnant parcours artistique à partir des archives mêmes du Théâtre du Peuple.
‡ Le théâtre de Bussang au temps de Pierre Richard-Willm. Itinéraire d'un enfant du Théâtre du Peuple, Claire Strohm, éditions L'Harmattan, 2018, 282 p., 28 €.
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Vers la création d'une association du site gallo-romain de Bulgnéville
Vue de la protection en cours d'aménagement sur le site de la villa gallo-romaine de Bulgnéville [cl. J.-M. Lejuste].
Jean-Marc Lejuste nous communique :
"Le projet de couverture de la galerie de façade de la villa gallo-romaine de Bulgnéville (88) prend forme peu à peu et bientôt viendra le moment de gérer sa restauration, sa mise en valeur au sein d'un projet plus vaste qui inclue l'aménagement paysager du site, la mise en valeur (et la couverture) du praefurnium des bains (avec notamment les 2 bassins) et la sauvegarde des objets qui seront dévolus à la commune et bien-sûr l'animation de l'ensemble.
La commune de Bulgnéville ne souhaite pas porter cette phase du projet (elle a déjà financé la couverture de la galerie) et ce n'est pas sa mission, même si elle est prête à nous aider. Depuis fin 2015, l'idée d'une association végétait, mais à présent il faut passer à l'action car des projets à très courts termes nécessitent d'avoir un statut propre, un compte bancaire et des personnes prêtes à s'engager dans l'aventure.
Avant la fin de février 2018, l'association pour gérer le site des Longues-Royes, devra exister afin de montrer à la commune de Bulgnéville qu'elle peut compter sur une association pour faire vivre le site et pour engager la suite. Elle pourrait s'appeler "Association du Domaine de Bulineus" (tiré d'un des noms les plus anciens de Bulgnéville romanisé).
Je consulte actuellement toutes les personnes qui ont témoigné de l'intérêt pour ce site et c'est pourquoi, je me tourne naturellement vers vous pour savoir si certains sont intéressés pour consacrer un peu de temps à ce domaine et, pourquoi pas, au sein du conseil d'administration ou simplement en devenir membre.
Je reste à votre disposition pour recueillir vos impressions et éventuelles propositions. Karine Boulanger, de l'Inrap, nous accompagne déjà dans ce projet et nous aidera à rendre ce site pédagogique et compréhensible. Une assemblée générale constitutive sera prochainement organisée à Bulgnéville.
Un grand merci d'avance à ceux qui m'accompagneront dans la mise en valeur d'une partie d'un domaine gallo-romain qui était voué à la destruction totale. C'est une belle aventure que de transmettre une page d'histoire."
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Attigny (88) : avis de recherche pour Denis Granget
Après plusieurs jours d'intenses recherches et sondages de la Saône pour retrouver Denis Granget, un septuagénaire domicilié à Attigny, disparu lundi 22 janvier, la famille a décidé de lancer des avis de recherche sur le secteur.
Les gendarmes et bénévoles qui ont patrouillé le secteur de Darney-Attigny durant plusieurs jours afin de retrouver les traces de Denis Granget n'ont pas donné lieu à des résultats probants.
Les membres de la famille ont décidé de distribuer des avis de recherche dans les sociétés de chasse et de pêche dans un rayon de 20 km autour d'Attigny. Les commerces afficheront également un signalement du disparu.
Toute personne en mesure d'apporter des renseignements sur cette disparition peut le signaler à la gendarmerie la plus proche.
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Bleurville (88) : le bulletin municipal 2017 est paru
Le bulletin municipal de Bleurville pour 2017 est sorti.
Au sommaire :
- l'éditorial du maire
- l'état civil de la commune
- le départ à la retrait de Françoise Roussel, la secrétaire de mairie
- les travaux communaux
- la gestion de l'eau
- Bleurville en 1901
- le repas des anciens
- les 20 ans du marché bio'
- la vie des associations
- l'été à Saint-Maur
- les activités des écoles
- les "oubliés" de la Grande Guerre
- la vie du village
- focus sur la pyrale du buis
- les oiseaux de nos campagnes vosgiennes
- les relevés météorologiques 2017 à Bleurville
‡ Le bulletin municipal 2017 est disponible en mairie de Bleurville.
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Bleurville (88) : travaux et démographie
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L'enseignement mutuel dans les Vosges au XIXe siècle
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Le prochain ouvrage de Jean-François Michel : l'histoire de Jean-Baptiste Tournay (1720-1768)
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La Grande Guerre
Le conflit mondial de 1914-1918 ouvre tragiquement le XXe siècle.
Sondant les mentalités, l'action des chefs comme des humbles, des civils comme des militaires, interrogeant les attitudes de ceux qui décident, autant que de ceux qui vivent la guerre dans le froid des usines ou dans la boue des tranchées, François Cochet, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Lorraine, englobe toutes les dimensions de ce conflit total.
Synthèse d'ampleur refusant de céder à une lecture partisane et exclusivement hexagonale, l'ouvrage répond ainsi à toutes les questions sur cet affrontement dantesque.
Ce livre demeure la meilleure synthèse disponible sur ce qui fut la première hyperguerre. Menée selon une démarche d'historien, elle permet de comprendre cette période charnière.
‡ La Grande Guerre, François Cochet, éditions Perrin, coll. Tempus, 2018, 576 p., 11 €.
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Avillers (88) : un tableau d'Alphonse Monchablon acquit par la commune
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Bulgnéville (88) : une page d'histoire conservée
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Les Thons (88) : mobilisation pour l'église des Cordeliers
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La dernière Division : sacrifiée à Soissons pour sauver Paris (27 mai - 5 juin 1918)
Émergeant de la brume, des silhouettes casquées et grisâtres franchissent l'Ailette et s'emparent des crêtes du Chemin des Dames, sévèrement bombardées les heures précédentes. Trois jours plus tard, les Allemands atteignent la Marne et menacent Paris, comme à l'été 1914.
Surpris, le commandement français doit improviser pour endiguer coûte que coûte la déferlante que personne n'attendait sur cette portion du front. La bataille se raidit sur l'aile droite de l'offensive allemande et Soissons devient rapidement une charnière pouvant ouvrir la route vers Paris. Stationnée à Saint-Dié dans les Vosges, la 170e division d'infanterie est en manœuvre dans la forêt de Compiègne lors de ces événements. La « p'tite dernière » de l'armée française est aussitôt jetée dans la fournaise à Soissons…
Avec "La dernière division", l'auteur, s'appuyant sur les archives officielles et les écrits inédits laissés par les protagonistes dont il a retrouvé les familles à l'issue de longues recherches, vous fait revivre heure par heure un épisode méconnu de l'histoire qui aurait pu modifier le cours de la guerre, à un moment où les Allemands bénéficiaient de la supériorité numérique, juste avant que les Américains n'entrent en lice. Vous découvrirez comment l'un des secteurs les plus emblématiques du Chemin des Dames a si facilement été reconquis, puis vous suivrez la 170e division dans la Cité du vase et sur les rives de l'Aisne, tout en faisant connaissance avec des hommes dont l'histoire avait déjà retenu les noms, comme l'aspirant Louis Jaurès, fils du parlementaire socialiste Jean Jaurès assassiné le 31 juillet 1914, ou le lieutenant Léon Forzinetti dont le père fut le tout premier défenseur du capitaine Dreyfus.
« Sacrifiée », la 170e division a payé le prix fort avec la perte de plus du tiers de ses effectifs et une ingratitude du commandement qui releva ses chefs parce qu'elle avait été contrainte de reculer sans pour autant concéder la victoire à l'adversaire. Or, cette résistance opposée jour et nuit durant une semaine a sans doute permis au général Foch de s'organiser et de rassembler les forces nécessaires pour lancer une contre-attaque victorieuse, celle qui débouchera sur l'armistice quelques semaines plus tard…
‡ La dernière Division. Sacrifiée à Soissons pour sauver Paris (27 mai - 5 juin 1918), Patrick-Charles Renaud, éditions Grancher, 2018, 250 p., ill., 20 €.
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Le Charme(s) de nos rues et leur histoire
Le centre de la cité de Charmes, dans la plaine vosgienne, fut détruit en septembre 1944 et reconstruit en un temps record. Le "nouveau" Charmes a retrouvé la plus grande partie de ses rues de jadis, certaines à d'autres endroits ou avec un tracé différent, et quelques noms ont disparu...
Henriette Méline, amoureuse de sa ville, nous relate l'histoire des nom des rues, ruelles et places de sa cité natale qui sont autant de chapitres de son histoire. Les générations passées les ont choisis afin de conserver la mémoire d'un personnage local illustre ou d'un événement, afin que les suivantes se souviennent ; c'est ce qu'on appelle le devoir de mémoire.
Un ouvrage, appuyé sur les meilleures sources historiques, qui nous fait connaître et partager la petite et la grande histoire de la cité carpinienne.
‡ Le Charme(s) de nos rues et leur histoire, Henriette Méline, UBC édition, 2017, 202 p., ill., cartes, 20 € (+ 5 € de port). Disponible chez l'auteur, 1bis rue Didierjean, 88130 Charmes.
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Soutenez l'action des Amis de Saint-Maur de Bleurville en 2018 !
Suivre les activités de l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville sur notre blog et lire nos informations c'est très bien... mais y adhérer ce serait encore mieux !
Alors que les responsables de la structure réfléchissent à des projets de restauration d'envergure - sur les intérieurs de l'abbatiale notamment -, l'association patrimoniale doit rassembler un maximum d'adhérents afin de présenter un projet crédible auprès de la DRAC. Et plus les adhérents seront nombreux, plus l'association sera forte pour défendre et promouvoir le patrimoine historique et architectural du sud-ouest vosgien dans lequel l'abbaye Saint-Maur de Bleurville a toute sa place.
Il y va aussi de la survie de l'association qui oeuvre depuis bientôt 45 ans au sauvetage de ce monastère bénédictin lorrain du XIe siècle...
> Alors, rejoignez Les Amis de Saint-Maur de Bleurville en envoyant votre adhésion (15 € par chèque à l'ordre de "Amis de Saint-Maur") à :
MONSIEUR LE PRESIDENT
ASSOCIATION DES AMIS DE SAINT-MAUR
2 RUE BEZOUT
88410 BLEURVILLEMerci pour votre soutien et bonne nouvelle année à tous !
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Châtillon-sur-Saône entre dans le club des "Beaux villages lorrains"
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Bleurville (88) : bilan de la saison 2017 à l'abbaye Saint-Maur
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L'Echo des 3 Provinces d'hiver est paru !
Pour vos soirées d'hiver au coin de la cheminée, vous lirez avec intérêt la dernière livraison de L'Echo des 3 Provinces, le magazine du pays des confins de la Lorraine, de la Champagne et de la Franche-Comté...
Au sommaire :
- retour sur les Journées d'études vosgiennes de Lamarche et Martigny-les-Bains
- les Cahiers de Melle Marchal : décembre 1917 à Lamarche
- hommage au maquis de Magny-lès-Jussey
- histoires de cuisine
- depuis 2000 ans, la crèche de la Nativité
- un nouvel office du tourisme à Jussey
- l'église Saint-Martin de Purgerot
- l'église de la Nativité de Gruey-lès-Surances
- un été à l'ombre de l'abbaye Saint-Maur de Bleurville
- la passion des camions de pompiers
- la vie des associations
- les animations et manifestations
‡ Pour recevoir L'Echo des 3 Provinces, revue bimestrielle, contactez evelyne.relion@orange.fr
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Les Thons (88) : une convention qui a du choeur
Une sympathique cérémonie a réuni récemment une trentaine de personnes en mairie des Thons où était signée la convention entre la Fondation du Patrimoine Vosges et Saône lorraine pour les travaux à réaliser à l’église des Cordeliers des Thons, propriété de l’association patrimoniale depuis douze ans.
Deuxième convention en vérité, la première ayant concerné des travaux colossaux menés en 2013-2015 sur les bâtiments conventuels perpendiculaires au sanctuaire : charpente, toiture, façade et contreforts des chapelles funéraires.
S’il s’agit avant tout d’engager des travaux de réhabilitation du chœur du XVe siècle de l’église conventuelle Notre-Dame des Anges – Saint-François, Jacky Fremont, délégué des Vosges pour la Fondation, a rappelé aussi les avantages fiscaux et les satisfactions personnelles pour les éventuels donateurs à cette souscription pour la restauration programmée. Jean-François Michel, président de Saône lorraine, a précisé que « les travaux prévus, tranche ferme et conditionnelle, s’élevaient à plus de 400 000 € ; l’Etat et le Conseil régional Grand Est doivent y prendre une large part ». Pour Robert Mougin, maire des Thons, « ce projet aura un impact culturel, sociologique et social fort comme l’ont déjà eu les précédents chantiers : bénévoles, professionnels, encadrants, ouvriers, architectes des Monuments historiques, tous y trouveront leur compte, l’essentiel étant de ne pas baisser les bras face au scepticisme ambiant de nos campagnes et l’indifférence. » Ces projets contribuent aussi à lutter contre la désertification du secteur.
Si le projet se déroule normalement, les travaux devraient débuter dès le printemps prochain et les entreprises choisies, par accord entre le maître d’œuvre (ACMH) et le maître d’ouvrage (Saône lorraine), seront alors, et à tous les sens du terme, au chevet de l’église pour lui rendre sa beauté et sa solidité originelles.
> Les dons défiscalisables sont à adresser à : Fondation du Patrimoine, 62 rue de Metz, 54000 Nancy, en précisant « pour l’église des Cordeliers des Thons ».
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Les parlers du pays de Neufchâteau
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On recherche l'ouvrage de l'abbé Géhin sur "Les professions et les familles des nobles verriers d’Attigny"
On nous demande d'insérer l'annonce suivante :
Dans l'ouvrage "Notes d’histoire sur Attigny-en-Vôsge” (1er fascicule – Histoire générale), publié en 1906 à Epinal par l'abbé Géhin, l'auteur indique que le prochain fascicule traitera "des professions à Attigny, des familles et spécialement des nobles verriers d’Attigny”.
Ce fascicule a dû être publié peu de temps après mais en très peu d’exemplaires.
⇒ Si un particulier ou un collectionneur ou une librairie d'anciens possède un exemplaire dont il souhaite se dessaisir, merci de contacter M. Jean-Michel Guirten : jeanmichelguirten@orange.fr -
Pour l'amour d'une Vosgienne
Voici une belle déclaration d'amour pour celle qui symbolise le massif des Vosges : la vache de race Vosgienne.
Si nos Vosgiennes sont rentrées à l'étable pour l'hiver, vous la reconnaîtrez facilement lorsque le printemps sera de retour : c'est cette vache qui porte une bande blanche sur le dos si caractéristique, cette petite vache intelligente et rustique. Une montagnarde avant tout. Et des plus coquettes !
Son histoire est étroitement liée à son territoire et aux éleveurs qui s'en occupent. C'est dans cet esprit, et pour l'amour de la Vosgienne que l'auteur - vieux montagnard vosgien - présente ce superbe album qui met en lumière bien sûr cette sympathiques Vosgienne, mais aussi les fermiers et leur massif.
De vallées en sommets, des Vosges lorraines aux Vosges alsaciennes et comtoises, notre auteur est allé à la rencontre de tous les passionnés qui oeuvrent au quotidien pour développer la race Vosgienne dans son milieu de vie. Sa présence et celle des éleveurs avec leurs troupeaux sur les chaumes permettent de garantir la pérennité de ces espaces naturels et vivants.
Un bel ouvrage servi par de nombreuses photographies couleurs... et des textes plein d'amour pour notre belle Vosgienne !
‡ Pour l'amour d'une Vosgienne, Richard Brionne, éditions Olizel, 2017, 217 p., ill. (29 €).
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Jean-Baptiste Picard : "Le patois du pays de Neufchâteau est une langue comme les autres"
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Châtillon-sur-Saône (88) : succès pour le premier "café-histoire"